quand votre psy vous fait comprendre que ?

il y a 30 minutes, doremi001 a dit :

Ca y est ! La majorité des intervenants avait raison, en particulier Tequila Moore qui parlait de recentrage. Merci à tous

Je copie la réponse de mon psy :

"Je souhaite juste nous recentrer régulièrement sur une réévaluation précise des objectifs !

Ne vous posez pas la question de la légitimité de nos entretiens. Il serait de mon devoir de vous en faire part si ces-derniers n’avaient aucune justification.

Bien à vous,"

..ben tu vois ! Merci de cette info, pour ceux qui  ceux qui se sont "impliqués" . 

Bonne continuation....petit à petit , l'oiseau fait son nid 

il y a 2 minutes, Petit pois a dit :

..ben tu vois ! Merci de cette info, pour ceux qui  ceux qui se sont "impliqués" . 

Bonne continuation....petit à petit , l'oiseau fait son nid 

Merci ! Et j'ai une dernière question : quand il dit "il serait de mon devoir de vous en faire part si ces derniers n'avaient aucune justification", il entend par là, du coup, que donc, le jour où je n'aurais plus besoin de le voir, il me le dira lui même ?  

il y a 2 minutes, doremi001 a dit :

Merci ! Et j'ai une dernière question : quand il dit "il serait de mon devoir de vous en faire part si ces derniers n'avaient aucune justification", il entend par là, du coup, que donc, le jour où je n'aurais plus besoin de le voir, il me le dira lui même ?  

TU peux y entendre ça, en effet....mais je présume que ce serait à toi de ne plus y aller tout simplement ou/et de lui faire part de la perte de cette nécessité . En général ( mais je hais les "en général") c'est le patient qui ressent ce besoin de ne plus "le voir", pas le psy qui lui signifie.

il y a une heure, doremi001 a dit :

Merci ! Et j'ai une dernière question : quand il dit "il serait de mon devoir de vous en faire part si ces derniers n'avaient aucune justification", il entend par là, du coup, que donc, le jour où je n'aurais plus besoin de le voir, il me le dira lui même ?  

S'il est honnête oui, mais croire que les mentalités commerciales font halte juste sur le pas de sa porte serait peut être un peu naïf. C'est à toi de voir la confiance que tu as. N'oublie pas que c'est son gagne-pain.

il y a une heure, Petit pois a dit :

TU peux y entendre ça, en effet....mais je présume que ce serait à toi de ne plus y aller tout simplement ou/et de lui faire part de la perte de cette nécessité . En général ( mais je hais les "en général") c'est le patient qui ressent ce besoin de ne plus "le voir", pas le psy qui lui signifie.

oui, sans doute qu'au bout d'un moment, on ressentira tous les deux, qu'on n'a plus rien à se dire.

il y a 16 minutes, lucdf a dit :

S'il est honnête oui, mais croire que les mentalités commerciales font halte juste sur le pas de sa porte serait peut être un peu naïf. C'est à toi de voir la confiance que tu as. N'oublie pas que c'est son gagne-pain.

Je pense qu'il est honnête car il n'a pas refusé de me faire un tarif sans dépassement d'honoraires. Et il ne peut donner de rendez - vous à de nouveaux patients, car il en a déjà beaucoup. Ou alors, il leur faut attendre plusieurs mois. Moi même j'ai dû insister 3 fois pour qu'il me prenne en charge et j'ai attendu assez longtemps.

.

Il y a 2 heures, Tequila Moor a dit :

C'était facile : j'ai toujours raison.

......................

Le 21.06.2017 à 15:03, doremi001 a dit :

Bonjour,

Je rencontre un nouveau problème. Lors de mon dernier entretien chez mon psy, il m'a demandé " Qu'est ce qui, aujourd'hui, justifie le fait que vous voyez un psy ?"

J'interprète cette question comme "Vous ne semblez pas avoir de problèmes, pourquoi continuer à venir me voir ? "

Je suis perdu, je me dis qu'en disant cela, il sous entend que je n'ai aucune raison de consulter et conforte mon idée selon laquelle, je m'invente des problèmes.

Qu'en pensez vous ?

Merci,

doremi.

Et tu le lui as dit ?

Il y a 17 heures, doremi001 a dit :

Merci ! Et j'ai une dernière question : quand il dit "il serait de mon devoir de vous en faire part si ces derniers n'avaient aucune justification", il entend par là, du coup, que donc, le jour où je n'aurais plus besoin de le voir, il me le dira lui même ?  

Pour ceux qui ont une réelle conscience professionnelle, oui, il arrive de proposer un terme aux séances. Mais toi tu sembles ressentir une telle dépendance, qu'à mon avis vous en êtes très loin.  Il faut donc effectivement te recentrer sur autre chose que ce genre d'obsession le psy n'est pas nécessairement rassurant. 

Il y a 12 heures, pep-psy a dit :

Et tu le lui as dit ?

Oui, je lui ai dit et envoyé un mail pour clarifier ce qu'il entendait par là, il m'a répondu que je n'avais pas à me poser la question de la légitimité des entretiens et qu'il serait de son devoir que de me dire si ces derniers n'avaient pas de justification.

Il y a 2 heures, Out of Paprika a dit :

Pour ceux qui ont une réelle conscience professionnelle, oui, il arrive de proposer un terme aux séances. Mais toi tu sembles ressentir une telle dépendance, qu'à mon avis vous en êtes très loin.  Il faut donc effectivement te recentrer sur autre chose que ce genre d'obsession le psy n'est pas nécessairement rassurant. 

Oui, je ne me vois pas d'arrêter les entretiens pour le moment.

Pourquoi dis tu "le psy n'est pas nécessairement rassurant" ?

Il y a 21 heures, doremi001 a dit :

Ca y est ! La majorité des intervenants avait raison, en particulier Tequila Moore qui parlait de recentrage. Merci à tous

Je copie la réponse de mon psy :

"Je souhaite juste nous recentrer régulièrement sur une réévaluation précise des objectifs !

Ne vous posez pas la question de la légitimité de nos entretiens. Il serait de mon devoir de vous en faire part si ces-derniers n’avaient aucune justification.

Bien à vous,"

Personnellement je trouve la réponse un tant soit peu arrogante et déplacée. Tu peux bien sûr te poser la question de la légitimé des entretiens. Tu peux te poser TOUTES les questions. Ce n'est pas à lui de décider unilatéralement ce qui est légitime ou illégitime. Bon... il s'est peut être mal exprimé.

il y a une heure, doremi001 a dit :

Oui, je lui ai dit et envoyé un mail pour clarifier ce qu'il entendait par là, il m'a répondu que je n'avais pas à me poser la question de la légitimité des entretiens et qu'il serait de son devoir que de me dire si ces derniers n'avaient pas de justification.

Oui, je ne me vois pas d'arrêter les entretiens pour le moment.

Pourquoi dis tu "le psy n'est pas nécessairement rassurant" ?

Parce qu'il n'est pas là pour te brosser dans le sens du poil. Quand tu exprimes une angoisse, il va creuser et parfois te heurter pour comprendre son origine. 

il y a 8 minutes, lucdf a dit :

Personnellement je trouve la réponse un tant soit peu arrogante et déplacée. Tu peux bien sûr te poser la question de la légitimé des entretiens. Tu peux te poser TOUTES les questions. Ce n'est pas à lui de décider unilatéralement ce qui est légitime ou illégitime. Bon... il s'est peut être mal exprimé.

Il a dit ça parce que dans mon mail je disais que cette question me confortait dans l'idée que m'invente des problèmes, que je m'apitoie pour attirer l'attention, et que je ne voulais enaucun cas empêcher la prise en charge d'un patient qui serait plus nécessiteux que moi. Il a sans doute senti que le me sentais illégitime d'où la réponse. D'ailleurs, j'étais soulagé de lire sa réponse car je me sens être dans le besoin de consulter.

il y a 5 minutes, Out of Paprika a dit :

Parce qu'il n'est pas là pour te brosser dans le sens du poil. Quand tu exprimes une angoisse, il va creuser et parfois te heurter pour comprendre son origine. 

D'accord. Je pense qu'il va aborder le sujet de mon mail la prochaine fois.

Il y a 19 heures, doremi001 a dit :

Oui, je lui ai dit et envoyé un mail pour clarifier ce qu'il entendait par là, il m'a répondu que je n'avais pas à me poser la question de la légitimité des entretiens et qu'il serait de son devoir que de me dire si ces derniers n'avaient pas de justification.

Si tu commences à interpréter ce qu'un psy voit de toi...

Tu vas te casser la tête !