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Bonjour , bonsoir .


Invité elbaid

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- A ta claire fontaine

M'en allant promené

J'y ai trouvé l'eau si belle

que je m'y suis baigné

-A ta belle fontaine

m'en allant balader

la douceur en étreinte

mes lèvres à ton bénitier .

-A jamais mes je t'aime

je m'en suis rassasié

de ta rose mon absinthe

je ne puis m'en délivré .

-A ton corps sans contrainte

j'irais en incube assoiffé

de ton exquise fontaine

à tes lèvres son abricotier

- J'en boirais les délices

m'y laisserais emporté

au creux de ton calice

les flots de pluie en bouquet

-j'irais boire à la claire fontaine

en toi au cœur enjoué

j'y souhaite ta madeleine

y fusse encore en bonté

que j'y puise à sa naissance

ses pleurs , son abondance

à la fontaine de jouvence , la douce amour , la plaisante aimée .

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  • 11 mois après...
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:smile2:

 

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Posté(e)

Qui a mesuré dans sa main l'eau de la mer
Evaluée sa grandeur et peint son bleu
Petit océan au regard vert
Colorie tes yeux
Grand ouvert ...
La vague.....
Vague...
Une vague,
Une vague égarée
Au trésor d'insouciance
Tirant son écume de parfum salé
Grimpant au supplice d'une fin noyée
Merveille de délices en son flué
Gronde en disgrâce
Et vas chuter
Désir floué
La vague..
Vague.....
Une vague,
Une vague éperdue
Dans son manteau bleuté
Grandit sa révérence a tête blanche
Elancée et franche autant désuet
Termine sa belle danse
Et vas tombé
Regard volé
La vague..
Vague.....
Une vague,
Une vague ramassé
Dessine en ses milles reflets
Une Montée en puissance sa fin annoncée
En Vie éphémère aux couleurs dévoilés
Dévoue sa franche grâce
Aux rivages pressés
Vas chuté
La vague..
Vague...
Va...

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Posté(e)

Faut'il se résoudre a condamner l'ennui ?
Quand vient même il serait mêre de tout les vices
Imaginer qu'un soir l'ennui se concrétise
Que naisse l'abstrait de ce vice
En action par acte et soumission...
Abandonnant au plus de l'abstrait
L'idée naissante d'un désir concret...

Faut'il se résoudre a aimer cela
Ou bien le détester...l'ennuie chagrine
L'espoir il nous fait...de l'etre et sa constance
Sombre ilusion du paraitre en parfaite inconstance
Quand vient même l'horloge en perd les sens
Se donner a sa vertue en ouvrant sa conscience
Aux trésors de nos idées a ce point ennuyé
De n'etre que le reflet d'un agir par la pensée...

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Posté(e)

Printemps la pense
En fleur
Des vents
Au temps
Que dure...
Son abondance
Ete sans voix
En croix
Les choix
Des voies
que fasse
mon errance
Automne la vit
En perle
De pluies
Des nuits
Que tissent
Nos enfances
Hiver son désir
De satins
En jade
Au jardin
Que plaise
Le silence
Printemps s'en revient....
D'une branche en charge de fleurs
D'éloquences en parfum de bonheur
Que Nuages ne sauraient esperer
Si faste en se beau palais
He ! je vous demande !!
Vous qui rencontrez si bien
Les Mers Océanes du confin
Au sommet des senteurs embaumés
He ! je vous demande !!
Que fasse sourire joyeux
Ne disparaisse jamais en son visage
Qu'il en soit rendu auguste grace
He ! je vous le demande !!
Qu'importe le vent et vos audaces
Qu'il m'emporte avec sa folie
Qu'il me traîne en sa vie
Avant qu'elle eut changer d'habit.

-------------------------------------------------

Printemps la pense
En fleur
Des vents
Au temps
Que dure
Son abondance
Ete sans voix
En croix
Les choix
Des voies
que fasse
mon errance
Automne la vit
En perle
De pluies
Des nuits
Que tissent
Nos enfances
Hiver se désire
Le satin
En jade
Au jardin
Que plaise
Son silence
Printemps s'en revient
Les branches
En charge
Aux couleurs
Que penchent
Nos envies
Ete s'acomplie
Aux jours
L'acable
Les maux
Du labour
Nos folies
Automne pleur
A l'agonie
Ses larmes
De feuilles
Se Coiffent
Nos rancoeurs
Hiver se fige
Dans l'ombre
Des brumes
Les mornes
Lassitudes
Nous afflige

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Posté(e)

Le couloir....et sa raison
au fond de mon dépit
affronte mon être sa vie
draps bleu dans mon lit
enveloppent mon esprit ....
Le couloir....et son obession
au matin qui passe en traine
s'ouvrent les yeux à peine
que l'oreille écoute la plainte
des lêvres en craintes .
ce couloir...et son ennuie
seuls en habit de vestige
déambulent sans prestige
geunilles et chausses se figent
en tête et couronne d'épine .

Mon couloir....
un reste d'homme
un reste d'oiseau
la femme frêle
au manteau sans forme
la pâle fresque
de blancs uniformes
au couloir qui s'allonge
au couloir qui s'étire
d'aile aux coeurs
un reste de bonheur
un reste d'homme
un reste d'oiseau
d'acier
de fer
de sangs
la vie au dépend
le coeur en tourment
le corps en survie
mon couloir lui...se retrécie.

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Posté(e)
La pluie .......
se brise en chantant
se claque sur les flancs
Dans sa fougue qui la gronde
dans son rideau d'ambre
comme pluie de larmes
en averse puis en onde
elle s'écroule en bruit
Avec son trait de fantaisie
d'un autre monde
d'une autre trace
De l'audace en jaillit le cri
A son visage qui de glace
Avec son brin de folie
sur le tertre son espace
sa vie se déroule et s'écrase
elle tombe en piquant
se brise en tombant
se glisse bondissante
froide et ruisselante
des collines en trombe
des plaines assoiffés
aux ruisseaux asséchés
l'indomptable en liberté
A la paresse de sa vie
Sans crainte et sans souci
elle accomplie son temps
son audace , son outrage
la résonance de son orage
en fine perle de pluie
une plainte comme rage
au creux de nos vies .
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Invité elbaid
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Posté(e)
Au futur
son inconnue
de l'errance solitaire
où s'égaille l'impromptu .

A son passé
larmes oubliés
ainsi dévêtus
le visage nue .

que tourmente
la belle insouciance
du présent rattrapé
de l'aube à sa naissance
au soir de son couché .

le temps s'étire
en imprudence
au fil des jours
sa connivence .

le seul , qui , en silence
coule le parfait amour
en union sereine
la nuit et le jour
s'étire la rengaine
comme complainte
à son plaisir dévoilé
aussitôt envolé
que le temps incongru
s'écoule lancinant
le bel amour
à vous seul , cet instant .
 
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Posté(e)
  1.     comme toujours en fuite sous le vent
    que le vent son audace jamais souriant
    de l'intense chétif au vent tourbillonnant
    par vigueur soutenue à ce vent tournant
    au vent mauvais les nuages en passant
    que le passant emporté par le vent obtus
    comme toi seul sais faire du vent sa venue
    en vent laissé tant de fois égaré
    par sombre tenue le vent effronté
    mainte fois biscornue et bruyant à volonté
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Posté(e)
  1. ni vu ni connu
    je suis le temps
    vivant et obtus
    la déconvenue ,
    en faire le semblant
    le temps sa venue
    au grés d'un venant
    son inconvénient .


    autant lui dire adieu
    au temps qui passe ,
    il en frise l'audace
    en est une menace .
    gronde comme le vent
    qui passe et trépasse ,
    adoré son absence
    son absolu insouciance .
    du temps sa patiente
    en aimé son silence ,
    au sur et profond
    trésor d'abondance .
    à ce temps continue
    sans peine son exigu ,
    que l'on voisine
    comme son familier ,
    d'en aimer l'errance
    visible au ciel nue ,
    de l'étoile patience
    l'hâtive en silence ,
    sa course absolu
    à jamais interrompue .

    ni vue ni connu
    j'en ai le temps
    d'en avoir les mots
    de leur faire la fête
    d'en avoir enfermé
    et d'en avoir confié
    à se moindre temps
    parce qu'il me plaît
    d'en jouer , d'en abuser ,
    et d'en loger de temps en temps .
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Membre, Talon 1, 78ans Posté(e)
Talon 1 Membre 22 851 messages
78ans‚ Talon 1,
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Message codé émis par Radio-Londres.

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Membre, 64ans Posté(e)
pila Membre 18 571 messages
Baby Forumeur‚ 64ans‚
Posté(e)

J'ai des vents.

Veuillez maintenant écouter quelques messages :

"Le catalan de Matignon a fait un cauchemar" deux fois

"Le Hollandais a brassé beaucoup d'air" je répète "Le Hollandais a brassé beaucoup d'air".

"Jojo a confondu Emmanuel et Emmanuelle".

L'un des hommes qui parlaient à Radio-Londres était le brestois Jean Oberlé. Brest; capitale de Vent; certains jours.

J'ai bien connu la soeur du chef des émissions de Radio-Londres en français : Jean Marin; de Douarnenez.

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Membre, 64ans Posté(e)
pila Membre 18 571 messages
Baby Forumeur‚ 64ans‚
Posté(e)

Les gens n'aiment pas la Pluie alors que la Pluie les fait vivre.

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Membre, 64ans Posté(e)
pila Membre 18 571 messages
Baby Forumeur‚ 64ans‚
Posté(e)
Auteur : très très connu. Décédé il y a 25 ans.
Chanson des années 60.
Peut-être la plus belle de toutes écrites par lui.
 
Les goémons.
 
Algues brunes ou rouges
Dessous la vague bougent
Les goémons
Mes amours leur ressemblent
Il n'en reste il me semble
Que goémons
Que des fleurs arrachées
Se mourant comme les
Noirs goémons
Que l'on prend, que l'on jette
Comme la mer rejette
Les goémons
Mes blessures revivent
À la danse lascive
Des goémons
Dieu comme elle était belle
Vous souvenez-vous d'elle
Les goémons
Elle avait la langueur
Et le goût et l'odeur
Des goémons
Je pris son innocence
À la sourde cadence
Des goémons
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Invité elbaid
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Invité elbaid
Invité elbaid Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 10 heures, Talon 1 a dit :

Message codé émis par Radio-Londres.

:hum:

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Invité elbaid
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Invité elbaid
Invité elbaid Invités 0 message
Posté(e)
Etrange que la pensé noyé
ce fil d'ange au trésor amassé
mélange en nos belles idées
la grange du passé oublié

Il est fou ce temps incertain
que de tout laissé en chemin
en nous le chaque et serein
ce trou qui nous fait du bien

Etrange que la memoire vive
en frange et parcelle se prive
qu'elle range en nous l'oublie
ce fil d'ange au trésor infinie

Il est fou ce temps composé
en sou' du venir au passé
la roue en passe d'effacé
ce bout de chemin tracé

Etrange que le fil de soi
en soit du temps compté
l'emoi nous en est placé
ce fil de soi fixé .
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Invité elbaid
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Posté(e)
IL a de soi un monde de merveilles
En colibri et chant de vermeilles
Tout au coeur y donne sans pareil
La joie et vertu du rire si bien répandu

IL obtient la grâce d'autant de louanges
Par le seul mime et sourire d'ange
Larmes de joies et regards innocents
D'être le jouet de milliers d'enfants

Le clown s'habille en douce comédie
Aux couleurs divines et tendre facétie
De rouge d'ocre et de vert amusé
IL tisse la toile des pensés médusés

Peinture de guerres en ces coeurs ouverts
Sa ronde bouche et son nez tout rouge
IL tire sa révérence et s'en va au grés
De n'être que muse et douce fatalité

En vie éphémère , le clown se rhabille...le clown se meurt , mais la joie certaine d'autant de bonheur .
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Posté(e)
tout les jours le même discourt et si les jours en avait été plus court on y passerait nos jours à se dire bonjour ...... au revoir.... et tout les soirs au même comptoir quand vient le soir on se dit bonsoir .

Bonjour.....n'est rien qu'un jour pas la peine d'y faire son bonjour
au confin la même rengaine que ce fil entraîne
au même soir revient cent fois hélas à sa traîne
au comptoir des bonsoirs la raison et sa peine
pendant longtemps cloués au temps à son pilori
jadis hélas trois fois il eut dis bonjour au saut du lit
que lanterne parmi les raisons pointe un nouveau jour
le soir comme un ricochet à l'ombre s'égare la vie
quand le jour pointe sur nous par nuées
au diable les eternels bonjours par ruées
les jours tiendront encore nos veillés
quand soir et douceur seront passés
au derniers souffle la vie balayé
nous n'aurons ni jour ni soir ni bonjour ni bonsoir
nos corps et nos âmes sans heures le dernier soir ... bonsoir .
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Invité elbaid
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Invité elbaid Invités 0 message
Posté(e)
Le rire est le propre de l'homme.
Mais l'humour est un sacrifice à son préjudice
Quand le rire efface la peine
Que le coeur tisse sa haine
Un replis au coin des lèvres
Un rictus en guise d'anateme
Le visage en panoplie , la volupté .
Et l'humour ma concubine , si mal soignée .
Diamantant le ravissement erroné
D'un zygomatique à la côte déployée.

Ce rire qui nous veut du bien
Au silence complet ,
La contagion vient ,
En déploiement sonore
Que la bouche saccade sans borne .

Une expression tangible
Aussitôt que le rire fragile
En soubressaut , le bastion du corps
Quand broyé sous les dents du remord
Avec le sarcastique , L'humour se tord
De couleur en vertue du bon sens
Que le sens ne déploie jamais à tort .

A quoi bon ce riche élément
Que ce rire qui nous ment
Sa vertu au tout venant
D'être ici-bas au passant
Un visage éblouissant .

Ci-Gît le mourir d'en rire
Dort d'une paix profonde
Fit son lit en ce monde
Qui pour plus de sécurité
Le monde l'ayant enterrer
Pris le parti d'en pleurer...de rire .
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Invité elbaid
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Posté(e)
J'mettrais dans mon tiroir
des années de brouillards
un plein d'idées noires
des pleins d'cafard
des broies le noir

j'mettrais dans mon tiroir
une enfance , une insolence
une insouciance
le passée en connivence
un eternel bain de jouvence

j'y mettrais des facéties
des rires un parfum de vie
des joies , des peines
des rengaines
des souffrances
les douleurs de l'enfance

j'y mettrais aussi les souvenirs
les copains l'ivresse et l'ennuie
les passions en excès de griserie
un pardon à la mélancolie .

J'y mettrais des larmes
et des vacances
un plein de soleil
et de chaleur
en son cœur

j'y mettrais une bouée
pour y sauver ces chagrins
une main en guise de grappin
un jolie billet doux
et filer le parfait amour

j'mettrais dans mon tiroir
une araignée, un espoir
pour tisser au fil de la vie
un lien à nos envies
une sombre lumière en ce noir

j'y mettrais des nuages
un coin d'ciel bleue
la pluie , le bel orage
le bel ombrage
un paradis en mirage
un trop plein de visage

j'y mettrais aussi un tableau noir
des couleurs
en beau rivage
à tout les jeunes âges
la jeunesse volage
un été en partage

j'y mettrais
toutes ses envies
tout ses désirs
ses jalousies
et ses plaisirs
un par terre de fleur
du bonheur
au matin calme
des joies des rires et des larmes .
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