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Incapacité à entreprendre sans obligation de résultat, ennui.

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doremi001

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Membre, Posté(e)
doremi001 Membre 337 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Bonjour,

Je reviens vers vous pour une nouvelle problématique.

Je me trouve face à une difficulté et je ne parviens pas à en comprendre les causes, et donc suis dans l'incapacité à trouver une solution.

Voici : je suis étudiant, et lorsque je n'ai plus de devoirs, je m'ennuie. J'aimerais entreprendre des choses, comme par exemple apprendre, élargir ma culture, lire, analyser. En somme, j'aimerais avoir un travail intellectuel à faire. Or libre, sans contrainte, je n'y parviens pas (alors que j'aime au plus haut point me sentir libre). J'ai besoin, pour entreprendre, d'avoir une pression, une note, une obligation de résultat derrière, savoir que quelqu'un lira mon travail, écoutera mon exposé, ou apprendra quelque chose de par mon intervention.

Pourquoi ? Comment y remédier ?

Merci beaucoup,

doremi.

 

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Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 31ans Posté(e)
Jedino Membre 47 968 messages
31ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
Posté(e)

Je vois là une dépendance forte à l'action en vue d'une fin sociale, que celle-ci soit un résultat, une contrainte, une réaction, etc. Pour réaliser une activité propre à soi, deux solutions s'offrent à toi :

1) Apprendre à mener une activité seule et pour toi seule, et de fait apprendre à y prendre plaisir, une sorte d'auto-satisfaction

2) Mener les activités dont tu parles collectivement puisque si la lecture n'est pas forcément aisée à faire en groupe, élargir sa culture peut très bien être fait, notamment par la lecture en vue par exemple de la partager à d'autres

Est-ce choquant que tu sois à ce point dans le besoin d'un regard attentif d'autrui à la moindre de tes actions ? Si j'étais individualiste, cela me semblerait incohérent, et le 1) me semblerait nécessaire. Si j'étais au contraire partisan d'un humain profondément socia(b)l(e), je te dirais qu'il n'y a rien de plus normal et que le 2) reste le meilleur choix. Si j'étais moi-même, je te dirais que pour être véritablement libre, encore faudrait-il te libérer de la notion de liberté elle-même. Et, tu verras, la question ne se posera plus. Je dirais même que la réponse s'imposera d'elle-même.

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Invité Marpletree
Invités, Posté(e)
Invité Marpletree
Invité Marpletree Invités 0 message
Posté(e)
il y a 17 minutes, doremi001 a dit :

Bonjour,

Je reviens vers vous pour une nouvelle problématique.

Je me trouve face à une difficulté et je ne parviens pas à en comprendre les causes, et donc suis dans l'incapacité de trouver une solution.

Voici : je suis étudiant, et lorsque je n'ai plus de devoirs, je m'ennuie. J'aimerais entreprendre des choses, comme par exemple apprendre, élargir ma culture, lire, analyser. En somme, j'aimerais avoir un travail intellectuel à faire. Or libre, sans contrainte, je n'y parviens pas (alors que j'aime au plus haut point me sentir libre). J'ai besoin, pour entreprendre, d'avoir une pression, une note, une obligation de résultat derrière, savoir que quelqu'un lira mon travail, écoutera mon exposé, ou apprendra quelque chose de par mon intervention.

Pourquoi ? Comment y remédier ?

Merci beaucoup,

doremi.

 

Bon j'avoue que j'étais un peu comme ça étudiante.

Jamais aussi efficace que sous la pression ou avec un objectif précis. C'était, c'est encore, mon moteur.

Si trop de liberté  (que j'apprécie bcp), j'ai l'impression de m'empater intellectuellement.

Seule c'est  compliquée pour moi de me motiver , alors je m'investi dans des associations. L'effet de groupe est stimulant. Et comme c'est moi qui l'ai choisi, je ne le voit pas comme une contrainte.

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Membre, Posté(e)
doremi001 Membre 337 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
il y a 5 minutes, Marpletree a dit :

Bon j'avoue que j'étais un peu comme ça étudiante.

Jamais aussi efficace que sous la pression ou avec un objectif précis. C'était, c'est encore, mon moteur.

Si trop de liberté  (que j'apprécie bcp), j'ai l'impression de m'empater intellectuellement.

Seule c'est  compliquée pour moi de me motiver , alors je m'investi dans des associations. L'effet de groupe est stimulant. Et comme c'est moi qui l'ai choisi, je ne le voit pas comme une contrainte.

Merci. Dans quel genre d'association vous investissez vous ? Quelles taches avez vous ? Comment comblez vous votre besoin de stimulation intellectuelle ?

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

Tu es un zèbre ? 

La soif de connaissance des zèbres se heurte souvent à une folle envie d'aller dans plusieurs direction à la fois, laquelle envie mène finalement à l'inaction puisqu'elle est décourageante : inconsciemment, n'importe qui ressentirait que tel objectif est intenable. Or, un cadre autoritaire (des consignes, des devoirs) permettent justement de canaliser toute ces véléité d'enrichissement. 

Zèbre ou non, la piste privilégiée dans ce cas est d'accepter que tu ne peux pas tout faire et accepter d'abandonner une partie de tes prétentions : t'en tenir mordicus à un domaine précis (hyper-précis, de préférence, pour que ça pompe bien ton énergie et t'empêche d'aller voir ailleurs) et ne le lâcher qu'une fois terminé ^^

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Invité Magus
Invités, Posté(e)
Invité Magus
Invité Magus Invités 0 message
Posté(e)

De mon côté, je perçois dans ce besoin de "guides" et d'autrui un besoin de reconnaissance qui va de paire avec un manque de confiance en soi. S'estimer c'est aussi exiger de soi une rigueur. Ceci dit, si tels sont tes mécaniques, n'en fais pas un problème mais une force : l'amour de la connaissance ou de l'effort que s'ils sont transmis ou reconnus forme un puissant moteur tout de même. En quoi serait-ce pour toi dérangeant ? Ce que tu n'expliques pas :p

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Membre, Posté(e)
doremi001 Membre 337 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
il y a 17 minutes, Jedino a dit :

Je vois là une dépendance forte à l'action en vue d'une fin sociale, que celle-ci soit un résultat, une contrainte, une réaction, etc. Pour réaliser une activité propre à soi, deux solutions s'offrent à toi :

1) Apprendre à mener une activité seule et pour toi seule, et de fait apprendre à y prendre plaisir, une sorte d'auto-satisfaction

2) Mener les activités dont tu parles collectivement puisque si la lecture n'est pas forcément aisée à faire en groupe, élargir sa culture peut très bien être fait, notamment par la lecture en vue par exemple de la partager à d'autres

Est-ce choquant que tu sois à ce point dans le besoin d'un regard attentif d'autrui à la moindre de tes actions ? Si j'étais individualiste, cela me semblerait incohérent, et le 1) me semblerait nécessaire. Si j'étais au contraire partisan d'un humain profondément socia(b)l(e), je te dirais qu'il n'y a rien de plus normal et que le 2) reste le meilleur choix. Si j'étais moi-même, je te dirais que pour être véritablement libre, encore faudrait-il te libérer de la notion de liberté elle-même. Et, tu verras, la question ne se posera plus. Je dirais même que la réponse s'imposera d'elle-même.

La solution 1 : je n'y parviens pas. Je me lasse très vite, ou alors, trop joyeux, je m'égare.

La solution 2, bien sûr, j'y ai pensé et ai voulu mettre en place des choses, mais personne parmi mes camarades de classe n'a voulu me suivre. A quoi bon partager le savoir ? Quel intérêt ? personne , ça n'a intéressé personne, personne ...

Je suis donc seul.

Qu'importe le concept de liberté ici, je ne parle qu'en termes communs de tous les jours, pour chercher à régler ce problème concret. Mon cerveau a besoin de nourriture mais sans obligation de résultat, il ne parvient pas à rester concentré.

 

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Invité Marpletree
Invités, Posté(e)
Invité Marpletree
Invité Marpletree Invités 0 message
Posté(e)
il y a 2 minutes, doremi001 a dit :

Merci. Dans quel genre d'association vous investissez vous ? Quelles taches avez vous ? Comment comblez vous votre besoin de stimulation intellectuelle ?

Au niveau de mon travail, Je me suis beaucoup investie bénévolement dans les organisations professionnelles. Pour satisfaire mon envie d'apprendre et d'être dans l'action j'ai assez vite accepté de prendre des responsabilités. J'y côtoie des personnes venant de tout horizon. C'est très stimulant.

Au niveau perso, je suis également dans une association. Idem au niveau de l'investissement. Je n'aime pas faire les choses a moitié.

Je lis aussi, mais c'est plus cyclique.

Mais effectivement, attention à ne pas trop se disperser.

Pour résumer, je trouve plutôt ma motivation dans ma relation avec les autres. Sorte  de catalyseur. 

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Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 31ans Posté(e)
Jedino Membre 47 968 messages
31ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
Posté(e)
il y a 33 minutes, doremi001 a dit :

La solution 1 : je n'y parviens pas. Je me lasse très vite, ou alors, trop joyeux, je m'égare.

La solution 2, bien sûr, j'y ai pensé et ai voulu mettre en place des choses, mais personne parmi mes camarades de classe n'a voulu me suivre. A quoi bon partager le savoir ? Quel intérêt ? personne , ça n'a intéressé personne, personne ...

Je suis donc seul.

Qu'importe le concept de liberté ici, je ne parle qu'en termes communs de tous les jours, pour chercher à régler ce problème concret. Mon cerveau a besoin de nourriture mais sans obligation de résultat, il ne parvient pas à rester concentré.

 

Tes camarades peut-être pas, mais ailleurs pourquoi pas ? C'est ce que ceux qui sont plus concrets que moi ici te proposent. Tu peux très bien le faire par ici, par exemple, sur le forum. Tu n'auras sans doute aucun mal à trouver des passionnés sur des sujets très divers sur internet, nombres de forums ou sites spécialisés existent. D'ailleurs, si je devais prêcher pour ma paroisse, je te dirais que tu es le bienvenu dans le mag du forum pour faire des articles sur des sujets qui te plaisent, ce qui t'obligerait à apprendre et comblerait ton besoin d'être reconnu :D

Ce que je voulais te dire par ma réponse à ton affirmation disant que tu aimes être libre, ce qui est parfaitement paradoxal avec la "dépendance" à la reconnaissance qu'éclaire très bien Magus et que tu exprimes juste après, c'est que tu te tortures à tenter de maintenir deux contradictions ensemble. D'ailleurs, tu parles très justement en exprimant la "recherche" d'un remède, comme si tu avais quelque chose à soigner, un symptôme dont tu aimerais te défaire pour sortir d'un état pathologique, alors que tu n'as peut-être besoin que d'une réponse.

Et ton cerveau fonctionne comme l'essentiel des cerveaux : il intègre ce qu'on lui apprend à intégrer. Si ta logique est pavlovienne, il sera pavlovien. Si tu souhaites en modifier le fonctionnement, il faut se faire violence au départ et prendre plaisir, idéalement, par la suite. Le rêve d'un môme s'imaginant être une rock star est bien douloureux la première fois qu'il doit se mettre à apprendre à seulement jouer de la guitare. Mais s'imposer un rythme, que ce soit par la planification, par l'envie, permet d'atteindre la "rigueur" magusienne qui t'aidera à terme à passer de la souffrance de l'effort au plaisir naturel d'une activité qui te semblera être une habitude pour toi. Moi-même je me souviens très bien que me mettre à lire n'avait pas été une mince affaire les premières fois. C'est long, parfois compliqué, et on ne se sent pas changé à la fin de la lecture dans l'essentiel des cas.

 

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Invité Lily.A
Invités, Posté(e)
Invité Lily.A
Invité Lily.A Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 2 heures, PLS maker a dit :

Tu es un zèbre ? 

La soif de connaissance des zèbres se heurte souvent à une folle envie d'aller dans plusieurs direction à la fois, laquelle envie mène finalement à l'inaction puisqu'elle est décourageante : inconsciemment, n'importe qui ressentirait que tel objectif est intenable. Or, un cadre autoritaire (des consignes, des devoirs) permettent justement de canaliser toute ces véléité d'enrichissement. 

Zèbre ou non, la piste privilégiée dans ce cas est d'accepter que tu ne peux pas tout faire et accepter d'abandonner une partie de tes prétentions : t'en tenir mordicus à un domaine précis (hyper-précis, de préférence, pour que ça pompe bien ton énergie et t'empêche d'aller voir ailleurs) et ne le lâcher qu'une fois terminé ^^

Je ressens exactement la même chose. Serai je un zèbre alors ?!

Justement, je me pose la question !

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Membre, Je n'en ai aucun, 51ans Posté(e)
pep-psy Membre 23 493 messages
51ans‚ Je n'en ai aucun,
Posté(e)
il y a 6 minutes, Lily.A a dit :

Je ressens exactement la même chose. Serai je un zèbre alors ?!

Justement, je me pose la question !

Tu aurais beau te poser toutes les questions possibles, si tu es ainsi, tu ne pourras pas y changer grand chose !

On a juste l'impression de ne pas évoluer dans la bonne société !

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 8 heures, Lily.A a dit :

Je ressens exactement la même chose. Serai je un zèbre alors ?!

Justement, je me pose la question !

Seul un psychologue professionnel peut le dire. 

Ce qui pourrait aider, c'est lire puis reprendre les éléments décrivant un adulte HPI dans un livre spécialisé (je pense notamment à Siaud Facchin, Trop intelligent pour être heureux : sa description fait autorité dans le milieu), isolé les points te concernant, en les agrémentant d'exemples précis, puis d'exposer le fruit de cette recherche perso à un psychologue, qui procèdera aux tests complémentaires (WAIS II, entretiens...). 

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Membre, Posté(e)
doremi001 Membre 337 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Bonjour, merci.

Je vais faire une réponse groupée car je ne sais pas multiciter et puis aussi parce que vos réponses se recoupent toutes plus ou moins.

Oui il est vrai que j’ai vraiment envie d’aller dans plusieurs directions très éloignées les unes des autres et faire ensuite des liens rocambolesques, plus le lien semble à priori improbable, plus c’est jouissif.  Le cadre me permet donc en effet d’une part de ne pas partir dans tous les sens et me concentrer sur un seul domaine mais aussi parce que oui, et là je réponds à Jedino, j’ai été conditionné, voilà des années que je suis étudiant. Et pour rebondir sur la question que me pose Magus et répondre ainsi à Jedino encore une fois : mon gros problème est la paresse ; je n’ai jamais eu trop d’efforts à fournir. C’est pourquoi, je n’ai pas l’habitude de me mettre au « travail ». Car en effet, j’ai aussi comme cela a été pour toi, Jedino, beaucoup de mal à me mettre à lire (sans cadre) : face à la connaissance, je suis d’un côté, en extase d’apprendre de nouvelles choses et de l’autre, profondément frustré car je sais qu’il ne s’agit qu’une infime minuscule particule de ce qui existe.

Voici donc le plan qui devrait être mien si je fais un mixe de vos réponses : me donner des coups de pieds contre la presse (ce sera très dur) et me déconditionner du travail purement scolaire (plus facile, mais il faut qu’il existe un facteur émotionnel très fort (si je poste sur le forum, j’ai vraiment besoin d’aimer les gens qui vont me lire, ou alors d’aimer profondément le sujet (mais là, cela rejoint le problème de la dispersion). De plus, j’ai un autre problème : je n’approfondis pas : une fois que j’ai l’impression d’avoir compris la chose, soit, je zappe et souhaite passer à autre chose, las, soit, si le sujet devient complexe, n’ayant pas l’habitude de l’effort, je zappe aussi et reste sur ma faim, inculte, vide, frustré).

Pour terminer, je constate que le terme de zèbre revient souvent ici, à croire que c’est vraiment la mode ! Je ne répondrai pas à cette question car la recherche en ce domaine n’est qu’à ses balbutiements, je ne sais donc pas ce que ce terme recouvre exactement mais ce qui est certain c’est que je suis atypique selon les dires de ma psychiatre (elle pense que je suis comme ça+TED (je devrais me méfier d’ailleurs car si elle passe par ici, elle devrait deviner qu’il s’agit de son patient ou alors je suis parano)) (je suis d’ailleurs très heureux de formuler ici mes difficultés car cela me prépare pour mon prochain entretien, je lui exposerai cette problématique évoquée ici, elle devrait me donner des explications et des solutions).

Il y a 10 heures, Marpletree a dit :

Au niveau de mon travail, Je me suis beaucoup investie bénévolement dans les organisations professionnelles. Pour satisfaire mon envie d'apprendre et d'être dans l'action j'ai assez vite accepté de prendre des responsabilités. J'y côtoie des personnes venant de tout horizon. C'est très stimulant.

Au niveau perso, je suis également dans une association. Idem au niveau de l'investissement. Je n'aime pas faire les choses a moitié.

Je lis aussi, mais c'est plus cyclique.

Mais effectivement, attention à ne pas trop se disperser.

Pour résumer, je trouve plutôt ma motivation dans ma relation avec les autres. Sorte  de catalyseur. 

D'accord, merci pour ces réponses.

La clé est donc la stimulation à travers l'accumulation d'activités.

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Invité Marpletree
Invités, Posté(e)
Invité Marpletree
Invité Marpletree Invités 0 message
Posté(e)
il y a 12 minutes, doremi001 a dit :

La clé est donc la stimulation à travers l'accumulation d'activités.

Bon c'est pas tout à fait ce que je voulais dire. Pas "accumulation". Ce qui pourrait sous entendre dispersion;)

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Membre, Posté(e)
doremi001 Membre 337 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
il y a 1 minute, Marpletree a dit :

Bon c'est pas tout à fait ce que je voulais dire. Pas "accumulation". Ce qui pourrait sous entendre dispersion;)

Je pensais que l'on pouvait accumuler sans se disperser, accumuler tout en gérant le tout, par exemple. Mais le français n'est pas ma langue maternelle, je n'ai pas de langue maternelle,  à vrai dire, sans rentrer dans le détail de ma vie privée. Donc pardon d'avance si je me suis mal exprimé.

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Invité Marpletree
Invités, Posté(e)
Invité Marpletree
Invité Marpletree Invités 0 message
Posté(e)

Si tu ressent le besoin de te sentir apprécié par tes pairs, le fait d'être dans des groupes de travail quel qu'il soit peut t'apporter la motivation qu'il te manque.  Parallèlement à un travail sur toi pour arrivé à te détacher de ces attentes qui t'empêche d'avancer seul, par toi même. 

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Membre, Je n'en ai aucun, 51ans Posté(e)
pep-psy Membre 23 493 messages
51ans‚ Je n'en ai aucun,
Posté(e)

C'est la société qui dicte la vie des gens ou est-ce que les gens ont encore le droit de vivre librement ?

Si quelqu'un voulait apprendre en parallèle la menuiserie, la médecine et la mécanique automobile, qui aurait son mot à dire ?

Ce qui compte c'est que les gens prennent du plaisir dans ce qu'ils font !

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Membre, Posté(e)
doremi001 Membre 337 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
il y a 6 minutes, Marpletree a dit :

Si tu ressent le besoin de te sentir apprécié par tes pairs, le fait d'être dans des groupes de travail quel qu'il soit peut t'apporter la motivation qu'il te manque.  Parallèlement à un travail sur toi pour arrivé à te détacher de ces attentes qui t'empêche d'avancer seul, par toi même. 

J'adore être reconnu par mes professeurs et mes camarades de classe, lorsque je leur explique des points de cours qu'ils n'auraient pas compris, que je leur donne mon point de vue, une vision globale, des hypothèses, des directions.
Mais je déteste travailler en équipe. Je me sens obligé de diriger, tout prendre en main, ou tout revoir et refaire tout le travail.

Mais je crois que mon principal handicap, c'est d'être paresseux, absence totale de persévérance, due à des capacités limitées.

il y a 8 minutes, pep-psy a dit :

C'est la société qui dicte la vie des gens ou est-ce que les gens ont encore le droit de vivre librement ?

Si quelqu'un voulait apprendre en parallèle la menuiserie, la médecine et la mécanique automobile, qui aurait son mot à dire ?

Ce qui compte c'est que les gens prennent du plaisir dans ce qu'ils font !

Vos questions n'appellent pas de réponse, mais je suis entièrement d'accord.

Qu'est ce que j'aimerais pouvoir être capable en autonomie d'apprendre en parallèle...

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
il y a 45 minutes, doremi001 a dit :

 

Pour terminer, je constate que le terme de zèbre revient souvent ici, à croire que c’est vraiment la mode !

Ce n'est pas une mode : les adultes hpi étant plus à l'aise à l'écrit (ils peuvent prendre le temps de réfléchir, ce qui a l'oral n'est pas ou peu permis et les met donc mal à l'aise) et plus à l'aise dans des endroits impersonnels, ils sont effectivement surreprésentés sur ce genre d'espace de discussion. 

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