Le logo du groupe cimentier français Lafarge, le 7 avril 2014 à Paris

 

Lorgnant sur le colossal programme de travaux publics en préparation aux Etats-Unis, le groupe franco-suisse LafargeHolcim se dit prêt à vendre son ciment pour le mur anti-clandestins promis par Donald Trump, assure son PDG dans un entretien à l’AFP.

 

Ce projet à la frontière entre les Etats-Unis et le Mexique, évalué à plusieurs dizaines de milliards de dollars, est au centre d’une crise diplomatique entre Mexico et Washington et suscite des critiques à travers le monde.

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Questionné sur les éventuelles conséquences sur la réputation du groupe, Eric Olsen insiste sur le fait que LafargeHolcim ne fait pas de politique. « Nous sommes ici (aux Etats-Unis) pour servir nos clients et répondre à leurs besoins. Nous ne sommes pas une organisation politique », défend le grand patron.

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