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Un homme mis en examen pour viol d'une fillette de 4 ans

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querida13

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Invité Cruel Summer
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Invité Cruel Summer
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Posté(e)

Je n´arrive pas à comprendre comment un homme en érection peut pénétrer un enfant si petit. :mef:

Beurk ! :han:

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Invité vieilledame
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Invité vieilledame
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Je n´arrive pas à comprendre comment un homme en érection peut pénétrer un enfant si petit. :mef:

Si vous voulez savoir, je peux vous le dire, mais vous ne pourrez pas vous endormir ce soir. Imaginez le pire, et vous vous approcherez de la vérité. C'est pourquoi je suis pour des peines terribles, dont la castration physique.

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Invité elaine
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Invité elaine
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Posté(e)

Si vous voulez savoir, je peux vous le dire, mais vous ne pourrez pas vous endormir ce soir. Imaginez le pire, et vous vous approcherez de la vérité. C'est pourquoi je suis pour des peines terribles, dont la castration physique.

Je peux m´imaginez mais je suis sûre que cela doit être encore pire

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Membre, 47ans Posté(e)
lycan77 Membre 15 740 messages
Maitre des forums‚ 47ans‚
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C'est effectivement abominable. Et la petite va probablement développer des blocages psychologiques gravissimes par la suite ... :snif:

Pauvre petite fille ....

En Inde, c'est une jeune fille de 16 ans, violée puis brûlée vive par ses bourreaux, la semaine dernière. Face à cela, l'exemple: rétablissement des châtiments corporels puis enfermement dans un hôpital psychiatrique musclé et castration chimique.

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Invité vieilledame
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Posté(e)

Viols légaux de petites filles dans les pays musulmans Il suffit d'y épouser ( = acheter légalement)une petite fille pour satisfaire ses penchants pédophiles.

Interdire le mariage des fillettes à partir de 8 ans est une violation de la charia

PUBLIÉ PAR ROSALY LE 25 MAI 2013

43709_rel

Suite à l’article sur le martyre de la petite mariée afghane1, des lecteurs musulmans indignés prétendent que cette « tradition » barbare, autorisant le mariage des fillettes dès l’âge de 8-9 ans, n’existe que dans certaines régions rurales, éloignées de la civilisation, et n’a aucun rapport avec l’islam et le mariage de Mahomet avec la petite Aïcha.

Ces musulmans d’Occident ne connaissent pas leur propre religion.

Protégés par nos lois républicaines, ils semblent ignorer ou refusent d’admettre que dans les pays musulmans, régis par la charia, les religieux au pouvoir ou proches du pouvoir par leur influence, multiplient les fatwas autorisant le mariage des fillettes, qu’ils justifient, contrairement à nos lecteurs, par l’exemple du prophète, en se référant au hadith authentique de Bukhari évoquant le mariage de leur prophète avec Aïcha, une enfant de 6 ans, qui fut consommé dès qu’elle eut ses premières règles, à l’âge de 9 ans.

Dans nos pays, les chefs religieux islamiques ne sont pas encore suffisamment puissants pour imposer cette loi « religieuse » abjecte, qui porte atteinte aux droits fondamentaux de l’enfant, mais certains imams, impatients de voir l’Occident sous la coupe de la charia, commencent à semer les graines de la légitimation de la pédophilie en référence à leur prophète.

Afin de permettre aux musulmans d’Europe de parfaire leurs connaissances de l’islam, voici quelques exemples :

Pays Bas :

L’imam al-Maghraoui a soutenu le le mariage des fillettes de 9 ans, en invoquant l’exemple de Mahomet, qui consomma son mariage avec Aïcha, dès qu’elle fut âgée de 9 ans. Cet imam fut banni des Pays Bas. (Source : Imam who backs child marriage should be banned from Holland: MPs, Dutch News, 6 décembre 2011)

Grande Bretagne :

Une enquête a révélé que des responsables de mosquée acceptent de pratiquer des mariages secrets avec des fillettes parfois âgées seulement de 12 ans.

Ils demandent aux parents de garder le secret sur le mariage. L’un des imams aurait déclaré : « dans la loi islamique, la charia, marier une fille de 12 ans n’est pas un problème ». (Résumé d’un article par sur le Daily Mail le 9 septembre 2012).

Toronto :

Des « savants » d’une mosquée affirment sur leur site web : « On peut marier des fillettes de moins de 9 ans. »

Arabie Saoudite :

Le Grand Mufti réaffirme que les filles sont mûres pour le mariage à 10 ans.( Source : Girls ready for marriage at 12 – Saudi Grand Mufti, Arabian Business, April 24, 2012).

C’est la même très haute personnalité islamique qui avait appelé à détruire toutes les églises du Moyen-Orient, alors qu’en Occident, les mosquées se multiplient à l’infini.

Dr Ahmed Al-Mub’i, officiant saoudien de mariage : «Le prophète Mahomet, dont nous suivons le modèle, a épousé Aïcha, quand elle avait six ans et a eu des rapports sexuels avec elle quand elle avait neuf ans » « Il est permis d’épouser une fillette d’un an, si les relations sexuelles sont reportées » déclare le Dr Ahmed Al-Mub’i et de citer l’exemple de Mahomet.

Iran :

Augmentation dramatique des mariages de fillettes de moins de 10 ans.

Mahomet, le modèle parfait, a épousé Aïcha, alors qu’elle avait six ans et il a consommé son mariage quand elle en a eu neuf. Selon la loi iranienne, les petites filles deviennent des femmes à l’âge de neuf ans. L’État organise des cérémonies pour marquer leur entrée dans « l’âge des devoirs».

Le député fondamentaliste Mohammad Ali Asfenani a affirmé que l’Iran avait une obligation religieuse de reconnaître la légalité du mariage des fillettes dès l’âge de neuf ans. «Puisque certaines personnes ne respectent pas nos lois actuelles, nous devons considérer qu’une fillette a atteint la puberté à l’âge de neuf ans et remplit les conditions pour se marier», a déclaré M. Asfenani, président de la commission parlementaire juridique et judiciaire, à Khabaar Online.

«Agir autrement serait une violation de la charia islamique».

(Source : Alarm as hundreds of children under age of 10 married in Iran, Telegraph, 26 août 2012)

Yemen :

Certains des leaders les plus influents de la communauté islamique Yéménite, dont un vit aux États-Unis, ont publiquement affirmé que “celui qui interdira les mariages d’enfants sera un apostat »

Le cheikh Abdul-Majid Al-Zindani, mentor « spirituel » de Ben Laden, fervent défenseur d’Al-Qaïda, a organisé une manifestation de femmes en niqab, afin de protester contre une proposition de loi relevant l’âge légal du mariage pour les filles de 9 à 17 ans, car cette loi serait contraire à l’islam.

En septembre 2009, une gamine de 12 ans, mariée de force, est morte après avoir lutté pendant trois jours en salle d’accouchement.

L’ONG Sister Arab Forum dénonce ces viols charia-compatibles.(Source Arab News)

Egypte :

L’économie de l’Égypte est en déroute mais la priorité est à la légalisation de la pédophilie et de la nécrophilie.

Le Conseil national des femmes d’Égypte (CNF) a appelé le Parlement dominé par les islamistes à ne pas approuver deux lois controversées, l’une rabaissant l’âge minimum du mariage et l’autre permettant au mari d’avoir des relations sexuelles avec sa défunte épouse dans les six heures suivant son décès, rapporte un journal égyptien. (Source : Al Arabya)

« l’Égypte commence à ressembler dangereusement au Pakistan. Nous sommes tranquillement en train de devenir un État voyou dysfonctionnel, à l’instar de ce pays. Pas plus tard que cette semaine, un membre salafiste de l’Assemblée constituante (les gens qui écrivent notre nouvelle constitution) a parlé d’efforts pour abroger ou modifier la loi afin d’abaisser l’âge légal du mariage des filles pour qu’elles puissent se marier dès la puberté, après leurs premières règles, même si elles ont à peine neuf ans. Eh oui, nous pourrions avoir une constitution qui nous accorde le droit de marier des enfants. Et si vous pensiez que c’était une guerre culturelle on peut affirmer sans risquer de se tromper qu’avec les islamistes au pouvoir, les épouses-enfants ne sont qu’un avant-goût de l’horreur que nous verrons sans doute dans les années à venir. »

Extraits An Open Letter to the United States of America, par Mahmoud Salem

Indonésie :

En prenant appui sur la loi islamique, une organisation musulmane majeure, la Nahdlatul Ulama [= “la renaissance des Oulémas”], a lancé une fatwa déclarant que les mariages des enfants pré-pubères étaient acceptables tant que le but de ces unions était de construire une famille heureuse.

Lors de la 32e édition du Congrès de la Nahdlatul Ulama, Cholil Nafis, secrétaire du comité pour les questions religieuses, confirma que l’assemblée était d’accord pour qu’il n’y ait aucune restriction d’âge pour le mariage car ni les versets sacrés coraniques ni les règlements [de la charia] ne stipulent qu’il existe un âge minimum.

« Elles peuvent être mariées à n’importe quel âge, même les petites filles qui n’ont pas encore leurs règles », dit-il. « Et elles peuvent avoir des relations et des rapports intimes [= des rapports sexuels] dès lors qu’elles en sont capables ».

Cholil rappelle que la loi islamique suggère seulement que les mariages semblent meilleurs après qu’elle ait eu ses premières règles. [référence au hadith authentique de Bukhari)

(Source : http://www.thejakartaglobe.com/home/nu-fatwa-declares-underage-girls-can-marry-to-build-family-values/365993)

Maroc :

Mohamed Ben Abderrahman Al Maghraoui, un des symboles de la Salafia wahhabite au Maroc, avait lancé en 2008 une fatwa autorisant le mariage d’une fille dès l’âge dès 9 ans:

« On peut marier les filles de 9 ans. Elles sont plus performantes au lit que les femmes adultes »

Le Maroc subit l’influence montante de l’islam salafiste dont la propagation est financée par les pétrodollars saoudiens.

Un avocat marocain avait déposé une plainte contre cet islamiste marocain, déjà banni des Pays Bas :

« J’ai déposé une plainte contre un dénommé Mohamed Ben Abderrahman Al Maghrawi pour avoir émis un avis autorisant les filles à se marier dès l’âge de 9 ans », affirme Mourad Bekkouri, avocat du barreau de Rabat, dans sa plainte dont une copie a été remise à l’AFP.

« J’ai porté plainte contre l’atteinte au Code de la famille, aux droits des enfants et au risque de viol », a ajouté l’avocat.

Cet imam, ardent défenseur de la pédophilie, légitimée par le « mariage » réfugié en Arabie saoudite, a récidivé en 2011 en émettant une nouvelle fatwa.

Bahrein :

L’interdiction par les autorités du Bahreïn de la validation de tout mariage contracté entre des filles âgées de moins de 15 ans, et des garçons de moins de 18 ans, avait soulevé une vive polémique en 2007, sur fond d’atteinte aux valeurs de l’islam, les islamistes accusant le gouvernement de porter atteinte à l’islam et au prophète.

Cette décision prise par le Ministre de la Justice a été violemment critiquée par les radicaux chiites qui l’accusent « d’invalider de facto le mariage du prophète avec Aïcha, la mère des croyants». « Les musulmans doivent rejeter cette décision qui porte atteinte à leur prophète» a affirmé l’ouléma Issa Al-Qassem. (Mediarabe 2007)

Pour clore cet article en beauté toute islamique, justifiant la légitimation de la pédophilie par l’exemple du prophète, voici deux déclaration de l’ayatollah Khomeini, l’idole vénérée par des millions de Chiites :

« L’homme peut avoir le plaisir sexuel d’un enfant aussi jeune qu’un bébé. Cependant il ne doit pas pénétrer, mais sodomiser l’enfant. Si l’homme pénètre et cause des dégâts à l’enfant alors il devrait être responsable pour l’existence de cette fille pour toute sa vie. Cette fille, cependant ne compte pas comme une de ses quatre femmes permanentes. Cet homme ne peut pas épouser la sœur de cette fille. »

(Khomeini, « Tahrirolvasyleh », quatrième volume, Darol Orm, Gom, Iran, 1990)

« Il est préférable pour une fille d’être mariée dans un tel temps quand elle commence sa première menstruation dans la maison de son mari plutôt que la maison de son père. Un tel père qui donne en mariage une fille si jeune aura une place permanente au Paradis. »

(Khomeini, « Tahrirolvasyleh », quatrième volume,Darol Orme, Gom, Iran, 1990)

Actuellement en Iran, comme dans de nombreux pays musulmans, l’âge légal du mariage est déterminé par l’âge d’ Aïcha, quand elle fut mariée à Mahomet.

Lors de sa prise au pouvoir, l’ayatollah Khomeyni avait abaissé à 9 ans l’âge légal du mariage pour les fillettes (il avait été fixé à 16 ans à l’époque du Shah).

Cette relation entre Mohammed et Aïcha, sa femme-enfant, est décrite par un ensemble de Hadiths, parmi lesquels, le « Sahih Bukhari 5:58:236 : » Aïcha était une fillette de six ans ; elle était âgée de neuf ans quand il a consommé le mariage « .

« Après Mahomet, rien de nouveau » : les coutumes et moeurs barbares de l’époque de Mahomet semblent être figées depuis le VIIe siècle dans l’esprit de certains, et les salafistes, wahhabites et autres « religieux » veulent les imposer au XXIe siècle, non seulement dans leurs pays, mais également en Occident.

Les musulmans occidentaux devraient prendre conscience de la nature violente, intolérante et barbare de l’idéologie islamique, et non se laisser bercer par la version édulcorée de l’islam, momentanément enseignée en Occident, dans l’attente d’une prise du pouvoir par les islamistes, ce qui leur permettrait d’appliquer la loi islamique, dans toute son horreur, en lieu et place de nos lois démocratiques.

Qu’ils ouvrent les yeux sur la réalité de l’islam dans les pays musulmans, où la charia n’apporte que ruine, larmes et désespoir.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour www.Dreuz.info

autre article auquel, paraît-il, des musulmans d'Europe auraient répondu que cette coutume n'existe quand dans des régions reculées et arriérées: cf article précédent

ne pas lire si vous êtes sensible

Mariée à huit ans, la petite musulmane ne survivra pas à sa nuit de noce sur son lit rouge de son sang

PUBLIÉ PAR ROSALY LE 23 MAI 2013

En Occident, nos petites filles de huit ans se déguisent joyeusement en princesse, en Afghanistan, elles revêtent tristement la longue robe de l’esclavage, le jour de leur mariage… forcé.

Voici l’histoire poignante d’une petite fille afghane, âgée de huit ans, victime d’une tradition barbare justifiée par l’exemple du prophète de l’islam, postée sur FB par Mustafa Kazemi, journaliste afghan, correspondant de guerre.

Le nom de la fillette est inconnu. Le journaliste fut informé par sa source, amie d’un proche du « mari » bourreau, de la tragédie silencieuse, vécue par cette petite mariée de huit ans. Un médecin travaillant dans l’ hôpital principal de la ville de Zaranj, qui souhaitait rester anonyme, confirma avoir été au courant de « l’incident » mais qu’il était trop tard pour intervenir, la région où se produisit ce drame étant trop éloignée de la ville.

Selon la tradition religieuse, en vigueur dans certaines régions afghanes, la fillette, originaire de Khashrood, province de Nimruz, fut vendue en mariage à un mollah âgé de 50 ans, déjà marié et père de nombreux enfants. Son petit corps ne put supporter l’assaut sexuel brutal de son « mari » bourreau et la petite se vida de son sang, sans que ce dernier n’intervienne pour la sauver. Cet enfant n’avait pas plus de valeur à ses yeux qu’un pauvre animal qui succombe sous le poids de sa charge.

Cette petite fille ne fêtera jamais ses neuf ans, car elle ne survécut pas à sa « nuit de noce ». Elle fut brutalement, sauvagement, assassinée par son « mari » dans l’accomplissement de son « devoir » conjugal.

L’enfant était l’une des filles d’un homme dans la trentaine. Pour une raison inconnue, il donna sa fillette en mariage au mollah de son village contre une importante somme d’argent.

Les deux familles s’accordèrent sur le prix de vente de l’enfant, à payer par le futur mari à la famille de la « fiancée » et fixèrent la date du mariage, lors d’une réunion tribale, puis elles organisèrent la fête de mariage, le mariage et le Nekah ( processus religieux au cours duquel une femme est officiellement mariée à un homme) et la fillette devint la deuxième femme du mollah de 50 ans.

La mariée avait seulement 8 ans et ne connaissait rien au sexe, au mariage, à l’amour charnel, à la virginité, elle n’était encore qu’une enfant, et même les adolescentes, dans cette région du pays, ne reçoivent aucune une éducation sur une vie sexuelle saine.

La fête était terminée et le soleil se couchait, il était temps pour le mollah, non pas de faire l’amour, car cela impliquerait d’éprouver un sentiment, mais d’avoir des relations sexuelles avec sa femme-enfant, d’assouvir ses désirs pervers. Il ôta les vêtements de la petite mariée, se déshabilla et s’approcha de sa nouvelle femme, âgée rappelons-le de huit ans, pour accomplir son « devoir » d’époux.

Ce mollah, au physique imposant, était lourd et avait un gros pénis. Il se jeta sur l’enfant et commença à pénétrer le vagin de la petite fille. Après plusieurs essais infructueux, le mollah se sentit frustré. Il ne voyait pas et ne voulait pas voir que l’enfant, qui allait bientôt mourir, sous ses assauts furieux, était très frêle et toute menue et que l’orifice de son vagin était trop étroit. Seul l’assouvissement de son désir malsain avait de l’importance. Le mollah prit alors le couteau, qu’il portait toujours avec lui dans sa poche, et déchira le vagin de l’enfant du clitoris vers le haut et vers le bas jusqu’à l’anus, afin d’agrandir suffisamment le vagin pour lui permettre de le pénétrer.

La pauvre petite commença à saigner, à un très mauvais moment pour son « mari » mais l’infecte mollah était beaucoup trop frustré de ne pouvoir la pénétrer pour se soucier des conséquences de son acte barbare, du saignement de l’enfant ou des blessures qu’il lui avait infligées. La fillette avait son foulard enfoncé dans sa bouche, elle pleurait terrorisée, seule face à ce monstre, elle ne pouvait pas crier, car il ne fallait pas éveiller l’attention des personnes à l’extérieur de la chambre. Selon la coutume, en vigueur dans certaines régions afghanes, le marié doit montrer le morceau de tissu, avec lequel il a essuyé le sang de l’hymen de sa femme, comme preuve de sa virginité.

Le mollah, en rien rebuté par l’atrocité de son acte, entra son pénis dans le vagin de la petite fille, qui saignait déjà abondamment, suite aux blessures et eut des relations sexuelles bestiales avec la petite, sur le lit couvert du sang de l’enfant, puis, il se leva et se nettoya.

L’enfant continuait à saigner, mais personne n’était là pour l’aider. Le mollah ne pouvait pas demander de l’aide, car cela aurait été considéré comme une honte pour lui et la famille de la petite mariée. Cette dernière savourait tranquillement une tasse de thé dans la pièce voisine. La petite mariée de huit ans continua à saigner et entra dans un choc traumatique à cause des hémorragies internes provoquées par la violence des relations sexuelles forcées ». Elle se vida de son sang et le lendemain matin, au lever du soleil, l’âme de la fillette, dont le petit corps fut profané et souillé par un pédophile de la pire espèce, avait rejoint les étoiles dans la voûte céleste.

Le mollah déclara qu’ elle était pâle et avait ses yeux grand ouverts quand elle exhala son dernier souffle. Elle gisait dans son sang, sur un drap rougi par le sang séché. Elle était livide, car elle était exsangue . Ses yeux étaient ouverts, car elle avait tremblé en mourant et ses mains étaient en position de prière, comme si elle récitait la prière de sa propre mort.

Le mollah appela la personne, qui, par la suite, informera le journaliste de ce crime horrible, et lui demanda de nettoyer la chambre et de trouver une raison pour expliquer la mort de sa « femme » aux amis et membres de la famille. Comme cette personne était un ami personnel du mollah, un proche, il fit ce qu’il lui demanda et se débarrassa des draps ensanglantés. Puis ils enveloppèrent le petit corps martyrisé dans un drap blanc et informèrent la famille et les autres invités de la mort de la « mariée ».

Ce matin là, la famille de l’enfant pleura tristement sa mort, sans demander une quelconque explication sur la cause du décès, ils prirent le corps de la fillette pour le laver selon le rituel religieux musulman.

Le mollah, étant un homme d’une grande influence dans le village, les femmes qui lavèrent le corps de la petite fille n’osèrent pas demander une explication quant aux blessures autour du vagin de l’enfant. Vers 10 heures du matin, le corps de la petite mariée et morte de 8 ans fut emmené au cimetière et enterrée. Sa vie sur terre était terminée et pour le mollah, la page était tournée. Il y avait d’autres petites filles à acheter pour satisfaire ses fantasmes sexuels.

L’ami proche du mollah, au courant du calvaire vécu par l’enfant, fut révolté et décida de raconter l’histoire à un ami, qui informa le journaliste. C’est ainsi, que le récit de la terrible nuit de noce de la petite mariée de 8 ans parvint à votre connaissance.

Le mollah aurait quand même déclaré avoir eu « mauvaise conscience » à propos de ce qui s’était passé. Il fut donc pardonné. Après tout, il ne s’agissait que du viol d’une petite fille innocente, un être sans importance, un objet sexuel … facilement remplaçable.

Le jour suivant la publication du récit par Kazemi sur son mur Facebook, les législateurs pro-charia afghans bloquèrent une proposition de loi sur « l’élimination de la violence contre les femmes » qui aurait permis de pénaliser le mariage avec des fillettes de 8-9 ans et de relever l’âge légal du mariage à 16 ans. Pour ces législateurs, cette proposition de loi sur le droit des femmes était anti-islamique. Dès lors, il était inutile d’en discuter.

D’autres petites filles de 8 ans continueront à subir des mariages forcés avec des hommes beaucoup plus âgés, à souffrir et à disparaître dans l’indifférence générale.

La promotion de la pédophilie et du viol via des fatwas, conformes à la charia, autorisant le mariage des fillettes à partir de 8 ans, malgré l’opposition de certains musulmans éclairés, continue à progresser dans le monde islamique, car l’interdire serait porter atteinte à l’islam et à son prophète.

Invalider le mariage avec des fillettes reviendrait de facto à invalider le mariage du prophète avec Aïcha, la mère des croyants, qui s’était mariée avec lui à l’âge de 6 ans, sans son consentement. Dans l’esprit de ces dégénérés, ces législateurs de la charia, les mariages avec des petites filles ne constituent en rien une atteinte aux droits fondamentaux des enfants, puisque dans l’islam, les femmes et les petites filles n’ont aucun droit, seulement le devoir de se soumettre aux hommes, même si cela doit leur coûter la vie.

Selon un rapport de Human Rights Watch, basé sur les statistiques fournies par le Ministère de l’Intérieur afghan, 600 femmes, victimes d’abus sexuels et de violence domestique, ont été accusées de « crimes moraux », pour avoir essayé d’échapper à leurs bourreaux et condamnées à la prison.

Modifié par vieilledame
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Membre, 70ans Posté(e)
jacky29 Membre 38 062 messages
Maitre des forums‚ 70ans‚
Posté(e)

Quelque soit l'âge... Que la personne soit un enfant, ado, adulte, cela reste un crime immonde.

excellente réponse. jacky.

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Membre, Talon 1, 78ans Posté(e)
Talon 1 Membre 22 887 messages
78ans‚ Talon 1,
Posté(e)

Si vous voulez savoir, je peux vous le dire, mais vous ne pourrez pas vous endormir ce soir. Imaginez le pire, et vous vous approcherez de la vérité. C'est pourquoi je suis pour des peines terribles, dont la castration physique.

Quelle ineptie ! En quoi un eunuque ne peut-il pas violer un enfant avec un objet ? Vous êtes une sotte sans cervelle. Vous m'écœurez. Vous êtes du niveau du violeur.

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Modérateur, ©, 107ans Posté(e)
January Modérateur 59 739 messages
107ans‚ ©,
Posté(e)

Pénible cette obsession de vouloir faire étalage de tout ce qui se passe ailleurs. Ne peut-on rester dans le sujet ?

Une source d'ailleurs serait la bienvenue : http://www.20minutes...-fillette-4-ans

Pour les séquelles, ceux qui veulent vraiment comprendre, une première page ici : http://www.memoiretr...mecanismes.html

Une deuxième page ici : http://www.memoiretr...nsequences.html

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Invité vieilledame
Invités, Posté(e)
Invité vieilledame
Invité vieilledame Invités 0 message
Posté(e)

Parce que cette petite fille est un parmi des centaines ou des milliers d'autres. Ce n'est malheureusment pas une exception.

Là, c'est un délit qui sera puni et là-bas, c'est légal.

Modifié par vieilledame
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Modérateur, ©, 107ans Posté(e)
January Modérateur 59 739 messages
107ans‚ ©,
Posté(e)

Pour moi c'est HS ici.

Ouvrez un topic "violences sexuelles sur les enfants à travers le monde".

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Membre, Piment doux, 103ans Posté(e)
Out of Paprika Membre 22 116 messages
103ans‚ Piment doux,
Posté(e)

Je peux m´imaginez mais je suis sûre que cela doit être encore pire

Quel intérêt de vouloir se représenter la scène?

Le voyeurisme est presqu'aussi malsain que le crime lui-même.

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Modérateur, ©, 107ans Posté(e)
January Modérateur 59 739 messages
107ans‚ ©,
Posté(e)

Quel intérêt de vouloir se représenter la scène?

Le voyeurisme est presqu'aussi malsain que le crime lui-même.

+1 bien d'accord.

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Membre, Forumeur discret, 61ans Posté(e)
Kid_Ordinn Membre 7 695 messages
61ans‚ Forumeur discret,
Posté(e)

La castration,qu'elle soit réelle ou avec cachets,est encore bien trop douce pour ce genre d'individu angry.gif

Faudrait faire en sorte qu'il souffre pour le restant de ses jours,histoire de bien lui enfoncer ça dans le crâne dev.gif

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Invité PINOCCHIO
Invités, Posté(e)
Invité PINOCCHIO
Invité PINOCCHIO Invités 0 message
Posté(e)

Pas de souci pour lui , il est en France on a rangé la machine à raccourcir, on va le mettre aux cachetons, peinard en lieu sur,

on va faire du psy sur la pauvre gamine, et on oubliera le type en attendant qu'un autre recommence :hehe:

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Modérateur, ©, 107ans Posté(e)
January Modérateur 59 739 messages
107ans‚ ©,
Posté(e)

C'est le genre de personne irrécupérable. Inutile de se montrer aussi sadique que lui.

Sa petite victime sera marquée à vie, néanmoins, comme elle est très jeune, un environnement et une ré-éducation appropriées peuvent peut être lui éviter les séquelles les plus graves.

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Invité elaine
Invités, Posté(e)
Invité elaine
Invité elaine Invités 0 message
Posté(e)

Quel intérêt de vouloir se représenter la scène?

Le voyeurisme est presqu'aussi malsain que le crime lui-même.

Réfléchissez avant d´écrire vos con.......ries :bad:

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Membre, D'origine Algérienne Kabyle, 42ans Posté(e)
Lyza Membre 7 160 messages
42ans‚ D'origine Algérienne Kabyle,
Posté(e)

Il regrette ce qu’il a fait, il dit qu’il ne mérite pas de vivre et a tenté de se suicider à deux reprises sans y parvenir => il agresse sexuellement une personne handicapée, mais reste en liberté... ?

Un récidiviste en liberté et sa femme aussi qui'est coupable ... La justice française est trop laxiste là ...

Modifié par Lyza
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Membre, forumeuse acharnée, Posté(e)
querida13 Membre 45 131 messages
forumeuse acharnée,
Posté(e)

Malheureusement ,ici en France nous avons aussi dans les écoles des gamin(e)s, en souffrance !Les profs des écoles font des signalements au médecin scolaire et au procureur de la République!

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Membre, D'origine Algérienne Kabyle, 42ans Posté(e)
Lyza Membre 7 160 messages
42ans‚ D'origine Algérienne Kabyle,
Posté(e)

Viols légaux de petites filles dans les pays musulmans Il suffit d'y épouser ( = acheter légalement)une petite fille pour satisfaire ses penchants pédophiles.

Interdire le mariage des fillettes à partir de 8 ans est une violation de la charia

PUBLIÉ PAR ROSALY LE 25 MAI 2013

43709_rel

Suite à l’article sur le martyre de la petite mariée afghane1, des lecteurs musulmans indignés prétendent que cette « tradition » barbare, autorisant le mariage des fillettes dès l’âge de 8-9 ans, n’existe que dans certaines régions rurales, éloignées de la civilisation, et n’a aucun rapport avec l’islam et le mariage de Mahomet avec la petite Aïcha.

Ces musulmans d’Occident ne connaissent pas leur propre religion.

Protégés par nos lois républicaines, ils semblent ignorer ou refusent d’admettre que dans les pays musulmans, régis par la charia, les religieux au pouvoir ou proches du pouvoir par leur influence, multiplient les fatwas autorisant le mariage des fillettes, qu’ils justifient, contrairement à nos lecteurs, par l’exemple du prophète, en se référant au hadith authentique de Bukhari évoquant le mariage de leur prophète avec Aïcha, une enfant de 6 ans, qui fut consommé dès qu’elle eut ses premières règles, à l’âge de 9 ans.

Dans nos pays, les chefs religieux islamiques ne sont pas encore suffisamment puissants pour imposer cette loi « religieuse » abjecte, qui porte atteinte aux droits fondamentaux de l’enfant, mais certains imams, impatients de voir l’Occident sous la coupe de la charia, commencent à semer les graines de la légitimation de la pédophilie en référence à leur prophète.

Afin de permettre aux musulmans d’Europe de parfaire leurs connaissances de l’islam, voici quelques exemples :

Pays Bas :

L’imam al-Maghraoui a soutenu le le mariage des fillettes de 9 ans, en invoquant l’exemple de Mahomet, qui consomma son mariage avec Aïcha, dès qu’elle fut âgée de 9 ans. Cet imam fut banni des Pays Bas. (Source : Imam who backs child marriage should be banned from Holland: MPs, Dutch News, 6 décembre 2011)

Grande Bretagne :

Une enquête a révélé que des responsables de mosquée acceptent de pratiquer des mariages secrets avec des fillettes parfois âgées seulement de 12 ans.

Ils demandent aux parents de garder le secret sur le mariage. L’un des imams aurait déclaré : « dans la loi islamique, la charia, marier une fille de 12 ans n’est pas un problème ». (Résumé d’un article par sur le Daily Mail le 9 septembre 2012).

Toronto :

Des « savants » d’une mosquée affirment sur leur site web : « On peut marier des fillettes de moins de 9 ans. »

Arabie Saoudite :

Le Grand Mufti réaffirme que les filles sont mûres pour le mariage à 10 ans.( Source : Girls ready for marriage at 12 – Saudi Grand Mufti, Arabian Business, April 24, 2012).

C’est la même très haute personnalité islamique qui avait appelé à détruire toutes les églises du Moyen-Orient, alors qu’en Occident, les mosquées se multiplient à l’infini.

Dr Ahmed Al-Mub’i, officiant saoudien de mariage : «Le prophète Mahomet, dont nous suivons le modèle, a épousé Aïcha, quand elle avait six ans et a eu des rapports sexuels avec elle quand elle avait neuf ans » « Il est permis d’épouser une fillette d’un an, si les relations sexuelles sont reportées » déclare le Dr Ahmed Al-Mub’i et de citer l’exemple de Mahomet.

Iran :

Augmentation dramatique des mariages de fillettes de moins de 10 ans.

Mahomet, le modèle parfait, a épousé Aïcha, alors qu’elle avait six ans et il a consommé son mariage quand elle en a eu neuf. Selon la loi iranienne, les petites filles deviennent des femmes à l’âge de neuf ans. L’État organise des cérémonies pour marquer leur entrée dans « l’âge des devoirs».

Le député fondamentaliste Mohammad Ali Asfenani a affirmé que l’Iran avait une obligation religieuse de reconnaître la légalité du mariage des fillettes dès l’âge de neuf ans. «Puisque certaines personnes ne respectent pas nos lois actuelles, nous devons considérer qu’une fillette a atteint la puberté à l’âge de neuf ans et remplit les conditions pour se marier», a déclaré M. Asfenani, président de la commission parlementaire juridique et judiciaire, à Khabaar Online.

«Agir autrement serait une violation de la charia islamique».

(Source : Alarm as hundreds of children under age of 10 married in Iran, Telegraph, 26 août 2012)

Yemen :

Certains des leaders les plus influents de la communauté islamique Yéménite, dont un vit aux États-Unis, ont publiquement affirmé que “celui qui interdira les mariages d’enfants sera un apostat »

Le cheikh Abdul-Majid Al-Zindani, mentor « spirituel » de Ben Laden, fervent défenseur d’Al-Qaïda, a organisé une manifestation de femmes en niqab, afin de protester contre une proposition de loi relevant l’âge légal du mariage pour les filles de 9 à 17 ans, car cette loi serait contraire à l’islam.

En septembre 2009, une gamine de 12 ans, mariée de force, est morte après avoir lutté pendant trois jours en salle d’accouchement.

L’ONG Sister Arab Forum dénonce ces viols charia-compatibles.(Source Arab News)

Egypte :

L’économie de l’Égypte est en déroute mais la priorité est à la légalisation de la pédophilie et de la nécrophilie.

Le Conseil national des femmes d’Égypte (CNF) a appelé le Parlement dominé par les islamistes à ne pas approuver deux lois controversées, l’une rabaissant l’âge minimum du mariage et l’autre permettant au mari d’avoir des relations sexuelles avec sa défunte épouse dans les six heures suivant son décès, rapporte un journal égyptien. (Source : Al Arabya)

« l’Égypte commence à ressembler dangereusement au Pakistan. Nous sommes tranquillement en train de devenir un État voyou dysfonctionnel, à l’instar de ce pays. Pas plus tard que cette semaine, un membre salafiste de l’Assemblée constituante (les gens qui écrivent notre nouvelle constitution) a parlé d’efforts pour abroger ou modifier la loi afin d’abaisser l’âge légal du mariage des filles pour qu’elles puissent se marier dès la puberté, après leurs premières règles, même si elles ont à peine neuf ans. Eh oui, nous pourrions avoir une constitution qui nous accorde le droit de marier des enfants. Et si vous pensiez que c’était une guerre culturelle on peut affirmer sans risquer de se tromper qu’avec les islamistes au pouvoir, les épouses-enfants ne sont qu’un avant-goût de l’horreur que nous verrons sans doute dans les années à venir. »

Extraits An Open Letter to the United States of America, par Mahmoud Salem

Indonésie :

En prenant appui sur la loi islamique, une organisation musulmane majeure, la Nahdlatul Ulama [= “la renaissance des Oulémas”], a lancé une fatwa déclarant que les mariages des enfants pré-pubères étaient acceptables tant que le but de ces unions était de construire une famille heureuse.

Lors de la 32e édition du Congrès de la Nahdlatul Ulama, Cholil Nafis, secrétaire du comité pour les questions religieuses, confirma que l’assemblée était d’accord pour qu’il n’y ait aucune restriction d’âge pour le mariage car ni les versets sacrés coraniques ni les règlements [de la charia] ne stipulent qu’il existe un âge minimum.

« Elles peuvent être mariées à n’importe quel âge, même les petites filles qui n’ont pas encore leurs règles », dit-il. « Et elles peuvent avoir des relations et des rapports intimes [= des rapports sexuels] dès lors qu’elles en sont capables ».

Cholil rappelle que la loi islamique suggère seulement que les mariages semblent meilleurs après qu’elle ait eu ses premières règles. [référence au hadith authentique de Bukhari)

(Source : http://www.thejakart...y-values/365993)

Maroc :

Mohamed Ben Abderrahman Al Maghraoui, un des symboles de la Salafia wahhabite au Maroc, avait lancé en 2008 une fatwa autorisant le mariage d’une fille dès l’âge dès 9 ans:

« On peut marier les filles de 9 ans. Elles sont plus performantes au lit que les femmes adultes »

Le Maroc subit l’influence montante de l’islam salafiste dont la propagation est financée par les pétrodollars saoudiens.

Un avocat marocain avait déposé une plainte contre cet islamiste marocain, déjà banni des Pays Bas :

« J’ai déposé une plainte contre un dénommé Mohamed Ben Abderrahman Al Maghrawi pour avoir émis un avis autorisant les filles à se marier dès l’âge de 9 ans », affirme Mourad Bekkouri, avocat du barreau de Rabat, dans sa plainte dont une copie a été remise à l’AFP.

« J’ai porté plainte contre l’atteinte au Code de la famille, aux droits des enfants et au risque de viol », a ajouté l’avocat.

Cet imam, ardent défenseur de la pédophilie, légitimée par le « mariage » réfugié en Arabie saoudite, a récidivé en 2011 en émettant une nouvelle fatwa.

Bahrein :

L’interdiction par les autorités du Bahreïn de la validation de tout mariage contracté entre des filles âgées de moins de 15 ans, et des garçons de moins de 18 ans, avait soulevé une vive polémique en 2007, sur fond d’atteinte aux valeurs de l’islam, les islamistes accusant le gouvernement de porter atteinte à l’islam et au prophète.

Cette décision prise par le Ministre de la Justice a été violemment critiquée par les radicaux chiites qui l’accusent « d’invalider de facto le mariage du prophète avec Aïcha, la mère des croyants». « Les musulmans doivent rejeter cette décision qui porte atteinte à leur prophète» a affirmé l’ouléma Issa Al-Qassem. (Mediarabe 2007)

Pour clore cet article en beauté toute islamique, justifiant la légitimation de la pédophilie par l’exemple du prophète, voici deux déclaration de l’ayatollah Khomeini, l’idole vénérée par des millions de Chiites :

« L’homme peut avoir le plaisir sexuel d’un enfant aussi jeune qu’un bébé. Cependant il ne doit pas pénétrer, mais sodomiser l’enfant. Si l’homme pénètre et cause des dégâts à l’enfant alors il devrait être responsable pour l’existence de cette fille pour toute sa vie. Cette fille, cependant ne compte pas comme une de ses quatre femmes permanentes. Cet homme ne peut pas épouser la sœur de cette fille. »

(Khomeini, « Tahrirolvasyleh », quatrième volume, Darol Orm, Gom, Iran, 1990)

« Il est préférable pour une fille d’être mariée dans un tel temps quand elle commence sa première menstruation dans la maison de son mari plutôt que la maison de son père. Un tel père qui donne en mariage une fille si jeune aura une place permanente au Paradis. »

(Khomeini, « Tahrirolvasyleh », quatrième volume,Darol Orme, Gom, Iran, 1990)

Actuellement en Iran, comme dans de nombreux pays musulmans, l’âge légal du mariage est déterminé par l’âge d’ Aïcha, quand elle fut mariée à Mahomet.

Lors de sa prise au pouvoir, l’ayatollah Khomeyni avait abaissé à 9 ans l’âge légal du mariage pour les fillettes (il avait été fixé à 16 ans à l’époque du Shah).

Cette relation entre Mohammed et Aïcha, sa femme-enfant, est décrite par un ensemble de Hadiths, parmi lesquels, le « Sahih Bukhari 5:58:236 : » Aïcha était une fillette de six ans ; elle était âgée de neuf ans quand il a consommé le mariage « .

« Après Mahomet, rien de nouveau » : les coutumes et moeurs barbares de l’époque de Mahomet semblent être figées depuis le VIIe siècle dans l’esprit de certains, et les salafistes, wahhabites et autres « religieux » veulent les imposer au XXIe siècle, non seulement dans leurs pays, mais également en Occident.

Les musulmans occidentaux devraient prendre conscience de la nature violente, intolérante et barbare de l’idéologie islamique, et non se laisser bercer par la version édulcorée de l’islam, momentanément enseignée en Occident, dans l’attente d’une prise du pouvoir par les islamistes, ce qui leur permettrait d’appliquer la loi islamique, dans toute son horreur, en lieu et place de nos lois démocratiques.

Qu’ils ouvrent les yeux sur la réalité de l’islam dans les pays musulmans, où la charia n’apporte que ruine, larmes et désespoir.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour www.Dreuz.info

autre article auquel, paraît-il, des musulmans d'Europe auraient répondu que cette coutume n'existe quand dans des régions reculées et arriérées: cf article précédent

ne pas lire si vous êtes sensible

Mariée à huit ans, la petite musulmane ne survivra pas à sa nuit de noce sur son lit rouge de son sang

PUBLIÉ PAR ROSALY LE 23 MAI 2013

En Occident, nos petites filles de huit ans se déguisent joyeusement en princesse, en Afghanistan, elles revêtent tristement la longue robe de l’esclavage, le jour de leur mariage… forcé.

Voici l’histoire poignante d’une petite fille afghane, âgée de huit ans, victime d’une tradition barbare justifiée par l’exemple du prophète de l’islam, postée sur FB par Mustafa Kazemi, journaliste afghan, correspondant de guerre.

Le nom de la fillette est inconnu. Le journaliste fut informé par sa source, amie d’un proche du « mari » bourreau, de la tragédie silencieuse, vécue par cette petite mariée de huit ans. Un médecin travaillant dans l’ hôpital principal de la ville de Zaranj, qui souhaitait rester anonyme, confirma avoir été au courant de « l’incident » mais qu’il était trop tard pour intervenir, la région où se produisit ce drame étant trop éloignée de la ville.

Selon la tradition religieuse, en vigueur dans certaines régions afghanes, la fillette, originaire de Khashrood, province de Nimruz, fut vendue en mariage à un mollah âgé de 50 ans, déjà marié et père de nombreux enfants. Son petit corps ne put supporter l’assaut sexuel brutal de son « mari » bourreau et la petite se vida de son sang, sans que ce dernier n’intervienne pour la sauver. Cet enfant n’avait pas plus de valeur à ses yeux qu’un pauvre animal qui succombe sous le poids de sa charge.

Cette petite fille ne fêtera jamais ses neuf ans, car elle ne survécut pas à sa « nuit de noce ». Elle fut brutalement, sauvagement, assassinée par son « mari » dans l’accomplissement de son « devoir » conjugal.

L’enfant était l’une des filles d’un homme dans la trentaine. Pour une raison inconnue, il donna sa fillette en mariage au mollah de son village contre une importante somme d’argent.

Les deux familles s’accordèrent sur le prix de vente de l’enfant, à payer par le futur mari à la famille de la « fiancée » et fixèrent la date du mariage, lors d’une réunion tribale, puis elles organisèrent la fête de mariage, le mariage et le Nekah ( processus religieux au cours duquel une femme est officiellement mariée à un homme) et la fillette devint la deuxième femme du mollah de 50 ans.

La mariée avait seulement 8 ans et ne connaissait rien au sexe, au mariage, à l’amour charnel, à la virginité, elle n’était encore qu’une enfant, et même les adolescentes, dans cette région du pays, ne reçoivent aucune une éducation sur une vie sexuelle saine.

La fête était terminée et le soleil se couchait, il était temps pour le mollah, non pas de faire l’amour, car cela impliquerait d’éprouver un sentiment, mais d’avoir des relations sexuelles avec sa femme-enfant, d’assouvir ses désirs pervers. Il ôta les vêtements de la petite mariée, se déshabilla et s’approcha de sa nouvelle femme, âgée rappelons-le de huit ans, pour accomplir son « devoir » d’époux.

Ce mollah, au physique imposant, était lourd et avait un gros pénis. Il se jeta sur l’enfant et commença à pénétrer le vagin de la petite fille. Après plusieurs essais infructueux, le mollah se sentit frustré. Il ne voyait pas et ne voulait pas voir que l’enfant, qui allait bientôt mourir, sous ses assauts furieux, était très frêle et toute menue et que l’orifice de son vagin était trop étroit. Seul l’assouvissement de son désir malsain avait de l’importance. Le mollah prit alors le couteau, qu’il portait toujours avec lui dans sa poche, et déchira le vagin de l’enfant du clitoris vers le haut et vers le bas jusqu’à l’anus, afin d’agrandir suffisamment le vagin pour lui permettre de le pénétrer.

La pauvre petite commença à saigner, à un très mauvais moment pour son « mari » mais l’infecte mollah était beaucoup trop frustré de ne pouvoir la pénétrer pour se soucier des conséquences de son acte barbare, du saignement de l’enfant ou des blessures qu’il lui avait infligées. La fillette avait son foulard enfoncé dans sa bouche, elle pleurait terrorisée, seule face à ce monstre, elle ne pouvait pas crier, car il ne fallait pas éveiller l’attention des personnes à l’extérieur de la chambre. Selon la coutume, en vigueur dans certaines régions afghanes, le marié doit montrer le morceau de tissu, avec lequel il a essuyé le sang de l’hymen de sa femme, comme preuve de sa virginité.

Le mollah, en rien rebuté par l’atrocité de son acte, entra son pénis dans le vagin de la petite fille, qui saignait déjà abondamment, suite aux blessures et eut des relations sexuelles bestiales avec la petite, sur le lit couvert du sang de l’enfant, puis, il se leva et se nettoya.

L’enfant continuait à saigner, mais personne n’était là pour l’aider. Le mollah ne pouvait pas demander de l’aide, car cela aurait été considéré comme une honte pour lui et la famille de la petite mariée. Cette dernière savourait tranquillement une tasse de thé dans la pièce voisine. La petite mariée de huit ans continua à saigner et entra dans un choc traumatique à cause des hémorragies internes provoquées par la violence des relations sexuelles forcées ». Elle se vida de son sang et le lendemain matin, au lever du soleil, l’âme de la fillette, dont le petit corps fut profané et souillé par un pédophile de la pire espèce, avait rejoint les étoiles dans la voûte céleste.

Le mollah déclara qu’ elle était pâle et avait ses yeux grand ouverts quand elle exhala son dernier souffle. Elle gisait dans son sang, sur un drap rougi par le sang séché. Elle était livide, car elle était exsangue . Ses yeux étaient ouverts, car elle avait tremblé en mourant et ses mains étaient en position de prière, comme si elle récitait la prière de sa propre mort.

Le mollah appela la personne, qui, par la suite, informera le journaliste de ce crime horrible, et lui demanda de nettoyer la chambre et de trouver une raison pour expliquer la mort de sa « femme » aux amis et membres de la famille. Comme cette personne était un ami personnel du mollah, un proche, il fit ce qu’il lui demanda et se débarrassa des draps ensanglantés. Puis ils enveloppèrent le petit corps martyrisé dans un drap blanc et informèrent la famille et les autres invités de la mort de la « mariée ».

Ce matin là, la famille de l’enfant pleura tristement sa mort, sans demander une quelconque explication sur la cause du décès, ils prirent le corps de la fillette pour le laver selon le rituel religieux musulman.

Le mollah, étant un homme d’une grande influence dans le village, les femmes qui lavèrent le corps de la petite fille n’osèrent pas demander une explication quant aux blessures autour du vagin de l’enfant. Vers 10 heures du matin, le corps de la petite mariée et morte de 8 ans fut emmené au cimetière et enterrée. Sa vie sur terre était terminée et pour le mollah, la page était tournée. Il y avait d’autres petites filles à acheter pour satisfaire ses fantasmes sexuels.

L’ami proche du mollah, au courant du calvaire vécu par l’enfant, fut révolté et décida de raconter l’histoire à un ami, qui informa le journaliste. C’est ainsi, que le récit de la terrible nuit de noce de la petite mariée de 8 ans parvint à votre connaissance.

Le mollah aurait quand même déclaré avoir eu « mauvaise conscience » à propos de ce qui s’était passé. Il fut donc pardonné. Après tout, il ne s’agissait que du viol d’une petite fille innocente, un être sans importance, un objet sexuel … facilement remplaçable.

Le jour suivant la publication du récit par Kazemi sur son mur Facebook, les législateurs pro-charia afghans bloquèrent une proposition de loi sur « l’élimination de la violence contre les femmes » qui aurait permis de pénaliser le mariage avec des fillettes de 8-9 ans et de relever l’âge légal du mariage à 16 ans. Pour ces législateurs, cette proposition de loi sur le droit des femmes était anti-islamique. Dès lors, il était inutile d’en discuter.

D’autres petites filles de 8 ans continueront à subir des mariages forcés avec des hommes beaucoup plus âgés, à souffrir et à disparaître dans l’indifférence générale.

La promotion de la pédophilie et du viol via des fatwas, conformes à la charia, autorisant le mariage des fillettes à partir de 8 ans, malgré l’opposition de certains musulmans éclairés, continue à progresser dans le monde islamique, car l’interdire serait porter atteinte à l’islam et à son prophète.

Invalider le mariage avec des fillettes reviendrait de facto à invalider le mariage du prophète avec Aïcha, la mère des croyants, qui s’était mariée avec lui à l’âge de 6 ans, sans son consentement. Dans l’esprit de ces dégénérés, ces législateurs de la charia, les mariages avec des petites filles ne constituent en rien une atteinte aux droits fondamentaux des enfants, puisque dans l’islam, les femmes et les petites filles n’ont aucun droit, seulement le devoir de se soumettre aux hommes, même si cela doit leur coûter la vie.

Selon un rapport de Human Rights Watch, basé sur les statistiques fournies par le Ministère de l’Intérieur afghan, 600 femmes, victimes d’abus sexuels et de violence domestique, ont été accusées de « crimes moraux », pour avoir essayé d’échapper à leurs bourreaux et condamnées à la prison.

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