Aller au contenu

Noter ce sujet


Frelser

Messages recommandés

Invité Lorrain27
Invités, Posté(e)
Invité Lorrain27
Invité Lorrain27 Invités 0 message
Posté(e)

Note à l'attention du lecteur : Nous avons établi ici un rapport entre un paradoxe fondamental de la physique théorique et un essai d'exégèse littéral du Coran, mais les calculs établis sont réfutables et répondent à des critères de vérifiabilité. Nous prions les lecteurs de ne pas mêler la critique scientifique de notre modèle et notre démarche conceptuelle fondée sur une lecture d'un livre sacré à caractère religieux.

===============

Théorie de Grande Unification Non Standard

I. Résumé :

Nous avons essayé de concilier les deux grandes théories de la physique théorique, la Relativité Générale (RG) et la Mécanique Quantique (MQ)[note1]. Ce modèle, à approfondir, se fonde sur le paradigme que l'Univers est le produit d'une expansion isotrope asynchrone à C^C[note2] avec conservation d'échelle relative, obéissant à un grossissement d'échelle continu qui ne devient sensible depuis l'intérieur de l'espace-temps qu'à l'échelle de l'Univers, émergeant d'une source d'énergie condensée potentiellement illimitée condensée initialement dans un volume de Planck primordial. Le mur de Planck serait censuré physiquement à la limite du big bang du fait du grossissement d'échelle qui continue à une vitesse inviolable.

Espace-temps quantique :

Rapport longueur de Planck / temps de Planck.

1,616×10-35 m/5,391×10-44 s = 0,299 758 857 (354 850) mq/sq

C = 299 792 458 m/s

Cet espace-temps quantique est décalé en rapport à l'espace-temps relativiste déterminé par la célérité de la lumière (=vitesse de grossissement d'échelle & flèche du temps). Ce qui serait à l'origine de la mise en place en cascade des constantes structurant l'Univers, et lui permettrait de subsister dans le temps. Cet écart remontant au mur de Planck serait à l'origine des champs de forces, des effets relativistes de l'espace-temps, des étrangetés quantiques, expliquerait les structures de l'Univers, de la géométrie des orbitales des atomes à la forme en spirale des galaxies, et résoudrait l'énigme de l'accélération de l'Univers observée dans les centres d'observations.

Remarquons, que nous travaillerons en termes d'ordres de grandeurs converties en valeurs proportionnelles, correspondant à notre paradigme d'un grossissement isotrope d'échelle relative. Nous avons donc choisi d'écrire mq et sq pour une métrique appropriée[note3] renommée afin de rendre ce procédé intelligible.

Nous allons présenter dans le présent article une démonstration qui montre que l'écart entre cet espace-temps quantique et l'espace-temps cosmique découlerait d'un contact des volumes de Planck initiant une perturbation primordiale lors du big bang, laquelle serait à l'origine de la perturbation de densité primordiale. La toute première interaction entre les deux premiers volumes de Planck ayant produit une brisure de symétrie et imprimé une cascade de constantes, et leur appariement (C^2) ayant généré une accélération à C^C (imprimé en sous-plan quantique tissant la trame de fond de l'espace-temps quantique) dans un espace euclidien à trois dimensions qui fixera une accélération d'un grossissement d'échelle asynchrone du fait de l'entraînement de l'espace de sous-plan. Nous allons montrer comment obtenir les constantes α et G depuis ce décalage canonique dans le présent article. Cette interaction initiale entre les deux tout premiers volumes de Planck, ayant imprimé les constantes universelles dans la trame de l'espace-temps, lie de façon triviale la MQ et la célèbre formule d'Einstein : E=mC² au mur de Planck.

"Les infidèles ne voient-ils pas que les cieux et la terre formaient une masse compacte, et que nous les avons séparés (ndl. dissocié), et qu’au moyen de l’eau nous donnons la vie à toutes choses ? Ne croiront-ils pas ? [1]"

(Cor. 21,30)

"Le ciel, Nous l’avons construit par Notre puissance : et Nous l’étendons [constamment] : dans l’immensité. [2]"

(Cor. 51,47)

* * * * *

Ce modèle propose un mécanisme sous-jasant intuitif aux modèles de la RG et de la MQ, qui rendrait intelligibles et intuitifs toute une série d'étrangetés contre-intuitives, en partant de la courbure de l'espace-temps, en passant par la dualité onde-particule, l'intrication quantique, et élucidant d'autre part le mystère de l'illusion d'une attraction magique à distance -qui serait un équilibre entre la saturation de densité de l'espace-temps et l'énergie dégagée par le vide quantique, et contenant la matière dans un état d'inertie relative structurante. Ceci fonderait l'idée charnière que tout dérive de l'expansion isotrope à vitesse fluctuante variable avec une conservation d'échelle relative[note4]. Ce modèle se calquerait aux fondations de la physique, mariant la RG et la MQ de façon inattendue.

Concrètement, ce paradigme donnerait un sens spontané à l'illusion de l'attraction à distance entre objets. L'espace grossissant à une vitesse légèrement accélérée du fait de l'écart entre espace-temps quantique et espace-temps relativiste mais suivant une courbe d'accélération sensible seulement à l'échelle cosmique : ce qui induirait une illusion de courbure de l'espace-temps. Toute particule se retrouverait condensée à l'intersection de frondes de densité se superposant ponctuellement, maintenant la matière topologiquement compressée dans un référentiel inertiel local et la liant avec les autres objets environnants : ce qui conduirait à un effet de rapprochement des objets selon leurs masses et inerties respectives et selon la grandeur de la distance qui les sépare au gré d'un dégradé de densité d'énergie fluctuant en densité et en puissance (l'énergie disponible entre deux objets étant inférieure à celle disponible hors du système). La densité des objets serait ainsi affectée par l'ensemble des objets de l'Univers selon leurs distances par rapport à eux. Toute particule étant issue de cette fluctuation, mais acquérant des propriétés caractéristiques spécifiques en fonction de son inertie propre et des propriétés dynamiques de son environnement local.

faisceau%2Bde%2Bcercles.png

Schéma 1

Le premier volume de Planck surgissant juste à la frontière du mur de Planck se serait juxtaposé sur le premier volume de Planck générant une deuxième dimension en entrant en expansion à la vitesse de la lumière imprimant un décalage canonique inviolable (conduisant à E=mC^2). Le passage en trois dimensions aurait ensuite généré une expansion accélérée de C^C, C obéissant à une accélération en sous-plan insensible depuis l'intérieur de l'Univers lors du grossissement d'échelle exponentiel jusqu'à environs 4 milliards d'années-lumières.

sans-titre.png

Schéma 2

L'émergence des particules de matière, comme l'illusion d'attraction à distance serait l'effet des frondes d'ondes d'énergie diffusées depuis chaque point de l'espace à la vitesse de la lumière poussant la matière vers des zones de densité variant de façon asynchrone.

expansion%2Bquantique.png

Schéma 3

Illustration de l'efet d'attraction à distance dû à la variation topologique (conservation relative décalée d'échelle). L'espace subissant une variance d'échelle s'étendrait ainsi avec une vitesse accélérée, confinant en contre-partie la matière avec une force proportionnelle à cette croissance spatiale accélérée.

242108490441cacdc7567baa00fce26a.gif

Dès lors que nous concevons l'espace physique comme une densité d'énergie qui se diffuse en continu par chaque point de l'espace -à mesure de son expansion réduisant la saturation énergétique localement par effet tunnel- dans un espace euclidien à trois dimensions[note5] avec un grossissement d'échelle légèrement accéléré, et étant perturbée de façon asynchrone par l'inertie due à la fluctuation de densité variant topologiquement (en posant comme condition corollaire une conservation relative d'échelles lors de la fluctuation primordiale de densité, y incluant le volume occupé par les corpuscules de matière) tout semble redevenir intuitif.

II. Limites de Planck :

Deux objets que nous percevons comme s'approchant l'un de l'autre auraient émergé à l'intersection des frondes d'ondes dues à l'interaction ponctuelle des volumes de Planck à leurs limites, et seraient poussées de proche en proche proportionnellement à l'échelle de grandeur les uns vers les autres dans un environnement d'apparence stationnaire, que Newton aurait interprété comme une force de gravitation universelle magique, et Einstein comme l'effet d'une courbure de l'espace-temps. Or, ce serait l'effet d'un compression des particules de matière (à l'interaction des volumes de Planck grossissant elles-mêmes et se juxtaposant dans l'espace-temps et induisant un effet de rapprochement des objets de masses variables peuplant l'espace-temps, dans les proportions mathématisées par la théorie de Newton et affinée par Einstein). Cela conduirait de même aux inégalités de Heisenberg du fait que la taille instantanée de la particule au moment de la mesure serait légèrement inférieure à celle de son environnement à la fin du processus de mesure. Et dû au fait que de l'énergie continuant à émerger depuis le vide quantique est compensée par des oscillations stochastiques des particules de matières pressées par ces frondes d'énergie saturant l'espace autours d'elles cherchant un état de potentiel idéal dans un volume confiné plus étendu que son volume propre. Il n'y aurait aucun effet de magie à distance, et la dualité onde-particule serait une perturbation de la densité d'énergie locale infinitésimale à l'échelle quantique (un effet thermodynamique).

Les limites de Planck seraient de même déterminées par le changement d'échelle borné selon la distance canonique d'un multiple d'une unité d'espace-temps quantique avant saturation en énergie locale à l'échelle des unités de Planck, rendant toute quantité infinitésimale limitée de par l'écart de la variation de l'échelle de grossissement dans le laps de temps des mesures (effet de jauge et brisure de symétrie). En effet, il est notoire que la vitesse de la lumière émerge de façon étonnante à travers les unités de Planck, comme pour le rapport de la longueur de Planck et du temps de Planck par exemple :

1,616×10-35 m/5,391×10-44 s = 0,299 758 857 (354 850) x 10^-78 mq/sq

Cela est à comparer avec la vitesse de la lumière qui est de 299 792 458 m/s. C'est l'espace-temps quantique, avec un décalage subi lors du changement d'échelle dans un équilibre fondateur maintenant l'Univers structurellement stable dans un état d'équilibre canonique croissant potentiellement mais maintenu stable. La variance d'échelle devant être sensible à l'échelle universelle, générée par un décalage entre l'espace-temps quantique et l'espace-temps relativiste.

ondes.png

Schéma 4

Du fait de l'équilibre canonique permettant de contenir l'énergie du vide quantique proche de zéro assuré par l'expansion de l'espace générant une saturation d'énergie déterminant les constantes de Planck, l'Univers subsisterait dans le temps. Mais la conservation d'échelle en serait perturbée et désynchroniserait l'espace-temps quantique et l'espace-temps relativiste, générant une accélération isotrope et relative de l'expansion.



Si l'espace a subi un grossissement global accéléré par un décalage même infime en regard du sous-plan quantique, les effets de distorsion relativistes apparents s'expliquent de façon évidente et intuitive. En effet, la limite de la vitesse de la lumière s'expliquerait comme toujours en phase avec le changement d'échelle : le grossissement s'opérant de façon isotrope et ponctuellement asynchrone aux zones de chevauchements des frondes de densité, mais continuellement lissé par une expansion globale à C^C. Les distances et le temps s'annuleraient donc ponctuellement si nous atteignions la vitesse de la lumière dans une région de l'espace, émergeant là où la densité d'énergie fluctue. Ainsi, les objets accélérés à la vitesse de la lumière ne pouvant plus suivre le rythme de façon isotrope sans devoir violer la célérité instantanée de la lumière dans une autre direction que celle de leur trajectoire, rétréciraient jusqu'à descendre potentiellement aux limites de Planck, le temps ne pouvant plus s'écouler semblerait s'arrêter. Les photons n'ayant pas de masse seraient donc synchronisés au rythme de l'expansion isotrope de l'espace indifféremment de leur orientations, mais seraient déviées aux environs des objets selon leurs masses du fait que l'expansion est insensiblement plus rapide que la célérité de la lumière.

III. Dualité onde-particule :

La dualité onde-particule trouverait une explication intuitive par l'effet du grossissement d'échelle ponctuellement variable. Géométriquement, les particules ne seraient jamais parfaitement stables mais sembleraient vibrer obéissant à une marge d'équilibre relative les éloignant et les ramenant successivement dans un volume d'espace plus étendu que leurs propres dimensions (selon une fluctuation scintillante de frondes de densités dans un effet de jauge symétriquement désabilisé par les micro-variation de l'équilibre de la densité d'énergie ponctuelle) que la mécanique quantique interprète comme une densité de probabilité, l'état de la particule changeant d'autre parts toujours le temps de la mesure du fait du changement d'échelle infinitésimal censurant le laps de temps requis physiquement pour la mesure.

Schéma 5

Tandis que la mesure des particules est censurée aux limites de Planck de par le grossissement d'échelle global s'opérant sur le temps minimal de la mesure induisant une marge d'incertitude, l'équilibre énergétique faiblement instable induisant une micro-fluctuation de densité oscillatoire influencerait la trajectoire de l'électron la conduisant à présenter des spectres de raies lors des expériences de fentes d'Young qui obéissent à une loi normale[note6].

Slits.gif

Schéma 6

Représentation de l'effet de l'expansion vibratoire de l'espace à l'échelle quantique, et les fentes d'Young. L'oscillation ponctuelle du volume de l'électron - dans une recherche d'un point d'équilibre énergétique suivant son environnement- est interprété comme une probabilité plus étendue de se manifester dans l'environnement de sa trajectoire (sans changement d'échelle).

IV. Intrication quantique et non localité :

L'intrication quantique retrouve également un sens plausible intelligible : les particules corrélées en partageant un volume d'espace unique transporteraient proprement le volume d'espace et ses propriétés physiques ponctuelles qu'ils se partageraient en miroir. Ainsi, la violation des inégalités de Bell respectant une corrélation à 100% seraient permise en conformité à la MQ mais de façon non-locale. En effet, l'espace physique devenant l'espace occupé par une densité d'énergie variable deviendrait non locale, du fait que les particules peuvent transporter des parties d'un même volume vers des coordonnées topologiquement séparées par un nouvel espace.

Les particules intriquées à un moment de leurs vies générant lors de leur diffraction deux fronts de grossissement ponctuel parfaitement synchronisés grossissant à la vitesse de la lumière en se superposant, en sorte qu'aucune des deux particules ainsi corrélées ne puisse physiquement se désynchroniser de l'autre du fait qu'elle ne peut se déplacer à une vitesse supérieure à celle du grossissement d'échelle s'opérant à une vitesse proportionnellement légèrement plus élevée que celle de la célérité de la lumière. Il devient possible qu'une interaction à une vitesse légèrement supérieure à la célérité de la lumière les maintienne synchronisées, les particules ne pouvant jamais être accélérés à une vitesse supérieure à C (restant interconnectées peut-être à C^C en sous plan ?).

Schémas 7 & 8

Représentation de l'intrication quantique en rapport à l'expansion spatiale quantique : les deux particules se retrouvent dans le même volume d'espace (la particule étant simplement une partie de cet espace de densité différente). Ainsi, les deux particules transportent chacune une partie du volume d'espace où ils se sont confondus lors de l'intrication. Du fait du grossissement d'échelle accéléré, quoi que géométriquement séparées, les deux particules restent corrélées ne pouvant jamais dépasser la célérité de la lumière et l'espace constitué de frondes d'énergie devançant la vitesse limite de la lumière. Ces ondes leur permettant de communiquer malgré la distance qui les separe, étant donné qu'on ne peut les séparer à une vitesse supérieure à la vitesse de la lumière.

V. Energie noire, matière noire...

Du fait d'un cumul de décalage entre l'espace-temps quantique et l'espace-temps cosmique, l'expansion observable de l'Univers s'accélère au fil du temps et les régions occupées par la matière augmentent en densité d'énergie. Ce qui expliquerait notre quête d'une masse manquante. Tandis que le grossissement d'échelle décalé à très grande échelle accentuerait l'impression du fait du rétrécissement de la taille des objets situés à des années lumière. La densité des régions de l'espace-temps occupées étant supérieure à celle de l'espace vide de matière, la lumière provenant des confins de l'Univers -où celui-ci avait une échelle topologiquement inférieure à celle de notre moment présent- subirait un ralentissement proportionnel à la distance des objets qui l'a émise : induisant un décalage générant une accélération.

Schéma 9

L'équilibre entre l'énergie globale et l'énergie des volumes de Planck conduirait à une accélération de l'expansion observable. Cet équilibre expliquerait que de la matière n'émerge pas à l'intérieur de l'espace-temps en expansion, hormis des fluctuations ponctuelles lissées.

courbe%2Bde%2Bd%25C3%25A9viation.jpg

Graphique1

Graphique montrant l'écart de fond entre l'expansion à C^C initial et l'expansion locale observable à la vitesse de la lumière. Un recoupement des courbes entre x=3 et x=4 semble indiquer le moment où la matière éloignée devient observable depuis chaque point de l'Univers. Cela correspond avec une accélération notable qui rappelle l'accélération vers 3 à 4 milliards d'années lumières détectée dans les observatoires[3].

D'autres parts, l'effet de rotation et de révolution émerge de même spontanément par un effet géométrique du fait d'un effet décroissant de ce flux d'énergie selon la distance qui serait due à l'interaction primordiale entre les deux tout premiers volumes de Planck perturbant l'expansion à l'échelle macroscopique par un effet giratoire synchronisant l'ensemble de la trame de l'espace-temps. L'effet cumulé à un grossissement d'échelle relatif initiant une révolution à grande échelle, la gravitation quantique. Ce décalage scalaire pourrait également expliquer l'accélération de l'expansion (au moins partiellement) et le fait que toute la matière constituant l'Univers soit d'orientation giratoire ponctuelle identique à très grande échelle (du fait du confinement géométrique primordial et d'une synchronisation fondamentale primordiale remontant au mur de Planck).

ESA_Planck_CMB_Polarisation_withzoom_animated-1fois.gif

Vision de l'accentuation de la perturbation primordiale par Planck. Les volumes de Planck grossissant interfèrent en grossissant suivant deux directions topologiquement opposées.

Schéma 9

Illustration de l'effet géométrique générés par un changement d'échelle suivant un agrandissement isotrope asynchrone : on obtient les effets de rotation et de révolution qui reflètent fidèlement les grandes structures de l'Univers observable ; les systèmes stellaires, les amas d'étoiles (infra à gauche), les galaxies spirales (à droite infra), les galaxies elliptiques plus vieilles...

amas%2Bd%2527%25C3%25A9toiles.png

VI. Expansion quantique et conservation d'échelles :

Si lors du big bang, une densité d'énergie se diffuse suivant une topologie plate tel un gaz occupant tout le volume d'espace disponible, cela pourrait expliquer nombre de propriétés de l'espace comme : l'expansion universelle ou l'isotropie. Et justifier le besoin de compenser cet effet tunnel quantique et le ramener à un niveau de potentiel proche de zéro.

D'autre parts, si nous concevons arbitrairement la matière comme des boules d'énergie montrant une inertie relative, il devient possible de les imaginer comme des zones d'inertie locales qui se dilateraient de façon scintillante au gré de l'expansion quantique et de la vitesse ponctuelle relative de chaque type de particule tout en se conformant à une conservation d'échelles proportionnellement plus confinée. En sorte que nous les mesurerions comme stables tandis que tout grandirait de façon asynchrone, de façon insensible pour nous autres qui grandirions en parallèle.

VII. Relativité du temps et de l'espace :

A l'échelle quantique, le temps ne s'écoulerait pas, et il compenserait le changement d'échelle, qui déterminerait la flèche du temps. La relativité du temps et de l'espace découlerait de ce que la vitesse d'expansion de l'énergie fixerait des critères de stabilité comme la célérité de la lumière. La vitesse ponctuelle d'une particule ou d'un système de particules subissant un grossissement scalaire ponctuel relativement proportionnel à la vitesse de grossissement de l'ensemble de l'espace-temps à la célérité de la lumière. Les longueurs et le temps se maintenant proportionnellement stable à mesure que les objets se rapprochent de la célérité de la lumière (le grossissement d'échelle étant contrebalancé par l'accélération ponctuelle du système). La flèche du temps serait déterminée par le grossissement d'échelle générant un décalage canonique. Une des conséquences de cette dynamique serait l'explication de l'effet casimir témoignant de l'état d'équilibre de potentiel.

Concrètement, si nous comprenons que la lumière a une vitesse limite liée à la perturbation de densité primordiale canonique initiée aux frontières du mur de Planck, et acceptons que celle-ci est la vitesse absolue permise à travers l'espace en expansion proportionnellement à sa propre vitesse d'expansion, les observations relativistes s'élucident tout naturellement.

VIII. Origine des forces physiques :

Une des conséquences induites par ce modèle conceptuel est l'émergence spontanée des forces physiques suivant les effets de la variation asynchrone de l'expansion. Les objets qui peuplent l'espace subissant un cumul de densité d'énergie du vide saturé au point de devenir indétectable car s'annulant par un effet de jauge équilibré, il en ressort que la position des particules dans l'espace subit des micro-perturbations induisant une forme d'oscillation stochastique gaussienne : les particules semblent ne pas avoir une place unique mais se trouver dans un volume plus étendu suivant une probabilité analysée et étudiée en MQ. Ainsi, les particules semblent interagir de proche en proche, effet que nous interprétons comme des champs de forces.

Schéma 10

La variation d'échelle induit un effet d'indétermination de la position exacte des particules qui, une fois entrée dans un volume d'espace où leur probabilité de se trouver se recoupent, semblent entrer en interaction : effet induisant l'impression de l'action mystérieuse de champs de forces.

Schéma 11

Les forces physiques fondamentales.

Schéma 12

Comment les particules fondamentales se déforment et se disloquent selon la physique théorique, ici respectivement la séparation d'un proton en deux quarks (à gauche) et la séparation d'un neutron en hadrons (à droite). Chaque particule aurait des caractéristiques déterminées en fonction de son environnement ponctuel, suivant sa densité, son orientation et sa vitesse instantanées. Toute particule étant un état de fluctuation ponctuelle uniforme ayant subie une brisure de symétrie asynchrone semblant transformer chaque particule fondamentale en types de particules différentes ayant des caractéristiques types divergentes.

IX. Renormalisation :

Lorsque nous nous basons sur les limites de Planck, comme justifié supra, et faisons une projection de ce qui se produirait dans un espace répondant aux propriétés soutenues dans notre modèle, en prenant comme unités de mesure une interaction minimale planckienne en expansion sur une durée de une, deux et trois temps de planck, et intégrons un grossissement d'échelle proportionnel à la vitesse de la célérité de la lumière, nous retombons semble-t-il à une forme spontanée de renormalisation permettant de produire un effet de fluctucation quantique. Du moins, des rapports de 1/7 et de 1/4 caractéristiques des tentatives d'unifications mathématiques des interactions fondamentales surgissent spontanément.

Schémas 13 & 14

Chaque cercle représente une interaction minimale simplifiée réduite en deux dimensions sur base d'une longueur de Planck. Au premier temps de Planck, nous avons une longueur de Planck unique (non représentée ici), au second temps de Planck nous avons un chevauchement initial C^2 de dimension 2. En dimension 3 nous obtenons une inflation de C^C.

L'interaction perturbatrice initiale sur deux dimensions génère l'interaction gravitationnelle et l'interaction électromagnétique, et un rapport structurant canonique de 1\3 ou 2\3 en déformant la trame du temps sur deux dimensions. La géométrie minimale de quatre volumes de Planck donne un rapport 1\4, et la dimension 3 qui doit donner 6 orientations vectorielles est étendue à 7 (6+1) ou localement confinée à 5 (6-1) du fait du rayon de l'interaction initiale qui délimite les interactions forte et faible.

orbitales.png

faisceau%2Bde%2Bcercles.png

Conformation de la structure des atomes (à g.) vec notre modèle d'espace-temps quantique (rappel Schéma 1 à dr.).

Les figures montrent comment une fluctuation en densité émerge spontanément lorsque nous opérons une synchronisation au niveau des volumes de Planck. Si nous considérons que les chevauchements des cercles figurant les volumes d'espace (mais en 2 dimensions pour la facilité) induisant une fluctuation et une variation en densité d'énergie, nous pouvons projeter cela en trois dimensions de telle sorte que si je commence en une seule dimension, j'aie une longueur de Planck unique au premier temps de Planck qui est égal à elle-même, et un chevauchement complet par les moitiés de deux longueurs de Planck au second temps de Planck qui élève sa "densité" au carré. En deux dimensions cela est élevé à 3, et en trois dimensions à 4. Je retrouve ainsi un rapport de 1/4 : voir la constante de structure fine associée à l'interaction spin/orbite.

La renormalisation pourrait s'expliquer par le grossissement d'échelle légèrement accélérée lissant continuellement l'espace-temps en sorte de ne pas aboutir à une densité infinie. La fluctuation se conformant à un écart canonique entre le grossissement d'échelle et les chevauchements ponctuels des fronts d'ondes émis dans l'espace.

La valeur de α, si nous faisons abstraction de l'ordre de grandeur de puissance se situe dans les environs de la constante de gravitation :

G = 6,6738450.10⁻¹¹ +/- 0,00080 ~ 7,297.10⁻³

Or, le rapport entre 10⁻¹¹ et 10⁻³ rejoint l'ordre de grandeur de la célérité de la lumière qui est de 299 792 458 soit de 10⁸. Ceci n'est pas un recoupement exact, mais si nous tenons compte que notre modèle suggère que la fluctuation primordiale de densité est la clé de la physique ultime, un tel décalage semble intuitivement pouvoir s'expliquer par une forme de perturbation primordiale justifiant un cumul d'un décalage à identifier.

X. Evaluation de l'effet du cumul du décalage (perturbation primordiale) entre le rapport des constantes de Planck et un grossissement d'échelle à la célérité de la lumière :

1. Rapport constante de Planck et C :

1,616×10-35 m/5,391×10-44 s = 299 758 857 (354 850) mq/sq

0,299.758.857.354.850 m/s ~ 0,299 792 458 m/s (1)

2. Décalage ع espace-temps quantique et espace-temps relativiste :

.299.792.458

- .299.758.857

----------------------

.000.033.601 (2)

ع = 0.00033601

3. Cumul de ع lors de l'interaction entre deux volumes de Planck au mur de Planck :

33601 . 2 = 67202 (3)

4. Rapport entre ع et la constante d'ajustement fin α :

ع(h) = 0.0033601

α = 7,297.10^-3

interaction%2B%25C3%25A9lectromagn%25C3%25A9tique.gif

4.1. Evaluation de l'ordre de grandeur proportionnel de α à partir de ع :

α = e^2\(4 . pi . 0,000033601 . 299.792.458) = e^2\7,789982e−6 = √e²/4 . pi . .000033601 . C = 7,789982e-3

4.2. Evaluation moyenne de l'effet de ع dans les interactions fines :

4.2.1. √(2 x .0033601÷ π ) ÷ √4 = 0.0731284161105 = 7.312e-3

4.2.2. √(4 x .0033601 ÷ 2π ) ÷ √4 = 0.14530014091 = 7.265e-3

4.2.3. ( (7.312 + 2.265)2)e-3 = 7.2885e-3

7.312e-3 > 7.297e-3 >7.265e-3

~7.2885e-3

5. Rapport entre G et ع :

Cosd (672) = 0.66913060

G = 6,693 (72)^-11 [4]

5.1.1. Ordre de grandeur de α : 10^-3 (a)

5.1.2. Ordre de grandeur du carré de α : 10e-6

5.2. Ordre de grandeur de ع est de : 10e⁻5 (b)

5.3. Valeur de Cosd(672) renormé : .66913060

== > .66913060 x 10e-6 x 10e-5 = 0.000 000 000 066 913 060 = 6,691 306 x 10e-11 (4)

6,691 306 x 10e-11 ~ 6,693 (72)^-11= G

6. Moyenne décalage normé :

Les valeurs obtenues ont pu se stabiliser par un effet d'intrication quantique au mur de Planck, dans les limites de α et de G que nous avons retrouvé à partir de la valeur canonique de ع.

* * *

Il est à souligner que notre modèle EIACER se fonde sur le paradigme que l'espace-temps s'étend à C^C avec un grossissement d'échelle continu à C. Cela suggère qu'un paramètre comme la permissivité relative du vide quantique ou la distorsion de l'écoulement du temps à identifier reste à établir pour éventuellement encore ajuster et affiner de façon exacte nos valeurs de α et de G. Sauf si cette divergence concernait une partie invisible de l'effet des forces d'interactions qui seraient entamées en deçà des limites de Planck observables ? Différence qui pourrait justifier une masse manquante inaccessible du fait qu'elle se situerait au-delà des limites possibles à mesurer physiquement.

graphique.png

Graphique2

Projection de l'effet du décalage de .333601 dans le processus d'expansion. Nous notons qu'une partie de la fonction se situe dans une zone physiquement inaccessible censurée par la variance d'échelle à la célérité de la lumière.

graphique%2B3.png

Graphique3

Projection du carré de la célérité de la lumière réduit du carré du décalage avec l'espace-temps quantique : l'Univers semble se projeter à l'infiniment petit avant le mur de Planck.

XI. Conclusions et interprétations :

Il est à souligner que nous retrouvons spontanément des valeurs proches de α et de G quand nous remontons au mur de Planck. En effet, du fait du grossissement d'échelle au mur de Planck, l'interaction des tout premiers volumes de Planck immédiatement au mur de Planck a dû imprimer une constante inviolable, du fait qu'aucune particule de matière ne peut se déplacer à une vitesse supérieure à la célérité de la lumière correspondant à la vitesse de grossissement d'échelle de l'Univers comme soutenu dans notre modèle fondé sur une tentative d'exégèse coranique littérale. Fixant ainsi des valeurs canoniques de α et de G, à peut-être devoir réévaluer avec une marge d'erreur à attribuer à un effet thermodynamique.

Il est à noter que la valeur moyenne de α donne un décalage atténué avec une différence de l'ordre suivant 7.2885e-3 < 7,297e-3 mais une valeur accentuée à la limite supérieure avec 7.312e-3 > 7,297e-3, alors que la valeur de G donne un décalage atténué avec 6,691 306 x 10e-11 > 6,693 (72)^-11. Si mon modèle est exact, alors il devrait être possible de confirmer ou d'infirmer les effets de ce décalage ع par une étude fine du fond de radiation cosmique : l'Univers devrait subir une perturbation en mosaïque obéissant à l'algorithme π . [(ع/lP/tP)^C/Δt)]^2 devant justifier l'état d'équilibre garantissant la subsistance de la maière.

* * *

---------------------------

[1] Traduction selon Albert Kazimirski de Biberstein : 1808-1887.

[2] Traduction selon Muhammad Hamidullah : 1959.

[3] Saul Perlmutter et al., Measurements of Omega and Lambda from 42 High-Redshift Supernovae, Astrophysical Journal, 517, 565-586 (1999), astro-ph/981213.

[4] J.B. Fixler, G. T. Foster, J. M. McGuirk et M. A. Kasevich, « Atom Interferometer Measurement of the Newtonian Constant of Gravity », Science, vol. 315, no 5808,‎ 7 janvier 2007, p. 74-77 (DOI 10.1126/science.1135459, Bibcode 2007Sci...315...74F)

[note1] Etant inspirés d'une exégèse du Coran qui a été l'initiatrice de notre approche non standard dans la tentative de concilier et dépasser la RG et la MQ. Selon le Coran, l'Univers est le fruit de la puissance divine et il s'étend dans l'immensité, il est issu d'un volume initial condensé ayant subi une dislocation. Si nous nous bornons strictement au sens littéral de ce verset, alors la création de l'univers consiste en l'expansion organisée d'une forme d'énergie potentiellement infinie. Ainsi, naissait l'idée de confiner un modèle de Genèse d'Univers sur fond de l'expansion isotrope d'une forme d'énergie à la vitesse de C^C.

[note2] Une des ambiguité du modèle est que la célérité de la lumière qui est aux fondements de la dynamique qui la régit se retrouve être une variable qui subit une accélération qui conduit à un écart entre le sous-plan quantique et la surface de l'Univers. Cela doit justifier les effets relativistes, et les étrangetés quantiques. Un équilibre entre la densité d'énergie emplissant l'espace-temps quantique et l'énergie se trouvant dans les volumes de Planck maintenant l'Univers dans le temps. Une des autres conséquences de cette théorie qui permet d'expliquer le mécanisme des champs de force de façon triviale, rendre les étrangetés de la RG et de la MQ intuitifs et intelligibles est qu'elle prédit une accélération de la vitesse d'expansion observable de l'Univers et le confinement des galaxies sans recours à de la matière excédentaire invisible.

[note3] Il est par ailleurs à souligner que nous travaillons par ordre de grandeur du fait du pradigme fondateur de notre théorie, qui est fondée sur une échelle de grandeur à croissance isotrope. Or, nous travaillerons sur base métrique lors de la renormalisation. Ceci n'est pas une méthode ad hoc, mais se fonde sur le principe que la physique se fonde sur les mathématiques de haute précision, et que la physique théorique, sur le fond de laquelle nous travaillons, est métrique et décimale.

[note4] Si l'espace subissait un grossissement global à la célérité de la lumière ou un multiple de celle-ci, les effets de distorsion relativistes apparents s'expliqueraient de façon évidente et intuitive. En effet, la limite de toute vitesse ainsi que la stabilité de la vitesse de la lumière s'expliqueraient comme une forme d'inertie maximale : le grossissement s'opérant de façon isotrope. Les distances et le temps s'annuleraient donc ponctuellement si nous atteignions cette vitesse dans une région de l'espace. Ainsi, les objets ne pouvant plus grossir sembleraient rétrécir jusqu'à descendre en dessous des limites de Planck, le temps ne pouvant plus s'écouler semblerait s'arrêter. Les photons n'ayant pas de masse seraient donc transportés au rythme de l'expansion de l'espace sans aucuen forme de résistance.

[note5] Nous Parlons bien d'un espace euclidien par simplicité, or, pour que la théorie devienne parfaitement intuitive, il semblerait que tout comme les forces en interaction qui sont immatérielles, l'espace plat dans lequel se déroulerait ce grossissement d'échelle isotrope asynchrone avec conservation relative d'échelle soit un matroïde immatériel et abstrait généré dans ce processus, sans qu'il s'agisse d'un espace euclidien infini préexistant et infini où surgirait mystérieusement une source d'énergie... Conceptuellement, l'effet tunnel qui demeure stochastiquement acausal dans les fondements de la MQ mais dont on relève ponctuellement des effets serait à l'origine de l'émergence initiale de l'Univers, mais serait compensé par la densité d'énergie globale de l'espace-temps saturé en énergie. Il est permis de penser qu'un mouvement unique dans le vide absolu puisse générer une source d'énergie inépuisable en l'absence de tout frottement ?

[note6] Le décalage ponctuel entre la vitesse d'expansion à la célérité de la lumière de l'espace-temps et le rapport espace-temps (1) quantique doit se cumuler proportionnellement à la distance (à la surface mesurable de l'univers), générant une brisure de symétrie standard relative à l'échelle des interactions. Du fait de l'accélération à une vitesse proche de C, l'électron ou le photon aurait une taille se maintenant relativement plus stable induisant une déviation stochastique en s'approchant dans le système inertiel constituant le diaphragme macroscopique, et obéirait à une loi normale gaussienne en la traversant. Une telle propriété de type élastique pourrait avoir des conséquences fondamentales, y compris en biologie quantique jouant un rôle dans l'émergence de la conscience favorisant la synchronisation des neurones à travers l'espace par des micro-interférences énergétiques, ou encore dans la fermeté de l'ADN du fait de sa structure en double spirale, le rendement énergétique de la photosynthèse... !

Curieux ! Voilà de bien curieuses images qui ressemblent beaucoup aux images ci-dessus et dont l'auteur Freiser s'en approprie !

Voir https://www.google.f...ages+quantiques vers la 5ème ou 6ème page : (La volonté de tromper est ici flagrante !)

post-192440-0-75994700-1454950626_thumb.jpg

post-192440-0-18055800-1454950644_thumb.jpg

Modifié par Lorrain27
  • Like 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
Invité au-temps-pour-moi
Invités, Posté(e)
Invité au-temps-pour-moi
Invité au-temps-pour-moi Invités 0 message
Posté(e)

Je veux bien etre cocufié si quelqu'un ici comprend quelque chose a tout ce verbiage. :o°

  • Like 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Poisson rouge très très méchant, 38ans Posté(e)
Loopy Membre 3 109 messages
38ans‚ Poisson rouge très très méchant,
Posté(e)

Un astrophysicien serait d'un grand usage dans l'exercice de te cocufier si c'était possible , ou un Penrose en puissance, mais dans la mesure où je ne crois pas que Penrose traîne par ici je crois que tu peux dormir sur tes deux cornes :D

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Enigmologue, Posté(e)
contrexemple Membre 6 293 messages
Enigmologue,
Posté(e)

Bonjour,

@Fresler : as-tu étudié à la fac les sciences ou es-tu autodidacte ?

As-tu une définition précise pour chaque terme technique employé ?

Combien cela t'a-t-il demandé de temps pour trouver cette théorie ?

Merci.

PS : Je t'invite vivement à poster un article dans arxiv.org.

  • Like 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité au-temps-pour-moi
Invités, Posté(e)
Invité au-temps-pour-moi
Invité au-temps-pour-moi Invités 0 message
Posté(e)

Un astrophysicien serait d'un grand usage dans l'exercice de te cocufier si c'était possible , ou un Penrose en puissance, mais dans la mesure où je ne crois pas que Penrose traîne par ici je crois que tu peux dormir sur tes deux cornes :D

Surtout que j'ai pas de copine en ce moment alors j'ai pas pris trop de risque. :D

Mais sérieusement, on peut tres difficilement se faire une idée, meme une toute petite, sur ce qu' écrit l'auteur de ce sujet tellement c'est rédigé de maniere absconse.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, scientifique, Posté(e)
Répy Membre 22 460 messages
scientifique,
Posté(e)

La longue "démonstration" précédente est mélangée à des citations du Coran. Je n'en vois pas l'utilité.

Avec beaucoup plus de modestie, Pierre Simon de Laplace a établi en 1806 les équations qui donnent les horaires des marées plusieurs années d'avance !

Napoléon qui avait commandé l'étude en prévoyance d'un débarquement en Angleterre demanda à Laplace :

"Mais Dieu dans tout cela ?"

Laplace lui répondit :

"Sire je n'ai pas eu besoin de cette hypothèse !"

et pourtant Laplace était catholique.

Les scientifiques ne mélangent pas les croyances si religieuses ou si "évidentes" soient-elles avec le vrai raisonnement et la véritable démonstration.

Alors, la longue démonstration de Frelser ne m'intéresse pas car il faut toujours séparer l'oratoire du laboratoire.

  • Like 3
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Poisson rouge très très méchant, 38ans Posté(e)
Loopy Membre 3 109 messages
38ans‚ Poisson rouge très très méchant,
Posté(e)

Surtout que j'ai pas de copine en ce moment alors j'ai pas pris trop de risque. :D

Mais sérieusement, on peut tres difficilement se faire une idée, meme une toute petite, sur ce qu' écrit l'auteur de ce sujet tellement c'est rédigé de maniere absconse.

La petite idée que j'ai modestement cru pouvoir extraire de cette théorie est qu'il s'agit d'une tentative d'unification. C'est d'ailleurs assez caractéristique de vouloir inclure en premier lieu la gravitation (grande absente du modèle stadard).

La théorie semble apporter des approche différentes de phénomène très particuliers et pour le moins "etranges" (au sens physique) comme l'intrication quantique ou la dualité.

J'ai cru par moment retrouver des accents de théories des cordes dans la partie dualité (même si je ne connais que très sommairement la théorie des cordes).

Il y a par ailleurs des mélanges entre les espaces de Minkowski (structure d'espace temps) avec des notions que je maîtrise mal comme l'"énergie du vide". Bref une sorte de pot au feu permettant à priori (selon l'auteur) une unification de lois physiques (ce qui fut pour certains un graal fut un temps).

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 48ans Posté(e)
Frelser Membre 5 478 messages
Forumeur balbutiant‚ 48ans‚
Posté(e)

Bonsoir. Je crois que j'ai mis le doigt juste ou il fallait. Les interressés peuvent suivre mes avancées sur mon blog.

En fait, les volumes de Planck qui sont considérés comme la limite de la physique ne sont rien d'autre que le seul et unique mur de Planck. La différence entre la longeur de Planck et une année-lumière est la zone de contact, la surface de l'espace-temps relativiste. Le volume restant de Planck l'énergie noire...

Les quanta d'énergie sont des sergments de droites de longueur canonique qui sont des tenseurs de courbure qui confinent tout l'espace-temps sur la suface du mur de Planck, qui grandit probablement très lentement du fait que l'échelle tend à zéro à l'infini. Ce qui justifie la flèche du temps, la thermodynamique, ...

P.S. : Si un ou des chercheurs sont partants pour m'aider à publier, cela m'honnorerait. Car je crois que nous sommes peut-être à l'aube d'une révolution de la physique théorique.

Cordialement.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 48ans Posté(e)
Frelser Membre 5 478 messages
Forumeur balbutiant‚ 48ans‚
Posté(e)

N.B. : J'ai plusieurs théories pour le moment, celui que j'ai mentionné brièvement dans le post précédant, et un autre modèle fractal relativiste. Selon ce modèle-ci qui semble aussi conduire à une solution pertinente, les volumes de Planck sont spatialement séparés. Les quantum sont toujours des traits de taille canonique infinitésimals, mais étant accélérés ils oscillent et prennent la forme de sphères pleines d'énergie. On aboutit à un modèle de relativité quantique fractale (portant deux des initiales de mes vrais noms :p). L'intrication et la gravité quantique sont la clé de voûte de ce modèle. En effet, les quantums se déplacent à une vitesse canonique à C2, en sorte que lorsqu'ils se touchent ils sont déviés latéralement en tangante ne pouvant violer la gravité quantique. L'intrication qui est un effet relativiste quantique au seuil critique de C4 cessent toute oscillation ou entrent en phase miroir. La topologie devient fractale et l'intérieur des particules devient vide. Une particule atteint un seuil critique canonique avant de subir une brisure de symétrie en surface et faire émerger un nouveau système fractal. Les particules qui en sont issus étant intriquées acquièrent des caractéristiques quantiques canoniques et s'organisent suivant des processus non-linéaires stochastiques. Le cycle continue éternellement, les quantums étant d'une dimension infinitésimale tendant à 0 à la limite de l'infini. Critère obligé pour rendre la théorie réfutable à l'origine qui remonte au passé à l'infini pour tendre à 0 à l'infini dans le passé.

Modifié par Frelser
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Lorrain27
Invités, Posté(e)
Invité Lorrain27
Invité Lorrain27 Invités 0 message
Posté(e)

La longue "démonstration" précédente est mélangée à des citations du Coran. Je n'en vois pas l'utilité.

Avec beaucoup plus de modestie, Pierre Simon de Laplace a établi en 1806 les équations qui donnent les horaires des marées plusieurs années d'avance !

Napoléon qui avait commandé l'étude en prévoyance d'un débarquement en Angleterre demanda à Laplace :

"Mais Dieu dans tout cela ?"

Laplace lui répondit :

"Sire je n'ai pas eu besoin de cette hypothèse !"

et pourtant Laplace était catholique.

Les scientifiques ne mélangent pas les croyances si religieuses ou si "évidentes" soient-elles avec le vrai raisonnement et la véritable démonstration.

Alors, la longue démonstration de Frelser ne m'intéresse pas car il faut toujours séparer l'oratoire du laboratoire.

Bonjour,

Il est évident que cet incroyable galimatias où on trouve tout et le contraire de tout est l'oeuvre d'un déséquilibré !

C'est une sorte de "patchwork" de morceaux d'articles et de figures puisés ça et là dans des domaines disparates.

A propos de votre exemple de Laplace, on peut citer aussi l'Abbé Georges Lemaître qui, le premier, a pensé au Big Bang après que Alexander Friedman ait trouvé une solution exacte à l'équation d'Einstein montrant que l'Univers est en expansion. Prenant ce phénomène à l'envers, Lemaître en déduisit que l'Univers a dû commencer à la taille d'un atome que Lemaître appela "atome primitif". Mais JAMAIS il ne fit la moindre référence à la religion.

Pourquoi les deux ou trois "savants" choisissent-ils ce forum pour y publier leurs théories plutôt qu'ici : http://arxiv.org/ ? C'est pourtant sur ce site que les scientifiques du monde entier publient leurs travaux ????

Pour revenir à l'illuminé, je me demande ce que vient faire dans son délire la constante de structure fine qu'il introduit ainsi :

post-192440-0-00853000-1454995405_thumb.gif

  • Like 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 48ans Posté(e)
Frelser Membre 5 478 messages
Forumeur balbutiant‚ 48ans‚
Posté(e)

N.B. : Bonjour Lorain27.

Pour revenir à nos moutons, le volume de Planck qui ne serait rien d'autre que la rémanance du mur de Planck à la surface de laquelle se formerait l'espace-temps relativiste devient de dimension nulle de par la vitesse de tous les éléments du sous-plan quantique au carré de la vitesse de la lumière : l'espace vide de quantum étant interprété comme une distance réduite comme soulevé dans notre papier (sur le blog). Il est intéressant que la rétraction des longeurs et du temps caractérisant la RG conduit à cette même conséquence...

Les caractéristiques comme l'état de spin, le moment magnétique, la masse etc., seraient maintenues stables par une intrication. L'intrication devient un effet relativiste quantique quand les particules qui sont le fruit de C^2 se touchent sur la surface du mur de Planck à C^4, figeant le temps pour les paritules intriquées jusqu'à une perturbation relativiste... Cet effet relativiste quantique serait à l'origine des constantes relativistes, par un guidage spin-orbite.

Il est remarquable que l'inertie des objets dans le vide devant maintenir leur trajectoire stable et à vitesse constante, la force primaire sera le seul niveau de force à se maintenir. La masse nulle des quantum ne permettant qu'une décélération (infiniment) nulle. De cette façon, la vitesse limite clé de la relativité quantique de C^2 s'explique de même sans magie, ainsi que l'intrication des quantum en jeux de miroirs inertiels à mouvement perpétuel.

Le guidage spin-tronic pourrait avoir un mécanisme photonique, dirigeant les éléments constituant les quarks par des jeu d'émissions de photons de façon non-linéaire obéissant à une loi normale probabiliste.

Autre conséquence qui devient triviale : la dualité onde particule. En effet, l'électron qui s'approche des fentes de Young serait une distorsion relativiste quantique, qui réduirait les dimensions des particules à l'approche de l'obstacle qui le ramène plus près de la limite de Planck du système, de façon asymptotique, maintenant la trajectoire avec une déviation angulaire variant de façon stochastique dans un rayon de circonférence proportionelle à cet effet de distorsion spatio temporelle du vide quantique à l'approche de la cible semblant également rétrécir à la vitesse de la lumière.

Modifié par Frelser
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Agitateur Post Synaptique, 55ans Posté(e)
zenalpha Membre 19 067 messages
55ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

Tu parles de l'abbé Lemaitre ?

Merde, il semble moins t'emmerder avec sa religion que le pauvre Freiser

Remarque qu'en tant que spécialiste des pommes tu ne dois pas être sans connaître la foi quasi dogmatique de Newton

Nietsche dans humain trop humain fait allusion à la chute des sciences sans un double cerveau

Celui de la science qui regule et celui de la capacité à s'émerveiller qui leurre parfois mais qui chauffe l'intuition

Un seul cerveau n'est pas disponible pour beaucoup...

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 48ans Posté(e)
Frelser Membre 5 478 messages
Forumeur balbutiant‚ 48ans‚
Posté(e)

P.S. : Tout étant en physique une question de mesure et d'interférence sensible, la limitation de vitesse conduit de même à un effet en réalité tout aussi intelligible sans magie... En effet, un objet qui se déplacerait à cette vitesse limite deviendrait indétectable, et rétrécirait proportionellement à la direction de sa trajectoire. Un objet s'approchant d'un autre objet ne pouvant jamais le dépasser, s'en rapprocherait jusqu'à se toucher à la vitesse limite plus ou moins tot ou tard selon leurs distances respectives.

Un objet s'approchant d'un autre qui a une vitesse proche de la vitesse critique s'en approcherait et la contournerait par cet effet de distorsion... Ainsi, la MQ a pour clé initiant sa gravitation le carré de la vitesse de la lumière. L'énergie du vide quantique et son niveau de célérité, même proche de zéro aura en gravitation quantique un effet démultiplié sur les quantum de dimension infinitésimales. Qui interférera avec l'espace-temps depuis le sous-plan quantique. Toute la beauté pesistante étant la variance d'échelle rendant ces distorsions quasi insensibles à l'écart de ces vitesses ultimes de la physique...

Modifié par Frelser
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Enigmologue, Posté(e)
contrexemple Membre 6 293 messages
Enigmologue,
Posté(e)

Bonsoir.

Les quanta d'énergie sont des sergments de droites de longueur canonique qui sont des tenseurs de courbure qui confinent tout l'espace-temps sur la suface du mur de Planck, qui grandit probablement très lentement du fait que l'échelle tend à zéro à l'infini. Ce qui justifie la flèche du temps, la thermodynamique, ...

Cordialement.

Bonjour,

Tu veux dire que la distance de Planck change ?

Je ne suis pas physicien, mais je veux bien d'aider à me faire comprendre ta théorie, en répondant à mes questions.

Merci.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Lorrain27
Invités, Posté(e)
Invité Lorrain27
Invité Lorrain27 Invités 0 message
Posté(e)

N.B. : Bonjour Lorain27.

Pour revenir à nos moutons, le volume de Planck qui ne serait rien d'autre que la rémanance du mur de Planck à la surface de laquelle se formerait l'espace-temps relativiste devient de dimension nulle de par la vitesse de tous les éléments du sous-plan quantique au carré de la vitesse de la lumière : l'espace vide de quantum étant interprété comme une distance réduite comme soulevé dans notre papier (sur le blog). Il est intéressant que la rétraction des longeurs et du temps caractérisant la RG conduit à cette même conséquence...

Les caractéristiques comme l'état de spin, le moment magnétique, la masse etc., seraient maintenues stables par une intrication. L'intrication devient un effet relativiste quantique quand les particules qui sont le fruit de C^2 se touchent sur la surface du mur de Planck à C^4, figeant le temps pour les paritules intriquées jusqu'à une perturbation relativiste... Cet effet relativiste quantique serait à l'origine des constantes relativistes, par un guidage spin-orbite.

Il est remarquable que l'inertie des objets dans le vide devant maintenir leur trajectoire stable et à vitesse constante, la force primaire sera le seul niveau de force à se maintenir. La masse nulle des quantum ne permettant qu'une décélération (infiniment) nulle. De cette façon, la vitesse limite clé de la relativité quantique de C^2 s'explique de même sans magie, ainsi que l'intrication des quantum en jeux de miroirs inertiels à mouvement perpétuel.

Le guidage spin-tronic pourrait avoir un mécanisme photonique, dirigeant les éléments constituant les quarks par des jeu d'émissions de photons de façon non-linéaire obéissant à une loi normale probabiliste.

Autre conséquence qui devient triviale : la dualité onde particule. En effet, l'électron qui s'approche des fentes de Young serait une distorsion relativiste quantique, qui réduirait les dimensions des particules à l'approche de l'obstacle qui le ramène plus près de la limite de Planck du système, de façon asymptotique, maintenant la trajectoire avec une déviation angulaire variant de façon stochastique dans un rayon de circonférence proportionelle à cet effet de distorsion spatio temporelle du vide quantique à l'approche de la cible semblant également rétrécir à la vitesse de la lumière.

Du délire, encore du délire et toujours du délire !

  • Like 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 48ans Posté(e)
Frelser Membre 5 478 messages
Forumeur balbutiant‚ 48ans‚
Posté(e)

J'ai pour toi plusieurs questions alors Lorrain27. Selon la RG, est-ce que tout l'espace-temps n'est pas décrit comme le même et unique espace mais en agrandi ? Question n.2 : est-ce que le temps disparait en MQ. Question n.3 : est-ce que si la vitesse des particules du sous-plan quantique (l'infiniment petit) est comme je le soutiens dans mon papier le carré de C, on n'aboutirait pas très exactement à ces conséquences ?

J'ai par ailleurs montré dans mon papier (déposé sur mon blog) comment on arrive à la conclusion que dans le sous-plan quantique, la vitesse critique est le carré de C. (Toute critique constructive est la bienvenue. Evidemment.)

Cordialement.

Modifié par Frelser
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité dominette999
Invités, Posté(e)
Invité dominette999
Invité dominette999 Invités 0 message
Posté(e)

Le premier signe d'intelligence quand on veut faire passer un message est de faire preuve de clarté.... Ici en l'occurrence, le posteur embrouille tout le monde : c'est un post en plus qui veut prouver (lol !) des assertions du coran par le fait scientifique... Bonjour l'embrouillamini qui ne sert à rien... :dev:

  • Like 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 48ans Posté(e)
Frelser Membre 5 478 messages
Forumeur balbutiant‚ 48ans‚
Posté(e)

Bonjour,

Tu veux dire que la distance de Planck change ?

Je ne suis pas physicien, mais je veux bien d'aider à me faire comprendre ta théorie, en répondant à mes questions.

Merci.

La longueur de Planck ne change pas. Elle est figée temporellement par rapport à la surface de l'Univers car tout ce qui le constitue se déplace au carré de la vitesse de la lumière. Le rapport entre une longueur de Planck et une année-lumière de la surface de l'espace devant juste varier métriquement si la RG est juste, le décalage que j'ai souligné est la marque de ce que l'espace-temps relativiste constitue la surface du volume de Planck sur lequel la physique relativiste bute. En fait, la RG elle-même serait un Univers achevé avec son passé, son présent et son futur sur la surface du mur de Planck.

Imagines une infinité de quantum de dimensions infiniment petites confinées dans un volume unfiniment petit qui se percutent au carré de la vitesse de la lumière. Ne pouvant violer cette vitesse critique elles resteront agglutinées dans le volume d'espace et figées avec un taux d'entropie tendant à 0 à l'infini.

Or, pour que l'espace quantique (le vide) puisse s'étendre comme prêdit par la RG, en un temps si court à une vitesse suffisante, la MQ doit permettre une vitesse limite plus élevée que C...

Amitié.

Modifié par Frelser
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

Chargement

×