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L'avenir se tourne vers les nouveaux métiers

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Lineole Membre 715 messages
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Je crois que les cadres sup sont moins à plaindre que l'ouvrier de base. Car si leur conditions se détériorent (comme dans tous métiers, même si je constate que la séniorité est plus valorisée chez les cadres que dans le monde ouvrier), ils peuvent au moins se targuer de toucher un salaire décent qui augmentera avec l'expérience. Un balayeur de rue touchera quant à lui quasiment le même salaire toute sa vie.

Le métier de prof est magnifique, mais en France, c'est un métier ingrat qui décourage des vocations. Je crois que je n'ai pas besoin de te faire un dessin. Que dire du métier de sage femme qui était en grève il y a peu de temps en arrière?

L'argent ne fait pas tout, je suis 100% d'accord, mais la passion non plus. Le rêve, c'est le bon compromis entre passion, revenus et reconnaissance. Je n'envie donc pas les ministres, ni les chauffeurs de taxi, mais ceux qui n'exercent pas ce genre de sous métiers ingrats qui anéanti toutes passions. Une auxiliaire puéricultrice très utile, s'est sentie dépréciée à force de sentir les pressions de la hiérarchie médicale, le manque de reconnaissance des mamans qui aujourd'hui, ont la prétention de tout savoir, ajouté à la fiche de paie peu motivante.

Les métiers inhumains dont tu sembles faire référence sont des métiers pour lesquels on peut vouer une véritable passion. Tu vois, le lien de corrélation n'est pas aussi évident. On peut s'éclater dans les chiffres, le conseil, avec ce sentiment d'avoir accompli quelques choses qui à défaut d'être aussi utile que le métier d'infirmière, peut s'avérer aussi voire plus gratifiant d'un point de vue personnel et surtout beaucoup plus rémunérateur.

Passion pour les chiffres ? Chez un chercheur en mathématique je veux bien, mais chez un trader, c'est plus de l'addiction au jeu d'argent. Le trading haute fréquence s’apparentant beaucoup plus à un jeu video en ligne qu'à un travail.

Je n'ai rencontré, de m'a vie, aucun comptable passionné. Plus content qu'un ouvrier oui, pour les conditions de travail, les horaires, le revenu, du moins en ce que celui-ci lui permettait de faire. Mais toujours avec beaucoup de cynisme. Jamais aucune ambition humaine, altruiste.

Or sans altruisme (ce qui ne veut pas dire non plus qu'"avec" de l'atruisme), les individus se vident d'eux-mêmes même lorsqu'ils le dissimulent. Et beaucoup d'employés de la FP (de C à A)sont alors dans cette même situation un peu médiocre que des cadres ou "fonctionnaires" du privé, avec leurs petites routines, le fonctionnement circulaire, en vase clos.

Je suis toujours amusé par exemple de voir des cadres du privé renvoyer les prof. à la méconnaissance de l'entreprise, et donc de la vraie vie. Comme si il y avait une "vraie vie" et une fausse... autant de bêtise est surtout illustrative d'un siphonnage du peu d'éléments intellectuels, réflexif, acquis, dans cette immersion prolongée dans un bain de travail anesthésiant, limitant la vue à un secteur, parfois hyper spécifique.

__

Sur la reconnaissance et la dépréciation.

Tu confonds métier et condition salariale.

Le métier est une chose, qui en soi n'est pas limité à sa pratique spécifique à un temps T dans un lieu donné.

Les conditions de travail, le plus souvent salariale, sont la donnée d'application qui abîme ou non un professionnel (voire même des amateurs tels que des bénévoles).

Et cette détérioration ne vient pas de nulle part par magie...

Je crois avoir expliqué la partie macro-économique de son cadre de contrainte. PDP et Louise, ont un peu évoqué, à leur manière, ce que le travail de certains fait au travail de beaucoup pour se donner, lui, de meilleures conditions.

Une masse considérable de "cadres" n'ont plus pour autre "métier" (se confondant avec leur fonction), que de détruire du travail, de l'emploi. De ré-organiser le travail pour le déshumaniser au plus près de la rentabilité financière pour des actionnaires, rentiers, ou salariés/rentiers.

J'espère ne pas devoir t'apprendre ce que sont les LBO ? Et leurs conséquences réelles, dramatiques et socialement contre-productives à tout niveaux, au-delà de la façon dont ils sont vendu par la théorie et les manuels d'économie ultra-libérale.

Tu connais probablement aussi bien le knowledge management, et sa volonté en réalité de rendre transparent le salarié, même à moyen niveau : plus transmissible, plus interchangeable en fait, tant il est vrai que nul ne doit être "reconnu" indispensable que le staff le plus élevé...

Ais-je vraiment besoin d'aller plus loin ?

Je propose à toutes et tous la lecture de la Barbarie douce de Jean-Pierre Legoff. Des chiffres, mais aussi et surtout de l'analyse du réel, de l'enquête in situ, de la connaissance de terrain.

Paul Jorion, sur l'Argent aussi, et son expérience des salles de marché, de l'assurance et de la banque.

Etc.

___

Vois-tu Vilaine, tu nous vends un monde dont l'auto-évaluation, circulaire se légitime tout seul comme beau, merveilleux, glorieux, comme celui d'enfants jouant aux playmobils.

Il y a une véritable et cynique inconséquence de l'action sur le réel, de la façon dont les choses sont liées... Interdépendantes.

C'est bien de regarder SA vie, SA réussite, mais c'est plus problématique de ne pas vouloir savoir que d'autres en paient le prix... Et que, NON, ce n'est pas "comme ça !", avec fatalisme, "depuis que le monde est monde..." pour se faciliter la conscience.

Il y a des beaux métiers, humains, utiles aux hommes, et la structure de développement sans frein (productivité/croissance démographique), génère du parasitisme qui salit ces beaux métiers, de l'agriculture à l'infirmière en passant par le prof. et la boulangère.

Je ne dis pas qu'il ne faut pas d'informatique ni de programmeu-r-se-s, mais que moins de la moitié servent humainement à quelque chose.

Et c'est encore pire pour des économistes ou des juristes de l'OCDE par exemple, qui en 1997 indiquaient qu'il faudrait privatiser progressivement la santé et l'éducation dans les pays occidentaux... Ce gisement de "croissance financière". Mais lentement pour ne pas susciter trop de méfiance et de réactions de la part des populations...

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Passion pour les chiffres ? Chez un chercheur en mathématique je veux bien, mais chez un trader, c'est plus de l'addiction au jeu d'argent. Le trading haute fréquence s’apparentant beaucoup plus à un jeu video en ligne qu'à un travail.

Je ne parle pas forcément de trading. Figure toi qu'il y a tout un tas d'activités qui demande une vrai passion pour les chiffres (comme par exemple, les métiers qui font appel à des compétences en statistique, la physique, la recherche etc..).

Je n'ai rencontré, de m'a vie, aucun comptable passionné. Plus content qu'un ouvrier oui, pour les conditions de travail, les horaires, le revenu, du moins en ce que celui-ci lui permettait de faire. Mais toujours avec beaucoup de cynisme. Jamais aucune ambition humaine, altruiste.

J'en connais quelques uns, avec beaucoup d'alturisme. Ce sont même des gens "fun", bien éloignés du clichés que tu leur accordes. On peut faire un boulant à priori laborieux et y trouver un réel plaisir: plaisir du travail bien fait, du devoir accompli. Plaisir de voir que tout fonctionne bien. Plaisir de résoudre des problèmes...

Or sans altruisme (ce qui ne veut pas dire non plus qu'"avec" de l'atruisme), les individus se vident d'eux-mêmes même lorsqu'ils le dissimulent. Et beaucoup d'employés de la FP (de C à A)sont alors dans cette même situation un peu médiocre que des cadres ou "fonctionnaires" du privé, avec leurs petites routines, le fonctionnement circulaire, en vase clos.

C'est un cliché, encore une fois.

Je connais des banquiers, qui, pour contrebalancer leur "esprit capitaliste" s'investissent encore plus dans des activités humanitaires en dehors de leur travail. Bien plus que le travailleur lambda qui ne fait que râler sur ses conditions de travail, son salaire misérable et qui est en fin de compte, moins généreux que le riche financier capitaliste.

Je te souhaite de rencontrer des gens comme ça...Un montre en diamant et un coeur en or.

Je suis toujours amusé par exemple de voir des cadres du privé renvoyer les prof. à la méconnaissance de l'entreprise, et donc de la vraie vie. Comme si il y avait une "vraie vie" et une fausse... autant de bêtise est surtout illustrative d'un siphonnage du peu d'éléments intellectuels, réflexif, acquis, dans cette immersion prolongée dans un bain de travail anesthésiant, limitant la vue à un secteur, parfois hyper spécifique.

J'admire le métier de prof, mais c'est vrai qu'ils font rire ces profs avec leur 10 semaines de congés, leur 20h par semaine. Je ne remets pas en question la pression qu'ils subissent, mais je trouve qu'ils ne sont pas à plaindre.

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Invité au-temps-pour-moi
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Je crois que ça a deja eté dit ( par linéole peut etre ) mais de toute façon, tout métier, meme parmi les plus prestigieux, fini par etre répétitif et l'interet en diminue fortement avec le temps.

On peut peut etre excepter celui de chercheur ( autre que d'emploi) et celui d'écrivain.

Avant on aurait éventuellement ajouté celui d'artiste, a une époque ou l'art n'etait pas encore devenu une branche de l'économie.

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Lineole Membre 715 messages
Baby Forumeur‚
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Je ne parle pas forcément de trading. Figure toi qu'il y a tout un tas d'activités qui demande une vrai passion pour les chiffres (comme par exemple, les métiers qui font appel à des compétences en statistique, la physique, la recherche etc..).

Je parlais moi-même des chercheurs... Mais je te parle, moi, dans l'absence de passion, du trading et de quelques autres fonctions financières. Et sur ce point tu ne dis rien.

J'en connais quelques uns, avec beaucoup d'alturisme. Ce sont même des gens "fun", bien éloignés du clichés que tu leur accordes. On peut faire un boulant à priori laborieux et y trouver un réel plaisir: plaisir du travail bien fait, du devoir accompli. Plaisir de voir que tout fonctionne bien. Plaisir de résoudre des problèmes...

On peut qualifier de "fun" beaucoup de chose, je ne mesure pas la passion ou la grandeur au "fun", qui présente plutôt la capacité à faire la fête en s'attachant la cravate comme couronne sur la tête après avoir bu en sortant du bouleau... Cliché ? Des centaines de bars peuvent en témoigner à Paris...

Que quelques comptables éprouvent le plaisir de résoudre des problèmes... ? Oui, mais combien en % et combien de temps sur la durée de carrière ?

Combien plus que ces "pauvres" que tu plains toi aussi par cliché ?

C'est un cliché, encore une fois.

Je connais des banquiers, qui, pour contrebalancer leur "esprit capitaliste" s'investissent encore plus dans des activités humanitaires en dehors de leur travail. Bien plus que le travailleur lambda qui ne fait que râler sur ses conditions de travail, son salaire misérable et qui est en fin de compte, moins généreux que le riche financier capitaliste.

Je te souhaite de rencontrer des gens comme ça...Un montre en diamant et un coeur en or.

Un cliché ? Tu veux sans doute dire l'ouvrier pauvre, râleur, et mesquin ?

Et tu es obligé de mettre en avant leurs activités extérieures au travail ?

Vois-tu, j'ai été amené à côtoyer des milieux aisés variés (et pas que) et je n'ai jamais rencontré ce que tu décris, en plus de 30 ans...

Mais j'ai souvent entendu des exemples "magiques" apparaissant pour justifier un discours. Ce type d'exemple n'engage que celles et ceux qui veulent avoir la foi.

J'admire le métier de prof, mais c'est vrai qu'ils font rire ces profs avec leur 10 semaines de congés, leur 20h par semaine. Je ne remets pas en question la pression qu'ils subissent, mais je trouve qu'ils ne sont pas à plaindre.

Quand tu seras capable de tenir devant une classe durant une semaine, une simple semaine, on en reparlera.

Je ne suis pas prof mais j'ai observé cette expérience plusieurs dizaine de fois dans le secondaire, c'est risible et surtout pitoyable. En tout les cas le discours changeait ensuite du tout au tout...

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Invité Vilaine
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Je parlais moi-même des chercheurs... Mais je te parle, moi, dans l'absence de passion, du trading et de quelques autres fonctions financières. Et sur ce point tu ne dis rien
.

Je veux te faire comprendre que la passion n'est pas propre à un métier. Des traders, financiers peuvent être beaucoup plus passionnés qu'un footballer professionnel censé vivre de sa passion. J'ai connu des gens qui parlaient de leur métier supposé "ennuyeux" avec des étoiles dans les yeux...

On peut qualifier de "fun" beaucoup de chose, je ne mesure pas la passion ou la grandeur au "fun", qui présente plutôt la capacité à faire la fête en s'attachant la cravate comme couronne sur la tête après avoir bu en sortant du bouleau... Cliché ? Des centaines de bars peuvent en témoigner à Paris...

La passion est propre à chacun. On peut être sobre et passionné. Maintenant,je ne sais pas quel type de bar tu fréquentes car je n'ai vu aucun débiles s'attacher la cravate autour de la tête dans des bars parisiens. Peut-être que je fréquente des bars un peu trop selects, où les gens savent se comporter comme des êtres civilisés. En revanche, ça ne m'étonnerait pas de voir ça dans des bars de pauvres.

Que quelques comptables éprouvent le plaisir de résoudre des problèmes... ? Oui, mais combien en % et combien de temps sur la durée de carrière ?

Combien plus que ces "pauvres" que tu plains toi aussi par cliché ?

Le problème de la profession n'est pas lié aux chiffres, mais plus à la pression qui en découle. Ceci dit, j'en ai vu qui savait très bien la gérer. Et toi, tu as vu combien de routiers qui se plaignaient de leur job? Combien de nettoyeurs sous payés sans reconnaissance? Combien de dames pipi remerciées?

Un cliché ? Tu veux sans doute dire l'ouvrier pauvre, râleur, et mesquin ?

Et tu es obligé de mettre en avant leurs activités extérieures au travail ?

Vois-tu, j'ai été amené à côtoyer des milieux aisés variés (et pas que) et je n'ai jamais rencontré ce que tu décris, en plus de 30 ans...

Mais j'ai souvent entendu des exemples "magiques" apparaissant pour justifier un discours. Ce type d'exemple n'engage que celles et ceux qui veulent avoir la foi.

Pas seulement...Les plus altruistes ne font pas partie de la classe moyenne, ce sont soit les plus pauvres, soit les plus riches. Il n'est pas étonnant de voir les plus riches déverser une part de leur bien, tandis que la classe moyenne, elle, ne s'arrête même pas devant le clochard au coin de rue. De même, il n'est pas rare de voir dans les pays pauvres une entraide et une solidarité qu'on ne retrouve pas ici. Ne me dis pas que je suis en train de t'apprendre quelque chose...

Quand tu seras capable de tenir devant une classe durant une semaine, une simple semaine, on en reparlera.

Je ne suis pas prof mais j'ai observé cette expérience plusieurs dizaine de fois dans le secondaire, c'est risible et surtout pitoyable. En tout les cas le discours changeait ensuite du tout au tout...

Tu t'adresses à la mauvaise personne... :)

Enseigner est un réel plaisir, et si les conditions sont difficile, elles ne sont pas aussi dures qu'un ouvrier ou un cadre qui affiche plus de 35 heures de travail dans les pattes, avec ses 5 misérables semaines de vacances. Franchement, ils ne sont pas à plaindre, surtout quand on est parent...C'est un luxe d'avoir deux mois de vacances en été pour s'occuper de sa progéniture. Ne me dis pas que je t'apprends quelque chose là aussi...

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Membre, 73ans Posté(e)
Morfou Membre 57 155 messages
Maitre des forums‚ 73ans‚
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Merci de préciser que cette émission était diffusuée sur TF1

Cela ne change rien aux réalités dites dans ce docu!

Vous vous faites une haute idée des hautes études et de métiers qui pour vous sont plus valorisants que d'autres, sans prendre en compte la passion pour ces petits métiers qui existe bel et bien!

Et ce n'est certes pas la difficulté et le temps passé, la rémunération qui y change quoi que ce soit!

Maintenant, si vous êtes si riche que cela, si vous avez une vie super intéressante et tutti quanti, que faites vous sur un forum a faire votre propagande?

Quand on a la jeunesse et une belle vie, on ne perd pas son temps sur un forum "de vieux"! :cool:

Vous n'êtes pas crédible!

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Invités, Posté(e)
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Cela ne change rien aux réalités dites dans ce docu!

Vous vous faites une haute idée des hautes études et de métiers qui pour vous sont plus valorisants que d'autres, sans prendre en compte la passion pour ces petits métiers qui existe bel et bien!

Et ce n'est certes pas la difficulté et le temps passé, la rémunération qui y change quoi que ce soit!

Maintenant, si vous êtes si riche que cela, si vous avez une vie super intéressante et tutti quanti, que faites vous sur un forum a faire votre propagande?

Quand on a la jeunesse et une belle vie, on ne perd pas son temps sur un forum "de vieux"! :cool:

Vous n'êtes pas crédible!

Prendre TF1 comme source de référence, c'est vraiment une blague.

La passion existe aussi pour ces métiers plus prestigieux. Mais la différence, c'est qu'il y a le salaire décent en plus. Donc franchement, à choisir...

Quant à ta deuxième remarque, tu as raison. J'espère que tout le monde te lira, surtout les vieux.

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Lineole Membre 715 messages
Baby Forumeur‚
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Je veux te faire comprendre que la passion n'est pas propre à un métier. Des traders, financiers peuvent être beaucoup plus passionnés qu'un footballer professionnel censé vivre de sa passion. J'ai connu des gens qui parlaient de leur métier supposé "ennuyeux" avec des étoiles dans les yeux...

Tu veux d'abord me faire comprendre que la passion se trouve plutôt là où il y a du statut, de la reconnaissance et de l'argent, ou dans la recherche puisque tu en conviens, et lorsque j'élimine l'argent et le statut, tu veux soudain me faire comprendre que la passion n'est plus le propre de rien, donc finalement, l'ouvrier devient un possible de ce que tu décrivais comme impossible au début...

Je ne te suis plus.

Mais bon, si le but est seulement d'avoir raison, alors, simplifions, tu as raison ! :)

La passion est propre à chacun. On peut être sobre et passionné. Maintenant,je ne sais pas quel type de bar tu fréquentes car je n'ai vu aucun débiles s'attacher la cravate autour de la tête dans des bars parisiens. Peut-être que je fréquente des bars un peu trop selects, où les gens savent se comporter comme des êtres civilisés. En revanche, ça ne m'étonnerait pas de voir ça dans des bars de pauvres.

Je ne fréquentes pas, je fais des observations... Et on peut voir ça dans une boite sélect comme dans un bar populaire.

Effectivement, ce n'est pas le genre de chose que l'on verra au café de la paix, à la rotonde ou au petit trianon... Mais ce sont plutôt des lieux de rentiers que de cadres.

Le problème de la profession n'est pas lié aux chiffres, mais plus à la pression qui en découle. Ceci dit, j'en ai vu qui savait très bien la gérer. Et toi, tu as vu combien de routiers qui se plaignaient de leur job? Combien de nettoyeurs sous payés sans reconnaissance? Combien de dames pipi remerciées?

Il n'existe plus beaucoup de dame pipi... Et pour les camionneurs, c'est variable. Beaucoup sont leur propre patron en fait, et ceux-là le vive plutôt bien. Dans l'ensemble il n'y a plus de prise de médicaments par exemple chez les routiers que chez les cadres de grands groupes financiers et industriels. Les uns avec des antalgiques pour douleurs de dos, mais à partir de 45 ans souvent. Les autres avec des anxiolytiques ou des stimulants.

Et si, les chiffres seraient très illustratif de cette survalorisation que tu fais de certains métiers.

Pas seulement...Les plus altruistes ne font pas partie de la classe moyenne, ce sont soit les plus pauvres, soit les plus riches. Il n'est pas étonnant de voir les plus riches déverser une part de leur bien, tandis que la classe moyenne, elle, ne s'arrête même pas devant le clochard au coin de rue. De même, il n'est pas rare de voir dans les pays pauvres une entraide et une solidarité qu'on ne retrouve pas ici. Ne me dis pas que je suis en train de t'apprendre quelque chose...

Tu idéalises beaucoup, là encore. Il y a beaucoup plus de compétition entre pauvres que d'entraide, les études sur les sdf le montrent assez bien. Pour certains pays en voie de développement, tout dépend de l'état de la culture traditionnelle et des transformations des relations économiques et juridiques. Les villes sont le plus souvent des lieux d'exploitation de la misère des nouveaux venus des campagnes par des pauvres de la ville, pour créer une hiérarchie parallèle à celle dominante.

Les classes moyennes comptent le plus grand nombre de bénévoles, et de donateurs à des associations humanitaires et diverses.

Les riches donnent surtout pour se défiscaliser, et de grosses sommes et de manière visible qui leur permettent de se faire valoir fortement dans leurs réseaux sociaux, ou d'avoir des zones d'influences, de clientélisme. Les Pinçon-Charlot ont travaillé là-dessus si tu veux t'y intéresser.

Tu t'adresses à la mauvaise personne... :)

Enseigner est un réel plaisir, et si les conditions sont difficile, elles ne sont pas aussi dures qu'un ouvrier ou un cadre qui affiche plus de 35 heures de travail dans les pattes, avec ses 5 misérables semaines de vacances. Franchement, ils ne sont pas à plaindre, surtout quand on est parent...C'est un luxe d'avoir deux mois de vacances en été pour s'occuper de sa progéniture. Ne me dis pas que je t'apprends quelque chose là aussi...

Je m'adresse à la bonne personne... Ce serait réellement drôle de te voir faire, ne serait-ce qu'une semaine d'essais !

Mais bon, tu participeras donc à déconstruire l'éducation... par égalitarisme idéologiquement pur. Il n'y a déjà plus beaucoup de candidat-e-s à tes deux mois de vacances (moins deux semaines de préparation - institutionnelle - que tu ne connais visiblement pas, mais c'est normal, ce discours stigmatisant est toujours le même). On va arriver à une éducation publique par des bacs, ou même en-dessous, avec un retour des pauvres intellectuellement, et des écoles privés pour bien re-hiérarchiser. Dans 50 ans à ce rythme, on aura retrouvé le niveau d'analphabétisme du milieu du 19e... Et ce à côté d'une élite bourgeoise rentière qui pourra à nouveau sonner ses domestiques...

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Invité Vilaine
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Invité Vilaine
Invité Vilaine Invités 0 message
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Tu veux d'abord me faire comprendre que la passion se trouve plutôt là où il y a du statut, de la reconnaissance et de l'argent, ou dans la recherche puisque tu en conviens, et lorsque j'élimine l'argent et le statut, tu veux soudain me faire comprendre que la passion n'est plus le propre de rien, donc finalement, l'ouvrier devient un possible de ce que tu décrivais comme impossible au début...

Je ne te suis plus.

Mais bon, si le but est seulement d'avoir raison, alors, simplifions, tu as raison ! :)

Je n'ai jamais dit que les petits métiers n'étaient pas passionnants :gurp:

Montre moi le passage qui t'a fait penser ça.

Je ne fréquentes pas, je fais des observations... Et on peut voir ça dans une boite sélect comme dans un bar populaire.

Effectivement, ce n'est pas le genre de chose que l'on verra au café de la paix, à la rotonde ou au petit trianon... Mais ce sont plutôt des lieux de rentiers que de cadres.

Comment peux-tu observer sans fréquenter?

Je serais tentée d'ouvrir un topic pour recenser les gens qui ont vu ça dans les bars...

Il n'existe plus beaucoup de dame pipi... Et pour les camionneurs, c'est variable. Beaucoup sont leur propre patron en fait, et ceux-là le vive plutôt bien. Dans l'ensemble il n'y a plus de prise de médicaments par exemple chez les routiers que chez les cadres de grands groupes financiers et industriels. Les uns avec des antalgiques pour douleurs de dos, mais à partir de 45 ans souvent. Les autres avec des anxiolytiques ou des stimulants.

Et si, les chiffres seraient très illustratif de cette survalorisation que tu fais de certains métiers.

Je te retourne la remarque. Les chiffres seraient très illustratifs de ce que tu es en train de me raconter. Je me rends compte en fait, qu'en plus des problèmes physiques, les métiers manuels doivent faire face à des problèmes d'ordre psychiologiques (qui se règlent à coup d'anxiolytiques, de boissons alcoolisées et j'en passe, sans compter l'obésité qui touche beaucoup plus les classes populaires). C'est dur d'être pauvre par les temps qui courent.

Tu idéalises beaucoup, là encore. Il y a beaucoup plus de compétition entre pauvres que d'entraide, les études sur les sdf le montrent assez bien. Pour certains pays en voie de développement, tout dépend de l'état de la culture traditionnelle et des transformations des relations économiques et juridiques. Les villes sont le plus souvent des lieux d'exploitation de la misère des nouveaux venus des campagnes par des pauvres de la ville, pour créer une hiérarchie parallèle à celle dominante.

Les classes moyennes comptent le plus grand nombre de bénévoles, et de donateurs à des associations humanitaires et diverses.

ça me donne aussi envie d'ouvrir un topic. Il y a pas mal de gens issus de classes populaires et connaissant un peu les forumeurs, je sais que peu sont tournés vers l'humanitaire. J'ai remarqué que les plus généreux et les plus engagés étaient issus de milieux plus favorisés, sans doute pour balayer le contraste avec leur niveau de vie.

Les riches donnent surtout pour se défiscaliser, et de grosses sommes et de manière visible qui leur permettent de se faire valoir fortement dans leurs réseaux sociaux, ou d'avoir des zones d'influences, de clientélisme. Les Pinçon-Charlot ont travaillé là-dessus si tu veux t'y intéresser.

Oui bien sûr, mais pas seulement.

Je m'adresse à la bonne personne... Ce serait réellement drôle de te voir faire, ne serait-ce qu'une semaine d'essais !

J'ai fait plus :)

Mais bon, tu participeras donc à déconstruire l'éducation... par égalitarisme idéologiquement pur. Il n'y a déjà plus beaucoup de candidat-e-s à tes deux mois de vacances (moins deux semaines de préparation - institutionnelle - que tu ne connais visiblement pas, mais c'est normal, ce discours stigmatisant est toujours le même). On va arriver à une éducation publique par des bacs, ou même en-dessous, avec un retour des pauvres intellectuellement, et des écoles privés pour bien re-hiérarchiser. Dans 50 ans à ce rythme, on aura retrouvé le niveau d'analphabétisme du milieu du 19e... Et ce à côté d'une élite bourgeoise rentière qui pourra à nouveau sonner ses domestiques...

Ben voyons..C'est tellement grotesque que ça en devient drôle.

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Membre, 73ans Posté(e)
Morfou Membre 57 155 messages
Maitre des forums‚ 73ans‚
Posté(e)

"je te retourne la remarque. Les chiffres seraient très illustratifs de ce que tu es en train de me raconter. Je me rends compte en fait, qu'en plus des problèmes physiques, les métiers manuels doivent faire face à des problèmes d'ordre psychiologiques (qui se règlent à coup d'anxiolytiques, de boissons alcoolisées et j'en passe, sans compter l'obésité qui touche beaucoup plus les classes populaires). C'est dur d'être pauvre par les temps qui courent." dit dame Vilaine qui ne sait apparemment pas ce que l'on appelle "l'alcoolisme des cols blancs!

Témoignage

J’ai

toujours

été «

col blanc

»

,

dès mon premier emploi. «

Col blanc

» est un terme d’argot

utilisé pour désigner des dirigeants ou cadres du monde des affaires et de l’entreprise en

particulier. L’expression vient de la chemise blanche, à col

blanc donc, qu’ils portent, en

opposition au bleu de travail, à col bleu, des ouvriers et des travailleurs manuels.

Les problèmes d’alcool sont rarement abordés dans ce milieu. Pourtant ils sont bien là. Si

l’alcool est interdit dans les entreprises, il

ne l’est pas à l’extérieur

; et le col blanc intervient

dans les représentations externes.

Ici

, une réunion qui se termine au café du coin, là, un repas

d’affaire, là encore, une soirée pour

récompenser

une équipe de collaborateurs ...

et un certain

train de

vie à tenir (tout au moins le croit

-

on

!

)

... Les occasions de consommer de l’alcool ne

manquent pas.

Pendant ce temps, mine de rien, l’organisme s’habitue et, petit à petit, réclame sa dose. Chez

les cols blancs, les malades de l’alcool sont beaucoup plus

nombreux qu’on pourrait le penser.

Certains avancent même qu’en pourcentage, ils seraient plus nombreux que chez les cols

bleus. Mais dans ce milieu, on se voile plus la face, on se cache davantage, on se tait

. On dit

qu’il ou elle aime faire la fête, qu’

il ou elle est un(e) bon(ne) vivant(e), qu’il ou elle est un(e)

épicurien(ne). Mais on ne dit pas qu’il ou elle boit trop, qu’il ou elle est un(e) ivrogne (dans

ce cas on n’emploie pas le terme «

malade de l’alcool!

»

)

;

ivrogne

, c’est réservé aux cols

bleu

s

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Lineole Membre 715 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Je n'ai jamais dit que les petits métiers n'étaient pas passionnants :gurp:

Montre moi le passage qui t'a fait penser ça.

Je ne vais pas re-citer tout le fil... C'est ta survalorisation des hauts salaires et hauts statut depuis le début...

Comment peux-tu observer sans fréquenter?

Je serais tentée d'ouvrir un topic pour recenser les gens qui ont vu ça dans les bars...

Mots différents, pratiques différentes.

Je te retourne la remarque. Les chiffres seraient très illustratifs de ce que tu es en train de me raconter. Je me rends compte en fait, qu'en plus des problèmes physiques, les métiers manuels doivent faire face à des problèmes d'ordre psychiologiques (qui se règlent à coup d'anxiolytiques, de boissons alcoolisées et j'en passe, sans compter l'obésité qui touche beaucoup plus les classes populaires). C'est dur d'être pauvre par les temps qui courent.

Tu esquives le réel. Les anxiolytiques sont surtout consommés par des femmes des classes moyennes et supérieures. Les stimulants par des hommes cadres moyens et supérieurs, avec des drogues moins légales. L'alcool s'est démocratiser vers le haut... Il n'est plus marqués sociologiquement. Les bourgeois n'ont plus la retenue ancienne. Et l'obésité n'a rien à voir avec le travail !!!!! Elle est liée à des comportements de compensation sociale et un manque d'éducation alimentaire...

Tu cherches beaucoup à en apprendre aux autres... tu pourrais faire un travail préalable sur toi avant cela.

ça me donne aussi envie d'ouvrir un topic. Il y a pas mal de gens issus de classes populaires et connaissant un peu les forumeurs, je sais que peu sont tournés vers l'humanitaire. J'ai remarqué que les plus généreux et les plus engagés étaient issus de milieux plus favorisés, sans doute pour balayer le contraste avec leur niveau de vie.

Tout à fait FAUX ! Ce sont des enfants de la classe moyenne. De cadres de la FP (avec des salaires que tu estimes faibles), d'enseignants, d'artistes aussi. Quasiment jamais des enfants de la bourgeoisie. Les enfants d'avocats, de médecins, de dirigeants économiques sont plus que rares dans les associations humanitaires. Si tu avais essayé, tu le saurais... Et donc ça se verrait ! ;)

Oui bien sûr, mais pas seulement.

... :dort:

J'ai fait plus :)

Le dire c'est une chose, le faire, c'en est une autre ;) surtout quand on constate que tu ne connais pas l'organisation du temps dans l'EN.

Ben voyons..C'est tellement grotesque que ça en devient drôle.

Grotesque ? Tu n'a pas entendu parler de la privatisation de l'éducation ? ... Tu vis dans quel pays ?

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Invité Vilaine
Invités, Posté(e)
Invité Vilaine
Invité Vilaine Invités 0 message
Posté(e)
Je ne vais pas re-citer tout le fil... C'est ta survalorisation des hauts salaires et hauts statut depuis le début...

Je ne vois toujours pas le rapport avec l'histoire de passion...mais bon...

Mots différents, pratiques différentes.

T'es obligé de fréquenter pour observer. Sinon tu n'observes que par témoin interposé et dans ce cas, je t'encourage à ne pas croire les gens sur paroles. Il n'y a pas d'éléphants bleus dans les WC des bars.

Tu esquives le réel. Les anxiolytiques sont surtout consommés par des femmes des classes moyennes et supérieures. Les stimulants par des hommes cadres moyens et supérieurs, avec des drogues moins légales. L'alcool s'est démocratiser vers le haut... Il n'est plus marqués sociologiquement. Les bourgeois n'ont plus la retenue ancienne. Et l'obésité n'a rien à voir avec le travail !!!!! Elle est liée à des comportements de compensation sociale et un manque d'éducation alimentaire...

Toi qui parlait de chiffres...Je les attends toujours.

Moi je viens de lire une stat qui dit que la consommation d'alcool chronique était surtout chez les agriculteurs et ouvriers non qualifiés. .

Parlons maintenant d'obésité:

"En effet, elle est beaucoup plus présente chez les ouvriers, les employés et les artisans, que chez les cadres supérieurs. Le revenu est un facteur important puisque les problèmes d'obésité sont deux fois plus répandus dans les catégories les moins favorisées que dans les plus aisées.

Read more at http://tpe-obesite-es.e-monsite.com/pages/iii-l-obesite-selon-les-categories-socio-professionnelles.html#GGErIQg1VzKkz5RX.99"

Tu cherches beaucoup à en apprendre aux autres... tu pourrais faire un travail préalable sur toi avant cela.

En attenant, je suis la seule à sortir des sources, je ne me base pas sur mon propre savoir. Peux-tu en dire auant? :)

Le dire c'est une chose, le faire, c'en est une autre ;) surtout quand on constate que tu ne connais pas l'organisation du temps dans l'EN.

Tu n'en sais strictement rien :)

Jusqu'à preuve du contraire, tu n'es pas dans l'EN. Tu parles encore par témoins interposés? Arrête donc de croire tout ce qu'ils te disent.

Grotesque ? Tu n'a pas entendu parler de la privatisation de l'éducation ? ... Tu vis dans quel pays ?

C'est le fait de parler de moi qui est grotesque. Tu n'es pas obligé de m'insérer dans ton analyse. Elle n'aura pas plus de poids.

Modifié par Vilaine
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Membre, Posté(e)
Lineole Membre 715 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

T'es obligé de fréquenter pour observer. Sinon tu n'observes que par témoin interposé et dans ce cas, je t'encourage à ne pas croire les gens sur paroles. Il n'y a pas d'éléphants bleus dans les WC des bars.

Fréquenter en observateur ne veut pas dire participer à ce qu'y s'y passe. Tu ne fais pas la différence ?

Toi qui parlait de chiffres...Je les attends toujours.

Moi je viens de lire une stat qui dit que la consommation d'alcool chronique était surtout chez les agriculteurs et ouvriers non qualifiés. .

Tu peux trouver des chiffres si tu peux trouver ceux-là. Et je veux bien ta source car pour le coup je ne la trouve pas...

Parlons maintenant d'obésité:

"En effet, elle est beaucoup plus présente chez les ouvriers, les employés et les artisans, que chez les cadres supérieurs. Le revenu est un facteur important puisque les problèmes d'obésité sont deux fois plus répandus dans les catégories les moins favorisées que dans les plus aisées.

Read more at http://tpe-obesite-es.e-monsite.com/pages/iii-l-obesite-selon-les-categories-socio-professionnelles.html#GGErIQg1VzKkz5RX.99"

Le revenu est un facteur pour économiste... trop économiste...

http://www.lemangeur-ocha.com/wp-content/uploads/2012/04/Obesite-sociologie-d-une-epidemie-mondiale3.pdf

Les catégories touchées ne le sont pas du fait de leur revenus mais du fait de leurs comportements, comme je l'expliquais. Jean-Pierre Poulain est le spécialiste français de ces questions.

En attenant, je suis la seule à sortir des sources, je ne me base pas sur mon propre savoir. Peux-tu en dire auant? :)

Quelle sources ? Le mémoire de je ne sais ci-dessus ?

Tu n'en sais strictement rien :)

Jusqu'à preuve du contraire, tu n'es pas dans l'EN. Tu parles encore par témoins interposés? Arrête donc de croire tout ce qu'ils te disent.

Je ne te dirais pas ce qui me permet d'en parler. Mais dis toi qu'en matière de fonctions et de statut, tu n'es, et de loin, probablement pas la mieux placée sur ce forum ;). Je sais, au moins, que celles et ceux qui connaissent l'EN comprendront que je connais le sujet, à ta différence.

Donc je n'ai pas besoin que tu me crois.

C'est le fait de parler de moi qui est grotesque. Tu n'es pas obligé de m'insérer dans ton analyse. Elle n'aura pas plus de poids.

Je ne parle de toi que pour t'inciter à remettre en question des critiques très "populaires" sur l'EN, à travers une expérience vécue qui t'apprendrait des choses. Même si tu crois n'avoir plus rien à apprendre.

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