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"Il y a dans le Coran des éléments de convergence entre l’islam et le christianisme"


Constantinople

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Constantinople Membre 18 329 messages
Maitre des forums‚
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sourcesource

Guillaume Dye est un islamologue et orientaliste français, professeur à l'Université libre de Bruxelles (ULB). Il est cofondateur et codirecteur du Early Islamic Studies Seminar. Il a codirigé les ouvrages collectifs suivants : Hérésies : une construction d’identités religieuses (2015), Partage du sacré : transferts, dévotions mixtes, rivalités interconfessionnelles (2012), Figures bibliques en islam (2011).

Marianne : Diffuser un documentaire et publier un livre historique sur le Coran, est-ce aujourd’hui approprié ?

Guillaume Dye : Oui, pour deux raisons. D’abord parce que les études coraniques n’ont jamais été aussi vivantes qu’aujourd’hui. Cette discipline est en train de vivre de nombreux bouleversements. Des écoles s’affrontent. De nouvelles thèses apparaissent. Il est donc très intéressant d’expliquer au public ces évolutions et de leur en faire comprendre les enjeux. Il convient aussi que le public se rende compte de la différence entre ce que l’on sait réellement, et ce que l’on croyait savoir, sur les débuts de l’islam : des choses que l’on pensait établies depuis longtemps se révèlent beaucoup moins certaines qu’on ne le pensait.

Ensuite par civisme. Il faut développer le regard critique, il faut permettre aux croyants comme aux laïques de comprendre l’environnement historique dans lequel est né l’islam. Il faut leur permettre de percevoir la complexité des choses, et évidemment de comprendre le travail des historiens - un regard évidemment différent de celui de la foi. Je prendrai deux exemples simples. On ne sait pas quand est né Mahomet, et on ne sait même pas en quelle année il est mort. Tout le monde vous dira 632, mais cela est contredit par les sources les plus anciennes. On ne sait pas non plus son véritable prénom : Mahomet est plutôt un surnom.

Marianne : Pour parler de cette actualité, pensez-vous que le choix de Gérard Mordillat et Jérôme Prieur de choisir Jésus et sa place dans le Coran soit une bonne idée ?

C’est déjà un bon choix pour des raisons marketing et pédagogiques : la figure de Jésus fait le lien avec leurs trois documentaires précédents. Et cela permettra aux téléspectateurs de mieux saisir les liens historiques entre christianisme et islam.

Mais il y a des raisons plus profondes. Par exemple, la plus grande partie du Coran est composée d’histoires mettant en scène des personnages de la Bible ou des évangiles. Le lecteur occidental est donc face à des personnages familiers, même si les histoires qui les mettent en scène sont souvent déroutantes, parce qu’elles sont très allusives, et aussi parce qu’elles font souvent référence à des écrits apocryphes et des légendes juives et surtout chrétiennes de l’Antiquité tardive que les gens connaissent assez mal.

Marianne : Cela va donc montrer les liens qui existent entre les chrétiens et l’islam ?

Oui, mais ces liens sont complexes et ambivalents.

Il y a dans le Coran des éléments de convergence entre l’islam et le christianisme, notamment dans la polémique contre les juifs, qui n’ont pas reconnu la messianité de Jésus. Ensuite, Jésus bénéficie d’un statut très élevé dans le Coran : il est dit être le verbe et l’esprit de Dieu, il naît de Marie (la seule femme dont le Coran mentionne le nom), dont le Coran reconnaît la virginité, et il est le seul prophète à recevoir une révélation dès le berceau.

D’un autre côté, le Coran refuse la nature divine de Jésus, qui n’est ni Dieu ni son fils. Dans certains passages, Jésus est mis sur le même plan que, par exemple, Job ou Jonas, ce qui en fait un personnage plutôt secondaire. Tout se passe comme si on avait plusieurs strates dans le texte coranique, certaines cherchant des convergences avec les chrétiens, d’autres ayant pour objet de les convaincre d’abandonner leur christologie, d’autres encore ignorant leur existence.

Jésus est donc une bonne porte d’entrée pour comprendre le Coran. Ce n’est certes pas la seule, mais c’est peut-être celle qui permet le mieux d’expliquer les différents points de vue qui clivent les différentes écoles historiques qui étudient le Coran.

Marianne : Quelles sont-elles ?

Pour résumer à grand traits, il y a d’abord les approches qui suivent, grosso modo, une version « laïcisée » dans le cadre général fourni par la tradition musulmane. On dira alors que le Coran est constitué d’un ensemble de paroles prononcées par Mahomet lui-même et représente l’expérience de la communauté ayant existé autour de lui, d’abord à La Mecque, puis à Médine, entre 610 et 632 (la dogmatique musulmane, quant à elle considère que le Coran a été dicté par Dieu à Mahomet, qui n’est donc pas, stricto sensu, l’auteur du Coran).

Cela soulève deux problèmes. D’une part, on sait que les récits de la tradition musulmane sont souvent tardifs et très biaisés – il est sans doute imprudent de leur accorder une trop grande confiance. D’autre part, il y a une tension entre le fait qu’une partie très importante du Coran se situe dans un contexte chrétien (cherchant la convergence ou la polémique, parfois de façon très élaborée) et le fait que le Hedjaz, la région où le Coran est censé avoir été proclamé, ne connaissait vraisemblablement à l’époque qu’une présence chrétienne très marginale, contrairement au reste de l’Arabie et du Proche-Orient.

Face à cette situation, il y a deux possibilités. Les chercheurs, disons, plus « traditionnels », accepteront avec plus ou moins de prudence les récits de la tradition musulmane, et maintiendront l’idée que le texte coranique a un auteur unique. Il ne leur reste plus qu’à construire une histoire autour, et postuler que Mahomet maitrisait parfaitement les cultures chrétienne et juive, et que la présence chrétienne dans le Hedjaz était plus significative qu’on ne le pensait.

En revanche – et nous rencontrons là les approches plus critiques –, d’autres savants jugent qu’il est impossible de prendre au sérieux la richesse et la complexité du corpus coranique tout en restant dans le cadre traditionnel. Ils sont conduits à voir le Coran comme un travail collectif (qui se serait étalé sur plusieurs générations), en partie indépendant de la prédication de Mahomet. Une partie du Coran a certes pu être composée à La Mecque et Médine, mais il semble très probable aux chercheurs qui ont commencé, tout récemment, à étudier la question des auteurs du Coran et de leur profil, que des passages substantiels du Coran ont été rédigés par des lettrés et scribes chrétiens (et, dans une moindre mesure, juifs) qui ont pu mettre leur plume au service de la communauté musulmane naissante.

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Invité vieilledame
Invités, Posté(e)
Invité vieilledame
Invité vieilledame Invités 0 message
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Ce n'est pas une nouveauté!

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Membre, 41ans Posté(e)
Yoannbzh Membre 11 816 messages
Baby Forumeur‚ 41ans‚
Posté(e)

Ce n'est pas une nouveauté!

:plus:

Vu que le Coran à copié la Torah et la Bible !!!

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Membre, Talon 1, 78ans Posté(e)
Talon 1 Membre 22 854 messages
78ans‚ Talon 1,
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L'Alcoran fut dicté à Mahomet l'analphabète par l'ange Gabriel, celui qui est apparu à la Vierge Marie. Djibrill et Momo.

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Invité vieilledame
Invités, Posté(e)
Invité vieilledame
Invité vieilledame Invités 0 message
Posté(e)

Et les Evangiles ont été dictées par le Saint-Esprit.... C'est encore mieux qu'un ange, puisqu'il est Dieu. :p

Et les Tables de la Loi ont été dictées à Moise par Dieu personnellement présent dans le buisson ardent. :p

Et les paroles de Ramana Maharshi ont été dites par lui-même, qui était un avatar de Dieu. :D

Et...

Et maintenant, nous allons tous nous retrouver sur un ring et nous taper dessus à coups de poings.

Ou bien nous allons ameuter nos partisans et nous entre-tuer dans la rue. :blush:

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Membre, 71ans Posté(e)
Cochise 90 Membre 2 874 messages
Forumeur expérimenté‚ 71ans‚
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Ce n'est pas une nouveauté!

Le Coran nie la divinité de Christ. Dans une sourate il dit "ceux qui disent que Jésus est le Fils de Dieu sont des menteurs. Antinomie totale avec les Evangiles et l'enseignement des apôtres. POINT.

Il faut s'y tenir, car il viendra un temps dit l'apôtre Paul où les hommes ne supporteront plus la saine doctrine; mais, ayant la démangeaison d'entendre des choses agréables, ils se donneront une foule de docteurs selon leurs propres désirs, détourneront l'oreille de la vérité et se tourneront vers les fables.

Il y a beaucoup de contradictions dans ce Coran, mais pour une prospérité économique combien sont prêts à renier les fondements de la foi chrétienne?

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Membre, Posté(e)
jeandin Membre 1 333 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

sourcesource

Guillaume Dye est un islamologue et orientaliste français, professeur à l'Université libre de Bruxelles (ULB). Il est cofondateur et codirecteur du Early Islamic Studies Seminar. Il a codirigé les ouvrages collectifs suivants : Hérésies : une construction d’identités religieuses (2015), Partage du sacré : transferts, dévotions mixtes, rivalités interconfessionnelles (2012), Figures bibliques en islam (2011).

Marianne : Diffuser un documentaire et publier un livre historique sur le Coran, est-ce aujourd’hui approprié ?

Guillaume Dye : Oui, pour deux raisons. D’abord parce que les études coraniques n’ont jamais été aussi vivantes qu’aujourd’hui. Cette discipline est en train de vivre de nombreux bouleversements. Des écoles s’affrontent. De nouvelles thèses apparaissent. Il est donc très intéressant d’expliquer au public ces évolutions et de leur en faire comprendre les enjeux. Il convient aussi que le public se rende compte de la différence entre ce que l’on sait réellement, et ce que l’on croyait savoir, sur les débuts de l’islam : des choses que l’on pensait établies depuis longtemps se révèlent beaucoup moins certaines qu’on ne le pensait.

Ensuite par civisme. Il faut développer le regard critique, il faut permettre aux croyants comme aux laïques de comprendre l’environnement historique dans lequel est né l’islam. Il faut leur permettre de percevoir la complexité des choses, et évidemment de comprendre le travail des historiens - un regard évidemment différent de celui de la foi. Je prendrai deux exemples simples. On ne sait pas quand est né Mahomet, et on ne sait même pas en quelle année il est mort. Tout le monde vous dira 632, mais cela est contredit par les sources les plus anciennes. On ne sait pas non plus son véritable prénom : Mahomet est plutôt un surnom.

Marianne : Pour parler de cette actualité, pensez-vous que le choix de Gérard Mordillat et Jérôme Prieur de choisir Jésus et sa place dans le Coran soit une bonne idée ?

C’est déjà un bon choix pour des raisons marketing et pédagogiques : la figure de Jésus fait le lien avec leurs trois documentaires précédents. Et cela permettra aux téléspectateurs de mieux saisir les liens historiques entre christianisme et islam.

Mais il y a des raisons plus profondes. Par exemple, la plus grande partie du Coran est composée d’histoires mettant en scène des personnages de la Bible ou des évangiles. Le lecteur occidental est donc face à des personnages familiers, même si les histoires qui les mettent en scène sont souvent déroutantes, parce qu’elles sont très allusives, et aussi parce qu’elles font souvent référence à des écrits apocryphes et des légendes juives et surtout chrétiennes de l’Antiquité tardive que les gens connaissent assez mal.

Marianne : Cela va donc montrer les liens qui existent entre les chrétiens et l’islam ?

Oui, mais ces liens sont complexes et ambivalents.

Il y a dans le Coran des éléments de convergence entre l’islam et le christianisme, notamment dans la polémique contre les juifs, qui n’ont pas reconnu la messianité de Jésus. Ensuite, Jésus bénéficie d’un statut très élevé dans le Coran : il est dit être le verbe et l’esprit de Dieu, il naît de Marie (la seule femme dont le Coran mentionne le nom), dont le Coran reconnaît la virginité, et il est le seul prophète à recevoir une révélation dès le berceau.

D’un autre côté, le Coran refuse la nature divine de Jésus, qui n’est ni Dieu ni son fils. Dans certains passages, Jésus est mis sur le même plan que, par exemple, Job ou Jonas, ce qui en fait un personnage plutôt secondaire. Tout se passe comme si on avait plusieurs strates dans le texte coranique, certaines cherchant des convergences avec les chrétiens, d’autres ayant pour objet de les convaincre d’abandonner leur christologie, d’autres encore ignorant leur existence.

Jésus est donc une bonne porte d’entrée pour comprendre le Coran. Ce n’est certes pas la seule, mais c’est peut-être celle qui permet le mieux d’expliquer les différents points de vue qui clivent les différentes écoles historiques qui étudient le Coran.

Marianne : Quelles sont-elles ?

Pour résumer à grand traits, il y a d’abord les approches qui suivent, grosso modo, une version « laïcisée » dans le cadre général fourni par la tradition musulmane. On dira alors que le Coran est constitué d’un ensemble de paroles prononcées par Mahomet lui-même et représente l’expérience de la communauté ayant existé autour de lui, d’abord à La Mecque, puis à Médine, entre 610 et 632 (la dogmatique musulmane, quant à elle considère que le Coran a été dicté par Dieu à Mahomet, qui n’est donc pas, stricto sensu, l’auteur du Coran).

Cela soulève deux problèmes. D’une part, on sait que les récits de la tradition musulmane sont souvent tardifs et très biaisés – il est sans doute imprudent de leur accorder une trop grande confiance. D’autre part, il y a une tension entre le fait qu’une partie très importante du Coran se situe dans un contexte chrétien (cherchant la convergence ou la polémique, parfois de façon très élaborée) et le fait que le Hedjaz, la région où le Coran est censé avoir été proclamé, ne connaissait vraisemblablement à l’époque qu’une présence chrétienne très marginale, contrairement au reste de l’Arabie et du Proche-Orient.

Face à cette situation, il y a deux possibilités. Les chercheurs, disons, plus « traditionnels », accepteront avec plus ou moins de prudence les récits de la tradition musulmane, et maintiendront l’idée que le texte coranique a un auteur unique. Il ne leur reste plus qu’à construire une histoire autour, et postuler que Mahomet maitrisait parfaitement les cultures chrétienne et juive, et que la présence chrétienne dans le Hedjaz était plus significative qu’on ne le pensait.

En revanche – et nous rencontrons là les approches plus critiques –, d’autres savants jugent qu’il est impossible de prendre au sérieux la richesse et la complexité du corpus coranique tout en restant dans le cadre traditionnel. Ils sont conduits à voir le Coran comme un travail collectif (qui se serait étalé sur plusieurs générations), en partie indépendant de la prédication de Mahomet. Une partie du Coran a certes pu être composée à La Mecque et Médine, mais il semble très probable aux chercheurs qui ont commencé, tout récemment, à étudier la question des auteurs du Coran et de leur profil, que des passages substantiels du Coran ont été rédigés par des lettrés et scribes chrétiens (et, dans une moindre mesure, juifs) qui ont pu mettre leur plume au service de la communauté musulmane naissante.

la religion c'est pas l'histoire, c'est un autre sujet qui est traité en prenant une partie de l'histoire vrais ou faux, c'est au lecteur de s'adapté dans ce travail fini. il traite du Feu, de l'invisible, et des vitesses, et des partages.

Oui et Non !

si on es sur le même lieux, Oui. Pas pour les croyants de chaque religions

3.59. Pour Allah, Jésus est comme Adam qu'Il créa de poussière, puis Il lui dit "Sois" : et il fut.

c'est en relation avec tous les versets qui traite de la poussière.

Allah parle à son livre, il est poussière, c'est une poussière invisible.

4.157. et à cause leur parole : "Nous avons vraiment tué le Christ, Jésus, fils de Marie, le Messager d'Allah"... Or, ils ne l'ont ni tué ni crucifié; mais ce n'était qu'un faux semblant! Et ceux qui ont discuté sur son sujet sont vraiment dans l'incertitude : ils n'en ont aucune connaissance certaine, ils ne font que suivre des conjectures et ils ne l'ont certainement pas tué .

"a cause de la parole" de l'écriture, c'est des mots qui se transforment

c'est à la fois vrai et pas vrai le mot Tué fait partie du tutoiement, le "é" dit c'est dans les versets suivent, à droite

"faux semblant" est hypocrite, ils "l'écriture" faisaient semblant, mais même en le disent c'est encore faux

il c'est transformé en ciel.

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Membre, 71ans Posté(e)
Cochise 90 Membre 2 874 messages
Forumeur expérimenté‚ 71ans‚
Posté(e)

la religion c'est pas l'histoire, c'est un autre sujet qui est traité en prenant une partie de l'histoire vrais ou faux, c'est au lecteur de s'adapté dans ce travail fini. il traite du Feu, de l'invisible, et des vitesses, et des partages.

Oui et Non !

si on es sur le même lieux, Oui. Pas pour les croyants de chaque religions

3.59. Pour Allah, Jésus est comme Adam qu'Il créa de poussière, puis Il lui dit "Sois" : et il fut.

c'est en relation avec tous les versets qui traite de la poussière.

Allah parle à son livre, il est poussière, c'est une poussière invisible.

4.157. et à cause leur parole : "Nous avons vraiment tué le Christ, Jésus, fils de Marie, le Messager d'Allah"... Or, ils ne l'ont ni tué ni crucifié; mais ce n'était qu'un faux semblant! Et ceux qui ont discuté sur son sujet sont vraiment dans l'incertitude : ils n'en ont aucune connaissance certaine, ils ne font que suivre des conjectures et ils ne l'ont certainement pas tué .

"a cause de la parole" de l'écriture, c'est des mots qui se transforment

c'est à la fois vrai et pas vrai le mot Tué fait partie du tutoiement, le "é" dit c'est dans les versets suivent, à droite

"faux semblant" est hypocrite, ils "l'écriture" faisaient semblant, mais même en le disent c'est encore faux

il c'est transformé en ciel.

Dans la Bible Jésus parle de lui-même comme le pain de vie descendu du ciel,Jean 6 : 51 et 6 : 58; il existe de toute éternité, Jésus est Dieu.Il a accompli la Loi pour cela il fallait qu'il soit fait homme (incarnation dans Marie), par son sacrifice il a mis fin aux sacrifices d'animaux qui se faisaient sous l'ancienne alliance, seul son sang peut couvrir les péchés de ceux qui se tournent vers lui par la foi.Le salut c'est maintenant tant que l'on est vivant, il y a une décision à prendre avant le jour de la mort, après il est trop tard.

Le Coran lui parle de salut par les oeuvres après la mort Allah regardera les bonnes et mauvaises actions sur les épaules,les pèsera, et à ce moment là il décidera.C'est faux.

Dieu se fait connaitre comme dieu d'Abraham, d'Isaac, et de Jacob, pas d' UN éventuel prophète. Hébreux 1: 1-4 " Après avoir autrefois, à plusieurs reprises et de plusieurs manières, parlé à nos pères par LES prophètes, Dieu dans ces derniers temps, nous a parlé par le Fils, qu'il a établi héritier de toutes choses, par lequel il a aussi créé le monde, et qui, étant le reflet de sa gloire et l'empreinte de sa personne, et soutenant toutes choses par sa parole puissante, a fait la purification des péchés et s'est assis à la droite de la majesté divine dans les lieux très hauts, devenu d'autant supérieur aux anges qu'il a hérité d'un nom plus excellent que le leur." Le Coran parle de Jésus fils de Marie mais il le rabaisse à un simple prophète, Jésus a affirmé devant les religieux de son époque qu'il était Fils de Dieu, c'est ce qui a déclenché le procès que les religieux ourdissaient depuis un bon moment.

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Membre, Posté(e)
Constantinople Membre 18 329 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Ce n'est pas une nouveauté!

Que ce ne soit pas une nouveauté, pour certains sans doute, mais pour beaucoup de musulmans, ou de gens n’étant pas du tout familier avec le Coran, non : et il est important de soumettre le coran aux recherches historique et à l’exégèse, quitte à égratigner les versions officielles des dogmes.

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Membre, 73ans Posté(e)
Morfou Membre 57 035 messages
Maitre des forums‚ 73ans‚
Posté(e)

:plus:

Vu que le Coran à copié la Torah et la Bible !!!

Ce que j'ai écrit maintes fois!

Une religion opportuniste...

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Invité vieilledame
Invités, Posté(e)
Invité vieilledame
Invité vieilledame Invités 0 message
Posté(e)

Exégèse du coran par Bruno Bonnet-Eymart.

On peut avoir l'honnêteté intellectuelle de savoir comment un chrétien érudit lit le coran, de même que quantité de chrétiens ont lu la traduction en francais de la bible faite par André Chouraqui.

On n'a pas crié à la "christianophobie" quand sa traduction (que je possède et que j'ai lue) est sortie. Elle avait provoqué un immense intérêt au moins dans le monde catholique dans lequel j'étais immergée à l'époque.

Ce juif érudit disait que la bible étant un texte juif, il fallait le traduire avec la mentalité juive et non grecque. Il a même traduit en francais le NT (qui n'a jamais été écrit en hébreu) en tant que juif, car Jésus étant juif c'est avec les réflexes juifs, le savoir juif, la mentalité juive qu'il avait enseigné. Saint Paul était lui aussi un juif érudit et ses lettres peuvent donc aussi être traduite du grec comme ceci ou comme cela, selon que le traducteur est de culture juive ou pas.

Laissons donc un catho érudit justifier sa traduction du coran. Je ne peux rien critiquer, car je ne sais ni l'arabe litéraire, ni l'hébreu, ni le grec ancien, ni le latin.

C'est un peu long, mais intéressant. Et puis, on n'est pas obligé de tout écouter en une fois!

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Membre, 71ans Posté(e)
Cochise 90 Membre 2 874 messages
Forumeur expérimenté‚ 71ans‚
Posté(e)

Je n'ai pas écouté , mais sur you tube il y a le témoignge de Moussa Koné fils d'imam et ancien musulman, c'est du vécu et pas de la théologie.

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Membre, Posté(e)
jeandin Membre 1 333 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Dans la Bible Jésus parle de lui-même comme le pain de vie descendu du ciel,Jean 6 : 51 et 6 : 58; il existe de toute éternité, Jésus est Dieu.Il a accompli la Loi pour cela il fallait qu'il soit fait homme (incarnation dans Marie), par son sacrifice il a mis fin aux sacrifices d'animaux qui se faisaient sous l'ancienne alliance, seul son sang peut couvrir les péchés de ceux qui se tournent vers lui par la foi.Le salut c'est maintenant tant que l'on est vivant, il y a une décision à prendre avant le jour de la mort, après il est trop tard.

Le Coran lui parle de salut par les oeuvres après la mort Allah regardera les bonnes et mauvaises actions sur les épaules,les pèsera, et à ce moment là il décidera.C'est faux.

Dieu se fait connaitre comme dieu d'Abraham, d'Isaac, et de Jacob, pas d' UN éventuel prophète. Hébreux 1: 1-4 " Après avoir autrefois, à plusieurs reprises et de plusieurs manières, parlé à nos pères par LES prophètes, Dieu dans ces derniers temps, nous a parlé par le Fils, qu'il a établi héritier de toutes choses, par lequel il a aussi créé le monde, et qui, étant le reflet de sa gloire et l'empreinte de sa personne, et soutenant toutes choses par sa parole puissante, a fait la purification des péchés et s'est assis à la droite de la majesté divine dans les lieux très hauts, devenu d'autant supérieur aux anges qu'il a hérité d'un nom plus excellent que le leur." Le Coran parle de Jésus fils de Marie mais il le rabaisse à un simple prophète, Jésus a affirmé devant les religieux de son époque qu'il était Fils de Dieu, c'est ce qui a déclenché le procès que les religieux ourdissaient depuis un bon moment.

son pAIN c'est le pEIN de l'écriture, et représente tous les EIN c'est à dessEIN, les cEINtures expliquent un monde qui ceinture le notre.

De quel ciel tu parle, c'est du vide ou du concret.

Jésus n'a jamais été un vrai homme dans les textes et son double Christ non plus, les textes c'est en fonction du nom, et ne les mélange pas, sort ta loupe et soit très attentif.

Si tu me dis: Jésus est dedans Dieu, ça passe

Si tu me dis le Christ est au ciel, sa va.

ce n'était pas de vrais sacrifice, c'est pour l'alliance des mots

ce ne sont pas de vrais mORts ce mot dit comme sORt mais avec un M, il est et...

les éLUs sont LUs

Donné de l'importance à la droite, c'est certainement pour un produit, si non c'est nul, tu comprends où je veux en venir.

Ce qui est à gauche est plus importent et l'équilibre est à sa droite en nombre.

pourquoi " Abram " à changé de nom ?

---

12.34

La foule lui répondit: Nous avons appris par la loi que le Christ demeure éternellement; comment donc dis-tu: Il faut que le Fils de l'homme soit élevé? Qui est ce Fils de l'homme?

>>>comme l'Eternel<<<

le Fils est un produit de départ de Feu (petit f ou grand F)

12.35

Jésus leur dit: La lumière est encore pour un peu de temps au milieu de vous. Marchez, pendant que vous avez la lumière, afin que les ténèbres ne vous surprennent point: celui qui marche dans les ténèbres ne sait où il va.

Les ténèbres sont les lieux de naissance.

Il se parle à lui-même, entre le Christ et Jésus de ce que sera leur contenu. Il y a un contenu pour le Christ et un contenu pour Jésus. Puis ensemble

autre chose

Luc

12.49

Je suis venu jeter un feu sur la terre, et qu'ai-je à désirer, s'il est déjà allumé?

12.51

Pensez-vous que je sois venu apporter la paix sur la terre? Non, vous dis-je, mais la division.

c'est dans "marchEZ" et la lumière

Tous les Feux mènent à la division c'est physique, même pour les produits invisible.

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Membre, 56ans Posté(e)
azed1967 Membre 4 597 messages
Forumeur expérimenté‚ 56ans‚
Posté(e)

Le Coran lui parle de salut par les oeuvres après la mort Allah regardera les bonnes et mauvaises actions sur les épaules,les pèsera, et à ce moment là il décidera.C'est faux.

le mort mort en arabe se dit "mouts" , il est mort "maats"

chez les égyptiens, la déesse maat , celle que es dieux de la morts mettaient sur une balance pour peser le coeur du mort pour le juger

ceci bien avant les hébreux

la mère d'ismail est égyptienne

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Membre, Posté(e)
Claire 12 Membre 650 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

le mort mort en arabe se dit "mouts" , il est mort "maats"

chez les égyptiens, la déesse maat , celle que es dieux de la morts mettaient sur une balance pour peser le coeur du mort pour le juger

ceci bien avant les hébreux

la mère d'ismail est égyptienne

Celui qui pese les coeurs c'est Dieu. ( pas une "déesse". Une "déesse" cela n'existe pas; IL FAUT ARRETER D INVENTER des idioties. )

Pauvres égyptiens . Leurs fausses "croyances" sont à la hauteur de leur malheur. :mouai:

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Membre, Posté(e)
Scénon Membre 3 531 messages
Forumeur alchimiste ‚
Posté(e)

le mort mort en arabe se dit "mouts" , il est mort "maats"

chez les égyptiens, la déesse maat , celle que es dieux de la morts mettaient sur une balance pour peser le coeur du mort pour le juger

Vous avez déjà posté ces informations à une autre occasion. Je vous avais expliqué ce qu'il y avait d'erroné là-dedans, mais vous n'avez jamais réagi à mon commentaire.

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Membre, 56ans Posté(e)
azed1967 Membre 4 597 messages
Forumeur expérimenté‚ 56ans‚
Posté(e)

Vous avez déjà posté ces informations à une autre occasion. Je vous avais expliqué ce qu'il y avait d'erroné là-dedans, mais vous n'avez jamais réagi à mon commentaire.

monsieur, chacun sa vision des choses

je me base sur la langue !

comme le mot égypte se dit misraim en hébreux dans la bible et en arabe massar

c'est un des petit fils de noé

il y a les textes puis la réalité linguistique

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Membre, Posté(e)
jeandin Membre 1 333 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

monsieur, chacun sa vision des choses

je me base sur la langue !

comme le mot égypte se dit misraim en hébreux dans la bible et en arabe massar

c'est un des petit fils de noé

il y a les textes puis la réalité linguistique

tu as sans doute raisons, mais chaque langue à été construite différemment,

pour comprendre les proportions la réplique n'est pas la même.

Gog et Magog

en arabe "Ya'jûj wa Ma'jûj" c'est plus grand, les proportions ne sont pas respectée, sans savoir la langue on devine où est GOG

l'histoire peut ne pas être la même, c'est le langage qui compte pour sa langue qui a aussi été construite

si Allah est dans les textes cela devient français qui dit tous les L et les H des autres mots

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Membre, Posté(e)
Scénon Membre 3 531 messages
Forumeur alchimiste ‚
Posté(e)
Monsieur, chacun sa vision des choses.

Belle conclusion pour un débat alimenté par une riche confrontation d'arguments.

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