Radin, panier percé, pouvons-nous vraiment changer notre relation à l'argent ?

La relation est fixée, d'après Freud, au stade anal de la petite enfance. La défécation est un signe du futur comportement. L'argent, c'est la "merde".Ceux qui ne restent pas longtemps aux vécés sont plutôt radins. Ceux qui y séjournent plus longtemps sont généreux ou artistes. Mais aussi, on dit justement :"Avare de ses sous, prodigue de ses louis." On est avare pour les petites sommes d'argent, et moins pour les grosses sommes. Marc Aurèle disait que l'argent doit être tiré de la bourse, mais ne doit pas en tomber. Quant à changer le comportement pour l'argent, il faudrait pouvoir déterminer le conditionnement qui a provoqué, lors de la petite enfance, le refus de déféquer, cadeau d'un peu de soi fait à la mère. Ou le contraire pour le prodigue.

Deux réponse depuis 8h ce matin... C'est bizarre, on dirait un sujet tabou... :blush:

"Le radin, je contrôle donc je suis."

Tout de suite on est catalogué de "radin". Non mais faire attention à ses dépenses ce n'est pas non plus être celui qui ne voudra jamais rien payer. Et si radin c'est aussi vouloir mettre toujours plus sur ses comptes en banque, qu'est ce qu'on devrait dire alors pour ceux qui veulent acheter des maisons ? ^^

Deux réponse depuis 8h ce matin... C'est bizarre, on dirait un sujet tabou... :blush:

absolument !

Je ne suis pas radin, quand je peux aider ou faire plaisir je le fais.

Mais je fais attention aussi à ne pas dépenser n'importe comment, et ça, en effet, ça vient de mon vécu, de mon enfance, et de mon éducation.

Est-ce que je pourrai changer ?

J'en sais rien, par contre ce que je sais c'est que je n'en ai pas envie.

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J'ai un total mépris pour l'argent cela ne vient pas de ma petite enfance mais lié au début à la puberté, quand j'ai pris consciences de certains fait, puis l'adolescence comme le début de l'age adulte. Je le considère comme un outil qui peut être un serviteur au besoin. Je passe toujours dans le mépris le plus profond de cette nuisance du radin avare extrême, car je trouve vain la moindre dépense, à des attitudes de grand seigneurs dans d'autres cas.

Un radin flambeur ? Alors ça c'est pas banal

Je me situe quant à moi dans la même moyenne que Nephalion, l'éducation et aussi le vécu, ont fait que je fais attention, j'ai besoin de sécurité. Je suis généreuse, je dépense pour me faire plaisir aussi, mais je reste prudente, toujours une carte dans la manche

Je vois beaucoup de gens "paniers percés" et pour ma part je remarque que ces personnes n'ont pas les moyens de l'être la plupart du temps. A l'analyse, je me suis rendue compte souvent que ce sont des gens qui ne supportent plus à un moment donné la frustration de devoir faire attention à partir du 25 du mois. Et là d'un seul coup, paf ! La grosse dépense qui leur occasionnera parfois plusieurs mois de soucis avec la banque

Bonjour January, gros bisous.

Je sais que je ne suis pas banal, je me satisfait de rien ou pas grand chose, mes plaisirs sont très simples c'est souvent de la contemplation en pleine nature, ou des gros efforts physique dans cette nature, ce qui ne coûte rien.

Quand j'ai besoin d'un bien de consommation je prends le plus performant qui doit me durer des années. C'est vrai que je le paye cher, mais au final il ne revient à pas grand chose, et bien moins cher qu'un produit dit de marques et bon marché qui ne dure que quelques mois. J'ai gagné des sous même pas mal pour beaucoup, ils me servaient a faire la fête avec mes amis, des fêtes d'enfer, comme si demain la fin du monde étaient là, au moins nous avions vécu.

L'argent chez moi, c'est très atypique, il est essentiellement lié aux douleurs extrêmes, j'ai un vécu qui l'a assimilé aux trahisons, meurtres, corruptions, vols, son aspect négatif. Il y a quelques années, j'ai fait un héritage modeste de 35 millions de dollars U.S, et bien je l'ai refusé, car pour moi, le moindre cent était taché de sang, je refusai de me souiller avec, et même pour en faire quoi ? devoir le gérer, je préférai vivre à ma façon même si je devais tirer le diable par la queue.

je n'aime pas les radins, pas ceux qui sont économes par souci de garder une poire pour la soif, mais ceux qui vous prennent le chou pour 1 €.

S'il faut vivre avec un radin, autant que chacun ait son propre compte, je ne supporterai pas qu'il me prenne la tête à tout bout de champ.

J'ai connu un vrai radin, et bien il a fini tout seul car plus personne n'avait envie de faire quoi que ce soit avec lui, sorties vacances ou cadeaux communs !

Je considère que l'argent est fait pour être dépensé, payer ses factures sa maison, en avoir en cas de pépin certes, mais il ne faut pas se refuser des petits plaisirs, des sorties, et ne pas attendre d'être dans un caveau ou malade ou vieux.