Pédophilie : une ville anglaise découvre l'horreur.

Environ 1 400 mineurs ont été victimes d'abus sexuels entre 1997 et 2013 à Rotherham, en Angleterre.

Selon un rapport publié mardi, environ 1 400 enfants, dont les plus jeunes âgés de 11 ans, ont été victimes d'abus sexuels entre 1997 et 2013 à Rotherham, dans le nord de l'Angleterre. Et ce, alors même que les services municipaux avaient été alertés à plusieurs reprises.

http://www.lepoint.fr/monde/grande-bretagne-des-mineurs-exploites-sexuellement-pendant-plus-de-quinze-ans-26-08-2014-1856839_24.php

1400 mineurs violées et souillées pour les restants de leurs jours. Le plus honteux, c'est qu'avec un chiffre aussi élevé dans une ville d'environ 120 000 habitants, beaucoup savaient et se taisaient par crainte de représailles. Ces personnes sont des lâches.

Les principaux coupables semblent être d'origine pakistanaise, suivant certaines sources. Autrement dit, une des communauté les plus pauvres du Royaume-Uni. Un fait qui montre bien que les inégalités en terme de richesses et surtout d'éducation sont énormes dans ce pays. Les personnes coupables de viols ou de commerce d'enfants ne sont pas, et c'est une nouvelle pour personne, éduqués et ne l'ont jamais étaient pour vivre en société. Même si certains pédophiles ont l'air sain d'esprit, ils ne le sont pas. Leur obsession maladive est le fruit d'un traumatisme ou d'un manque antérieur.

Les questions les plus importantes sont maintenant de trouver les coupables et de les faire durement condamnés, leur faire comprendre ce qu'ils ont faits. Ils éprouveront dans le meilleur des cas des remords, mais ils ne seront jamais guéris. On ne peut pas sortir sain d'esprit après avoir commis l'irréparable et détruits des vies d'enfants, en leur laissant des séquelles morales irréversibles.

Le deuxième point important, et qui sera sans doute encore plus difficile, est de rechercher ces 1400 enfants (peut-être plus même), et de les suivre pour essayer de les réintégrer et de panser leurs plaies morales. Mais comment faire, pour trouver des victimes de viols datant parfois de plus de 17 ans ? Surtout qu'un viol n'est pas quelque chose de facile à avouer, beaucoup se taisent et préfèrent garder ce mal intérieur au plus profond d'eux.

L'effet que pourrait avoir cette affaire est une hausse de la xénophobie contre la communauté pakistanaise et asiatique. Malheureusement, à chaque affaire où des personnes d'une communauté minoritaires sont visées, des réactions xénophobes s'ensuivent. Pendant les attentats terroristes en Russie, juste avant les Jeux Olympiques de Sotchi, des russes avaient manifestés leur colère physiquement contre des musulmans dans plusieurs grandes villes. J'espère que des faits similaires ne se produiront pas dans cette ville anglaise.

Encore un fait divers malheureux, qui vient se serrer dans les colonnes des journaux, à côté des morts en Ukraine, dans la bande de Gaza, en Syrie, en Irak...

quelle horreur cette histoire que de silence complice......peut être qu'en France on aura un fait divers aussi deguelasseavec une police et une gendarmerie bien pourrie, des notables qui ne veulent pas de mauvaise publicité, des journalistes muselés, des citoyens qui n'en sont pas, des services sociaux qui ne font pas leur travail ou qui ne veulent pas voir puisque la police est aveugle et sourde etc etc

1400 mineurs violées et souillées pour les restants de leurs jours. Le plus honteux, c'est qu'avec un chiffre aussi élevé dans une ville d'environ 120 000 habitants, beaucoup savaient et se taisaient par crainte de représailles. Ces personnes sont des lâches.

Les principaux coupables semblent être d'origine pakistanaise, suivant certaines sources. Autrement dit, une des communauté les plus pauvres du Royaume-Uni. Un fait qui montre bien que les inégalités en terme de richesses et surtout d'éducation sont énormes dans ce pays. Les personnes coupables de viols ou de commerce d'enfants ne sont pas, et c'est une nouvelle pour personne, éduqués et ne l'ont jamais étaient pour vivre en société. Même si certains pédophiles ont l'air sain d'esprit, ils ne le sont pas. Leur obsession maladive est le fruit d'un traumatisme ou d'un manque antérieur.

Les questions les plus importantes sont maintenant de trouver les coupables et de les faire durement condamnés, leur faire comprendre ce qu'ils ont faits. Ils éprouveront dans le meilleur des cas des remords, mais ils ne seront jamais guéris. On ne peut pas sortir sain d'esprit après avoir commis l'irréparable et détruits des vies d'enfants, en leur laissant des séquelles morales irréversibles.

Le deuxième point important, et qui sera sans doute encore plus difficile, est de rechercher ces 1400 enfants (peut-être plus même), et de les suivre pour essayer de les réintégrer et de panser leurs plaies morales. Mais comment faire, pour trouver des victimes de viols datant parfois de plus de 17 ans ? Surtout qu'un viol n'est pas quelque chose de facile à avouer, beaucoup se taisent et préfèrent garder ce mal intérieur au plus profond d'eux.

L'effet que pourrait avoir cette affaire est une hausse de la xénophobie contre la communauté pakistanaise et asiatique. Malheureusement, à chaque affaire où des personnes d'une communauté minoritaires sont visées, des réactions xénophobes s'ensuivent. Pendant les attentats terroristes en Russie, juste avant les Jeux Olympiques de Sotchi, des russes avaient manifestés leur colère physiquement contre des musulmans dans plusieurs grandes villes. J'espère que des faits similaires ne se produiront pas dans cette ville anglaise.

Encore un fait divers malheureux, qui vient se serrer dans les colonnes des journaux, à côté des morts en Ukraine, dans la bande de Gaza, en Syrie, en Irak...

"violées, souillées" : on ne viole pas que les filles.

Jamais vu un agresseur d'enfant éprouver du regret.

"un viol n'est pas quelque chose de facile à avouer" : AVOUER ?

Je ne suis pas sûr que vouloir traiter cette affaire sur la place publique rende service aux victimes ...

Il ne faudrait pas que ça s'ébruite, c'est ce que tu veux dire ?

Il ne faudrait pas que les victimes aient l'impression d'être l'enjeu d'un règlement de comptes entre grandes personnes.

J'avoue que je ne te suis pas du tout là. Il est nécessaire que ces affaires apparaissent et qu'on en parle. Les victimes sont condamnées au silence depuis longtemps, et ne pas en parler viendrait à légitimer ce qui leur a été appris : se taire. Affreux.

Oui, mais cela ne va-til pas amplifier le traumatisme qu'ont vécu les victimes ? bien sûr, il est nécessaire que des choses soient dites, mais si j'étais concerné: Entre 4 yeux, il me semble. Peu m'importerait que mon agresseur fasse de la prison !

Tu ne connaîtras pas le nom des victimes mis à part pour celles qui ont voulu se faire connaître et elles peuvent même refuser de prendre part à la procédure (personnes majeures). Donc, cela se passe bien entre 4 yeux et pour qui le souhaite (et pour les mineurs, audiences toujours à huis clos).

Ce qui est terrible dans cette affaire, c'est la dénégation, la complicité et enfin le silence des pouvoirs publics et de la communauté.

"Les chiffres étaient énormes, alors on n'y a pas cru, on a enterré les rapports". Lamentable.

Ayant été victime de pédophilie, si, le dire, ça fait du bien.

Déjà ça évite aux autres enfants de la famille de se faire avoir. Ça oblige le malade à prendre conscience de son état, et de se soigner, quand il a de la chance de tomber sur un mec comme moi, plutôt que de pourrir en prison.

Les victimes n'ont pas à avoir honte de quoi que ce soit.

Lors d'un viol individuel, seul la famille de la victime devrait décider si cette affaire devrait paraître dans les journaux. Mais ici, il ne s'agit pas d'une affaire d'un viol, mais de milliers commis par un même réseau criminel ! On ne peut pas taire ces actes odieux, commis depuis une quinzaine d'années par un réseau, où les autorités de la ville se taisaient par crainte, ou par doute.

L'affaire est très grave, et c'est normal qu'elle fasse scandale. Si les victimes (on ne les retrouvera sans doute jamais toute) veulent parler et raconter ce qu'elles ont vécues, ce sont leurs droits. Si elles préfèrent rester cachées, ce sont leurs droits aussi. Mais si l'histoire fait autant scandale (en plus du nombre faramineux de victimes), c'est que les autorités de la ville savaient, ou du moins doutaient de l'existence d'un réseau pédophile. Mais elles avaient peur pour l'image de la ville, de paraître raciste en visant ce réseau issu de la communauté pakistanaise, mais aussi doutaient de ce nombre tellement important d'enfants victimes de viols.

January, j'ai vu sur une autre source qu'il s'agissait de fillettes de 11 ans (et plus) qui ont été victimes de ces viols. Et je sais que des petits garçons peuvent être victimes d'abus sexuels aussi, malheureusement. Oui, il est difficile d'avouer de s'être fait violé, comme de s'être fait racketté, battre enfant par ses parents... Quand on avoue quelque chose, ce n'est pas forcément quelque chose de répréhensible, mais aussi quelque chose de "honteux" pour nous. Beaucoup d'enfants victimes ont honte d'avoir étaient victimes d'abus sexuels, et ont peur de le dire.

Je ne suis pas sûr que vouloir traiter cette affaire sur la place publique rende service aux victimes ...

de savoir des responsabilités directes et indirectes reconnues et punies c'est important pour les victimes et pour la société en général!! car la on ne peut nier qu'il y avait une volonté de ne pas voir ou de savoir : c'est grave; on a pas les détails du dossier mais de bas en haut ça doit puer dans cette ville!!

January, j'ai vu sur une autre source qu'il s'agissait de fillettes de 11 ans (et plus) qui ont été victimes de ces viols. Et je sais que des petits garçons peuvent être victimes d'abus sexuels aussi, malheureusement. Oui, il est difficile d'avouer de s'être fait violé, comme de s'être fait racketté, battre enfant par ses parents... Quand on avoue quelque chose, ce n'est pas forcément quelque chose de répréhensible, mais aussi quelque chose de "honteux" pour nous. Beaucoup d'enfants victimes ont honte d'avoir étaient victimes d'abus sexuels, et ont peur de le dire.

La majeure partie était des filles, c'est vrai. Pour le terme "avouer", utilise "confier", il y a des victimes qui peuvent nous lire, et elles n'ont rien à "avouer", le vocable a toute son importance, ce n'est pas "avouer", seul celui qui a fait quelque chose de répréhensible a à avouer.

Je ne vois pas comment on peut invoquer l'explication maladie : il y a dans cette stupéfiante affaire des réseaux , une organisation. Je vois mal comment mettre ça sur le coup d'un mouvement sexuel incontrôlable quand il s'agit d'individus qui mettent en commun leur intelligence pour satisfaire leur désir.

Ces victimes sont sans aucun doute aussi victime de l'anti-racisme : l'article dit bien qu'il y avait une peur d'être traité de racisme si l'affaire s'ébruitait.

On aimerait du reste connaître l'origine raciale des victimes.

Il semble que les graves problèmes de pédomanie sortent en Angleterre . Un réseau impliquant des " personnalités " a déjà récemment fait parler de lui. Et on sait que des listes ont été tenues secrètes.

Il y avait eu aussi les crimes pédomaniaques à Roshdale toujours en Angleterre, impliquant des pakistanais qui disaient cyniquement que les filles anglaises été élevées dans le but d'être prostituées.

Apparemment ce genre d'affaires ne fait pas trembler le monde politico-médiatique. Cela devrait fait un super beuze. D'où vient ce silence : la honte ( j'en doute ) , la complicité ( la peur d'être démasqué, c'est plus certain ).

Quant il s'agit de crimes pédomaniaques dans l'église, il n' y a pas de mots assez durs pour les dénoncer. Où sont les grandes envolées vengeresses ? Où sont les marches de manifestations d'anciennes victimes ? Où sont les demandes de procès ?

C'est une maladie psychiatrique. Le réseau, cela relève d'une organisation que dicte la clandestinité.

On a exactement le même comportement chez les drogués, les homos, quand la société qui les héberges rejette violemment ces pratiques. Attention, je ne dis pas que la toxicomanie et l'homosexualité sont des maladies mentales.

Franchement. Qui aurait le courage de dire à sa famille, ses amis, ses relations professionnelles : j'ai une attirance sexuelle pour les jeunes enfants. Aidez-moi.

Pour rejoindre les propos parfaitement juste de PASDEPARANOIA, il ne faut pas oublier l'affaire des pédophiles d'Angers, où là aussi, ils avaient agit de manière organisée à plusieurs. L'exemple des toxicomanes qu'avance PASDEPARANOIA est la plus juste. Beaucoup savent pertinemment que ce qu'ils font est mal, mais ils continuent, en cachette, et s'organisent à plusieurs pour être plus forts.

Mais par contre, que viennent faire les homosexuels ici ? Les homosexuels, à la différence des pédophiles ou des toxicomanes, n'ont jamais fait de mal à personne. C'est une liberté d'entretenir des relations amoureuses avec qui l'ont veut. Seulement, les pédophiles n'entretiennent pas de relations amoureuses, mais des relations sexuelles non consenties par les victimes.

C'est une maladie psychiatrique. Le réseau, cela relève d'une organisation que dicte la clandestinité.

On a exactement le même comportement chez les drogués, les homos, quand la société qui les héberges rejette violemment ces pratiques. Attention, je ne dis pas que la toxicomanie et l'homosexualité sont des maladies mentales.

Franchement. Qui aurait le courage de dire à sa famille, ses amis, ses relations professionnelles : j'ai une attirance sexuelle pour les jeunes enfants. Aidez-moi.

C'est incompréhensible ce que tu écris :

1/ que veut-on dire par maladie psychiatrique ? que ces violeurs vont avoir droit en masse à des soins et que la justice invoquera l'indulgence ?

2/ comment prétendre que des malades pédomaniaques organisent, font des réseaux clandestins et penser qu'ils ne font que réagir à des pulsions ?

il y a ici un crime collectif qui dépasse largement la maladie individuelle.

3/ je crois bien avoir déjà lu sur ce forum peut-être même sous ta plume que les prêtres pédomaniaques n'ont pas eu " droit " à l'invocation de la maladie psychiatrique, ce qui aurait adouci les accents vengeurs contre eux ; n' y a -t-il pas eu un film récent d'une mère qui butte les prêtres pédomaniaques ? Y aura-t-il un film sur le même sujet avec les " pakistanais " musulmans ? j'attends de voir .

4/ il n' y pas si longtemps l homosexualité était une maladie , maintenant c'est un choix de vie ? Comme c'est bizarre : pour les pédomaniaques on invoque pas le mode de vie? Qu'on ne dise pas que c'est parce que ce sont des mineurs car à l'âge de l'adolescence de certains mineur ils connaissent tout du sexe, leur innocence est très lointaine derrière eux.

Je ne justifie pas la pédomanie mais le Système s' enmmêle les pinceaux avec ces pseudos-principes libertaires.

Pour rejoindre les propos parfaitement juste de PASDEPARANOIA, il ne faut pas oublier l'affaire des pédophiles d'Angers, où là aussi, ils avaient agit de manière organisée à plusieurs. L'exemple des toxicomanes qu'avance PASDEPARANOIA est la plus juste. Beaucoup savent pertinemment que ce qu'ils font est mal, mais ils continuent, en cachette, et s'organisent à plusieurs pour être plus forts.

Mais par contre, que viennent faire les homosexuels ici ? Les homosexuels, à la différence des pédophiles ou des toxicomanes, n'ont jamais fait de mal à personne. C'est une liberté d'entretenir des relations amoureuses avec qui l'ont veut. Seulement, les pédophiles n'entretiennent pas de relations amoureuses, mais des relations sexuelles non consenties par les victimes.

Ya des pays ou être homo, c'est la mort, si t'as de la chance un simple lynchage.

Un pédophile, c'est pas forcément quelqu'un qui passe à l'acte, heureusement, y'en a qui se contente de se branler sur les pages mioches de la Redoute.

Les totos, t'en as plein qui ne font de mal qu'à eux-même.

Le propos c'est de dire que le regard de la société sur nos perversions, ou perçues comme telles, nous oblige à cette clandestinité organisée.

C'est incompréhensible ce que tu écris

Trois cerveau et toujours à la ramasse...

Je ne vais pas perdre mon temps à te faire un cours de psychiatrie, j'en serai incapable.

Juste te raconter mon histoire.

Un oncle avait entrepris de m'apprendre la branlette en cachette quand j'avais 5 ou 6 ans, et lui la bonne 20'.

Il a vite cesser lorsque je le menaçais d'en parler à son daron, retraité de la garde répu.

Plus de 20 piges plus tard, je décide de l'ouvrir et de balancer la bonne nouvelle juste avant Noël.

Bim, voilà qu'un cousin lève le doigt et dit moi aussi.

J'ai eu le courage d'en parler en le voyant jouer avec les petits comme si de rien n'était, comme si j'étais encore sous son emprise, et moi, papa d'une fillette de leur âge, j'allais fermer ma gueule encore et encore en attendant que le drame se reproduise, et faire comme si je ne savais pas ?

La dessus conseil de famille, et je laisse le choix. Ou il va se soigner, ou je vais voir les keufs, ou je lui défonce la tronche tout militaire qu'il soit.

La raison l'emporte, il va se soigner, et on apprend que lui aussi fut victime plus jeune d'un prédateur de petite kékette.

Oui, ça vaut le coup de les soigner. Certains seront incurables, la plupart se reprendront. Et là il faut voir les témoignages de mecs sous thérapie, c'est poignant. Les maladies psychiatriques sont très mal connues, car on préfère les stigmatiser en les traitant comme des criminels. Faut faire la part des choses. Y a de vrais sadique, mais y'a surtout d'anciennes victimes qui reproduisent le schéma, exactement comme la violence domestique. On cogne, par ce que papa cognait.

Je passe sur ton vomi islamophobe.

Tu compares ensuite homosexualité et pédophilie. Je me permets juste de te rappeler que l'homosexualité se passe entre adultes consentants et éclairés. Ce qui n'est pas le cas des enfants. Fait turbiner tes trois neurones, tu vas commencer à entrevoir les choses.

Dans le temps la branlette aussi était considérée comme une maladie mentale. Mais ma bite ne se plaint pas quand je pense à ma chérie. Quand JE pense, pas quand un autre individu s'invite à se procurer des plaisirs avec mon machin.

Pour conclure, les principes libertaires n'ont pas droit de citer ici. On n'excuse pas, on cherche à comprendre pour guérir, prévenir, pour que ceux qui lèvent la main en disant "je crois que j'ai un problème", soient pris en charge avant le drame. Ça coûte bien plus cher à la société de traiter après qu'avant. T'as qu'un problème avant. Après, tu rajoute la victime.

Regarde si mon oncle avait put être soigné, je serais pas traumatisé, j'aurai pu être un enculé de raciste homophobe comme tout le monde au lieu d'un syndicaliste révolutionnaire. Là j'ai envoie de faire péter des usines et des banques.