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la commission Européenne fait sa PUB avant le scrutin fin mai


stvi

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Membre, 113ans Posté(e)
stvi Membre 20 709 messages
Mentor‚ 113ans‚
Posté(e)

Les pays du sud de l'Europe se meurent guéris …..

« La Commission européenne souligne notamment «lespremiers signaux de reprise» en Grèce, dans ses prévisionséconomiques, publiées ce mardi. L'Espagne va de mieux en mieux,avec une croissance revue en nette hausse en 2014.

La reprise sera un peu plus forte en zone euro et l'Europe du Sud est bel et bien sortie du rouge. Dans ses prévisions économiques, publiées ce mardi, Bruxelles souligne notamment «les premiers signaux de reprise» en Grèce,l'économie la plus fragile de la zone euro, sous assistance financière de l'UE et du FMI depuis mai 2010. »

Grèce EspagnePortugal Italie , la commission Européenne souligne lesbienfaits de la politique de rigueur imposée aux pays de la zone sudde l'Europe ….

mais qu'en est ilvraiment ?

Le taux d'endettement public reste supérieur à une année de PIB en Espagne,en Italie,au Portugal,en Grèce, en Espagne et pour stabiliser le taux d'endettement public par rapport au PIB, il faudrait encore réduire le déficit public de : 8 points de PIB en Espagne, 3 points de PIB en Italie, 9 points de PIB au Portugal, 15 points de PIB en Grèce, 4 points de PIB en Irlande ce qui est impossible à tenir …

la production industrielle qui pourrait aider ces pays à gagner en compétitivité , a reculé de 27 % en Espagne, 30 % en Grèce, 26 %au Portugal.depuis 2008 ….

le chômage

Dans la seule zone euro (ZE17,sans la Lettonie), le taux de chômage a progressé de 11,7% à 12,0%,de décembre 2012 à décembre 2013.

, le taux de chômage le plus bas a été enregistré en Autriche(4,9%), et les plus élevés en Grèce (27,8% en octobre 2013) et en Espagne(25,8%).

En France, le taux de chômage a légèrement augmenté depuis un an et s'élève à 10,8 %

23,2% des moins de 25 ans sont à la recherche d'un emploi dans les 28 Etats membres de l'UE,

.L'Espagne enregistre 54,3% de jeunes au chômage,tout comme la Grèce(59,2% ) suit le Portugal avec 41 % ainsi que l'Italie au même taux

http://data.lesechos...-de-25-ans.html

Pauvreté( selon les normes Européennes )

l'Espagne et la Grèce dépassent les 20 % de pauvres.... avec 18 % le Portugal et l'Italie n 'arrivent pas loin derrière et….surprise L'Allemagne en compte quand même 16 % une honte pour un pays riche qui fait la leçon aux autres ….. …

même si ces pays amorcent une reprise elle sera de toute façon insuffisante pour rattraper les moyennes Européennes ...comparer les économies des pays du nord de l'Europe ,et demander les mêmes performances aux uns et aux autres et une vue de l'esprit …..

http://www.journaldu...pe/italie.shtml

la commission Européenne met en avant un semblant de résultat dû selon eux à leurs exigences ,exigences qui a sorti dans son rêve les pays malades de l'Europe de leur lit ....

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Invité Sandy8
Invités, Posté(e)
Invité Sandy8
Invité Sandy8 Invités 0 message
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Qu'ils aillent crever a Bruxelles!

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Membre, 113ans Posté(e)
stvi Membre 20 709 messages
Mentor‚ 113ans‚
Posté(e)

Pourquoi dis tu çà ?

ces pays sont dans cette situation parce qu'ils ont cédé au chant des sirènes Européennes ...

Le résultat est désastreux pour les plus pauvres qui n'ont pas profité de la manne Européenne et qui paient maintenant pour ceux qui on tiré les marrons de feu ....

l'UE a creusé les inégalités sociales ,n'a pas franchement tenu ses promesses ...

Les seuls aspects positifs que les défenseurs de l'Europe mettent en avant sont invérifiables ....

il n'y a pas eut de guerre depuis le début de la construction européenne ,mais est ce qu'il y en aurait eu une sans la constitution de l'UE ?

et la crise financière aurait été beaucoup plus grave ...et ça je demande à voir...

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Membre, Obsédé textuel, 72ans Posté(e)
Gouderien Membre 34 686 messages
72ans‚ Obsédé textuel,
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La Commission européenne est constituée de crétins que personne n'a jamais élus, et qui règnent maintenant sur d'autres crétins, dont l'actuel locataire de l'Elysée est un bon exemple. On a l'impression de vivre un cauchemar. Comment a-t-on pu en arriver là? A la base, pourtant, l'Europe était une bonne idée.

Quant aux élections européennes, ça risque d'être une méga-Bérézina pour la "gauche", d'autant plus qu'il s'agit d'élections à un seul tour... Bah, c'est juste une habitude à prendre, et ça leur fera un bon entraînement pour les cantonales et les régionales.

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Membre, 75ans Posté(e)
Scrongneugneu Membre 5 878 messages
Forumeur vétéran‚ 75ans‚
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Le problème n'est pas l'Europe, mais nous-même. Pour mémoire, lors de la création de l'Europe, si la France a contribuée, l'Allemagne a fortement mis la main à la poche pour compenser "moralement" les attrocités de la 2ème guerre mondiale. S'en est suivit une gabegie sans nom de la mane financière, car les gros bénéficiares au regard des cotisations furent la France "agricole", l'Italie du sud aussi pour l'Agriculture et l'Espagne pour manque de structures en voies de communication. Le manque de contrôles et une certaine précipitation à inclure d'autres pays, avec des hauteurs de cotisations dérogatoires sont venus compléter la gabegie.

L'Europe a réagit en proposant une constitution qui prévoyait , dans le cours des années 2020 une totale égalité de droits entre les peuples la composant ( justice, salaire, retraite, impôts... ) avec une vraie politique sociale et économique commune dont le stricte contrôle des subventions. Oui, mais la France a dit non ! A partir de là, tout est parti en "life", avec une chtiote crise en prime.

Le berceau de l'Europe ayant dit non, l'Allemagne n'a plus voulu être le 1er contributeur tout en demandant de sérieux comptes sur les subventions accordées, l'Angleterre a demandé encore de moins cotiser, la France a fait la bascule ( plus de cotisations que de retour ), et horreur, les pays du Sud de l'Europe qui furent jusque là les gros bénéficiaires ont mis en lumière le gaspilage des subventions en magouillant et trafiquant les chiffres pour certains.

Pourquoi la France a dit non ? Uniquement par peur de perdre son mille-feuille, donc moins d'élus, peur d'harmonie des droits à retraite, peur d'harmonie des salaires, peur d'harmonie des fonctionnaires ( plus de régimes spéciaux ) et surtout privatisant de tous les appareils productifs.

Avec cette constitution, les peuples composant l'Europe auraient dû être égaux en droits à terme, mais la politique du chacun pour soit a réussit à faire croire que c'est la faute des autres, dès lors qu'il ne s'agit que de défendre des privilèges d'une faible partie de la population...et il n'y a pas que les riches...trop facile de guider le regard par là...

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Membre, 113ans Posté(e)
stvi Membre 20 709 messages
Mentor‚ 113ans‚
Posté(e)

................. il n'y a pas que les riches...trop facile de guider le regard par là...

Tu as raison ,je pense avoir employé ce terme dans le sens générique et j'aurais dû préciser que l'Europe favorise la mondialisation ,et par là même les entreprises du cac 40 et les capitaines d'industries ....quand aux financiers cette crise qui a secoué l'Europe a été une formidable opportunité

"Les 0.01% les plus riches, c’est à la dire la poignée de milliers de personnes disposant des plus hauts revenus, ont capté l’immense partie de la création de richesses depuis la survenance de la crise. L’analyse des revenus en question fait tout d’abord ressortir un fait assez clair, les revenus concernés ne sont pas issus du travail, mais du capital. Le travail n’a pas la cote lorsque la croissance est à 0 et que le chômage culmine à ses plus hauts. Ce sont bien entendu les revenus de capitaux qui permettent à cette partie de la population de s’enrichir. "

peu importe qu'il y ait des riches si par retombée ou redistribution les pauvres deviennent moins pauvres et les chômeurs retrouvent un emploi...Or ce n'est pas le cas ....les inégalités augmentent comme le constate la commission Européenne

"La crise a augmenté les inégalités au sein de l'Union européenne<

114 millions de personnes, soit près du quart de la population de l'Union européenne, sont exposées à un risque de « pauvreté et d'exclusion sociale », selon un rapport de la Commission européenne."

qui paient les prestation sociale ,les RSA etc..sinon toi ,moi ,le Français moyen non domicilié dans un cloud mondialisé ...si les richesses produites par une fédération d'états est captée à la source sans que nous puissions en voir la couleur ,il est normal qu'il y ait un sentiment de frustration ...

Si on peut reprocher quelque chose aux pays membres fondateurs ,c'est de ne pas avoir prévu qu'ils allaient se faire déborder par cette nébuleuse de la mondialisation ...

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Invité Sandy8
Invités, Posté(e)
Invité Sandy8
Invité Sandy8 Invités 0 message
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Pourquoi dis tu çà ?

ces pays sont dans cette situation parce qu'ils ont cédé au chant des sirènes Européennes ...

Le résultat est désastreux pour les plus pauvres qui n'ont pas profité de la manne Européenne et qui paient maintenant pour ceux qui on tiré les marrons de feu ....

l'UE a creusé les inégalités sociales ,n'a pas franchement tenu ses promesses ...

Les seuls aspects positifs que les défenseurs de l'Europe mettent en avant sont invérifiables ....

il n'y a pas eut de guerre depuis le début de la construction européenne ,mais est ce qu'il y en aurait eu une sans la constitution de l'UE ?

et la crise financière aurait été beaucoup plus grave ...et ça je demande à voir...

Tu sait que tu a la réponse a ta question dans ta propre réponse, Stvi?

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Membre, 113ans Posté(e)
stvi Membre 20 709 messages
Mentor‚ 113ans‚
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>Qu'ils aillent crever a Bruxelles!

j'ai cru que tu citais les pays du sud de l'Europe en les envoyant crever devant la porte de la commission Européenne

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Invité Sandy8
Invités, Posté(e)
Invité Sandy8
Invité Sandy8 Invités 0 message
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Ah, d'accord!

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Membre, Obsédé textuel, 72ans Posté(e)
Gouderien Membre 34 686 messages
72ans‚ Obsédé textuel,
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Perso je ne crois plus trop à une Europe fondée sur l'entente franco-allemande. Les solutions allemandes marchent... en Allemagne, rarement ailleurs. Exemple type : l'indépendance de la BCE. On a pris modèle sur la Bundesbank, résultat c'est un désastre, surtout quand on met à sa tête un partisan de l'euro fort, Jean-Claude Trichet (hélas oui, c'est un Français). Dans cette affaire, on s'est bien fait avoir. A long terme je pense que l'Europe soit disant unie va se rediviser en trois ou quatre entités : Europe méditerranéenne, Europe germanique, Europe du Nord etc. C'est certainement le cauchemar de nos dirigeants, qui pour y échapper se cachent la tête dans le sable. Mais on y viendra. Ou alors la France accepte de n'être qu'un vassal de l'Allemagne (comme en 1940), et ça je n'y crois pas.

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Invité Sandy8
Invités, Posté(e)
Invité Sandy8
Invité Sandy8 Invités 0 message
Posté(e)

Perso je ne crois plus trop à une Europe fondée sur l'entente franco-allemande. Les solutions allemandes marchent... en Allemagne, rarement ailleurs. Exemple type : l'indépendance de la BCE. On a pris modèle sur la Bundesbank, résultat c'est un désastre, surtout quand on met à sa tête un partisan de l'euro fort, Jean-Claude Trichet (hélas oui, c'est un Français). Dans cette affaire, on s'est bien fait avoir. A long terme je pense que l'Europe soit disant unie va se rediviser en trois ou quatre entités : Europe méditerranéenne, Europe germanique, Europe du Nord etc. C'est certainement le cauchemar de nos dirigeants, qui pour y échapper se cachent la tête dans le sable. Mais on y viendra. Ou alors la France accepte de n'être qu'un vassal de l'Allemagne (comme en 1940), et ça je n'y crois pas.

blink.gif

Wox, la vache! C'est la première fois que je vois un avis aussi approchant du miens dans ce domaine...

Bon, au moin tu a ouvert les yeux, l'Allemagne est dans la même position qu'en 1940, tu n'est pas totalement aveugle!

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Membre, Obsédé textuel, 72ans Posté(e)
Gouderien Membre 34 686 messages
72ans‚ Obsédé textuel,
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Dès 1991, après la chute du Mur et l'éclatement de l'URSS, quand de bons esprits disaient : nous revenons à l'Europe de 1914, moi je pensais : non, nous revenons à l'Europe de 1941! Je ne pensais pas que l'avenir me donnerait autant raison!

Je suis à la fois très germanophile (surtout à cause de ma passion pour la musique classique) et très lucide vis-à-vis de l'Allemagne. Ce que nous Français prenons pour de la profondeur, n'est souvent que de la lourdeur. Dans ses souvenirs, Stendhal, qui avait travaillé dans toute l'Europe en tant que membre de l'administration napoléonienne, compare l'intelligence et la vivacité d'esprit des Allemands et des Italiens. La comparaison n'est pas vraiment en faveur des premiers... Ce que les Allemands perdent par des méthodes et une organisation souvent moins bonnes que les nôtres (la légendaire "organisation allemande" tient plutôt du mythe), ils le rattrapent et au-delà parce qu'ils sont plus disciplinés et plus perfectionnistes. Tout ça pour dire que, comme en plus la diplomatie ne fait guère partie de leurs qualités (même s'ils ont fait un peu de progrès de ce côté, mais enfin juste un peu), je ne crois pas à une Europe allemande.

Il faudrait que les dirigeants français arrêtent de faire un complexe d'infériorité en face de l'Allemagne, pays qui a aussi ses problèmes (une démographie calamiteuse, par exemple). En tant que germanophile, je suis d'ailleurs assez amer de voir l'Allemagne retomber dans ses anciennes erreurs : jouer un jeu personnel en Europe, viser la suprématie, traiter les pays faibles comme de la merde (exemple : la Grèce). Et bien sûr : manipuler la Commission de Bruxelles comme des marionnettes. C'est triste à dire, mais pendant que la France et la plupart des pays du sud jouaient le jeu de l'Europe, l'Allemagne a manipulé cette même Europe pour servir ses propres desseins. Résultat : aujourd'hui nous avons une France désindustrialisée, monstrueusement endettée, avec environ 5 millions de chômeurs (si l'on prend les vrais chiffres), une monnaie largement au-dessus de ses moyens, et des dirigeants dont la seule "ambition" est d'être le toutou favori des Allemands. C'était aussi le souhait de Pierre Laval en 1940...

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  • 3 semaines après...
Membre, Posté(e)
Olympe de Gouges Membre 463 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Cinq ans après la faillite de Lehman Brothers et du début de la pire crise économique depuis des décennies, l’Union Européenne n’a pas tenu ses promesses de régulation du secteur financier. Une révision urgente est nécessaire.

Le 15 septembre à marqué le 5e anniversaire de la faillite la plus spectaculaire de la crise financière de 2007-2008. Ce jour là, Lehman Brothers, la fameuse banque d’investissement de Wall Street s’est déclarée en faillite en raison d’investissements immobiliers désastreux via des produits financiers. A ce moment, les leaders européens ont fait des promesses ambitieuses de régulation financière au sein de l’Union Européenne "en réponse à la crise mais également pour éviter de nouvelles crises futures" comme l’avait dit le président de la Commission Européenne, José Manuel Barroso. Cinq ans plus tard, les résultats sont tristement insuffisants.

La crise financière a donné lieu en Europe à une crise économique dévastatrice. Le chômage a fortement augmenté jusqu’à atteindre le niveau record de pratiquement 26 millions de chômeurs, ce qui représente 10,7% de la population active européenne avec des niveaux de chômage bien plus élevés chez les jeunes. De plus, cette crise économique a déclenché une crise de l’Euro qui a conduit à des mesures d’austérité douloureuses dans presque tous les pays de l’Union européenne alors que dans le même temps les pays de l’Union Européenne réunissaient des centaines de milliards d’euros pour sauver ces mêmes banques qui avaient pris les risques qui les avaient menées à la crise. Les citoyens européens qui ont payé un prix aussi élevé ont pleinement le droit d’exiger des politiques une action effective qui nous préserve d’un nouvel effondrement similaire. Cependant après cinq ans de "réforme financière" dans l’Union européenne, le résultat est décevant.

Il saute aux yeux que les banques européennes continuent d’avoir trop peu de fonds propres pour garantir leurs activités. Les règles européennes laxistes continuent à autoriser des banques comme Deutsche Bank ou Barclays de spéculer avec des montants supérieurs à ce que devait Lehman Brothers avant sa faillite. Les marchés de dérivés continuent de croître et représentent aujourd’hui bien plus qu’il n’y a cinq ans. Par ailleurs, rares sont les produits toxiques qui ont été interdits et ce n’est le cas d’aucun de ceux qui ont joué un rôle clé dans la crise.

La victoire du lobby financier qui a réussi à empêcher l’adoption d’une régulation effective est une des raisons de cet échec. Le secteur financier investit des millions pour influencer ceux à l’origine des décisions et joue sur la peur avec comme principal argument que la régulation du secteur financier serait coûteuse pour la société en termes d’emploi. Il s’agit pourtant d’un argument absurde lorsqu’on connaît les coûts de la crise de 2008 tenant en compte les sauvetages bancaires et les millions de personnes qui ont perdu leur emploi.

Les entreprises financières ont un accès permanent aux décideurs politiques par exemple pour le débat sur les nouvelles normes relatives aux banques et aux dérivés. Comme l’Alliance pour la Transparence du Lobby et de la Régulation Ethique dans l’Union européenne (ALTER-EU) l’a plusieurs fois signalé, les groupes d’Experts de la Commission et du Conseil continuent d’être dominés par les représentants des grandes entreprises financières. Un groupe crée récemment pour conseiller l’Union européenne avec des mesures contre l’évasion fiscale comprend de nombreux responsables du secteur comptable qui joue un rôle important pour conseiller les entreprises sur la manière de minimiser le paiement d’impôts.

Les démarches préliminaires à une véritable réforme financière sont les suivantes :

 un nouveau contexte démocratique de la réforme financière qui intègre des mesures effectives pour freiner l’influence à Bruxelles du lobby financier par la révision des groupes de conseil dominés par le secteur financier et freiner le phénomène des "portes tournantes". Celui-ci fait référence aux politiques ou aux Hauts-fonctionnaires qui passent du secteur public au secteur privé et dans le cas qui nous occupe au secteur financier.

 une révision immédiate et structurelle de l’agenda des réformes du secteur financier pour assurer que cette terrifiante crise financière et économique serve pour renforcer la régulation et le contrôle démocratique du secteur financier pour qu’il soit au service de la société et finance des activités sensées au plan social et environnemental. Les premiers pas en ce sens sont l’introduction d’une taxe sur les transactions financières, l’obligation faite aux banques de provisionner des réserves plus élevées, la scission en entités plus petites des banques "trop grandes pour faire faillite", la réduction de l’importance du secteur financier dans l’économie et la fin des activités spéculatives comme celle relative aux prix de l’alimentation.

 des mesures rapides et effectives pour freiner l’évasion fiscale. Si on prend les données de l’Union européenne celles-ci pourraient rapporter un milliard d’euros par an ce qui serait plus que suffisant pour éviter les actuelles mesures d’austérité.

 des mesures qui condamnent les personnes qui dans le secteur financier sont avérés être responsables de scandales, tromperies vis à vis des clients, fraude et activités criminelles. Il est inacceptable que dans des scandales comme celui du Libor ou la participation de HSBC au blanchissement d’argent, les banques concluent des accords financiers et les responsables ne soient nullement sanctionnés.

Les banques ne doivent jamais être "trop grandes pour que leurs dirigeants échappent à la prison".

Le principal bailleur de fonds de la planète vient d’admettre sa faute : il a gravement sous-estimé les effets néfastes des cures d’austérité qu’il préconise. «Simple erreur de calcul», dit-il, mais dont les conséquences sont dévastatrices. Or, devinez quoi : les tenants de la rigueur continuent à faire comme si de rien n’était...

L'aveu est incroyable, presque inimaginable. Quatre ans après le déclenchement de la Grande Crise qui secoue les économies occidentales avec une violence sans égale depuis 1929, l’un des plus grands économistes de la planète, en l’occurrence le directeur du département Recherche du Fonds Monétaire International, vient de publier un rapport dans lequel il avoue que le FMI - et avec lui, l’ensemble des dirigeants européens, ministres des finances, Banque centrale, Commission européenne… – ont gravement sous-estimé les effets néfastes des politiques d’austérité infligées aux Etats les plus endettés.

Oui, vous avez bien lu : Olivier Blanchard, l’une des sommités économiques les plus renommées au monde, admet noir sur blanc, dans un rapport de 43 pages rendu public le 3 janvier dernier, que le FMI s’est trompé sur toute la ligne. Et la faute provient d’une simple erreur de calcul, sur un coefficient bien connu dans la discipline : le multiplicateur.

Entre 1970 et 2007, les prévisionnistes du FMI avaient constaté que 1% de dépense publique en moins – ou d’impôt en plus – entraînait, en moyenne, 0,5% de croissance en moins dans les pays avancés. Soit un multiplicateur de 0,5, qu’ils ont doctement retenu dans les travaux préparatoires aux plans d’aide à la Grèce ou au Portugal. Mais ça, c’était avant la crise et son lot d’incertitudes qui perturbent le comportement des consommateurs.

Dans son « Panorama de l’économie mondiale » publié en octobre dernier, le FMI a d’abord reconnu, au détour d’une page repérée par les seuls spécialistes, que les multiplicateurs actuels pouvaient être compris « entre 0,9 et 1,7 ». C’est-à-dire entre deux et trois fois plus ! L’étude détaillée d’Olivier Blanchard, que Marianne vous propose de consulter ci-dessous (en anglais), confirme la bévue. Les conséquences sont abyssales : en obligeant les gouvernements d’Europe du Sud à réduire drastiquement les salaires des fonctionnaires et les pensions des retraités, le FMI a fait plonger la demande intérieure deux à trois fois plus vite que prévu.

La suite, hélas, est connue : faillites en série, explosion du chômage et manifestations monstres dans les rues d’Athènes ou de Lisbonne. Comme le dit le proverbe japonais, « si votre seul outil est un marteau, tout ressemble à un clou »…

Marianne

La nouvelle a de quoi redonner le sourire aux Indignés. Après l'erreur de calcul du Fonds monétaire international (FMI) sur les multiplicateurs budgétaires révélée en janvier, une nouvelle polémique de nature économétrique ébranle à nouveau la crédibilité d'une institution prestigieuse.

L'article incriminé s'intitule "Croissance en période de dette" ("Growth in a Time of Debt" .pdf), il a été publié en 2010 par deux économistes réputés de Harvard et anciens cadres du FMI, Carmen Reinhart et Kenneth Rogoff, et, s'appuyant sur des données collectées entre 1946 et 2009, il démontre que la croissance s'est révélée sensiblement inférieure dans les pays dont la dette publique dépassait 90 % du PIB.

Or une équipe d'économistes est récemment parvenue à répliquer cette étude, et il s'avère que leurs conclusions diffèrent largement de celles de Reinhart et Rogoff. Et pour cause, ces derniers ont fait passer à la trappe cinq pays (Australie, Autriche, Canada, Danemark et Belgique) dans leur panel, ont utilisé une méthode jugée contestable de pondération des pays entre eux et, plus original, le tableur Excel utilisé comme support de l'étude comportait une erreur de formule.

Si les réductions de budget sont bien réelles, si la précarité s'étend de jour en jour, si les fins de mois sont de plus en plus difficiles, si la file des SDF s'allongera cet hiver à la soupe populaire, la manière d'en parler est erronée et démobilisatrice. Car il n'y a pas de crise. Tout est orchestré. Seulement des riches qui veulent se goinfrer toujours plus, avec le plus grand cynisme. Il fut un temps où l'on appelait cela l'exploitation de l'homme par l'homme. Et le peuple de se soulever lorsque la famine le gagnait. Le Capital a su trouver les mots pour que nous acceptions les nôtres sans broncher, mais nos maux s'écrivent m-a-u-x. Au lieu de nous révolter contre l'exploitation éhontée dont nous sommes victimes nous incriminons une mauvaise gestion de l'État, la belle affaire ! Il s'agit au contraire d'une excellente gestion des patrons qui ont su nous faire accepter qu'ils s'enrichissent dans des proportions pharaoniques au prix d'appauvrir 99% de la population mondiale. Les gouvernements nommés par ces puissants sous une mascarade électorale appelée communément démocratie ne sont que leurs valets. Leur pouvoir est seulement médiatique, ils sont chargés de nous faire avaler les couleuvres. La méthode est plus élégante qu'une dictature ! Le pouvoir économique est dans d'autres mains, celles de la finance. Appeler cette arnaque planétaire une crise n'est qu'une manipulation de masse pour nous faire accepter notre statut de forçats. La crise n'existe pas. Réveillons-nous ! Le seul pouvoir que nous ayons pour changer le cours des choses, course mortifère vers la catastrophe écologique, est de descendre dans la rue et de nous emparer de ce qui nous appartient, créé par notre travail. Nous avons des bras pour enrichir ces nantis, nous avons des bras pour récupérer ce qui nous est volé. Arrêtons de croire à l'inéluctabilité de l'oppression. La crise est un terme inventé par le Capital pour pouvoir s'engraisser sur notre dos. Sa faim est insatiable et suicidaire. La planète entière y passera si nous n'intervenons pas. Ces quelques riches veulent nous faire croire que nous sommes impuissants. C'est vrai si nous restons chacun dans notre coin à nous morfondre en souffrant de leurs actes criminels, mais si nous nous unissons, nous sommes des millions, nous sommes des milliards à pouvoir, à devoir nous prendre en mains pour renverser le cours de l'Histoire et reconstruire ce qu'ils détruisent en se servant de nous.

La dette arme de destruction massive : vrai pour la Belgique comme pour la France comme pour les autres Européens

La dette de la France provient des années 80. Les dépenses publiques n’ont cessé de croitre, jusqu’en 1996,  alors que les recettes publiques n’ont cessé de décroitre jusqu’à aujourd’hui. Depuis les années 1980, la fiscalité sur les ménages les plus riches est passée de 65% à 41%, la fiscalité sur les entreprises est passée de 50% à 33%, et même à 8% pour les grands groupes du CAC40. Évidement, la baisse des cotisations sociales des entreprises est à l’origine du déficit de la sécurité sociale et de la réforme des retraites. La dette permet un transfert des richesses vers les plus riches, payée par l’ensemble de la population. Les uns hériteront de la dette, les autres de l’argent de la dette,le système et les inégalités seront ainsi perpétués.

Mais pourquoi emprunter à des banques privées, alors que l’on pourrait emprunter à bon marché à la BCE ? Et bien en 1973 V.G.D’Estain et G. Pompidou réforment la banque de France en lui interdisant toute possibilité d’avance au trésor, la banque de France perd alors son rôle de service public. En 1976 R. Barre décide que l’Etat payera les intérêts de sa dette au delà du taux d’inflation, et en 1993, F. Mitterrand et J. Chirac, en application du traité de Maastricht, décident que l’Etat doit obligatoirement passer par les banques privées pour se financer.

Ceux qui profitent de ce système, ce sont également ceux qui pratiquent l’évasion fiscale. Ces sommes représentent en gros entre 600 et 800 milliards d’euros, soit environ 50 milliards d’euros par an. Plutôt que de participer au financement des services communs ou servir l’investissement industriel, ces sommes disparaissent dans les paradis fiscaux !Ceux qui pratiquent l’évasion fiscale ce sont ceux qui nous disent aimer la France, produire français, ceux là même qui nous parlent de la grandeur de la France et qui écoutent la Marseillaise la main sur le cœur, mais entre la main et le cœur, il y a leur portefeuille !La dette et les intérêts de la dette sont donc remboursés à la même catégorie de personnes qui pratiquent impunément l’évasion fiscale ! C’est à dire que ceux qui se plaignent d’être trop taxés,  qui fraudent le fisc, et  ne payent pas leurs impôts, demandent à ceux qui travaillent de rembourser une dette qui en définitive n’est pas la leur !

La France est endettée, il faut se serrer la ceinture parait-il, et l’on cherche des solutions qui aboutissent au final à une cure d’austérité pour les populations. L’on cherche à baisser le coût du travail, mais l’on oublie les 172 milliards de niches fiscales dont bénéficient les grandes entreprises, et l’on ne parle pas des 200 milliards annuels qui ont été accaparés par le capital sur la part des salaires.

La dette permet d’amplifier les attaques contre les services publics, la protection sociale, les retraites, et d’obéir aux recommandations des marchés financiers. La dette a été l’instrument d’asservissement des pays du sud. C’est la dette qui a été responsable de nombreuses guerres et des vagues d’immigration massives pour fuir la misère. Au sud, avec l’appui du FMI, la dette a été le moyen pour des multinationales et leurs riches actionnaires de contrôler et de piller les richesses et les ressources de ces pays. Maintenant c’est encore par le biais de la dette que l’on détruit tous les acquis sociaux des pays européens. La dette est présentée comme une fatalité, alors qu’en réalité c’est une opportunité de plus qu’ont les très riches  pour détrousser les plus pauvres, en mettant cela sur le dos de la fatalité !

Seul un pôle public financier permettra à la France comme aux États Européens, de se libérer de la rapacité des marchés financiers  qui n’ont que trop parasité l’économie réelle. La France n’a jamais été aussi riche, mais ses richesses n’ont jamais été aussi mal partagées. La priorité absolue devrait être d’éradiquer la pauvreté, la précarité et de relancer l’économie par le partage, et de mettre fin à ce pillage éhonté au seul profit des actionnaires-rentiers des grandes banques internationales. La captation et la confiscation des richesses produites, par un petit nombre de prédateurs au détriment des peuples deviennent la règle. Faut-il rappeler que les services publics sont la seule alternative à la monétisation et à la marchandisation de la santé et de l’éducation. Pour le secteur privé, un secteur public fort est une source de croissance, capable de fournir des services indispensables, ainsi que de garantir les investissements d’avenir. On est dans une situation aberrante où jamais l’humanité n’a produit autant de richesse, mais la suppression de tous les gardes fous pour libéraliser le marché, et la destruction de toutes les protections et des avancées sociales, entraînent l’humanité vers des jours sombres que l’on croyait révolus. Et ce n’est pas en se lamentant que nous ferons bouger les choses…

« Donnez moi le contrôle sur la monnaie d’une nation, et je n’aurais pas à me soucier de ceux qui font ses lois »…M.A.ROTHSCHILD

La pauvreté a augmenté et a atteint "un niveau record" enAllemagne, où les inégalités régionales ont aussi progressé, plongeant des régions entières dans une "spirale du déclin", s'alarment des associations d'aide sociale, dans un rapport publié jeudi. 

"L'Allemagne n'a jamais été aussi profondément divisée qu'aujourd'hui", a déclaré Ulrich Schneider, président de la très respectée Paritätische Gesamtverband, une fédération qui regroupe environ 10 000 associations actives dans le domaine de l'aide sociale et de la santé, lors d'une conférence de presse à Berlin. "Le taux de pauvreté, à 15,2 %, a atteint un nouveau et triste record en 2012", souligne l'édition 2013 du rapport annuel de cette organisation, qui s'appuie sur des données de l'institut allemand des statistiques (Destatis). "Une personne sur sept est pauvre ou menacée de pauvreté", avec un revenu inférieur à 60 % du revenu médian, a noté M. Schneider en relevant la hausse quasi constante du taux de pauvreté depuis 2006, selon le texte de son intervention diffusé dans un communiqué. 

"Gonflement des emplois à bas salaire"

La Paritätische Gesamtverband souligne que la pauvreté a progressé alors que le chômage, au contraire, diminuait dans le pays. "Cela pointe du doigt le gonflement des emplois à bas salaire, la baisse des emplois à plein temps soumis à cotisations sociales, la hausse du temps partiel et des conditions d'emploi précaires depuis dix ans", a estimé M. Schneider. Non seulement l'écart entre riches et pauvres "a significativement augmenté en Allemagne", mais en plus "le fossé entre régions prospères et régions pauvres s'approfondit et s'élargit", a-t-il ajouté.

Ainsi, le taux de pauvreté dépasse à peine 11 % dans les riches États régionaux du sud (Bavière, Bade-Wurtemberg) mais dépasse 20 % dans plusieurs États du nord (Berlin, Brême, Saxe-Anhalt et Mecklembourg-Poméranie-Occidentale). "Des centres pour jeunes ou personnes âgées, des bibliothèques, des piscines ferment dans beaucoup d'endroits", s'alarme le rapport. "Des régions entières sont plongées dans une spirale du déclin", selon M. Schneider, qui désigne la région de la Ruhr, ancien bastion industriel de l'ouest de l'Allemagne, comme la plus problématique.

Vers un salaire minimum

Il a apporté son soutien au projet du nouveau gouvernement allemand d'introduire un salaire minimum universel en Allemagne, pays qui en est dépourvu. Le gouvernement de coalition entre conservateurs et sociaux-démocrates a prévu de fixer à 8,50 euros de l'heure la rémunération minimum à partir de 2015. Le pouvoir d'achat moyen des salariés en Allemagne a baissé sur les neuf premiers mois de 2013, a annoncé par ailleurs jeudi l'institut des statistiques dans un communiqué.

Source AFP

Un ménage allemand sur sept est pauvre ou menacé de pauvreté : c'est le constat fait par l'office fédéral des statistiques et relaté par Die Zeit. La croissance a beau augmenter, le chômage a beau diminuer, la pauvreté, elle, continue de gagner du terrain depuis 2006. 15,2% de la population allemande est dans une situation précaire, si l'on considère qu'un couple avec deux enfants qui gagne moins de 1826 euros par mois est pauvre.

En cause : "l'américanisation du marché du travail", c'est-à-dire la multiplication des boulots incertains et mal payés. Die Zeit précise que l'écart entre régions riches (Bavière avec un taux de pauvreté à 11,1%, Bade-Wurtemberg 11,2%) et pauvres (Mecklembourg-Poméranie-Occidentale 22,9%, Brême 23,1%) se creuse. "L'Allemagne est divisée aujourd'hui plus que jamais", conclut le journal.

Avec l’adoption du Traité budgétaire, l’Union Européenne est sans doute en train de vivre la pire mascarade démocratique de son histoire.

Sur le fond d’abord, l’adoption du traité qui limite le déficit budgétaire à 0,5 % du PIB est une condamnation à l’austérité à perpétuité, une mise à mort des politiques de relance, un enfermement autiste dans l’échec de l’idéologie ultralibérale. La règle d’or budgétaire, c’est l’institutionnalisation de l’austérité au détriment des droits sociaux.  Angela Merkel n’avait pas caché son jeu quand elle déclarait que le frein à la dette devait être contraignant et s’appliquer de manière permanente.

Les Espagnols, les Grecs, les Portugais sont en train de crever!!!

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Membre, 113ans Posté(e)
stvi Membre 20 709 messages
Mentor‚ 113ans‚
Posté(e)

un peu long smile.gif mais très pertinent ....

j'ai aimé l'analyse des effets de la dette

"La dette permet un transfert des richesses vers les plus riches, payée par l’ensemble de la population. Les uns hériteront de la dette, les autres de l’argent de la dette,le système et les inégalités seront ainsi perpétués."

nous ne sommes pas prêt de nous en débarrasser trop d'intérêts sont en jeu

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Membre, Posté(e)
Olympe de Gouges Membre 463 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

un peu long smile.gif mais très pertinent ....

j'ai aimé l'analyse des effets de la dette

"La dette permet un transfert des richesses vers les plus riches, payée par l’ensemble de la population. Les uns hériteront de la dette, les autres de l’argent de la dette,le système et les inégalités seront ainsi perpétués."

nous ne sommes pas prêt de nous en débarrasser trop d'intérêts sont en jeu

Je reconnais que c'était un peu long.. :blush:

Mais l'Islande a refusé de payer la dette et mis les banquiers en prison

Maintenant, c'est la Finlande:

La Finlande a appelé mardi à épargner les contribuables de la zone euro dans les plans de sauvetage des banques européennes à l’avenir, estimant que la facture devrait être imputée aux actionnaires et créanciers.

"Partout en Europe nous devrions passer à une économie de marché normale, où les propriétaires et les investisseurs accusent des pertes en cas de débâcle de banque", a déclaré mardi le Premier ministre Jyrki Katainen lors d’un discours à Helsinki sur l’Europe.

Il a souhaité que l’union bancaire européenne, en cours de création, en fasse un principe fondateur, sinon nous resterons dans la situation actuelle où le contribuable paie les crises bancaires et a dit vouloir que les décisions sur l’union bancaire soient prises dans l’année.

Allons-nous encore longtemps gober les discours sur la dette ????

Très simplement expliqué et sur youtube: comprendre la dette en 5 minutes....

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