La mort

avant que tu sois ici tu as etais ou ??

Compte tenu des connaissances de l'époque, c'était pas spécialement saugrenu.

Vous êtes trop gentils avec les "erreurtomanes !

Avant Ptolémée qui disait que la terre était au centre du monde, Aristarque de Samos disait que la terre tournait sur elle même et autour du Soleil.

Aristote l'a suivi et pour 15 siècles on a été dans l'erreur complète.

Dans l'antiquité déjà des gens repoussaient totalement les idées de dieux et d'Âmes...

Il se trouve que ces auteurs-là sont en général très peu présentés (en particulier dans l'enseignement)...

Rafa dit :

tu veux que je disent que la mort est juste un monde ou le temps ne compte pas

c'est ca ?

avant que tu sois ici tu as etais ou ?? et lorsque tu sera mort tu crois que c'est la meme chose comme tu na jamais etais la première fois ?

Oui : Exactement pareil qu'avant.

Euh La mort n'est pas un monde. C'est juste l'absence de la vie.

C'est le même monde que le notre mais... sans lui !!!

(Des fois je m'épate moi-même !)

Rafa dit :

tu veux que je disent que la mort est juste un monde ou le temps ne compte pas

c'est ca ?

avant que tu sois ici tu as etais ou ?? et lorsque tu sera mort tu crois que c'est la meme chose comme tu na jamais etais la première fois ?

Oui : Exactement pareil qu'avant.

Euh La mort n'est pas un monde. C'est juste l'absence de la vie.

C'est le même monde que le notre mais... sans lui !!!

(Des fois je m'épate moi-même !)

tu veux dire que

avant que tu sois ici c'est la meme chose apres ta mort

mais avant tu sois ici tu an pas vecu = tu es rien

la tu es en vie = tu es quelque chose

apres ta mort = ca se sera pas comme tu ne jamais existé puisque tu as deja vecu ......

si tu me dis c'est pareil alors tu es rien.....puissque apres ta mort tu sera rien ......comme tu na jamais exsité .....

Rafa dit :

tu veux que je disent que la mort est juste un monde ou le temps ne compte pas

c'est ca ?

avant que tu sois ici tu as etais ou ?? et lorsque tu sera mort tu crois que c'est la meme chose comme tu na jamais etais la première fois ?

Moi :

Oui : Exactement pareil qu'avant.

Euh La mort n'est pas un monde. C'est juste l'absence de la vie.

C'est le même monde que le notre mais... sans lui !!!

(Des fois je m'épate moi-même !)

Rafa :

tu veux dire que

avant que tu sois ici c'est la meme chose apres ta mort

mais avant tu sois ici tu an pas vecu = tu es rien

la tu es en vie = tu es quelque chose

apres ta mort = ca se sera pas comme tu ne jamais existé puisque tu as deja vecu ......

si tu me dis c'est pareil alors tu es rien.....puissque apres ta mort tu sera rien ......comme tu na jamais exsité .....

Mais non !

C'est pas comme si tu n'avais jamais existé.

Tu as existé.

Ceux qui t'ont connu se souviennent de toi.

Si tu as fait quelque chose d'important, ou de bien, ça marquera dans une certaine mesure le futur...

Mais dans une certaine mesure seulement.

Disons que si tu as été "important", être important, c'est marquer le monde pour un certain temps mais pas plus.

Et seulement en ce qui concerne notre environnement immédiat.

S'il existe des gens sur la galaxie d'Andromède - Et c'est pratiquement certain - ce qu'on est, a été, ou ce qu'on fait, qu'on a fait, ne compte absolument pour rien.

Pour quelqu'un de la galaxie d'Andromède, De Gaulle, Napoléon, César, Alexandre le Grand, Victor Hugo, jean Sébastien Bach, Mozart ou Picasso, le Titien ou Goya,

N'ont pas plus d'importance que Nous :

LA GALAXIE D'ANDROMEDE C'EST LA REVANCHE DES MEDIOCRES !

Olé !

Je sais plus trop ce que je voulais dire...

Bon soir !

ça y'est ça me revient ;

C'est à chacun de décider de la petite trace qu'il veut laisser...

(Chez ses enfants, ses voisins, les enfants de ses enfants, de ses voisins...)

Le lot de l'homme, c'est ça !

C'est pas grand chose,

MAIS C'EST PAS RIEN !

Brassens disait que "de pas trop avoir emmerdé ses voisins", c'était déjà un bon bilan de vie.

Il faut écouter les poètes !...

Si la conscience est souffrance, le néant est paradis.

On n'est plus sur la même longueur d'onde, là !!!!

Rafa dit :

tu veux que je disent que la mort est juste un monde ou le temps ne compte pas

c'est ca ?

avant que tu sois ici tu as etais ou ?? et lorsque tu sera mort tu crois que c'est la meme chose comme tu na jamais etais la première fois ?

Moi :

Oui : Exactement pareil qu'avant.

Euh La mort n'est pas un monde. C'est juste l'absence de la vie.

C'est le même monde que le notre mais... sans lui !!!

(Des fois je m'épate moi-même !)

Rafa :

tu veux dire que

avant que tu sois ici c'est la meme chose apres ta mort

mais avant tu sois ici tu an pas vecu = tu es rien

la tu es en vie = tu es quelque chose

apres ta mort = ca se sera pas comme tu ne jamais existé puisque tu as deja vecu ......

si tu me dis c'est pareil alors tu es rien.....puissque apres ta mort tu sera rien ......comme tu na jamais exsité .....

Mais non !

C'est pas comme si tu n'avais jamais existé.

Tu as existé.

Ceux qui t'ont connu se souviennent de toi.

Si tu as fait quelque chose d'important, ou de bien, ça marquera dans une certaine mesure le futur...

Mais dans une certaine mesure seulement.

Disons que si tu as été "important", être important, c'est marquer le monde pour un certain temps mais pas plus.

Et seulement en ce qui concerne notre environnement immédiat.

S'il existe des gens sur la galaxie d'Andromède - Et c'est pratiquement certain - ce qu'on est, a été, ou ce qu'on fait, qu'on a fait, ne compte absolument pour rien.

Pour quelqu'un de la galaxie d'Andromède, De Gaulle, Napoléon, César, Alexandre le Grand, Victor Hugo, jean Sébastien Bach, Mozart ou Picasso, le Titien ou Goya,

N'ont pas plus d'importance que Nous :

LA GALAXIE D'ANDROMEDE C'EST LA REVANCHE DES MEDIOCRES !

Olé !

Je sais plus trop ce que je voulais dire...

Bon soir !

ça y'est ça me revient ;

C'est à chacun de décider de la petite trace qu'il veut laisser...

(Chez ses enfants, ses voisins, les enfants de ses enfants, de ses voisins...)

Le lot de l'homme, c'est ça !

C'est pas grand chose,

MAIS C'EST PAS RIEN !

Brassens disait que "de pas trop avoir emmerdé ses voisins", c'était déjà un bon bilan de vie.

Il faut écouter les poètes !...

ok je vais t'aider a comprendre

toi Blaquière tu es vivant la ......tu vis ....et apres tu meurt ........pour toi apres il ya rien

un animal il est vivant ...........il vis ..........apres il meurt .....................................................

alors je comprend que toi Blaquière et cet animal vous aurais la meme fin apres votre mort ??

Un homme n'est pas mort tant qu'on parle de lui..

ok je vais t'aider a comprendre

toi Blaquière tu es vivant la ......tu vis ....et apres tu meurt ........pour toi apres il ya rien

un animal il est vivant ...........il vis ..........apres il meurt .....................................................

alors je comprend que toi Blaquière et cet animal vous aurais la meme fin apres votre mort ??

Mais oui !

ON EST DES ANIMAUX !

On a juste développé des facultés intellectuelle un peu plus grande que eux :

Les poissons nagent plus vite que nous, mais nous, on pense mieux.

Il faut pas trop se la jouer non plus : les animaux ne sont pas si bêtes que ça.

L'autre jour, mon chat m'a griffé, et je lui ai filé une bonne baffe.

Pendant deux jours, il avait peur de moi, puis, ce matin, il est venu devant moi et m'a regardé pour voir si je voulais bien qu'il vienne se coucher sur mes genoux.

Je lu ai fait signe que oui, et il est venu.

Il voulait faire la paix :

Pas si couillons que ça, les animaux.

Nous on a juste développé un peu plus nos facultés intellectuelles.

On fabrique des voitures, de l'électricité, du nucléaire,

Mais on fonctionne toujours à peu près comme eux...

Et on aura la même fin.

C'est tristement logique, mais c'est comme ça.

Un homme n'est pas mort tant qu'on parle de lui..

Oui ! On pourrait dire ça...

Mais non ! Pas du tout !

C'est ça l'injustice absolu !

Moi vivant qui sait tout juste aligner trois mots correctement,

je suis meilleur poète que Victor Hugo mort !

C'est dramatique !

Parce que Victor Hugo mort, n'est plus rien.

C'est ça la vie : c'est pas grand chose, mais c'est tout : ça fait toute la différence.

La vie c'est l'injustice.

Un livre fermé sur l'étagère ne dit rien.

Il faut que quelqu'un de vivant le lise pour qu'il prenne du sens.

Mais c'est aussi pour ça que vivre, c'est garder le sens de la dignité comme un trésor : on n'a que ça.

Flûte : on est cerné de tous les côtés !

T'è mi vau couchar !

.................La Vie la Mort

C’est l’Histoire du Mec qui demande a un autre Mec Marchant sur le même Trottoir, SVP Mr (Dit-il a l’autre) ou se trouve le Trottoir d’en Face ?

Et l’autre de lui répondre (En lui indiquant le Trottoir leurs faisant face)........C’est en Face Mr.........Merci Mr (Dit-il ......l’autre)!!!

Arrivé sur le Trottoir d’en face le Mec pas Rassurer se Renseigne a un Autre Mec Marchant sur le Trottoir, SVP Mr ou se trouve le Trottoir d’en Face ?

Pour moi la Vie et la Mort c’est ma même Chose, sauf que c’est a des Endroits Différents

La Vie Précède la Mort ici bas, et la Mort Suit la Vie mais c’est une autre « Vie » dans l’au-delà

Vous arrêtez un peu de dire des absurdités ?

" La vie, la mort c'est la même chose " !!!

Pffff

C'est ça que j'appelle des paroles de Gourous qui veulent en mettre plein la vue aux esprits simples.

Eh bien non ! La vie et la mort c'est pas la même chose c'est même le contraire !

Non, mais !....

Tout ce qui est vivant n'est pas mort et tout ce qui est mort n'est pas vivant !

C'est clair ?

N'abusons pas de métaphores bancalesSi un trottoir est la vie et l'autre la mort, quand on arrive sur le second, on peut pas revenir sur le premier !

C'est fini n , i, = ni !

L’absurdité de la mort.

"Notre vie n'est qu'une longue attente : attente de la réalisation de nos fins, d'abord (être engagé dans une entreprise, c'est en attendre l'issue), attente de nous-mêmes surtout (même si cette entreprise est réalisée, même si j'ai su me faire aimer, obtenir telle distinction, telle faveur, reste à déterminer la place, le sens et la valeur de cette entreprise même dans ma vie). Cela ne provient pas d'un défaut contingent de la « nature » humaine, d'une nervosité qui nous empêcherait de nous limiter au présent et qui pourrait être corrigée par l’exercice, mais de la nature même du pour-soi qui « est » dans la mesure où il se temporalise. Aussi faut-il considérer notre vie comme étant faite non seulement d'attentes, mais d'attentes qui attendent elles-mêmes des attentes. C'est là la structure même de l'ipséité : être soi, c'est venir à soi. Ces attentes évidemment comportent toute une référence à un terme ultime qui serait attendu sans plus rien attendre. Un repos qui serait être et non plus attente d’être. Toute la série est suspendue à ce terme ultime qui n'est jamais donné par principe et qui est la valeur de notre être, c'est-à-dire, évidemment, une plénitude du type « en-soi, pour-soi ». Par ce terme ultime, la reprise de notre passé serait faite une fois pour toutes ; nous saurions pour toujours si telle épreuve de jeunesse a été fructueuse ou néfaste, si telle crise de puberté était caprice ou réelle préformation de mes engagements ultérieurs. La courbe de notre vie serait fixée pour toujours. En un mot, le compte serait arrêté. (…) Mais, puisque la mort ne paraît pas sur le fondement de notre liberté, elle ne peut qu'ôter à la vie toute signification. Si je suis attente d'attentes d’attente et si, d'un coup, l’objet de mon attente dernière et celui qui attend sont supprimés, l'attente en reçoit rétrospectivement le caractère d'absurdité. Trente ans ce jeune homme a vécu dans l'attente d'être un grand écrivain ; mais cette attente elle-même ne se suffisait pas : elle serait obstination vaniteuse et insensée, ou compréhension profonde de sa valeur selon les livres qu'il écrirait. Son premier livre est paru, mais, à lui seul, que signifie-t-il ? C'est un livre de début. Admettons qu'il soit bon - il ne prend son sens que par l'avenir. S'il est unique, il est à la fois inauguration et testament. Il n'avait qu'un livre à écrire, il est limité et cerné par son oeuvre ; il ne sera pas « un grand écrivain ». Si le roman prend sa place dans une série médiocre, c'est un « accident ». (…) Mais, du coup, l'attente même que ce jeune mort fut, cette attente d'être un grand homme, perd toute espèce de signification ; elle n'est ni aveuglement têtu et vaniteux, ni véritable sens de sa propre valeur, puisque rien, jamais, n'en décidera. Il ne servirait à rien, en effet, de tenter d'en décider en considérant les sacrifices qu'il a consentis à son art, la vie obscure et rude qu'il a consenti à mener ; tant de médiocres ont eu la force de faire de semblables sacrifices. Au contraire, la valeur finale de ces conduites reste définitivement en suspens ; ou, si l'on préfère, l'ensemble - conduites particulières, attentes, valeurs - tombe d'un coup dans l’absurde. Ainsi, la mort n'est jamais ce qui donne son sens à la vie - c'est au contraire ce qui lui ôte par principe toute signification. Si nous devons mourir, notre vie n'a pas de sens parce que ses problèmes ne reçoivent aucune solution et parce que la signification même des problèmes demeure indéterminée. Sartre, L’Être et le néant, page 596.

La Vie Précède la Mort ici bas, et la Mort Suit la Vie mais c’est une autre « Vie » dans l’au-delà

Et puis vous mélangez tout !

La vie, c'est une organisation (biologique) , une durée, alors que la mort n'est qu'un événement ponctuel.

La fin, la ruine de cette organisation.

Après l'événement (j'ai pas dit l'avènement !) de la mort, y'a juste plus la vie.

Les composants vivants organisés se désorganisent en éléments organiques ou minéraux qui ne sont plus vivants

La mort n'est pas un état qui dure.

Vous voyez trop de films sur les morts vivants ou quoi ?

Un macchabée c'est juste un paquet d'éléments organiques et minéraux qui reprennent leur indépendance...

C'est bien ce qu'il dit Sartre !

Mais on sent le trait autobiographique, dans ce jeune homme qui veut devenir "un grand écrivain" !

Et l'on devine que toute sa vie il a pédalé pour être conforme à son espoir, à son rêve de jeunesse !

Il semblerait qu'en plus il voulait devenir "le plus grand" de sa génération !

Quitte à fabriquer son propre mythe... et même à enfoncer les autres !

N'empêche que ses quelques pages de préface pour "le traître" d'André Gorz restent (à mon avis)

un exemple de perfection littéraire absolue ! Aussi bien pour le style que l'intelligence du discours...

(Il y est moins question de la mort que de la liberté, de la constatation que l'on joue le plus souvent un rôle plus ou moins imposé de l'extérieur... La quête de la liberté consistant à casser ce carcan, à être traître à ce qu'on attend de vous...)

bonjour

sans la vie ,la mort n'existerait pas .la vie peut-être un court ou long métrage ,ou bien l' épisode d'une histoire qui possède peut-être une suite ? pourquoi vivre si c'est pour mourir un jours .

la vie ne dure que si la machinerie biologique s'auto- répare.

au fur à mesure que le temps passe les réparations deviennent de plus en plus mal faite et , cela conduit à la mort .le système de la vie sur notre planète , ne peut perdurer que s'il y à mort et récupération des (matériaux )de construction sinon , ce serait la saturation du système à brève échéance .

mais , il se peut que la vie ne soit qu'un passage nécessaire pour une autre aventure sous une autre forme dans une autre dimention ?

bonne journée

Que ce soit un passage ou pas est une question de peu d'importance d'un point du vue objectif concernant les vicissitudes de la vie dans ce bas monde.

Par contre que ceux qui y croient ou se posent régulièrement la question se sentent mieux avec est incontestable.

Qu'un certain nombre en fasse leur fond de commerce relève de cette question. Il vivent grâce à cette prestation de service. Le patient se sent mieux. D'ailleurs concernant ce passage l'homme est le plus souvent patient. Il n'est pas pressé. Toutefois j'ai remarqué que même les prêtres, lorsqu'ils ne se sentent pas bien, vont voir les médecins et non les évêques.

Pour les imams c'est une arnaque. Déjà traduire ignare par savant ça commence mal. Ensuite promettre 72 vierges pour qui se fait sauter pour emporter avec lui les mécréants font douter du reste.