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Qu'est la douleur non physique ? (douleur intérieure)

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akiho2020

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Membre, Je n'en ai aucun, 51ans Posté(e)
pep-psy Membre 23 493 messages
51ans‚ Je n'en ai aucun,
Posté(e)

qu'est-ce que la douleur intérieur celle qui n'est pas phisique??

Quelque part, ce sera toujours physique... Le fait que tu penses, c'est physique, ça se passe dans ton cerveau

qui a besoin d'énergie pour fonctionner, etc...

Une douleur peut-être un coup physique, un coup reçus et qui va marque certaines parties de notre corp !

Mais un coup peut aussi être porté au moral, mais cela n'en résultera pas moins une douleur physique !

On se sent mal, on a mal au centre, on a l'appétit coupé, on a mal à la tête, envie de vômir, etc...

Notre cerveau dirige notre corp, que ce soit conscient ou inconscient ou encore en mode "animal"... (fonctions vitales)

Donc si on reçoit un coup physique, ça ira des récepteurs du corp en direction du cerveau

et lorsque ce sera mental, ça ira du cerveau au corp et qui reviendra au cerveau !

Parce que je pense que les déclencheurs cérébraux de la souffrance mentale ne sont pas les mêmes que les récépteurs cérébraux des messages reçu depuis le corp !

Le cerveau peut donc générer des souffrances qu'il perçoit ensuite comme étant réellement physique !

Ce n'est que mon avis... ;)

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Membre, [Sans sous-titre - Version Originale Intraduisible], Posté(e)
Anna Kronisme Membre 2 134 messages
[Sans sous-titre - Version Originale Intraduisible],
Posté(e)

Nous sommes bien obligés de différencier la douleur de la souffrance, ne serait-ce que pour se (faire) soigner. Un médecin examinera le corps avant de s'intéresser à l'appareil psychique. Un psychanalyste examinera l'appareil psychique pour "expliquer" le corps.

J'en reviens au corps et à l'esprit. Les deux sont indissociables... même lorsque l'un des deux a cessé de fonctionner. Nous savons aujourd'hui qu'une activité physique permet un mieux être moral et qu'une bonne humeur augmente la vitalité.

Nous ne pouvons pas envisager un seul instant qu'il n'existerait que la douleur ou que la souffrance car ce serait nier la moitié de son Être.

Mens sana in corpore sano

(Voilà, vous l'aurez voulu)

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Membre, Je n'en ai aucun, 51ans Posté(e)
pep-psy Membre 23 493 messages
51ans‚ Je n'en ai aucun,
Posté(e)

Nous sommes bien obligés de différencier la douleur de la souffrance, ne serait-ce que pour se (faire) soigner. Un médecin examinera le corps avant de s'intéresser à l'appareil psychique. Un psychanalyste examinera l'appareil psychique pour "expliquer" le corps.

J'en reviens au corps et à l'esprit. Les deux sont indissociables... même lorsque l'un des deux a cessé de fonctionner. Nous savons aujourd'hui qu'une activité physique permet un mieux être moral et qu'une bonne humeur augmente la vitalité.

Nous ne pouvons pas envisager un seul instant qu'il n'existerait que la douleur ou que la souffrance car ce serait nier la moitié de son Être.

Pas mal...

Alors pour toi quand le mal vient du corp = Douleur

Quand le mal vient des pensées, réfléxions, inquiètudes, etc... = Souffrance

Intéressante distinction entre ces deux mots.

;)

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Membre, [Sans sous-titre - Version Originale Intraduisible], Posté(e)
Anna Kronisme Membre 2 134 messages
[Sans sous-titre - Version Originale Intraduisible],
Posté(e)

Et je peux même aller plus loin en associant la douleur au réel en passant par Lacan (mon gourou) :

"Le réel, c'est quand on s'cogne !"

La souffrance ne serait qu'une vue de l'esprit. Elle ne serait pas irréelle mais plutôt de l'ordre d'une "fabrication". De fait, elle est humaine.

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Membre, Marxiste tendance Groucho, 62ans Posté(e)
Alain75 Membre 27 400 messages
62ans‚ Marxiste tendance Groucho,
Posté(e)

Nous sommes bien obligés de différencier la douleur de la souffrance, ne serait-ce que pour se (faire) soigner. Un médecin examinera le corps avant de s'intéresser à l'appareil psychique. Un psychanalyste examinera l'appareil psychique pour "expliquer" le corps.

J'en reviens au corps et à l'esprit. Les deux sont indissociables... même lorsque l'un des deux a cessé de fonctionner. Nous savons aujourd'hui qu'une activité physique permet un mieux être moral et qu'une bonne humeur augmente la vitalité.

Nous ne pouvons pas envisager un seul instant qu'il n'existerait que la douleur ou que la souffrance car ce serait nier la moitié de son Être.

Mens sana in corpore sano

(Voilà, vous l'aurez voulu)

Distinguo justifié. Merci.

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Membre, 43ans Posté(e)
Titsta Membre 6 722 messages
Forumeur Débutant‚ 43ans‚
Posté(e)

Oui, j'aime bien cette distinction "douleur" / "souffrance".

Pour ma part, qu'elle soit physique ou affective, la souffrance est toujours une question de mauvaise position.

La souffrance est un signal. Elle n'est pas mauvaise en sois. Elle indique quelque chose.

Si tu as mal physiquement, si tu te brule par exemple, c'est qu'il faut changer sa position physique.

Si tu as mal affectivement, c'est qu'il faut changer de "position affective", d'état d'esprit, de façon de voir le monde, les choses.

La souffrance psychologique est toujours la plus difficile à régler.

La société à tendance à nous pousser à "tenir" nos positions, donc à "contrôler" nos sentiments. Ceci pour que les autres puissent se "fier" à toi. Pour stabiliser les contrat sociaux. ( C'est social et jamais intime les "contrats" ou les "engagements". )

Mais du coup, c'est toi qui prend sur toi pour respecter cette "norme".

Par exemple, il "faudrait" que les couples durent, c'est jugé comme "bien" socialement. Du coup, même si on ne s'aime plus, on va continuer à tout faire pour aller contre ce qu'on ressens et faire durer le couple... Ce genre de chose.

D'où la souffrance affective qui se génère, pour nous indiquer que nous tenons une mauvaise position mentale des choses.

La souffrance mentale est très souvent lié à ça.

Accepter ce qu'on ressens, accepter de souffrir, qu'on n'est pas en sucre et qu'on va pas mourrir par ce qu'on souffre, et "accuser réception" du message que nous envois notre corps, nous dire : ok on va changer quelque chose, et s'y consacrer.

C'est la façon la plus rapide, et la plus saine, de faire disparaître nos souffrances.

Les nier, les "repousser", faire comme si elles n'existaient pas, agir comme si on ne souffrait pas, c'est pousser notre corps à augmenter la souffrance, jusqu'à ce qu'on s'en occupe.

Les traumatismes sont lié au même mécanismes, mais sont plus difficile à régler.

Nous vivons dans des illusions, nous construisons un monde selon des règles dans lesquelles nous "croyons".

Et nous oublions que nous pouvons nous tromper sur la "réalité".

Du coup, quand on découvre qu'on pouvait se tromper, notre "univers s'effondre".

Si nous passons notre temps à nous imaginer qu'il est "impossible" que notre mec (ou notre copine) nous trompe, le jour où ça arrive, c'est plus qu'un acte, c'est notre univers qui s'effondre.

Univers qu'il faudrait reconstruire sur d'autres bases.

C'est ce qu'on appelle un traumatisme.

Et plus le mensonge à nous même était profond et ancré, plus reconstruire sur d'autres base sera difficile.

Ceci pourra aussi introduire des différence avec les autres, qui vivent dans leur mensonge alors que nous ne pouvons plus y croire... c'est pour ça que souvent les grands traumatismes, issu des mensonges communs très largement partagés, isoles socialement.

Lorsque nous prenons conscience que nous vivons dans une mauvaise position mentale, nous en souffrons.

Et tant que nous n'avons pas reconstruit notre monde en intégrant cette réalité, ces éventualités, nous souffrons.

( Et souvent pendant plusieurs couples... pour ceux qui tiennent à tout prix à se cacher les yeux sur la réalité. )

Peu à peu, nous construisons notre monde et ses règles sur ces possibilité, et elles cessent de nous faire souffrir.

Ne serait-ce par exemple de savoir que ton copain peut te tromper, et savoir que dans ce cas, tu aura le comportement : "je le largue". C'est un début d'intégration de ces possibilité dans ton univers.

Une tromperie continue de faire souffrir, car il y a un changement de position mentale à tenir.

Mais n'est plus un "traumatisme". Et on le surmonte plus rapidement.

Je prend les couples en exemple, mais c'est applicable partout.

Modifié par Titsta
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Membre, Je n'en ai aucun, 51ans Posté(e)
pep-psy Membre 23 493 messages
51ans‚ Je n'en ai aucun,
Posté(e)

Quelqu'un qui, par exemple, souffre régulièrement du haut du dos, les épaules, la nuque, etc...

Est-ce que cela pourrait provenir, pour vous, du mental ?

C'est à dire que la douleur existe réellement, on peut masser, soulager, etc...

Mais ce mal reviendra toujours, car il n'est pas QUE physique...

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Membre, Marxiste tendance Groucho, 62ans Posté(e)
Alain75 Membre 27 400 messages
62ans‚ Marxiste tendance Groucho,
Posté(e)

surtout qu'une douleur physique constante peut très vite tourner à la souffrance morale

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Membre, Je n'en ai aucun, 51ans Posté(e)
pep-psy Membre 23 493 messages
51ans‚ Je n'en ai aucun,
Posté(e)

surtout qu'une douleur physique constante peut très vite tourner à la souffrance morale

Tout à fait et qui va générer par la suite de nouvelles postures physiques...

(on reconnait l'humain déprimé à sa posture, ses expressions, etc...)

Je ne sais pas si on peut mettre dans la douleur physique, la perte des cheveux, mais dieu sait que ça traumatise !

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 727 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

Quelqu'un qui, par exemple, souffre régulièrement du haut du dos, les épaules, la nuque, etc...

Est-ce que cela pourrait provenir, pour vous, du mental ?

C'est à dire que la douleur existe réellement, on peut masser, soulager, etc...

Mais ce mal reviendra toujours, car il n'est pas QUE physique...

Et que dire des douleurs ressenties dans un membre amputé?

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 727 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

Je mettrai cette interrogation en opposition avec celle-ci: qu'est ce que le bien-être intérieur comparativement à un état normal? ( sans douleur )

je me suis souvent demandé, comment on pouvait se sentir mieux que bien, Socrate disait qu'on prenait un certain plaisir à se soulager par exemple lorsque l'on a une démangeaison, on se gratte, ce qui fait du bien, mais qu'en est-il lorsqu'il n'y a rien de désagréable à la base à soulager?

Il se trouve une ébullition psychique libérant des hormones qui nous procure se bien-être, alors qu'à la normale, il n'y a pas ces libérations. Maintenant, le mal-être serait donc une production hormonale aussi, mais avec d'autres hormones antagonistes aux premières. La simple vue d'une scène pouvant conduire à créer des hormones en fonction de l'émotion procurée ( ou réciproquement, l'émotion ressentie serait le résultat de l'action hormonale, car le déclenchement n'a pas besoin d'être conscient )

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Membre, Posté(e)
Petitpepin Membre 783 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Quel besoin y'a-t-il de faire intervenir les hormones là-dedans ? (ce n'est pas une attaque, je ne comprends vraiment pas)

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 727 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)
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Membre, 78ans Posté(e)
Talon Membre 1 722 messages
Baby Forumeur‚ 78ans‚
Posté(e)

La douleur morale est provoquée par une "représentation mentale". Un même chose étant jugée à la fois bonne, mauvaise ou indifférente. La musique est bonne au joyeux, mauvaise au triste et indifférente au sourd. Donc ce type de douleur est le fait de notre jugement, donc elle peut être corrigée en changeant la volonté.

C'est la volonté et le jugement qui sont cause du chagrin. Cicéron (petit pois en latin)

Les hommes sont tourmenté par l'opinion qu'ils ont des choses, non par les choses elles-mêmes. Montaigne

Modifié par Talon
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Pour revenir sur la distinction douleur/souffrance, c’est vrai que dans le monde professionnel de la santé, on différencie généralement la douleur (=physique) et la souffrance (=psychique), alors que... la frontière est inexistante pour celui qui souffre. Quand je souffre, c’est de tout mon corps. D’ailleurs dans bien des situations le vocabulaire pour décrire la souffrance est aussi concret que celui d’un corps meurtri. On parle de traumatismes psychiques, de blessures au coeur, on présente ses con-doléances lors d’un décès (on prend la douleur de celui qui reste).

Ce qui me dérange dans cette distinction douleur/souffrance c’est qu’il y a derrière elle une tendance à minimiser la souffrance, à considérer qu’elle ne mérite pas la même attention que la douleur, parce qu’elle est propre à l’individu, elle relèverait même de sa responsabilité.

Alors que souffrance et douleur sont indissociables. Mais la souffrance dit ce que la douleur ne dit pas. La souffrance, c’est toute l’expression du Sujet. C’est ce qu’il endure dans la douleur ("souffrir" signifie aussi "endurer"). Dans le cas de blessures corporelles par exemple, je pourrais dire que j’ai très mal au ventre. Mais ce qui me fait souffrir, c’est cette plaie associée à mon impuissance à maîtriser la douleur, à mon incompréhension, à mon incertitude, à ma peur, à ma vulnérabilité.

On peut aussi considérer que douleur et souffrance sont une seule et même chose envisagée sous deux aspects différents.

Essentiellement, nous parlons de douleur lorsque la cause liée au mal que nous ressentons est facilement identifiable ou représentable. Alors que lorsque le mal est diffus, ambigu ou étendu, et que nous peinons à nous représenter quoi que ce soit à son propos, nous parlons plutôt de souffrance.

Il y a de ça. Et c’est peut-être parce que ce qui est difficilement identifiable englobe toute la complexité d’une personne et de son vécu.

Si on reprend l'exemple déjà évoqué d’une rupture amoureuse : Ce qui me fait mal, c’est le départ de la personne que j’aime, c’est la trahison, ce sont les mots blessants, c’est tout ce qui est effectivement identifiable et même localisable. Et ce qui me fait souffrir c'est l’absence, c'est ma solitude, mon impuissance à changer les choses, la part indéfinissable de ma responsabilité, c'est mon sentiment d’être mal aimé, c'est ma médiocrité. C’est toute la part intemporelle et indiscernable que cette rupture a fragilisé en moi.

La souffrance c’est en quelque sorte la vérité individuelle de la douleur.

.

Modifié par Théia
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La douleur morale est provoquée par une "représentation mentale". Un même chose étant jugée à la fois bonne, mauvaise ou indifférente. La musique est bonne au joyeux, mauvaise au triste et indifférente au sourd. Donc ce type de douleur est le fait de notre jugement, donc elle peut être corrigée en changeant la volonté.

Encore faut-il pouvoir identifier ce qui en son être est atteint.

Ce qui est quasiment impossible. Parce qu'il n'y a jamais une seule cause à la complexité de ce que l'on est aujourd'hui.

Modifié par Théia
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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 727 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

C'est la volonté et le jugement qui sont cause du chagrin. Cicéron (petit pois en latin)

Les hommes sont tourmenté par l'opinion qu'ils ont des choses, non par les choses elles-mêmes. Montaigne

Ces phrases auraient du être tournées différemment:

La volonté et le jugement peuvent être la cause du chagrin.

Les hommes peuvent être tourmentés par l'opinion qu'ils ont des choses, non toujours par les choses elles-mêmes.

Car la perte d'un proche important, ne sera ni liée à la volonté, ni aux jugements ou aux opinions, mais aux affects/échanges que l'on avait avec celle-ci, et que sa disparition nous rappelle la privation définitive de ceux-là, conduisant à une émotion négative, le chagrin.

Ce qui me dérange dans cette distinction douleur/souffrance c’est qu’il y a derrière elle une tendance à minimiser la souffrance, à considérer qu’elle ne mérite pas la même attention que la douleur, parce qu’elle est propre à l’individu, elle relèverait même de sa responsabilité.

D'un autre coté, on sait aujourd'hui, du moins on le reconnait, que nous ne sommes pas égaux face à la douleur, comme en toute chose, tel les capacités cognitives, artistiques, physiques ou sportives, la résistance face à la maladie ( génétiquement ou l'efficacité des médicaments selon ses origines ethniques ), ou encore la dépendance à la cigarette ( dépendante du nombre de récepteur nicotinique sur les neurones du cerveau ).

Ignorer ce facteur individuel, c'est traiter tout le monde identiquement, ce qui n'est pas forcément mieux non plus. ;)

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D'un autre coté, on sait aujourd'hui, du moins on le reconnait, que nous ne sommes pas égaux face à la douleur, comme en toute chose, tel les capacités cognitives, artistiques, physiques ou sportives, la résistance face à la maladie ( génétiquement ou l'efficacité des médicaments selon ses origines ethniques ), ou encore la dépendance à la cigarette ( dépendante du nombre de récepteur nicotinique sur les neurones du cerveau ).

Ignorer ce facteur individuel, c'est traiter tout le monde identiquement, ce qui n'est pas forcément mieux non plus. ;)

oh mais c'est justement tout ce que je reproche à l'attention portée à la douleur, et moins à la souffrance. Alors que pour l'individu, elles ne font qu'un.

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 727 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

oh mais c'est justement tout ce que je reproche à l'attention portée à la douleur, et moins à la souffrance. Alors que pour l'individu, elles ne font qu'un.

Je n'ai pas compris ta réponse, dans la mesure où la souffrance serait une douleur à endurer, il y a une corrélation entre les deux, si ma remarque est valable pour l'un, elle l'est pour l'autre nécessairement. D'ailleurs, je ne distingue pas vraiment douleur et souffrance, puisque le coté localisé pour l'un et diffus pour l'autre me conviennent assez bien, mais ces deux-là avec le mal-être, plus volontiers. ( comme quelqu'un qui n'est pas heureux, n'est pas forcément malheureux, et réciproquement )

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Invité Invités 0 message
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Oups, alors c’est moi qui ai dû mal comprendre ta remarque. Je l’ai comprise comme une interprétation de mes propos qui serait de devoir "ignorer ce facteur individuel", quand ce n’est pas du tout ce que j’ai voulu dire.

A part ça, moi je n’abordais pas l’aspect neurobiologique ou hormonal de la douleur/souffrance , mais je suis d’accord avec toi. Si ce n’est que la libération d’hormones qui procurent le bien-être ou préserve du mal être, a lieu aussi à "l’état normal" (et pas seulement à l’occasion d’un événement particulier). La sérotonine par exemple est fondamentale dans la régulation de l’humeur. Une faille dans la neurotransmission peut impliquer de graves troubles du comportement et de l’humeur. D'ailleurs le rôle de la plupart des antidépresseurs est justement de rééquilibrer cette régulation défaillante.

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