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Votre opinion du libéralisme  

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Membre, Posté(e)
slanny Membre 5 248 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Ce n'est pas parce que cela n'existe pas que cela n'est pas faisable.

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Invité Long Nao
Invités, Posté(e)
Invité Long Nao
Invité Long Nao Invités 0 message
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Certes non, mais ce n'est pas parce que c'est faisable que ça se ferra :sleep:

Quand bien même ça se ferait, on assisterait à un mouvement de distinction de la part de ceux qui en ont les moyens, c'est à dire de privilégier si possible des écoles payantes où la fréquentation sera moins vulgaire.

Ce qui, dans les faits, est déjà le cas avec la suppression partielle de la carte scolaire...

Il y en a un, il n'intervient jamais que par le biais des -1 :smile2: Avec tout ce qu'il m'a mit comme -1, je suis d'ailleurs surpris qu'il en ait encore en réserve (oui, c'est limité dans la journée... il doit avoir une réserve cachée :D )

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Membre, Posté(e)
slanny Membre 5 248 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Quand bien même ça se ferait, on assisterait à un mouvement de distinction de la part de ceux qui en ont les moyens, c'est à dire de privilégier si possible des écoles payantes où la fréquentation sera moins vulgaire.

Ce qui, dans les faits, est déjà le cas avec la suppression partielle de la carte scolaire...

C'est déjà le cas, en quoi ma proposition empirerai la chose ? alors que c'est avéré que la concurrence entre les écoles améliore la qualité de l’éducation ? Quoi que l'on fasse, les personnes qui ont les moyens mettrons le prix pour éduquer leurs gosses.

les -1 ce n'est pas moi ^^ Et pourquoi j’en ai un moi :snif:

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Membre, 35ans Posté(e)
LeBreton66 Membre 549 messages
Baby Forumeur‚ 35ans‚
Posté(e)

Les gauchos te mettent des -1, moi je te mets des +1 et les gauchos (facho, ça rime) me mettent aussi des -1, c'est de bonne guerre lol

Ou serait le mal à ce que les meilleurs élèves aillent dans les meilleurs établissements? Ca ne peut qu'être une bonne chose. Il est nécessaire qu'il y ait une élite, des personnes mieux formés. Il y aura toujours des personnes plus intelligentes que d'autres et il serait du gâchis de ruiner leur potentiel. Gâchis pour eux mais pour tout le monde car il est dans l'intérêt de tout le monde qu'il y ait des têtes pensantes qui seront les chercheurs, les ingénieurs et entrepreneurs ingénieux de demain qui élèveront le niveau de vie de tout le monde.

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Invité Long Nao
Invités, Posté(e)
Invité Long Nao
Invité Long Nao Invités 0 message
Posté(e)

Ou serait le mal à ce que les meilleurs élèves aillent dans les meilleurs établissements? Ca ne peut qu'être une bonne chose. Il est nécessaire qu'il y ait une élite, des personnes mieux formés. Il y aura toujours des personnes plus intelligentes que d'autres et il serait du gâchis de ruiner leur potentiel.

Parce qu'il n'y a que ceux qui peuvent se payer de grandes écoles privées qui sont intelligents et qui ont un potentiel ???? :hu: Ne me dis pas que c'est pas ce que tu veux dire, ta phrase signifie exactement ça.

Avec une telle vision inique de l'éducation, je suis moins surpris de te voir sortir ce genre de chose :mef:

Je crois qu'au contraire il y a énormément de personnes au potentiel énorme mais qui manquent de moyens pour suivre des études appropriés et longues. Mais cela, ça n'a rien à voir avec les moyens financiers...

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Membre, Tu n'auras d'autre batracien devant ma face, 108ans Posté(e)
Grenouille Verte Membre 32 822 messages
108ans‚ Tu n'auras d'autre batracien devant ma face,
Posté(e)

Le libéralisme fonctionne sur un principe simple. S'il a un défaut, c'est que ce n'est pas assez libéral, et il faut y aller encore plus. Un peu mignon, mais terrifiant.

:plus:

C'est l'argument "magique".

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Membre, 35ans Posté(e)
LeBreton66 Membre 549 messages
Baby Forumeur‚ 35ans‚
Posté(e)

Ou serait le mal à ce que les meilleurs élèves aillent dans les meilleurs établissements? Ca ne peut qu'être une bonne chose. Il est nécessaire qu'il y ait une élite, des personnes mieux formés. Il y aura toujours des personnes plus intelligentes que d'autres et il serait du gâchis de ruiner leur potentiel.

Parce qu'il n'y a que ceux qui peuvent se payer de grandes écoles privées qui sont intelligents et qui ont un potentiel ???? :hu: Ne me dis pas que c'est pas ce que tu veux dire, ta phrase signifie exactement ça.

Avec une telle vision inique de l'éducation, je suis moins surpris de te voir sortir ce genre de chose :mef:

Je crois qu'au contraire il y a énormément de personnes au potentiel énorme mais qui manquent de moyens pour suivre des études appropriés et longues. Mais cela, ça n'a rien à voir avec les moyens financiers...

Je n'ai jamais parlé de moyens financiers, je dis que l'égalitarisme est une énorme connerie car on oblige des élèves plus intelligents que d'autres à suivre des programmes trop facile pour eux alors qu'ils pourraient être plus épanouies dans des écoles d'un niveau supérieur. Apprend à lire.

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Invité Long Nao
Invités, Posté(e)
Invité Long Nao
Invité Long Nao Invités 0 message
Posté(e)

Je sais lire, et je sais que les "écoles de niveau supérieur" que tu évoques seront les plus chères, donc les seuls élèves qui pourraient y accéder.

Syntaxiquement, tes phrases disent donc que seuls les enfants qui peuvent aller dans les meilleurs établissements (= les plus chers) ont des compétences à ne pas gâcher. C'est maladroit, mais c'est bien ce que tu as dit.

Si on suit ta logique, il y aura bien plus de gâchis, car ceux qui n'ont pas les moyens auront bon avoir un potentiels, ils n'accéderont pas à un enseignement de qualité. Tu es contradictoire.

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Membre, 110ans Posté(e)
oh-dae-soo Membre 802 messages
Baby Forumeur‚ 110ans‚
Posté(e)

L'impopularité du libéralisme, pourquoi?

Libéralisme, néolibéralisme, ultralibéralisme

Texte pédagogique

Le mot libéralisme désigne tantôt une doctrine politique, tantôt une doctrine économique.

Définition

Le libéralisme politique est une doctrine qui prône l'égalité entre citoyens et le respect de la liberté politique individuelle, liberté qui limite l'intervention de l'Etat quel que soit son régime

La doctrine du libéralisme politique n'a été affirmée que parce que, depuis qu'il existe des sociétés humaines, certains hommes ont refusé à d'autres certains droits.

Bien que l'intérêt général prime sur l'intérêt d'un individu particulier, le libéralisme affirme que l'Etat n'a pas tous les droits, il ne doit pas abuser de sa puissance sous peine d'être tyrannique.

Il ne doit décider, autoriser ou agir à son niveau que lorsque aucune personne ou groupe plus proche du problème ne peut le faire à sa place : il doit respecter le principe de subsidiarité.

Le libéralisme prône l'égalité des hommes devant la loi, qui s'applique à tous ; chaque homme a les mêmes droits et les mêmes devoirs vis-à-vis des autres et de l'Etat. Cette égalité conduit à la démocratie, système politique permettant à tous les hommes d'exprimer leur opinion politique à égalité avec les autres, et fondant l'autorité de l'Etat sur les seuls choix des citoyens.

Le principe de subsidiarité refuse qu'un niveau supérieur décide ou agisse à la place d'un niveau inférieur

à même de le faire efficacement. Mais lorsque le niveau inférieur ne peut le faire efficacement et que l'intérêt public l'exige, le libéralisme estime normal et souhaitable que l'Etat se substitue au niveau local défaillant.

Exemple : une grande banque privée distribue du crédit à des millions de particuliers et d'entreprises. Si cette banque devient incapable de se refinancer suite à une insuffisance de fonds propres (comme ce fut le cas suite à la crise de 2007 ), l'intérêt public exige qu'elle continue à prêter malgré tout, pour ne pas mettre en difficulté des entreprises saines ayant besoin de crédit, et pour ne pas bloquer les projets d'investissement de particuliers solvables. Comme les services financiers de l'Etat (le Trésor) sont incapables de gérer des millions de comptes de crédit, et que l'économie française ne peut se permettre un blocage – même partiel et temporaire - du crédit, l'Etat doit intervenir dans l'économie en prêtant des milliards à la banque, prêt avec intérêts que celle-ci devra rembourser dès que ses difficultés de refinancement seront résolues

Lorsque l'Etat est le premier actionnaire d'une entreprise, il peut lui imposer des décisions à finalité politique mais économiquement absurdes. C'est le cas, en France, lorsqu'un gouvernement impose à une de ses entreprises d'embaucher des salariés dont elles n'ont pas besoin, ou de conserver des salariés dont elles n'ont plus besoin, le tout aux frais des contribuables ou des actionnaires privés de ces entreprises.

Le libéralisme s'oppose aussi au quasi-monopole de l'Etat français en matière d'enseignement. Les enseignants de l'enseignement public français, constituant une corporation particulièrement influente et rebelle, ont réussi jusqu'à présent à faire limiter la proportion d'élèves admis dans l'enseignement privé à 1 sur 6, restreignant ainsi une concurrence dans laquelle ils sont mal placés en coût comme en résultats ; et à part quelques établissements privés hors contrat (formant moins de 1 % des élèves), les professeurs de l'enseignement secondaire privé sont nommés et payés par l'Etat. Les résultats de l'enseignement secondaire public français sont parmi les plus mauvais d'Europe, malgré un budget parmi les plus élevés . Voilà un exemple de l'effet d'une restriction de la concurrence.

Adam Smith et les principes de l'économie politique

Le premier à formuler clairement par écrit les principes du libéralisme économique a été Adam Smith lorsqu'il a affirmé en 1776 que :

Toute richesse vient du travail de l'homme. La valeur d'un bien ou d'un service mesure seulement la quantité de travail nécessaire pour le produire.

Le prix de marché d'un bien ou service, distinct de sa valeur, résulte de l'offre et de la demande sur ce marché.

La monnaie n'est pas une richesse, ce n'est qu'un instrument d'échange de biens et services.

En matière économique l'homme a un comportement rationnel . C'est par intérêt personnel que l'homme épargne et travaille ; cet intérêt est donc le moteur de l'activité économique.

Lorsque la concurrence est libre, l'ensemble des intérêts personnels agit dans le sens de l'intérêt général du fait de « la main invisible du marché » : le libéralisme économique prône donc la libre concurrence, seule à même de réaliser l'équilibre entre l'offre et la demande.

Implications politiques du libéralisme

Le libéralisme économique n'implique aucune règle de morale

Il ne dit pas ce qui est bien ou mal, permis, défendu ou obligatoire. Il préconise seulement un régime politique où le comportement de l'Etat favorise l'activité économique en assurant la liberté individuelle, le respect des lois, la démocratie et la libre concurrence

Une action humaine peut être économiquement possible et juridiquement légale tout en étant immorale : une minorité d'hommes peut s'enrichir et accaparer les richesses en laissant d'autres hommes dans la misère, sans violer ni les lois économiques ni les lois juridiques ; c'est possible mais immoral. L'altruisme, la générosité, la reconnaissance, le respect, etc. appartiennent à un ordre distinct des ordres économique et politico-juridique, l'ordre moral. Seules des règles morales empêchent les comportements égoïstes, en incitant les hommes à les respecter où à adopter des lois d'équité sociale.

C'est ainsi qu'il est absurde d'attendre d'une entreprise (institution de l'ordre économique) des actes de charité recommandés par l'ordre moral. Il n'y a pas de loi obligeant une entreprise à faire la charité, ou à être reconnaissante à un salarié qui y a travaillé trente ans.

Une entreprise française est tenue de respecter les lois de la République (lois de l'ordre politico-juridique), sous la supervision de commissaires aux comptes, d'inspecteurs du travail, etc.

Ses obligations morales - par exemple vis-à-vis de ses clients - se limitent à ce qui est nécessaire à une bonne image de marque. Elle ne doit moralement à ses salariés que le respect de l'autre et le respect des engagements pris, indispensables à toute relation humaine.

Aucune loi écrite ne l'empêche de licencier tout en faisant des bénéfices, y compris des salariés de trente ans (la loi française rend seulement un tel licenciement onéreux). Ceux qui attendent d'une entreprise bénéficiaire qu'elle ne licencie pas des salariés devenus inutiles, donc qu'elle continue à les payer à ne rien faire, se font des illusions puériles.

Le libéralisme refuse la tyrannie de la majorité

C'est aussi au nom de la morale que le libéralisme refuse qu'une majorité issue d'élections démocratiques tyrannise politiquement ou exploite économiquement une minorité. Exemple : si un gouvernement démocratiquement issu d'une majorité de citoyens aux revenus modestes (plus nombreux que ceux qui ont des revenus élevés) impose des taxes énormes, confiscatoires, à ces derniers, il viole les règles du libéralisme.

Le libéralisme politique implique le droit de produire, de vendre, d'acheter et de consommer. Comme il implique aussi le doit de posséder des biens et d'en disposer librement, il implique la liberté économique, notamment le droit de créer une entreprise privée. Or cette liberté peut être compromise par une ingérence de l'Etat dans l'économie, lorsque des entreprises d'Etat produisent des biens ou des services en concurrence avec des entreprises privées, ou lorsque cette ingérence limite la concurrence ou la fausse par des impôts discriminatoires ou des subventions ciblées.

Le libéralisme politique implique donc le libéralisme économique.

Les grands adversaires du libéralisme : le socialisme et le communisme

Il n'y a pas de définition précise ou limitative du socialisme ; c'est un ensemble de doctrines (pas une doctrine unique, il y a toujours eu des courants socialistes divergents). Ces doctrines sont inspirées par des sentiments humanitaires et fondées sur une critique des inégalités résultant du jeu des mécanismes économiques, inégalités qu'elles veulent corriger.

Le socialisme met en avant le principe démocratique de la primauté de l'intérêt public sur l'intérêt particulier. Ce principe n'est pas contestable, mais les socialistes considèrent que

l'intérêt public ne peut être servi que par l'action publique : production du maximum de biens et services par des entreprises d'Etat pour ne pas que d'éventuels profits aillent à des actionnaires privés ; méfiance de la concurrence et limitation de ses effets ; décisions économiques prises par des fonctionnaires ; encadrement des initiatives privées au moyen d'autorisations administratives, etc.

La France, où les dépenses publiques représentent plus de 53 % du PIB [28] - la majorité de la richesse produite - est un excellent exemple d'économie administrée par l'Etat.

C'est donc un pays socialiste qui refuse de l'admettre, mais dont les gouvernements prétendument de droite sont en fait aussi interventionnistes que ceux de gauche.

Logiquement, la primauté de l'intérêt public sur l'intérêt particulier n'entraîne pas la nécessité de substituer l'action publique à l'action privée, car une entreprise privée peut fabriquer des biens ou fournir des prestations avec un cahier des charges de service public.

Karl Marx ayant affirmé que le prix juste d'un article est son prix coûtant, excluant ainsi tout profit autre que l'amortissement des matériels et des réserves pour les jours difficiles, le mythe « le juste prix est le prix coûtant » est devenu une vérité incontestée dans une grande partie de la société française. Celle-ci déteste donc toute activité économique orientée vers le profit (activité dite

marchande). Les socialistes et communistes français ont donc inventé un mot accusateur pour une activité marchande qui, à leur avis, ne devrait pas l'être : la marchandisation.

Le refus du profit, qui avec l'épargne est la source du capital, prouve une ignorance du rôle indispensable du capital dans l'activité économique. Il faut à une entreprise du capital pour acheter ou construire des locaux et du matériel, payer les efforts de recherche et développement, financer la constitution d'un stock de roulement et une campagne de marketing pour faire connaître son offre.

Mais pour beaucoup de socialistes et de communistes français, le profit versé aux actionnaires devrait leur être confisqué car c'est par nature une spoliation de travailleurs injustement exploités.

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Membre, 35ans Posté(e)
LeBreton66 Membre 549 messages
Baby Forumeur‚ 35ans‚
Posté(e)

Je sais lire, et je sais que les "écoles de niveau supérieur" que tu évoques seront les plus chères, donc les seuls élèves qui pourraient y accéder.

Syntaxiquement, tes phrases disent donc que seuls les enfants qui peuvent aller dans les meilleurs établissements (= les plus chers) ont des compétences à ne pas gâcher. C'est maladroit, mais c'est bien ce que tu as dit.

Si on suit ta logique, il y aura bien plus de gâchis, car ceux qui n'ont pas les moyens auront bon avoir un potentiels, ils n'accéderont pas à un enseignement de qualité. Tu es contradictoire.

Ce n'est pas contradictoire car tu restes dans ton raisonnement de gauchiste qui n'est pas du tout le miens. Dans une société libérale, les écoles et les entreprises qui voudraient employer ces futurs employés (pardon pour la redondance) se battraient pour les financer. Ils auraient des bourses d'établissements et il y aurait encore davantage de bourse d'entreprise, ça existe aux USA déjà d'ailleurs en partie et les meilleurs quelque-soient leur niveau trouveront de quoi financer leurs études dans les meilleurs établissements. Il n'y aura pas de gâchis. Celà fonctionnera selon le principe suivant: l'étudiant et l'éventuel recruteur signe un contrat où l'élève s'engage à bien travailler et à travailler X temps dans l'entreprise, en contrepartie l'entreprise s'engage à financer les études. Ce serait de plus un puissant stimulant pour l'étudiant à travailler plus, à se surpasser pour être bien sur de remplir son contrat.

Voilà comment on s'élève dans une société libérale, société où il existe un véritable ascenseur sociale pour toutes les personnes méritantes.

Il pourrait y avoir aussi le mécanisme du prêt étudiant mais ça les meilleurs élèves et étudiant n'en auraient pas besoin.

Je parle bien sûr d'une vision de l'éducation dans une société purement libérale ou il n'y a pas d'Etat ou du moins une société ou l'Etat ne s'occupe pas de l'éducation car il existe sinon une autre version dirons nous semi-libérale qui consiste en un chèque éducation versé à chaque famille et où chaque famille verse ce chèque à des établissements entièrement autonomes.

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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 36ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
36ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
Posté(e)

Lorsque la concurrence est libre, l'ensemble des intérêts personnels agit dans le sens de l'intérêt général du fait de « la main invisible du marché » : le libéralisme économique prône donc la libre concurrence, seule à même de réaliser l'équilibre entre l'offre et la demande.

Premier fail du libéralisme: croire que l'individualisme fonctionne dans un système social.

Deuxième fail du libéralisme: la sortie de la moralité, et l'acceptation qu'une personne crève de faim, si une autre la laisse crever.

En vérité, le libéralisme fonctionne sur le principe suivant:

1°) Les défauts viennent d'un libéralisme pas suffisamment appliqué

2°) Les qualités viennent des proportions bien appliquées du libéralisme

3°) On peut tuer quelqu'un tant qu'on ne fait pas d'action physique vers elle (substitution à la loi de la nature d'une loi pervertie, puisque autorisant le meurtre selon les cas)

4°) substitution à l'humain de l'efficacité. Au centre de la machine se trouve le capital, le matériel, l'homme n'est plus qu'un écrou dans le système.

Et après, ils se demandent pourquoi c'est si mal vu...

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Membre, 35ans Posté(e)
LeBreton66 Membre 549 messages
Baby Forumeur‚ 35ans‚
Posté(e)

Désespérant de lire toujours la même chose alors que je m'évertue à vous dire que ça n'est pas ça le libéralisme. Vous n'allez pas m'apprendre ce que c'est avec les centaines de livres que j'ai lu sur le sujet quand même...et mes réflexions sont hautement mûri depuis le temps que j'y réfléchie alors que vous, vous ne sortez que ce qu'on entend au bistrot du coin entre alcooliques, vous nous rabâchez ce que tous les médias et hommes politiques bien pensant nous disent à longueur de journée. L'esprit critique, ça n'existe décidément plus de nos jours...

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Invité Long Nao
Invités, Posté(e)
Invité Long Nao
Invité Long Nao Invités 0 message
Posté(e)

Ce n'est pas contradictoire car tu restes dans ton raisonnement de gauchiste qui n'est pas du tout le miens.

Peut-être que je te prendrai davantage au sérieux le jour où tu cesseras de me classer dans un camp politique qui n'est pas le mien...

Je ne prends plus la peine de converser avec des types qui ne jurent que par positionnement politique, car ceux-là se trompent souvent : pour l'éducation par exemple, c'est avec Bayrou (centre-droit) que je suis d'accord. :sleep:

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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 36ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
36ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
Posté(e)

Oh, excuse moi, j'ai pris appui sur les liens que tu citais toi-même, et sur les propos d'o dae soo. Mais bon... il faut discuter sur quoi si ce n'est pas ce que les libéraux disent ?

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Membre, 35ans Posté(e)
LeBreton66 Membre 549 messages
Baby Forumeur‚ 35ans‚
Posté(e)

Ce n'est pas contradictoire car tu restes dans ton raisonnement de gauchiste qui n'est pas du tout le miens.

Peut-être que je te prendrai davantage au sérieux le jour où tu cesseras de me classer dans un camp politique qui n'est pas le mien...

Je ne prends plus la peine de converser avec des types qui ne jurent que par positionnement politique, car ceux-là se trompent souvent : pour l'éducation par exemple, c'est avec Bayrou (centre-droit) que je suis d'accord. :sleep:

Je dis gauchiste car tu as une façon de raisonner qui est anti-libérale mais bon je dois bien avouer que pour moi il y a deux grosses catégories de pensés et de philosophie: le socialisme (avec toutes ses formes diverses et variées dont l'UMP et le FN font partie, n'en déplaise à beaucoup) et les libéraux. Alors en effet il peut être réducteur de faire des catégories surtout que je suis le premier à ne pas aimer en faire mais ça me soûle tellement de lire toujours la même chose sur le libéralisme que je ne me donne même plus la peine de voir les nuances entre chacun, c'est vrai c'est un tord.

Par contre je considérerai que tu n'as pas d'arguments à m'avancer si tu ne me réponds pas tellement la logique libérale est implacable et quasiment irréfutable :D

Oh, excuse moi, j'ai pris appui sur les liens que tu citais toi-même, et sur les propos d'o dae soo. Mais bon... il faut discuter sur quoi si ce n'est pas ce que les libéraux disent ?

Quelle est ta question précise?

Il ne faut pas oublier qu'il y a différents types de libéraux alors je vais te faire le classement du plus pure au moins pure si je puis me permettre d'employer ces termes:

-les libertariens anarcho-capitalistes (dont je fais partie)

-les libertariens minarchistes (Etat minimal)

-les libéraux classiques (assez proche mais légèrement utilitariste)

-les libéraux conservateurs (pas de vrais libéraux selon moi car libéralisme et conservatisme ne font pas bon ménage, après tout dépend sur quoi on est conservateur, s'il s'agit de la liberté^^)

-les libéraux de gauche (certains se proclament être de la gauche libérale, eux n'ont absolument aucune place parmi la famille libérale car ce sont en réalité des sociaux démocrates très utilitaristes)

Un libéral n'est pas un utilitariste, il défend le droit de propriété et la liberté des contrats, en gros le droit naturel et tout ce qui en découle. Le libéralisme est avant tout une philosophie du droit d'ou l'on peut tout déduire une fois que l'on a bien compris les grands principes.

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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 36ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
36ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
Posté(e)

Ma question est simple: pour juger le libéralisme sur quoi faut-il s'appuyer puisqu'on n'a pas le droit de s'appuyer sur tes propos et tes liens ni sur ceux d'O dae soo ?

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Membre, 35ans Posté(e)
LeBreton66 Membre 549 messages
Baby Forumeur‚ 35ans‚
Posté(e)

Déjà, commence par apprendre ce que c'est et demande toi ce que tu penses de la découverte du droit naturel par les auteurs libéraux puis ensuite de la logique qui en découle et une fois que tu auras compris le système de pensée, que tu auras vu que c'est le seul humaniste qui soit car il respecte la nature humaine, la diversité humaine, tu arriveras à avoir un jugement propre en t'imaginant comment fonctionnerait une société pleinement libérale.

Après, on peut te répondre d'un point de vue utilitariste, ce que je ferai plus tard car visiblement il n'y a que le côté matériel des choses qui t'intéresse et non l'humanisme libéral.

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Membre, Tu n'auras d'autre batracien devant ma face, 108ans Posté(e)
Grenouille Verte Membre 32 822 messages
108ans‚ Tu n'auras d'autre batracien devant ma face,
Posté(e)
la découverte du droit naturel par les auteurs libéraux

Du droit naturel ou du droit libéral ? :dev:

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Membre, 40ans Posté(e)
cheuwing Membre 16 421 messages
Maitre des forums‚ 40ans‚
Posté(e)
la diversité humaine, tu arriveras à avoir un jugement propre en t'imaginant comment fonctionnerait une société pleinement libérale.

en un mot : UTOPIE

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Membre, 35ans Posté(e)
LeBreton66 Membre 549 messages
Baby Forumeur‚ 35ans‚
Posté(e)
la découverte du droit naturel par les auteurs libéraux

Du droit naturel ou du droit libéral ? :dev:

Le droit naturel a été découvert comme on a découvert que la Terre tournait autour du soleil et non l'inverse ou la loi de la gravité.

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