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BoysBoysBand

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Membre, Posté(e)
BoysBoysBand Membre 2 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Bonjour, pardon si je n'ai pas écrit dans la bonne section et ne faites pas attention à mon pseudo, je m'en fiche un peu.

Si je viens écrire ici, c'est parce que je sais que vous ne me connaissez pas, ...

Voilà j'ai 18 ans, je sais que je suis en pleine période de «je me cherche, je suis perdue», mais malgré ça, j'ai grandement besoin de réponse, pour cela que je fais appel à vous, j'espère pouvoir trouver de bons conseils.

Voilà, je suis née à Paris, dans un foyer que je pensais «aimant» et «accueillant», au départ je ne me rendais pas compte de la situation, j'étais jeune et inconsciente.

Ma vie à bien commencée, chouchoutée et j'ai même envie d'employer le mot «pourrie gâté».

Des vacances à sablé sur sarthe, là j'ai vécu le plus clair de mes vacances...

Jusqu'à mes 6/7 ans, où j'ai apprit que ma grand mère était décédée d'un cancer généralisé, j'ai vraiment pété un boulon..J'avais tapé une crise de nerf, d'angoisse, je me souviens de cette nuit là, je l'ai passé à tapé contre mon oreiller, à me demander «Mais pourquoi ?!» à hurler ma peine...Le lendemain de cette soirée, je ne m'en souviens plus, dans quel état j'étais, je ne sais plus, le néant concernant la période ayant suivie la mort de ma mamie. Je me souviens seulement de la nuit, forte éprouvante pour moi.

Ensuite, je ne sais plus combien de temps exactement après, peut être à l'âge de 7 ans aussi, ou 8 ans, j'ai été attouché, dans une réserve d'un magasin portant le nom de "Proxi" ,une épicerie dans le 20 ème arrondissement de Paris, c'était le père d'une amie, plus jeune que moi, que je gardais, je dormais même chez elle. Il m'attouchait donc dans la réserve, assis sur une chaise, moi sur lui, sa main sur mon entre jambe habillé, il me poussait la chansonnette, surement pour dédramatiser la situation, que je ne comprenais pas. Je ne me rendais pas compte que ce qu'il se passait était mal, je pensais que c'était un moyen pour lui de me bercer, ou je ne sais pas, je me suis rendue compte que c'était des attouchements que quelques années après.

Inconsciemment, j'ai du m'en rendre compte en faite, puisque c'est à partir de ce moment là que j'ai «dégringolé» , que mes notes baissaient, et je me rendais compte, enfin, que mon père méprisait ma mère, qu'il l'avait déjà frappé, qu'il la prenait pour un chien avec ses «Fais ci ! Fais ça !», et je me suis aussi rendue compte que pour lui je n'étais pas voulue, qu'il ne m'aimait pas, et pas seulement rendue compte, puisqu'il me la dit. Je me suis rendue aussi compte de son alcoolisme. J'étais perdue...

J'ai continué à faire semblant que tout allait bien, et j'ai continué ma vie là où elle s'était arrêté...

Plus tard, à l'âge de onze ans, je suis rentré au collège, j'ai refusé de coucher avec un garçon...il me la fait payer en me foutant une réputation de «salope» sur le dos, la rumeur à prit de l'ampleur, tout le collège y croyait, même les collèges les plus proches avaient entendu parler de moi.

Très vite, mes notes ont encore baissées, je séchais très régulièrement les cours, tout le monde me regardait de travers, et m'insultait. J'ai commencé à m'auto-mutiler. Pourtant, je ne pleurais jamais, si on me crachait dessus, ça ne me touchait pas, comme immuniser face à ce genre de situation. On me suivait dans la rue, jusqu'à chez moi, pour m'espionner, savoir ce que je faisais, et surtout avec qui.

Bref j'avais beau démentir les rumeurs, on ne me croyait pas, on pensait seulement que j'étais une «fille facile», de ce fait, un mec étant en 3 ème m'a attouché, une quinzaine de fois, je peux même sortir les rues, rue du juillet à Paris...dans l’Église de Ménilmontant, et j'en passe. Il bougeait simplement à travers mes vêtements, sauf le 1er juin 2005, où il a été carrément jusqu'à se faire une branlette espagnole, je ne voulais rien de tout ça, mais je voulais juste être aimé, et naïve j'ai cru qu'il fallait passer par là, je le repoussais, mais me laissait un minimum faire. Après ça je n'ai pas pleuré, je n'ai rien dit, je suis rentré le plus naturellement du monde à la maison, à la maison ou tout basculait d'ailleurs...

A côté de mes problèmes au collège, je ne supportais plus mon père, de la façon dont il parlait à ma mère, de sa façon de me dire que je n'étais bonne à rien, j'en pouvais de l'entendre l'insulter, je n'en pouvais plus , vraiment. Et son alcoolisme...

J'ai redoublé ma 6 ème, premier vrai échec, je crois,...Pour mon père, c'était «définitif», je ne servais à rien, et je n'étais pas sa fille.

J'ai ramené un chat de vacances ...il était tout seul et personne s'en occupait, je l'ai amené à la maison, et mon père, une fois, m'a dit «Tu sais, le meilleur cadeau que tu m'aie fait, c'est le chat, je l'adore! toi tu es moche, grosse, t'as tout les défauts du monde!»

Mon frère, jaloux de ma situation de pourrie gâtée étant plus jeune, ne m'aimait guère mieux, il me frappait quand ça lui chantait, m'insultait, des relations explosives avec lui.

La situation au collège continuait, j'entamais ma seconde 6 ème, les insultes, les coups, plus d'attouchement ! Puisque l'homme était en 3ème au moment des attouchements, et était donc passé en seconde.

Je continuais à sécher, à ne pas apprendre, à ne rien foutre, d'ailleurs je n'ai aucun souvenir d'avoir fait les devoirs à la maison...

Les choses ont continué, à la maison, les relations familiales s'empiraient, plus dures à supporter, plus d'insultes, plus de problèmes...

A y est !! j'ai eu 13 ans...cette année là, en juillet, un homme avait regardé par ma fenêtre (c'était la nuit, je suis devenue insomniaque et «décalée» depuis mes 7 ans), et se branlait en me regardant (je suis au rez de chaussé), j'ai donc ouvert pour l'envoyer chier, mais l'homme avait retenu ma main pour ne pas recevoir la baffe, tout en forçant la fenêtre à s'ouvrir un peu plus...il est entré de force, a fait tomber le pot de fleur qui vivait sur la fenêtre, il m'a poussé sur le lit, m'a attouché, m'a léché, m'a menacé avec le couteau que je n'avais pas débarrassé en mangeant dans ma chambre le soir même. Il m'a pénétré (enfin juste le bout), mais j'ai hurlé à m'en dégueuler les boyaux, ça a réveillé mes parents, qui ont accouru, ma mère a dit à mon père de défoncer la porte...mais l'homme était déjà reparti par la fenêtre et était surement déjà bien loin...

Ma mère a alerté à la police, mais j'ai expliqué, que pendant ce qu'il faisait, je pleurais et était désespérée, mais après, j'étais comme «lavée», je ne ressentais pas ce qu'il venait de se passer. Ils ont donc cru que j'affabulais, je vous rassure, ce n'était pas le cas. Mon père, le lendemain, s'est permit de raconter ce qu'il s'était passé au voisinage, pour qu'on parle de moi, et donc de lui «Ma fille à vécue ça, vous avez vs!», les gens ont parlé et on dit «la fille du gardien a été agressé!», comment à t il osé déblatérer cette histoire à tout le monde, comment à t il pu...

Une plainte à été déposée, j'ai eu le droit à la juge des enfants, qui m'a fait chier jusqu'à mes 18 ans d'ailleurs avec ses "suivis psychologiques" etc, mais ma mère ne voulait pas que je parle, elle voulait pas que je raconte ma vie, elle voulait que je me taise parce qu'elle travaille et qu'elle ne pouvait pas se déplacer tout le temps pour moi pour ces histoires.

J'ai donc été obligé de dire que c'était faux, que je n'avais jamais eu de problème et que tout allait bien, j'ai menti pour ne pas déranger ma mère, alors qu'en faite, je sais que j'étais mal et que j'avais besoin d'aide...

Avec ses suivis psychologiques, la psychologue à détecté que j'étais dans le déni, et là gros déclic

«Mais bon sang mais c'est bien sur!! ça explique tout!!! je ne pleure pas pour mon agression, ce qu'on m'a fait au collège, les attouchements, je comprend pourquoi j'étais si tarée de trouver ça si normal !!»,en faite, je perçois ce qu'il m'est arrivé, mais mon cerveau le rejette, c'est comme si je vivais ma vie sans être dedans, ou comme si je regardais un mauvais film, qui ne me concerne pas. Mais mon inconscient , lui, le sait, d'où cette grosse dégringolade...

J'ai toujours 13 ans, j'ai rencontré un garçon de 16 ans, tout se passe bien, je revis, je me sens bien, les trois premiers mois sont géniaux, les ballades, les sorties, la belle vie, j'en avais déjà tellement vécu, je pensais pas ça possible, de «revivre», il me trouvait belle, mature, curieuse, adorable...

Seulement, après que je lui ai raconté mon passé, si lourd à porter pour moi, il a commencé à être de plus en plus méchant, violent, il m'insultait, me giflait, j'étais de plus en plus mal, une vraie torture psychologique, il avait réussi à me faire croire qu'il était mon dieu, je vous promet que c'était une véritable emprise psychologique, il me brisait, me traitait comme une merde, me jetait, me mettait à terre, j'en chialais mais si vous saviez à quel point j'en ai souffert...

Je l'aime, ses gifles, ses mots très violents, je les lui pardonne, j'avais 13 ans, je n'avais pas à subir ça...

J'avais essayé de le quitter, ma mère ne me reconnaissait plus, elle m'entendait hurler de douleur certaine fois quand j'étais au téléphone, mais pour lui je n'avais pas le droit de pleurer, pas le droit de me plaindre, parce que ça le soulait.

Au bout d'un an, il m'a quitté, sans mot ni explication, j'ai fait une lourde dépression de 2 ans, je suis même tombé dans l'alcool, c'était mon dieu souvenez vous, et la seule personne m'ayant porté de l'attention, est partie , me laissant là comme une merde avec mes envies de meurtre et de suicide.

D'ailleurs, j'ai tenté de me suicider.

Je passe d'autres problèmes...

Niveau collège, je n'ai pas fait ma 3 ème, je n'en ai pas eu le courage, j'ai séché toute l'année, je n'ai pas pu y aller, je n'y arrivais pas, depuis ce jour là, je fais des boulots au black pour pouvoir m'acheter ce dont j'ai besoin.

A 15 ans, mes parents se sont séparés, ma mère à quitté le foyer, mon frère aussi.

Elle m'a tellement manqué quand elle est partie, elle est encore SDF à l'heure qu'il est, à dormir chez des amies à elle.

Je me suis donc retrouvé seule avec mon père, à entendre leur problème passé, que je n'aurai jamais voulu savoir,

mon père , toujours aussi alcoolique et voilà 3 ans que je le supporte tant bien que mal, que je supporte de faire ses courses tout les jours, qu'il me prenne pour sa chienne, à me dire «tu n'es pas ma fille dégage de chez moi !!», j'ai d'ailleurs vécu chez une amie à ma mère pendant un mois avant de revenir, le mois de mon anniversaire, de mes 16 ans. Personne me la souhaité, sauf ma mère, j'avais croisé mon père ce jour là, qui ne m'a même pas dit bonjour.

J'ai 18 ans, je bosse au black, depuis un an, une femme à la grande gueule, dégueulant ses mots, vulgaire, qui baise pour un oui ou pour non empiète sur ma vie, elle est toujours là avec mon père, à m'insulter ou m'ignorer, mon père la considère comme sa fille, et le fils de cette femme, est plus important que moi. Il lui donne ce qu'elle veut, un billet de 50€ par exemple...alors que moi quand je suis en galère pour 2 €, c'est la guerre déclarée.

Je ne rigole pas quand je dis qu'elle baise pour un oui ou pour un non, en faite, c'est une prostituée, elle ne fait pas les trottoirs mais elle crit haut et fort , que pour coucher avec elle il faut payer. Surement qu'elle couche avec mon père en faite. Elle a prit une place importante dans ma vie, malheureusement, je voudrais tellement qu'elle ne soit plus là...j'ai une haine incroyable envers elle, elle connait ma mère, toute les fois où elle nous a insulté toutes les deux, toutes les crasses qu'elle nous a faites..

Aujourd'hui, la situation est toujours compliqué mais j'ai rencontré un homme, depuis le 30 juin sauf que mon passé fait que je n'arrive pas à lui parler de moi, de ma vie, de ma situation.

Les mots comme je t'aime ont du mal à sortir, j'ai une fierté énoooorme qui m'empêche de parler de mes sentiments.

Je suis jalouse, entêté, caractérielle, trèèès impulsive, et bornée.

Je vous ai déballé de ma vie , en vous passant quelques détails, mais pouvez vous m'aider s'il vous plait à y voir plus clair, je suis dans le déni, je ne sais pas m'y retrouver.

Pourquoi suis je aussi caractérielle, jalouse, à quel abandon j'ai eu affaire concrètement ? pourquoi suis je aussi méfiante ? pourquoi les mots ne sortent pas ? pourquoi suis je aussi parano ? pourquoi suis je aussi blessé ? pourquoi suis ce que je suis ? (quelqu'un au fort caractère, avec une carapace énorme, très sensible dans le fond, je m'attache très peu aux gens, je montre rarement ce que je pense etc) POURQUOI ? par pitié pourquoi ? je ne veux pas gâcher ma relation, je vous en pris...

ET ENFIN ; COMMENT SORTIR DU DENI ?

Pardon pour ce roman, pardon, mais je vous en prie... :(

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Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 31ans Posté(e)
Jedino Membre 47 968 messages
31ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
Posté(e)

Le fait que tu n'arrives pas à parler de toi avec ton nouveau copain doit venir du fait que le dernier n'a pas supporté de l'entendre. A mon avis, tu crains que ce ne soit pareil avec lui.

Pour ce qui est que "tu es ce que tu es", je ne peux pas te dire grand chose. C'est ton vécu passé qui décide de ce que tu fais maintenant, de ce que tu es actuellement.

Maintenant, ta parenthèse me fait pas mal penser à moi, bien que je n'ai aucunement le même passé que toi. Ce refus de dire ce qu'on ressent ou pense, malgré la sensibilité et tout ça, c'est sans aucun doute issu de souffrance passée. Peut-être à cause du fait que ton père l'a dit à tout le monde quand tu l'as exprimé?

Je n'y connais rien en psychologie, encore moins en relation, mais si je ne me trompe, il a un rôle plus que majeur. C'est pas mal à lui de te mettre en confiance, de te montrer que tu peux et as raison de partager ton passé avec lui. Je crains que toi, tu ne puisses pas le faire de toi-même, pas comme ça. Ou alors, parce que tu t'y forces, pour une raison ou une autre.

Enfin, le déni, je ne connaissais pas. Je me suis donc un peu documenté dessus. J'ai rien trouvé de concluant au premier coup d'oeil quant à s'en débarrasser (c'est, paraît-il, très courant dans la population). Mais j'imagine qu'accepter cette partie qu'on refuse ne peut se faire tout seul. Encore faut-il que quelqu'un le comprenne, le sache. Je ne saurais te répondre.

En tout cas, bon courage, et bonne journée ;)

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Membre, 33ans Posté(e)
Ved Membre 3 967 messages
Baby Forumeur‚ 33ans‚
Posté(e)

Bonjour,

Quel déni?

Tu exprimes toutes ces difficultés de manière quasi transparente. La psychologue a vu autrefois du déni, mais aujourd'hui, ce qui t'empêche par exemple de raconter cela à ton ami, ce n'est pas du déni mais la peur de son regard, et la peur qu'il n'accepte pas ce que toi-même tu as du mal à accepter et c'est on-ne-peut plus compréhensible.

Tu as passé toutes ces années à subir les choses passivement, désormais il est temps de manifester ta volonté, car tu es majeure, tu es passée par des choses extrêmement difficile et tu as désormais toutes les possibilités du monde devant toi.

Tu peux choisir de voir un thérapeute, tenter de résoudre ces problème, trouver une solutions aux questions que tu poses sur ta façon d'être (changer de psy si cela ne passe pas avec celui que tu rencontres!), tu peux choisir qui fera partie de ta vie ou non, voyager, te découvrir des passions...

Mais par dessus tout, tu as besoin d'exprimer ce que tu es, ce que tu veux, ce que tu aimes et d'agir selon...

Alors n'attends pas :)

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Membre, 36ans Posté(e)
lonkori Membre 1 419 messages
Baby Forumeur‚ 36ans‚
Posté(e)

Comme Ved, je ne pense pas que tu sois toujours de le déni. Tu sembles parfaitement consciente.

Tu as peur de perdre ton homme en lui parlant de toi. Pourquoi? Parce que tu n'as pas un passé vraiment ordinaire. Ça ne fait que 2 mois que vous êtes ensembles, donc fait attention à ne pas lui dire des choses que tu regretterais. Par contre, s'il se montre intéressé par ton passé, commence par lui parler des difficultés que tu as eu avec tes parents (et que tu sembles toujours avoir). Ensuite, tu pourras lui parler de se qui te touche le plus.

Une remarque sans vrai rapport : Tu écris et raconte bien malgré que tu n'ai pas dépassé la 3e en scolarité. N'as tu jamais pensé à écrire ton histoire dans un livre, toujours sous pseudo. Ça t'aiderai peut-être.

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Membre, Posté(e)
pat3131 Membre 405 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

bordel !!!!

c'est dégueulasse de voir se qui t'est arrivé.:bad:

Sa me fou en pétard.:bad:

J’espère que tu est tombé sur un mec bien , si c'est le cas tu peux éventuellement lui parlé de ton passé si il est assez

intelligent il te comprendras. et sa te permettras de te libéré .

Le dialogue dans un couple c'est super important crois moi.

Ne soi pas trop dure envers toi même, des fois le temps efface les plais .

tu as besoin énormément :coeur:,:coeur: alors soit patiente .

Je te souhaite bon courage ;)

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Invité s
Invités, Posté(e)
Invité s
Invité s Invités 0 message
Posté(e)

Bonjour, tu as besoin de parler à un psy pour dénouer tout ça, et comprendre ce qui t’es arrivé. Si tu es dans le déni, si tu ne l’acceptes pas, c’est parce que tu ne comprends pas, tu crois que c’est normal alors que non et c’est pour cela que tu as du mal dans tes relations à faire les bons choix, tu ne sais plus ce qui est bien ou mal. Il faut que tu comprennes que ce que l’on t’a fait c’est mal, cela te fera sûrement souffrir le jour où tu en prendras conscience, mais cela t’aidera aussi à t’en libérer. Tu n’oublieras pas ce passé, mais il n’aura plus de poids sur ton présent et à ce moment là, tu vivras mieux.

Sinon, c’est tout à fait normal actuellement que tu sois caractérielle, jalouse, que tu es peur de l’abandon, que tu sois blessée, tu as vécu des choses très douloureuses et tu n’as pas eu le soutien de tes parents, comment veux-tu qu’il en soit autrement, la souffrance ne peut que nous blesser. Si tu trouves qu’un psy ne t’aide pas, essaye de faire une thérapie de groupe avec ceux qui ont vécu la même chose que toi (les attouchements), cela te permettra de mieux te comprendre à travers des gens qui sont aussi passé par-là. Par rapport à ton ami, la relation est récente, laisse du temps, apprend à le connaître, quand tu te sentiras vraiment en sécurité avec lui, tu arriveras à lui parler de toi.

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Membre, Posté(e)
BoysBoysBand Membre 2 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Grand merci à vous pour vos réponses, je cherche mes failles, comprendre pourquoi.

Et vous m'aidez à y voir plus clair (je ne suis pas contre d'autres avis, tout est bon à prendre, merci)

Je suis vraiment désolée de ma faiblesse à vous parler, vraiment.

Donc merci, je vois ce qui m'affectait réellement mais qui se propageait dans le déni.

Sachez d'ailleurs, que le déni, on peut être conscient de ce qu'il nous est arrivé, mais ne pas le ressentir comme il se doit.

Merci...merci... !

Si d'autres avis, comme déjà dit, preneuse.

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Membre, Posté(e)
pat3131 Membre 405 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Justement tu n'est pas faible,avoir le courage de dire ce qui t'est arrivé

est la preuve que tu peux t'en sortir...:bo:

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Membre, 28ans Posté(e)
Millenium4195 Membre 902 messages
Baby Forumeur‚ 28ans‚
Posté(e)

C'est fou les horreurs que tu as pu subir!!! angry.gifangry.gifangry.gif ça me révolte.... je te souhaite bien du courage pour la suite... heart.gifheart.gifheart.gif Bisous

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Membre, Posté(e)
pat3131 Membre 405 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

On est deux alors a êtres révolter !!:bad:

C'est fou les horreurs que tu as pu subir!!! :bad::bad::bad: ça me révolte.... je te souhaite bien du courage pour la suite... heart.gifheart.gifheart.gif Bisous

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