Euthanasie active: Plus de 90% des Français y sont favorables

Je suis pour, à condition que ce soit archi contrôlé.

Mais.... comment dire...?..... j'adore les statistiques de ce genre, se basant sur 1 041 personnes sur.... combien, déjà?

92% des 1 041, et non pas des Français.

Voila un article très intéressant. Je ne me doutais pas que l'opinion était à ce point favorable à l'euthanasie.

En ce qui me concerne, je ne trop quoi penser... J'ai beau y réfléchir, en parler... Impossible de me décider quant à sa légalisation. Pour moi l'un des problème fondamental n'est pas vraiment le principe de l'euthanasie, mais plutôt à partir de quand la pratique-t-on ? ... Je ne suis pas certain que la médecine elle même connaisse la réponse. En fait, je suis même certain qu'elle ne la connait pas. C'est le seul argument qui encore aujourd'hui m’empêche de me prononcer favorablement à cette pratique.

^^

++

Mad_

Je suis pour, à condition que ce soit archi contrôlé.

Mais.... comment dire...?..... j'adore les statistiques de ce genre, se basant sur 1 041 personnes sur.... combien, déjà?

92% des 1 041, et non pas des Français.

Certes. Mais si le schéma représentatif est bien fait, disons que ces 92% des 1041 sont un bon indicateur concernant l'ensemble des Français. Il montre une forte tendance pour le "Pour". ^^

j'ai perdu il y a quelques mois mon fils unique atteint d'un cancer généralisé et bien j'ai prié pour que ça s'arrête à voir ses souffrances au quotidien malgré les doses de morphine de plus en plus importantes, au point que ses deux derniers jours de vie il était inconscient.

oui j'ai vraiment souhaité qu'il parte et si j'avais eu les connaissances nécessaires pour activer le processus, je l'aurais fait !

le problème reste que c'est dur de fixer des règles.. à quel degré la douleur n'est-elle plus supportable ? Comment être sûr que le patient ne demande pas ça aujourd'hui mais que le lendemain il changera pas d'avis ?

Pour moi c'est ça le véritable frein à une loi.. chaque cas est trop différent..

Puis l'euthanasie existe "presque". A un patient qui souffre trop, on lui administre tellement de morphine que c'est ça qui le tue au final.

a moins que je me trompe il y a eu deja un topic sur l'euthanasie, comme Rejanou, je suis pour, car cela est trés dur de voir un étre cher ou on sait que la médecine est impuissante, et qu'il y a plus rien a faire, l'euthanasie est une bonne chose pour le malade et pour les siennes

mais attention car il pourrait avoir des abus, donc il faut que le malade le demande , ou qu'un papier soit fait avec témoins, ou une carte comme les donneurs d'organes

Je suis pour mais il y a déjà plusieurs topics là-dessus.

Salut.

Est-ce que la vie est une maladie incurable ?

++

A quel point la souffrance devient elle insupportable ?

Et bien, disons, quand elle devient...insupportable.

Et pour le patient (ou la personne âgée), et pour son entourage ainsi que pour les médecins.

Mais je sais pas pourquoi, j'ai du mal avec le terme "euthanasie". De plus, c'est le même pour les animaux. Et ça sonne un peu comme "état nazi" qui pourrait sous entendre l'élimination des personnes non valides ou encombrantes pour la société. ça n'a en réalité absolument rien avoir. On parle d'acharnement thérapeutique et de grandes souffrances (parfois une sénilité plus que profonde) mais qui n'engendrent pas la mort.

Je suis dans ces 90%...

Laisser le choix aux malade incurable de vivte ou

mourir est d'une grande humanité...

j'ai perdu il y a quelques mois mon fils unique atteint d'un cancer généralisé et bien j'ai prié pour que ça s'arrête à voir ses souffrances au quotidien malgré les doses de morphine de plus en plus importantes, au point que ses deux derniers jours de vie il était inconscient.

oui j'ai vraiment souhaité qu'il parte et si j'avais eu les connaissances nécessaires pour activer le processus, je l'aurais fait !

De tout coeur, votre témoignage me va droit au coeur

Et ça sonne un peu comme "état nazi" qui pourrait sous entendre l'élimination des personnes non valides ou encombrantes pour la société.

oui, état nazi.

On ne sait pas dans l'affaire de Bayonne si les patients aux urgences venait de tomber malade ou pas, ce n'est pas pareil.

Rien à voir

eu = bien

thanathos = mort

l'euthanasie c'est la bonne mort, celle que l'on choisit, dans la dignité.

Mais.... comment dire...?..... j'adore les statistiques de ce genre, se basant sur 1 041 personnes sur.... combien, déjà?

92% des 1 041, et non pas des Français.

Il est possible de généralisés les résultats obtenus sur des échantillons de 1041 personnes.

Il faut que l'échantillon soit sélectionné selon certaines règles.

quant tu visite certains mourroirs,tu te demande ou tu est,il y a des personnes agées qui sont maintenues en vie

car,ca raporte a la maison de retraite

mais plus du tout au personnes agées,plûtot que de faire du gain ces maisons feraient bien de réfléchir un peu a la décence de ces personnes

oui je suis pour l'euthanasie...

la medecine ne fait pas tout (malheureusement) et à savoir si elle sait où commence et s'arrête la souffrance là est là question

il n'y a que le patient qui soit en mesure de répondre et à ce stade là, rien ni personne ne peut prendre la decision pour lui

on devrait avoir une carte sur soi indiquant notre souhait... comme les donneurs d'organes

délivré à l'age de raison car jeunes comme vieux personne n'est à l'abri d'avoir à prendre ce choix.

Encore une hypocrisie majeure !

L'euthanasie "officieuse" existe en France depuis belle lurette et en général avec l'accord du patient et de ses proches.

On essaie de le légaliser et ça rue direct dans les brancards.

Et bien continuons dans l'officieux tout simplement.

La légalisation serait en quelque sorte "un pouvoir de décision de mort" avec trop de nébuleuses autour, oui mesdames et messieurs on a le droit de tuer dans les conflits, les manifs et autres joyeusetés mais on n'a pas le droit de respecter la dignité de celui ou celle qui veut abréger ses souffrances quand il sait qu'il est incurable...

Bonjour CmoiC

Quand les bornes sont dépassées, il n’y a plus de limites.

Cela peut vous sembler comique certainement, mais en fait pas tant que cela.

Certes, le grand principe auquel le plus grand nombre s’accorde, « tu ne tueras point » est bafoué en permanence, partout et tous les jours dans le monde.

Cela justifie t il pour autant, de multiplier les exceptions à cette règle au prétexte d’aménagement particulier pour chacun, avec le risque d’abus et de dérives de toute sorte, pour des raisons d’héritage, de succession, de biens ou de valeurs matériels à récupérer, de complicité.

L’argument en fin de vie des souffrances atroces n’est pas recevable, puisque la médecine à tous les moyens possible et inimaginable pour s’affranchir de cela, notamment en empoisonnant légalement le malade avec des doses de morphines.

Dans le principe, plus on autorise d’exception à une règle, plus sa pertinence décroît, ayant pour conséquence de faire disparaitre très vite dans tous les esprits, les raisons même de l’existence de la règle en question.

Certains pays voisins et amis, au nom de l’efficience économique et des affaires sonnantes et trébuchantes, proposent à ceux qui le souhaitent de disparaitre de cette façon là, rien ne vous empêche de solliciter leur service s’il s’agit de vous mêmes.

Sommes-nous des moutons de panurges des sondages plus ou moins trafiqués?

Devrions-nous suivre systématiquement ce qui se fait chez certains de nos pays voisins?

Pour rester logique jusqu'au bout, pourquoi ne pas rétablir la peine de mort pour les violeurs et les meurtriers d'enfants, au nom de l'exception à la règle?

Peut être?

Je suis stupéfaite par la hauteur du chiffre.

Je fais partie des 10 % :) .

je te comprends Enchantant, j'ai eu longtemps le même avis.

et il ne faut pas tout ramener à des espérances d'héritage, je pense que c'est loin d'être en tête dans les arguments pour l'euthanasie ou sinon c'est plus qu'à désespérer de l'espèce humaine.

bien sûr qu'il y a un risque de dérive et que le refus par le malade de tout acharnement thérapeutique est un grand pas en avant, mais il y a quand même certains cas dramatiques pour lesquels il faudra bien un jour légiférer.

moi je sui pour

partir dignement serai une bonne chose

si s'étais mon qu'a j'aimerais que l'on abrège mes souffrance

si on souffre et si l'on peux pas vivre san machine l'acharnement térapeutique a maintenir en vi ne sers a rien

j'ai eu le qu'a de mon père qui demandais a mourir