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un jour = une histoire

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Invité Cosette 2

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Invité belalex
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Invité belalex
Invité belalex Invités 0 message
Posté(e)

Hello les écrivains ...

Ton insolence, ta fâcheuse façon d' heurter,

tes excès te poussent par moment

à tout foutre en l'air. Tu assumes tout

en sachant que tu te fais du mal et fais du mal.

Au fond de toi tu es réaliste et comprends

que ce caractère bien trempé te pousse à la faute.

Tu te rebelles et t'insurges, tes doutes

te mènent vers une pente doucement destructrice.

Regarde ce qui t'entoure apprends à aimer sans

te poser de questions, à apprécie et accepte

ce qui t'es donné.

Arrête de te noyer dans une vague d'incertitudes,

vis, ressens, laisse le soleil venir caresser

ta peau sans la protéger, fais de chaque

moment passé, un moment unique ...

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Invité Cosette 2
Invités, Posté(e)
Invité Cosette 2
Invité Cosette 2 Invités 0 message
Posté(e)

Hello, la belle ;)

Rebelle!

Toujours,

Jusqu'à mon dernier jour,

Je le serai

Et le revendiquerai...

Tant pis

Pour ceux que ça ennuie!

Je suis comme je suis!

Tant pis!

Aimez-moi, ou pas!

C'est comme ça!

J'aime la vie

A l'infini...

Et l'amour aussi!

Tant pis, mille fois tant pis...

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Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 31ans Posté(e)
Jedino Membre 47 968 messages
31ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
Posté(e)

J'aimerais tant dire, j'aimerais tant écrire! Mais, que puis-je y faire? Je ne sais que me taire, laisser aller jusqu'à étouffer de n'avoir que trop d'air. Je peine à ajuster mes mots. Je ne parviens pas à raconter comme il faut. Suis-je idiot? Je crois que ma sensibilité me fait défaut. Est-ce normal de ne pas se maîtriser à ce point à mon âge? Est-ce étrange si je ne connais pas l'adage des bons présages? Mes phrases ne signifient rien, si ce n'est qu'elles témoignent de mon déclin. Un déclin ô combien discret et sourd : moi-même je ne le sens présent que rarement. Un malêtre bien égoïste, en somme, et je ne peux que le regretter, car de ce fait incapable d'en saisir les traits. Allons, cessons ces bêtises, il est grand temps de retourner la chemise, et de repartir sur le bon pied : savez-vous que le mien est celui qui est pour vous généralement mauvais? Non, vraiment, me voilà mal barré, à répertorier ces fausses calamités pour m'inventer un style dont je ne suis qu'un épigone par définition raté. Triste réalité.

Bonne écriture et soirée à vous!

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Invité morphee_
Invités, Posté(e)
Invité morphee_
Invité morphee_ Invités 0 message
Posté(e)

"une charmante erreur de la nature" ça fait un peu comment dire ?

néanmoins :

L'école des surdoués (II)

1ere partie : une charmante erreur de la nature.

Chapitre 1. Nathalie Lilapoum est souriante.

Gaston Roublet observait le comportement des rangées d'humains patientant à l'entrée du bâtiment permettant la téléportation en resongeant à une chanson populaire qui avait bercée son enfance.

'' L'avenir est ce que nous en fîmes dans le passé

La beauté était éphémère, contemplons l'horizon

Les idées nouvelles en jailliront comme déversées

Par le passé et l'avenir mélangés tels un siphon.''

La plate-forme Lunaire invisible encore dans l'esprit de nombre d'humains, dessinait ses contours en son propre esprit notamment grâce au fait qu'il en avait conçu les premiers plans, les traits principaux se complaisait-il à penser en dépit que les esprits avaient déjà oublié, malgré qu'il s'agît alors à l'époque d'une soupape de liberté pour tous ceux qui étaient sur le point de laisser tomber le projet et prier pour le sort de la planète.

Nathalie Lilapoum était déjà sur l'astre lunaire, la plupart du personnel qui entourait son époux sortait de la Banque du Savoir, dont l'immeuble à T. les oies n'avait pas subi la moindre égratignure en dépit des années. La Terre en revanche laissait pousser des champignons d'eau, ainsi que des raz de marée, semblables à de gigantesques nappes phréatiques en révolution. Gaston Roublet ne faisait pas partie des « penseurs » , qui vouaient le sort de la Terre, et pourquoi pas l'univers tout entier tant qu'ils y étaient, aux caprices du Diable. Les larmes de l'apocalypse, car certains mystiques affirmaient que la planète pleurait vraiment, réprésentaient la Némésis des esprits scientifiques incapables de se résoudre à un unique plan A. Le plan B préoccupait ingénieurs et géophysiciens dont l'époux de mademoiselle Lilapoum, ancienne institutrice reconvertie ce matin-là en maman comblée en regardant jouer avec les autres enfants son fils, conçu un peu miraculeusement, ne pouvait-elle s'empêcher d'avouer quelquefois au visiophonne grâce auquel elle pouvait converser avec Gaston.

Madame Roublet, indiquaient les papiers délivrés par l'Administration. Nathalie souriait car elle savait que son époux continuait de la baptiser « mademoiselle Lilapoum » dans la solitude de son for intérieur. Henri leur fils à tous les deux n'était pas plus haut que trois pommes tandis que sa génitrice tentait de croiser les genoux sous sa robe longue, assise sur ce qui évoquait les bancs publics terriens, sous le grand dôme surplombant la colonie terrienne installée sur la Lune. Les maisons et appartements construits trop rapidement par les architectes soucieux d'offrir un « pied à terre » convenable aux premiers arrivants s'érigeaient de chaque côté d'elle, comme un nid douillet. Henri était baptisé ainsi en raison de Henri Jacquard, une personnalité illustre éteinte l'année précédente, qui avait dirigé avec poigne pendant de nombreuses années la Banque du savoir, institution à la pointe de l'Education nationale au milieu du vingt et unième siècle.

Chapitre 2.

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Invité morphee_
Invités, Posté(e)
Invité morphee_
Invité morphee_ Invités 0 message
Posté(e)

Chapitre 2. Une bonne nouvelle.

Nathalie contait des histoires à son fils afin qu'il s'endorme ; l'appartement à l'intérieur duquel ils vivaient en attendant que les rejoigne le père de ce-dernier -Super administrateur de ce qui était baptisé jusqu'alors « Société Bienfaitrice », sentait le parfum des plantes terriennes amenées sur la Lune avec eux. Henri Roublet ne possédait pas encore un quotient intellectuel calculable, mais les psychologues de l'hôpital prédisaient néanmoins à sa mère un fort potentiel de son fils, en l'endormant dans ses bras Nathalie Lilapoum s'observait dans le petit miroir mural de la chambre. Sa chevelure soyeuse retombait un peu sur son front lui donnant un aspect grave même quand elle ne songeait pas aux cataclysmes terriens contre lesquels luttait Gaston, son époux. La fatigue marquait ses traits, ses yeux pochés de sommeil la firent bailler tout en refermant le petit livre d'images pour enfants.

Henri savait déjà prononcer « maman » , Gaston n'avait vu son fils qu'à de rares occasions, malgré que le souvenir de l'accouchement à l'hôpital demeurait impérissable. Nathalie remonta les couvertures du lit puis regagna le living-room, dans lequel s'entassaient des piles de fils électriques reliés à des écrans, à moins que ce ne fût l'inverse, la technologie lunaire par rapport à celle de la Terre étant beaucoup plus rudimentaire. La voix de son époux savait la rassurer quand il fallait, chaque soir la liaison visiophonique la réconfortait plus qu'elle n'aurait osé avouer, tous les deux conservaient ainsi un peu d'intimité en dépit de leur éloignement, et Gaston faisait partie des humains en vie sur la planète Terre que d'aucuns vouaient d'ores et déjà aux gémonies.

-cesse de faire la causette avec des gens pessimistes, dit Gaston Roublet alors même qu'il ignorait qui étaient madame Renoir et madame Pic assiette, les deux mères de famille qui semblaient les hôtes sur la Lune de Nathalie -les voisines avec lesquelles elle avait fait connaissance en se rendant la première fois avec Henri dans les alcôves du complexe commercial.

Le living depuis là où se tenait mademoiselle Lilapoum permettait de contempler deux bouches sombres de couloir permettant d'accéder aux chambres, celle de Henri se situait face à la sienne, elle le rejoindrait dans une heure tout au plus aussitôt après le « rendez-vous » visiophonique.

-Je vous rejoins à la fin de la semaine, poursuivit Gaston ; bien sûr je repars, mais durant deux jours nous pourrons pendre la crémaillère.

Le coeur de Nathalie Lilapoum se mit à battre la chamade sous le top qu'elle portait, dans une sorte de réflexe l'image mentale de madame Pic assiette -dont la prononciation du nom de famille était impossible- se forma fugacement en son esprit, l'une des premières émotions « vraies » qu'elle ressentait depuis son débarquement sur l'astre lunaire.

-Henri va bien, j'espère.

Nathalie Lilapoum écoutait l'égrenement des mots sortant des lèves « visiophonées » de son mari comme s'il lisait un missel dans quelque église. Le moment de la communion approchait, un regain d'espoir colora ses joues qu'il ne pouvait voir depuis les millions de kilomètres de distance. Elle s'empara d'un engin et s'apprêta sans attendre à enregistrer son propre message, dans la lumière tout à coup devenue blafarde du néon la surplombant. L'appartement était trop peu éclairé mais ce n'était plus une « chambre des morts », il lui semblait soudainement que son emménagement remontait tout juste à la veille.

Modifié par morphee_
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Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 31ans Posté(e)
Jedino Membre 47 968 messages
31ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
Posté(e)

Tu n'avais pas déjà posté cette histoire sur un sujet à toi, ou alors tu utilises le même nom pour une nouvelle histoire?

Une petite réflexion.

Le bonheur. Le cours d'aujourd'hui me force à m'atteler à cette question. Je le considère, et de ce fait, je suis en accord avec les paroles du professeur, que le bonheur paraît tout à fait inatteignable, à l'image, selon moi, de la vérité. Mais, là où je peine bien plus, c'est lorsqu'il parle de bonheur connu à cheminer vers le bonheur. Pour moi, cela semble paradoxal, puisqu'on qu'on obtiendrait ainsi ce qu'on cherche en allant vers? Soit le bonheur est atteint, soit il n'est pas réel, et tiendrait plutôt de la joie, du plaisir, sur la route qui veut nous y emmener. Sinon, quel intérêt de poursuivre notre quête? Cela n'a pas de sens dans ma conception de la chose. Ou alors, l'objectif fixé au départ est erroné, et mène, disons par chance, à ce que nous souhaitions atteindre. Ce qui fait que la quête devient l'arrivée, et confirme les deux possibilités qui se veulent cohérentes. A moins qu'une dernière m'échappe? Je l'ignore.

Il n'empêche, qu'est-ce que le bonheur, de fait? Si tendre vers rend heureux, on pourrait aisément imaginer que c'est avancer en sa direction qui nous heureux. Ce qui, encore une fois, est paradoxal, puisque cela revient à définir le bonheur par le travail à faire au préalable pour y parvenir. Et cela ne me satisfait pas pleinement, au moins autant que la solution stipulant qu'il dépend de chacun de nous. Ce ne sont que des facilités prises pour expliquer ce qui ne peut, apparemment, l'être. Est-ce comme le bonheur nietzschéen, cette anecdote utilisée pour répondre à une question, c'est-à-dire cette volonté de puissance, cette acceptation absolue de l'absurdité du monde? Ou alors, se suffire à soi-même, se contenter de ce que l'on a, tel que l'avance les stoïciens? Ma position plutôt nietzschéenne m'influence sans nul doute en faveur de la première idée.

Et pourtant, j'aime à croire que la définition du bonheur est ailleurs. Dans les deux cas, l'acceptation d'une condition, d'une finalité irréversible, semble nécessaire. Autrement dit, une prise de décision en faveur de ce qui nous entoure, de ce que l'on peut acquérir, voir ressentir, les ressentis dépendant fortement de stimuli extérieur. Personnellement, j'aimerais concevoir le bonheur non pas comme une prise de décision à l'égard de l'environnement, mais de soi. Faire du bonheur une prise de décision pour l'être en lui-même. Ne pas accepter que le monde est potentiellement mauvais, ou imparfait, et en accepter ces imperfections, mais plutôt d'accepter que nous sommes, que nous devons être, et que nous ne serons plus. Oui, je me demande si le bonheur n'a pas pour clef la prise de conscience d'être un individu, avec une existence limitée selon notre échelle du temp, avec ses puissances intérieures, ses émotions particulières et singulières.

J'en tiendrais pour preuve l'utilisation "abusive" des apparences : les vêtements, l'attitude, les rôles sociaux, les médias, font que nous sommes des citoyens d'une nation, des élèves d'une classe, des enfants d'une famille, plutôt qu'un individu d'une espèce. Pour moi, c'est le seul ensemble qui compte réellement, et qui a un sens véritable autre qu'un découpage subjectif de la part de l'humain. Ainsi, le bonheur est intimement lié à la question "qui suis-je?".

J'ai probablement tort de tenter une définition de ce qui n'en a pas vraiment, et, par la suite, de tenter de l'associer à un questionnement qui n'a sans doute que peu de rapport à côté de nos "besoins" amoureux et matériels, ou le cadrage de ces derniers. Au pire des cas, j'aurais échoué. Mais, je crois que le mérite reste d'y avoir réfléchi sous un autre angle, avec un contexte différent de celui qu'on aimerait donner à ce qui nous est si proche et insaisissable. Et là réside tout l'intérêt : comment peut-on saisir ce dont nous ne voulons pas prendre conscience en conceptualisant ce que nous redoutons, et de façon contradictoire, chérissons le plus, de peur de devoir s'amadouer avec nos conditions actuelles nécessaires pour paraître être heureux?

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Invité Cosette 2
Invités, Posté(e)
Invité Cosette 2
Invité Cosette 2 Invités 0 message
Posté(e)

Bonjour Morphée et Jedino...

Morphée, c'est la suite, il me semble d'un certain "Chatooo"? ou bien, je me trompe, mais, peut-être remaniée?

Je lirai dès que je trouve un moment, promis, parce que j'apprécie toujours tes écrits, l'ami!

A bientôt! ;)

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Invité Cosette 2
Invités, Posté(e)
Invité Cosette 2
Invité Cosette 2 Invités 0 message
Posté(e)

Je viens de lire, Morphée, c'est la suite en fait, et c'est très bien, comme toujours!

Histoire sortant de l'ordinaire s'il en est! ça me plaît! J'espère que, cette fois-ci, tu continueras et ne t'arrêteras pas en chemin, n'est-ce pas? ;)

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Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 31ans Posté(e)
Jedino Membre 47 968 messages
31ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
Posté(e)

Plus j'y réfléchis, plus je me dis que le film Inception est fascinant. Plus parce que l'histoire en elle-même pose un problème qui se confirme à la fin : qu'est-ce que la réalité, finalement, et faut-il vraiment la rejoindre pour pouvoir vivre?

Mais peut-être que vous ne connaissez pas. En très gros, le scénario consiste à entrer dans le rêve d'une personne afin de soustraire une information ou une idée, etc.. Par le moyen d'un "architecte" sensé concevoir un rêve vraisemblable à l'esprit infiltré (au risque, sinon, de voir l'inconscient chasser ces "intrus"). Toute l'histoire concerne un Leonardo DiCaprio torturé par la perte de sa femme dans l'un de ses rêves (le fameux niveau 4 à la fin du film) et une équipe cherchant à extraire l'idée de succession dans l'entreprise d'un père mourant chez le fils (c'est là le travail premier de l'équipe organisée via un industriel concurrent).

Bref, ils iront dans les rêves du fameux fils, descendront les quatre étages, et remonteront après plusieurs problèmes connus (l'inconscient se défend, la personne construit une "barrière" importante, le niveau 4, conception dénuée de tout architecte, etc) grâce à des chocs (tombée d'une voiture dans un fleuve, explosion) devant être plus fort à mesure que le rêve est profond (le niveau 4, avec le suicide et la chute d'un immeuble, alors qu'un tsunami ravage la ville conçue par Leonardo et sa femme morte).

Finalement, ils finiront tous dans la réalité, ils finiront par réussir, et le héros du film, Leonardo, retrouvera ses enfants qu'ils ne pouvaient voir (impossibilité de voir les visages).

C'est un bref portrait, plus complexe, mais plus long à dépeindre, du coup, et je préfère rester vague que conter l'ensemble. L'intérêt réside plutôt dans les interprétations, selon moi (la bande son vaut l'coup d'oreille aussi). Concrètement, le problème que pose la fin du film est que le totem, utile pour savoir si nous sommes dans le rêve d'un autre ou non, semble vouloir s'arrêter, mais ne s'arrête pas quand le film se termine. D'où, un problème :

-Premier cas : le totem s'arrête : il se trouve donc dans la réalité, le niveau "zéro", et voit effectivement ses enfants.

-Second cas : il ne s'arrête pas, et se trouve ainsi dans les limbes, prisonniers de ses propres rêves parce que revenu trop tard lors des chocs sensés ramener à la réalité.

Mais il en existe d'autres tout à fait possible :

-Troisième cas : tout le film n'est pas dans la réalité, mais un niveau un, et le but serait ainsi de permettre à Leonardo de se défaire de sa femme au niveau 4 (chose possible autant que les deux autres scénarios, puisque certains détails le laissent penser et que la vraisemblance du tout est importante, donc qu'on ne remarque pas le fait d'être dans un rêve).

-Quatrième cas : Il vient finalement, selon moi, conforter le problème des deux premiers en le résolvant ainsi : toute réalité est réelle tant que le contraire n'est pas démontré. Ainsi, Leonardo accepte sa réalité et ne cherche pas à savoir s'il est dans la réalité.

-Cinquième cas : Il n'y a pas de solution, tout étant paradoxal et cohérent à la fois.

Désolé, j'avais envie de vous en faire part. La question de la réalité m'intéresse beaucoup, et ce film est une arme en lui-même pour montrer toute la complexité qui réside dans le concept de "réalité". L'impression, sur la fin, est d'ailleurs d'être perdu (je me souviens sur la fin avoir entendu des "j'ai rien compris"). Et si nous étions dans un rêve? Et si, la réalité n'était qu'une réalité? C'est le genre de questions qui, le soir, m'occupe grandement.

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Invité Cosette 2
Invités, Posté(e)
Invité Cosette 2
Invité Cosette 2 Invités 0 message
Posté(e)

Bonsoir Jedino, je n'ai pas vu ce film et je ne le verrai sans doute jamais, mais il a l'air de t'avoir marqué!

Pourquoi, notre imaginaire est-il si développé?

Pourquoi avons-nous cette faculté de nous projeter dans des rêves, ou des cauchemars, dans des situations rocambolesques, tout en restant dans notre corps?

De tous ces rêves étranges, fantastiques, qu'en retenir?

Souvent une impression bizarre nous poursuit plusieurs heures durant, voire parfois quelques jours!

Sensations de mal-être, la plupart du temps, nous faisant douter de la réalité!

Notre subconscient intervient-il à certains moments lorsque nous rêvons?

Le cerveau de l'être humain est si complexe que, parfois, il semble que nous frôlions la folie!

Il est d'ailleurs très facile de sombrer dans l'irrationnel, de ne plus savoir distinguer le vrai du faux!

J'ai connu une personne dont l'équilibre s'est dégradé à une vitesse impressionnante, et je sais combien cela peut arriver sans prévenir...en tout cas, cela donne vraiment le frisson!

Pauvres humains que nous sommes, n'est-ce pas?

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Invité Cosette 2
Invités, Posté(e)
Invité Cosette 2
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et devant notre clavier

nous alignons nos pensées

espérant peut-être croiser

celui ou celle qui nous fera rêver!

illusion ou réalité?

qu'importe! ce ne sont que pensées!

les uns s'amusent à duper,

d'autres croient en leur vérité!

de tout ça, surtout il faut vous garder

et ne pas vous faire piéger!

les rêves sont destinés

un jour à s'effacer...

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Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 31ans Posté(e)
Jedino Membre 47 968 messages
31ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
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Les rêves ne sont-ils pas faits pour être réalisés?

C'est bien ce qu'on m'a laissé penser.

Alors, cela ne serait pas vrai?

Cela ne serait qu'un mensonge pour me duper?

Je crois que nous oublions que, parfois, le premier rêve n'est pas celui qui nous mènerait quelque part, mais bien celui qui nous a mené, il y a plus ou moins longtemps, à être. Oui, je dois être dans une période plus optimiste, et j'aimerais presque croire qu'être en vie est un rêve, qu'elle soit belle, créative, ou cauchemardesque.

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Invité Cosette 2
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Invité Cosette 2
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Posté(e)

Je différencie le rêve que je fais

Lorsque je suis éveillée

Et celui qui vient la nuit

Quand je suis endormie...

Le premier ne demande qu'à se réaliser

Mais le second est indépendant de ma volonté!

Et c'est celui-ci qui m'inquiète parfois!

Dois-je lui prêter foi?

Est-il dû à une pensée dissimulée

A un souhait qu'involontairement, j'ai fait?

Je me réveille souvent,

Déboussolée, en ayant

Du mal à revenir sur terre,

Inquiète à ne savoir que faire,

Pour évincer de mes idées,

Ce cauchemar que j'ai fait...

Ou ce rêve beaucoup plus joli

Qui me plaît et me donne envie...

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Invité Cosette 2
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Invité Cosette 2
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le printemps

Nous voici au printemps

Les fleurs dans les champs,

Viennent nous conter fleurette!

Nous avons plein la tête

De tous ces cris d'oiseaux

Qui sifflent près des ruisseaux...

Et nos coeurs s'enflamment aussi

Pour faire renaître la mélodie

De toutes nos émotions!

Et si nous en profitions

Pour nous aimer follement

Comme ces adolescents

Que nous sommes toujours

Quand il s'agit d'amour!

Il est là le printemps...

Vite, vite, il nous attend...

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Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 31ans Posté(e)
Jedino Membre 47 968 messages
31ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
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Les questions sont des fusils, et les réponses des balles, armés dans l'unique but d'abattre un homme qui penserait bien ou mal. Peut-être suis-je dans l'erreur, lorsque je crois au fait que le fond est aussi important que la forme, c'est-à-dire sans la moindre. Assurément, je vis dans le paradoxe d'une pensée erronée, puisque l'essence même de l'existence correspondrait à la résolution d'un problème posé par notre quête de sens. Pourtant, je me refuse, et suis à la fois emporté, tout au contraire, par le simple discours voulant faire de ce superflu un oubli, ou dû moins, quelque chose de secondaire. Bien sûr, à titre personnel, cela me paraît parfaitement délirant. Je ne doute pas que cela soit tout aussi impensable pour bien du monde. Je crois que le problème inhérent à l'esprit humain ne consiste pas tant à ignorer le délaissement nécessaire de certains détails auxquels il attache tant d'importance, mais seulement de se sentir capable d'un tel détachement. Sincèrement, seriez-vous prêt à mettre de côté ce qui rend belle votre vie? Rares sont ceux qui abandonneraient leurs fils et filles par intérêt égoïste. Non qu'ils ne le souhaitent pas au fond d'eux-mêmes, ou ne songent pas à le faire pour se détacher d'une souffrance. C'est simplement là la démonstration d'un attachement très humain pour ce qui lui "appartient", pour ce à quoi il tient.

En fait, je me demande sérieusement pourquoi nous avons à ce point le besoin d'être, ou paraître, sérieux. Est-ce par souci d'avoir l'air intelligent? En ce cas, c'en est parfaitement ridicule. Est-ce pour se défaire d'un poids plus existentiel et réel? En celui-ci, nous serions dans l'illusion et la lâcheté. Est-ce pour une raison, aussi glorieuse, sympathique, respectable, soit-elle? Vous ne ferez que vous rassurer la pauvre conscience de s'éviter la vraie réponse à la seule véritable question : pourquoi respirons-nous péniblement ainsi pendant des années durant en l'attente de crever? Par cette tournure, je parais extrêmement négatif, alors qu'au contraire, il n'en est rien, sauf dans votre tête : nous ne sommes là ni pour vivre, ni pour mourir, ni pour jouir, ni pour souffrir, ni pour aucune justification idiote qu'on pourrait accorder au fait de vivre. Nous sommes. Et tout naît et s'achève là.

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Invité Cosette 2
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Invité Cosette 2
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Non, pas de fusil, pas de balles pour tirer...

De dégâts, les guerres ont trop fait...

Et elles continuent partout,

Dans ce monde de fous!

Plus de violence,

Moins de désespérance!

Il faut vivre pour aimer

Il faut essayer de trouver

L'être qui vous rassure,

Celui qui rend plus sûr

L'horizon, si beau, si pur...

Ne plus fermer les yeux,

Regarder vers les cieux...

S'envoler avec ce vent léger

Vers l'amour et la liberté...

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Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 31ans Posté(e)
Jedino Membre 47 968 messages
31ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
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Motivons-nous, malgré notre volonté! Il faut bien se lancer, et non abandonner!

"Lutter n'est pas avancer", peut-être, si l'on s'en tient à Vian, mais ne pas lutter revient à ne jamais le faire.

Alors, bougeons-nous, si déjà nous sommes là!

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Invité Cosette 2
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Invité Cosette 2
Invité Cosette 2 Invités 0 message
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Dans cette sombre nuit

Il n'y a plus aucun bruit...

Mes souvenirs jaillissent!

De larmes mes yeux se remplissent!

La solitude m'étreint,

Tout n'est plus que chagrin!

Pourquoi le jour est-il porteur de joies

Et le soir, rien que le souvenir de toi...

Toi qui fus mon compagnon,

Mon ami, ma déraison...

Au-delà pour toujours,

Aucun espoir de retour...

Je ne crois pas en Dieu

Je sais que dans les Cieux

Seuls les nuages

Ont la forme de ton visage...

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Invité Cosette 2
Invités, Posté(e)
Invité Cosette 2
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Bonjour ami Jedino...

Ne t'inquiète pas...j'ai, moi aussi, des moments de tristesse!

Mais il fait jour, en ce moment!

Et, de plus, le soleil brille! ;)

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