Sédation pour reconduite à la frontière

Il y a quelque jours je suis revenue d'un voyage en Australie avec ma classe.

Lorsque nous sommes montée dans l'avion, j'ai repéré qu'il y avait déjà deux femmes toutes seules dans l'avion dont une qui avait l'air tellement "shooté" que c'était "marrant".

Après le décollage notre guide nous a expliqué de ne pas nous moquée et d'être discrète car la dame était très certainement une personne expulsé d'Australie et qui avait été drogué pour le voyage et l'autre femme à coté d'elle un policier en civile.

Mes amies ce sont indignés en disant qu'on ne traitait pas un être humain comme ça.

Moi ça ne me choque pas : A mon avis une personne reconduite dans son pays ne se laissera jamais emmené de son plein grés, elle va se débattre et hurler pour empêcher l'avion de décoller.

Je ne dis pas que les reconduites à la frontière est une bonne chose, mais tend que l'on admet que cela existe l'administration de drogue à la personne expulsé me semble être la solution la plus humaine bien plus que de les attachés ou je ne sais trop quoi.

La femme en question n'avais pas l'air de souffrir du tout. Elles avaient simplement l'air tellement hébété que sans était un peu comique.

Qu'est ce que vous en pensez ?

Force doit rester à la loi. Donc droguée ou entravée, la personne expulsée rétive au départ doit y être contrainte par tous les moyens ... Le reste n'est que littérature.

Les filles de ma classe étaient super choquée mais encore une fois je ne vois pas d'autre solution que de droguer la personne entravé c'est de la folie aussi bien pour la pauvre personne reconduite que pour les autres passagés !

L'usage de la drogue doit être réservé à des nécessité médicales.

De nombreux cas peuvent s'interpréter ainsi ... Les "crises de nerfs" auxquelles ont assistent lors des reconductions, méritent un dosage relatif de calmants.

L'usage de la drogue doit être réservé à des nécessité médicales.

Moi je dirais qu'il doit être encadré par la loi et le corps médical

Commençons à "encadrer" nos frontières. La thérapie est inutile quand on est à l'abri de toute pathologie.

De nombreux cas peuvent s'interpréter ainsi ... Les "crises de nerfs" auxquelles ont assistent lors des reconductions, méritent un dosage relatif de calmants.

Oui tout à fait.

Moi je dirais qu'il doit être encadré par la loi et le corps médical

Je suis contre les châtiments corporels pour les sans-papiers.

Porter atteinte au corps pour un motif aussi futile est inadmissible.

Une sédation n'est pas un châtiment.

Je ne parle pas ici de débattre de la légitimité et du bien fondé des lois permettant l'expulsion de sans papier, mais de l'application d'une loi qui pour l'instant existe.

Pour éviter d'être expulser et donc de rendre la loi inapplicable il suffit pour une personne frappé d'expulsion de faire un scandale de simuler une crise d'hystérie voir d'essayer de se sauver pour que le pilote la fasse sortir de l'avion.

Si tu n'as aucun moyen de sédater la personne pour la rendre docile durant le voyage autant dire que la loi n'existe pas.

Si tu n'as aucun moyen de sédater la personne pour la rendre docile durant le voyage autant dire que la loi n'existe pas.

Docile?

On parle d'un chien?

Définition:

docile (mf) ° Qui a de la disposition a se laisser conduire et diriger.

Il se dit par extension des Animaux et meme des Choses qui se pretent qui obeissent.

Le terme docile est avant tout un terme qui s'applique à l'être humain, l'application à des animaux n'est qu'une extension.

Définition:

docile (mf) ° Qui a de la disposition a se laisser conduire et diriger.

Il se dit par extension des Animaux et meme des Choses qui se pretent qui obeissent.

Le terme docile est avant tout un terme qui s'applique à l'être humain, l'application à des animaux n'est qu'une extension.

Ok désolée, je reconnais mon erreur.

Une sédation n'est pas un châtiment.

C'est bien facile de ne pas le considérer comme un châtiment alors que dans les faits, c'est une souffrance infligée au corps.

Les menottes, l'enfermement, et un trajet dans un camion de police (pour peu que vous soyez malade en voiture) sont une souffrance infligée au corps. Si l'on résonne de cette façon cela veut dire que toute les mesures répressive tiré de nos lois sont bonne à jeter à la poubelle.

Après, il y a des degrés dans la dite souffrance, et je ne pense pas que la sédation soit en haut du tableau.

Les menottes, l'enfermement, et un trajet dans un camion de police (pour peu que vous soyez malade en voiture) sont une souffrance infligée au corps. Si l'on résonne de cette façon cela veut dire que toute les mesures répressive tiré de nos lois sont bonne à jeter à la poubelle.

C'est sans commune mesure.

L'entravement ne peut pas être comparé au fait d'être drogué.

Après le décollage notre guide nous a expliqué de ne pas nous moquée et d'être discrète car la dame était très certainement une personne expulsé d'Australie et qui avait été drogué pour le voyage et l'autre femme à coté d'elle un policier en civile.

Moi ça ne me choque pas : A mon avis une personne reconduite dans son pays ne se laissera jamais emmené de son plein grés, elle va se débattre et hurler pour empêcher l'avion de décoller.

En fait, si je comprend bien, il n'est même pas certain que la femme se serait débattue, c'est ça ?

Dans ce cas, l'administration de sédatifs est gratuit et donc difficilement justifiable...

J'imagine en plus le cas où il se produit un incident au cours du vol : enfiler son gilet de sauvetage, monter dans un canot de sauvetage le plus vite possible, mettre un masque à oxigène... Il est alors clairement dangereux pour cette personne de ne pouvoir disposer de ses moyens !

Comment veux-tu que je sois certaine de quoi que ce soit quand je suis entrée dans l'avion les 2 passagères était déjà là. Après rien ne dis qu'elles ne se soit pas débattu avant d'entrer dans l'avion ou qu'elle n'aient pas fait un scandale lors d'un vol précédent.

Pour le reste je pense que la policière est aussi ici pour assister sa "prisonnière" en cas de problème en vol. Des passagers qui prenne des sédatifs plus ou moins léger les avions en regorge (ceux qui ont peur de l'avion, ceux qui ont le mal de l'air et surtout ceux qui voyage pour le travail et qui ont absolument besoin de dormir durant le vol parce qu'il commence le boulot pour ainsi dire à l'atterrissage de l'avion).

dont une qui avait l'air tellement "shooté" que c'était "marrant".

Et toutes les personnes qui prennent des sédatifs ont cet air que tu décris ?!

On ne doit pas prendre l'avion dans le même monde

Non en effet, les capacités de la passagère était en effet très diminuer, mais encore une fois, un policière (et le cas échéant un personnel de bord) sont là pour l'assister. Alors certes en cas de grave accident (très rare en avion) cette personne aura moins de chance de s'en sortir que les autres (un peu moins). Mais c'est la même chose lors d'un transport routier de prisonniers. Si le véhicule fait un tonneau les passagers vont avoir plus de mal à sortir que ceux qui serait dans un véhicule classique.

C'est sans commune mesure.

L'entravement ne peut pas être comparé au fait d'être drogué.

Personnellement être drogué durant un voyage me semble moins pénible que d'être attaché. Il m'est déjà arrivé d'être shooté lors d'une hospitalisation et se n'est pas une telle souffrance.