Son pourvoi rejeté, Florence Cassez reste en prison.

Son pourvoi rejeté, Florence Cassez reste en prison.

La justice mexicaine a rejeté jeudi le pourvoi en cassation de la Française Florence Cassez, emprisonnée depuis plus de cinq ans pour des séquestrations qu'elle a toujours niées.

Ce recours était présenté comme celui de la dernière chance. Jeudi, la justice mexicaine a rejeté le pourvoi en cassation de la Française [font=-->Nous ne l'abandonnerons pas[/font][/i]"[/size]

Mais l'affaire ne devrait pas en rester là. La chef de la diplomatie française a dit qu'elle allait rencontrer les avocats de Florence Cassez pour explorer tous les recours judiciaires possibles. "[font=-->actes d'intimidation[/font]". La police mexicaine elle-même a reconnu que l'arrestation de la Français avait été mise en scène pour la télévision et n'avait pas eu le lieu le 9 décembre 2005, comme annoncé initialement, mais la veille - un élément qui n'est apparu ni au procès initial ni à celui en appel. Pourtant, "l'amparo" - pourvoi en cassation - est la dernière voie de recours au Mexique et cette action en justice était présentée comme celle de la dernière chance pour Florence Cassez, qui a vu confirmée sa condamnation à une soixantaine d'années de prison.

tout l'article.

13 juin 2008 : Cristina Ríos Valladares, enlevée le 19 octobre 2005 avec son mari et leur fils, et séquestrée avec son fils, pendant 52 jours, jusqu'au 9 décembre 2005, publie un long témoignage dans le quotidien La Jornada[11] où elle déclare qu'elle et son fils séquestré avec elle reconnaissent la voix et l'accent de Florence Cassez comme celle de leur ravisseuse qui a extrait du sang de l'enfant pour l'envoyer au père et qui a menacé la mère de la tuer. Selon elle, l'effervescence médiatique autour du cas de Florence Cassez, qu'elle reconnaît comme leur geôlière, les met de nouveau en danger, elle et sa famille.

Wikipédia

De plus, elle fait parti d'une bande qui ont enlevé dix personnes et il y a au moins un meutre de commis, donc au lieu de vouloir défendre la délinquente, défendons les vrais victimes.

Alors pourquoi cette mise en scène de son arrestation par la police ? Il me semble que beaucoup de point reste contestable quand au agissements de la justice Mexicaine.

et alors ?

elle avait pas qu'à...

elle n'est certainement pas innocente comme on veut bien le faire croire. quand on vit avec un mec comme elle avait, elle était bien au courant de ce qui se passait, elle ne s'est pas sauvée au contraire elle l'a suivit.

qu'elle assume ! et à sa famille de se débrouiller pas aux autres de s'en mêler.

je suis tout a fait d,accord avec toi dihyia ,elle savait bien ou elle avait mis les pieds,car a ma connaissance elle n,est pas aveugle ,que je sache

Ah lala. Il n'y a qe les droit-de-l'hommistes qui trouvent anormal que les policiers fabriquent des preuves.

Ah lala. Il n'y a qe les droit-de-l'hommistes qui trouvent anormal que les policiers fabriquent des preuves.

Qui parle de fabrication de preuve ?

Qui a participé au kidnaping d'une famille avec en plus une menace de mort ?

Qui était membre d'une bande de criminels coupable d'au moins un meurtre ?

Cette fille n'est certainement pas une enfant de coeur.

<LI>25 avril 2008 : condamnée au total à 96 ans de prison pour 4 enlèvements (4 fois 20 ans), association de malfaiteurs (8 ans), possession d'armes (4 ans) et de possession de munitions (4 ans)^[10].

Qui parle de fabrication de preuve ?

Il a été prouvé que le film dans lequel on "voit" l'arrestation était un montage après coup.

Les policiers ont déplacé Florence Cassez sur les lieux du crime, l'on filmée et on fait croire que c'était la réalité.

Oui, et c'était une reconstitution pour la presse. Il n'a pas été prouvé qu'il y ait eu de fabrication de preuve.

«Consternée» par le rejet du pourvoi de Florence Cassez, qui purge une peine de 60 ans de prison, Michèle Alliot-Marie prévient que cette décision «déplorable» pèsera sur les relations franco-mexicaines.

«Un déni de justice». La ministre française des Affaires étrangères ne mâche pas ses mots. Le rejet du pourvoi de la Française Florence Cassez, emprisonnée au Mexique depuis plus de cinq ans, pèsera sur les relations franco-mexicaines, a prévenu jeudi soir Michèle Alliot-Marie. «Je suis consternée par la décision du tribunal de cassation qui confirme la sentence du juge d'appel à l'encontre de Florence Cassez. Cette décision est déplorable», a-t-elle estimé, avant de prévenir que cette décision allait «peser sur nos relations bilatérales»

suite de l'article.

Oui, et c'était une reconstitution pour la presse. Il n'a pas été prouvé qu'il y ait eu de fabrication de preuve.

La première version c'était que les policiers avaient filmés les faits. C'est d'ailleurs ce qu'on dit les policiers au juge lors du procès en première instance.

Quand il a été montré que c'était faux, les policiers ont inventé une deuxième version : ce serait une reconstitution pour les journalistes.

C'est vrai, mais tu parles de preuves fabriquées ; où sont tes sources ?

Je ne sais pas si Mme Cassez est innocente ou coupable (j'ai pas vraiment suivie son procès).

Mais une chose est sure ce n'est pas avec l'avis très tranché de Mme M.A.M envers le Mexique que les choses risquent de s'arranger pour elle. éa ferait l'effet inverse que ça ne m'étonnerait pas.

Un peu plus de diplomatie de la part de Mme M.A.M envers ce pays, surtout si ce même pays détient un de nos ressortissants et que l'on cherche à le libérer, ça n'aurait pas été mal non plus.

En tout cas une chose est sur ne la mettons jamais comme diplomate, par ce que la diplomatie et elle ce sont deux mondes à part.

Merci.

Je ne sais pas si F. Cassez est impliquée ou non, trop de questions en suspens...Certes le film a été monté, mais qui nous dit qu'ils n'ont pas fait de réelle reconstitution plutôt qu'une manipulation...?

Pouvait-elle vraiment vivre à ses côtés sans savoir ce qu'il faisait...?

Mais bon pour moi quand on a un doute, il sert l'accusé donc je comprends qu'on veuille la faire revenir en France...Car de toute façon 96 ans est une peine exagérée

Malgré cette "fabrication", Florence Cassez a été condamnée en première instance à 96 ans de prison, puis à 60 ans en appel, a dénoncé Me Acosta.

"Les autorités commencent d'emblée par une construction, et d'abord sur le jour de l'arrestation: contrairement à ce qu'affirme le dossier de police, ma cliente a été arrêtée le 8 décembre et gardée au secret pendant près de 24 heures pour figurer le 9, à l'aube, dans un montage pour la télévision", a-t-il expliqué.

"C'est une violation à la fois des droits de l'Homme et aussi de la Constitution mexicaine, qui intime de présenter +sans délai+ à un juge tout suspect arrêté en flagrant délit, et cela invalide automatiquement le dossier", a-t-il poursuivi.

"Cette violation apparaît même de toutes façons dans le rapport de police, malgré les efforts pour travestir la vérité, entre l'heure annoncée de l'arrestation et celle du départ du +rancho+ où elle est censée avoir eu lieu: l'horaire officiel révèle un délai d'au moins deux heures, pour la mettre à la disposition non pas d'un juge, mais de la télévision", a-t-il fait valoir.

"Florence Cassez n'a jamais été arrêtée dans le +rancho+ et encore moins en présence d'otages. Elle a été transportée sur place au lendemain de son arrestation et jetée à terre devant les caméras en ignorant ce qu'on lui voulait", a-t-il affirmé.

"Les otages prétendument libérés lors de l'arrestation ont spontanément innocenté ma cliente et Vallarta, et cela figure au dossier", a-t-il poursuivi.

"En outre, les tribunaux de première instance et d'appel ont été muets sur les mensonges et les manipulations de témoins, flagrantes dans le dossier", a-t-il insisté.

"Au fond, en cassation, il reste aux juges à choisir: est-ce bien, ou pas bien, de fabriquer un montage mensonger", a-t-il conclu. AFP

Cet article a été publié dans la rubrique Flash actualité - International

Malgré cette "fabrication", Florence Cassez a été condamnée en première instance à 96 ans de prison, puis à 60 ans en appel, a dénoncé Me Acosta.

"Les autorités commencent d'emblée par une construction, et d'abord sur le jour de l'arrestation: contrairement à ce qu'affirme le dossier de police, ma cliente a été arrêtée le 8 décembre et gardée au secret pendant près de 24 heures pour figurer le 9, à l'aube, dans un montage pour la télévision", a-t-il expliqué.

"C'est une violation à la fois des droits de l'Homme et aussi de la Constitution mexicaine, qui intime de présenter +sans délai+ à un juge tout suspect arrêté en flagrant délit, et cela invalide automatiquement le dossier", a-t-il poursuivi.

"Cette violation apparaît même de toutes façons dans le rapport de police, malgré les efforts pour travestir la vérité, entre l'heure annoncée de l'arrestation et celle du départ du +rancho+ où elle est censée avoir eu lieu: l'horaire officiel révèle un délai d'au moins deux heures, pour la mettre à la disposition non pas d'un juge, mais de la télévision", a-t-il fait valoir.

"Florence Cassez n'a jamais été arrêtée dans le +rancho+ et encore moins en présence d'otages. Elle a été transportée sur place au lendemain de son arrestation et jetée à terre devant les caméras en ignorant ce qu'on lui voulait", a-t-il affirmé.

"Les otages prétendument libérés lors de l'arrestation ont spontanément innocenté ma cliente et Vallarta, et cela figure au dossier", a-t-il poursuivi.

"En outre, les tribunaux de première instance et d'appel ont été muets sur les mensonges et les manipulations de témoins, flagrantes dans le dossier", a-t-il insisté.

"Au fond, en cassation, il reste aux juges à choisir: est-ce bien, ou pas bien, de fabriquer un montage mensonger", a-t-il conclu. AFP

Cet article a été publié dans la rubrique Flash actualité - International

Là effectivement c'est être buté car si les victimes l'innocentent quand même...

"Les otages prétendument libérés lors de l'arrestation ont spontanément innocenté ma cliente et Vallarta, et cela figure au dossier", a-t-il poursuivi.

Ouai mais le mec a reconnu dix enlèvements et un meurtre, donc la meuf sait quand même ou elle met les pieds.

Que penser de ce témoignage ?

Mon nom est Cristina Rios Valladares et j'ai été la victime d'une prise d'otage, au coté de mon époux Raul (libéré quelques heures plus tard pour réussir le sauvetage) et mon fils qui avait 11 ans. Depuis ce jour notre vie a totalement changée. Aujourd'hui nous souffrons d'un exil forcé par la peur et l'insécurité. Ma famille est détruite.

Ce que mon fils et moi avons vécu du 19 octobre 2005 au 9 décembre de la même année, est indescriptible. 52 jours de captivité pendant lesquelles je fus victime d'abus sexuel et, les trois d'une torture psychologique. Le 9 décembre nous avons été libérés lors d'une opération de l'Agence Fédérale de Recherche (AFI). Israel Vallarta et

Florence Cassez furent accusé de nous avoir pris en otage, puis ils furent arrêtés, cette dernière d'origine française, se présente maintenant comme la victime et non pas comme complice du jugement.

Depuis notre libération ma famille et moi nous vivons à l'étranger. Nous ne pouvons pas revenir à cause de la peur, car le reste de la bande n'a pas été arrêté. Depuis notre refuge, car on ne peut pas appeler maison un lieu où nous avons été forcé de vivre (à cause de l'insécurité), nous avons appris la nouvelle de la peine de 96 ans de

prison que Florence Cassez méritait, cette femme dont j'avais écouté la voix à de maintes reprises pendant ma captivité¿la même voix d'origine française qui bourdonne encore aujourd'hui dans mes oreilles, la même voix que mon fils reconnaît comme celle de ma femme qui lui pris du sang pour l'envoyer à mon époux, avec une oreille qui lui ferait penser qu'elle appartenait à son fils. Maintenant j'apprends que Florence réclame justice et clame son innocence. Et moi j'entends dans ses cries la voix de la femme qui, jalouse et furieuse, cria sur Israel Vallarta, son petit ami et chef de la bande, que s'il recommençait à s'approcher de moi (elle entra par surprise dans la pièce et elle le vit m'embrasser) elle se vengera sur moi. Florence raconte « le calvaire » de la prison, mais elle voit

sa famille dans le pénitencier, elle fait des appels téléphoniques, elle réalise des interviews pour la presse et elle ne craint pas chaque seconde pour sa vie. Je ne détaillerai pas ce qu'est un véritable enfer, c'est-à-dire, une prise d'otage. Ni ma famille ni moi n'avons d'envie, ni de force pour faire une campagne médiatique, diplomatique et politique (comme celle que sa famille est en train de réaliser) pour permettre au gouvernement français, à la presse nationale et internationale d'écouter l'autre version, c'est-à-dire, celle de la parole des victimes de la bande à laquelle appartenait Mademoiselle Cassez. Florence qui est une preneuse d'otage et non pas seulement la petite amie d'un preneur d'otage (avec lequel elle vivait dans un ranch au moment de la

captivité de mon fils et moi), l'idée qu'elle puisse apparaître comme une victime et qu'elle lutte pour qu'on modifie sa condamnation. Si elle y arrive ou non, ce n'est pas à nous d'en juger, bien que cela

continue à nous blesser. Cette lettre est uniquement pour nous soulager. L'affaire est aux mains de la justice mexicaine. Nous n'interviendront plus publiquement, nous ne donnerons plus d'interviews à la presse (notre

indignation nous à pousser à en concéder quelques une), nous utilisons et utiliserons toute notre énergie pour protéger l'intégrité de notre famille et dans le but de nous guérir du mal qu'ils nous ont fait. La

nouvelle effervescence que ravive l'appel de la condamnation et le remous médiatique qu'il provoque nous met de nouveau en danger.

Merci de bien vouloir donner la source de ce témoignage, plusieurs points me semblent inexacts.

Plusieurs sites sur le même témoignage... Il suffit de googeliser "Rios Valladares".

Evidemment on peut suspecter le témoignage d'être bidonné.

DrYves