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Manifeste pour une algérie nouvelle


echoo

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Modérateur, Nikita, 152ans Posté(e)
_Dolph Modérateur 60 554 messages
152ans‚ Nikita,
Posté(e)

Sujet nettoyé.

Merci de débattre dans le calme et poliment.

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Invité Danaos
Invités, Posté(e)
Invité Danaos
Invité Danaos Invités 0 message
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que le changement arrive aussi en Algérie serait une bonne chose, mais les intérêts économiques sont autres notamment dans le domaine des énergies fossiles et j'ai bien peur que les forces de résistance à ce changement viennent de l'extérieur...

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Membre, Dazzling blue², 51ans Posté(e)
eklipse Membre 14 471 messages
51ans‚ Dazzling blue²,
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En plus des images où certains policiers, gendarmes ou crs Français, frappent ou gazent à la Lacrymo à bout portant des manifestants et même une mamie!!et tirent au Flash ball sur des étudiants, ou éléctrocute un pauvre gars au taser...tu en trouves un paquet sur le net...mais ça bien sûr elle va pas le montrer ou le nier!

Elle n'est pas impartiale!

pour sa gouverne

http://www.mediapart.fr/club/blog/gilles-s...es-preoccupante

http://www.rue89.com/2011/01/25/video-evac...xpulsion-187276

http://www.rue89.com/2010/10/14/video-des-...oliciers-171135

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Membre, Dazzling blue², 51ans Posté(e)
eklipse Membre 14 471 messages
51ans‚ Dazzling blue²,
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A Paris, de nombreux Algériens crient "à bas Bouteflika"

Samedi, 800 personnes se sont rassemblées sur la place de la République à Paris pour soutenir les manifestations en Algérie. Reportage.

Au son de "Egypte, Tunisie, Algérie, même combat", de nombreux Algériens s'étaient rassemblés samedi sur la place de la République pour soutenir les manifestations en Algérie. La pluie n'aura pas eu raison de leur courage. Selon les forces de police, ils étaient 800 à scander "A bas Bouteflika, à bas les généraux, à bas le FLN", faisant la joie des organisateurs. "Je n'ai pas vu autant d'Algériens réunis à Paris depuis longtemps, confie Nadjma Benaziza, de l'association des familles de disparus. En une semaine, on a déployé une énergie monstre. On savait qu'il y aurait une mobilisation, mais pas à ce point là".

Galvanisés par la victoire des rues égyptiennes et tunisiennes - "cette étincelle qui a allumé le feu de la liberté" - ils ont repris espoir. "On appelle à un mouvement pacifique comme en Egypte et en Tunisie, déclare Taleb Nazim, porte-parole du mouvement Rachad. Les dictateurs indéboulonnables se sont enfuis. Bouteflika, lui non plus, ne pourra pas résister à la volonté du peuple. Ils ont montré que rien n'était impossible". Alors, à la tribune, entre deux discours politique, les chants patriotiques étaient repris en choeur. Et les drapeaux algériens, tunisiens et égyptiens flottaient dans une ambiance de fête.

Tous étaient descendus dans la rue unis autour d'un seul mot d'ordre, rappelé par des pancartes : "Bouteflika, dégage !". "On souhaite la contagion de la liberté. Le pouvoir algérien fait des promesses comme la baisse des prix, par exemple. Mais c'est le système qu'il faut changer, s'exclame Derbal Halim, du collectif de solidarité avec le peuple algérien, à l'origine de l'appel au rassemblement. On dit stop à la dictature". Lui, il ose à présent confier qu'il rêve à une réelle indépendance de son pays : "Elle a été usurpée par les dictateurs et leur chute achèvera ce processus en apportant l'égalité et la justice sociale pour tous", explique-t-il. "On est là pour faire tomber le pouvoir de Bouteflika et on a besoin de démocratie, affirme Issas Smatti, cadre dans le tourisme. Il a été 48 ans au pouvoir et il a donc eu assez de temps pour travailler. On demande l'égalité et la démocratie pour tous. Et on ne veut pas seulement qu'il parte mais on souhaite aussi faire la lumière sur les richesses qu'il a accumulé". De son côté, Renée Le Mignot, coprésidente du MRAP ( Mouvement contre le racisme et pour la solidarité entre les peuples), ajoute que "depuis la lutte pour les indépendances, nous sommes du côté du peuple algérien. Aujourd'hui, on veut connaître l'égalité entre les hommes et les femmes, sans distinction".

Pourtant, ils sont encore nombreux à être sceptiques. "Dans l'état actuel, je n'y crois pas. Le pouvoir algérien et les clans qui gravitent autour ont des intérêts. Les bases de la société reposent sur l'armée. Alors que les partis de l'opposition sont discrédités, il faudrait une amplification de la mobilisation", déclare Derbal Halim. De son côté, Taleb Nazim avance un autre argument : "Le gouvernement est fragile et il a peur des manifestations. Il a donc déployé 30.000 soldats dans les rues et bloqué la capitale. Comme les manifestations sont interdites à Alger, nous ici on sert de relais". D'où l'importance pour les Algériens vivant en France d'afficher au grand jour leur solidarité : "On a tous des frères et de la famille qui souffrent en Algérie, confie Issas Smatti. Le silence, c'est la mort. Nous, on préfère parler et mourir. On a besoin que la voix de ceux qui souffrent arrive jusqu'en Europe pour que tout le monde sache qu'à 700 km de chez nous des personnes sont entrain de crever. Eux, ils savent qu'on les soutien sur Facebook et Twitter".

Tel est le but de Nadjma Benaziza : "Il faut poursuivre la solidarité internationale et rester attentif à ce qui se passe en Algérie. La rue, est le seul moyen de déloger les dictatures. On ira jusqu'au bout".

http://www.lexpress.fr/actualite/monde/a-p...ika_962009.html

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Membre, 111ans Posté(e)
echoo Membre 990 messages
Baby Forumeur‚ 111ans‚
Posté(e)
A Paris, de nombreux Algériens crient "à bas Bouteflika"

Samedi, 800 personnes se sont rassemblées sur la place de la République à Paris pour soutenir les manifestations en Algérie. Reportage.

Au son de "Egypte, Tunisie, Algérie, même combat", de nombreux Algériens s'étaient rassemblés samedi sur la place de la République pour soutenir les manifestations en Algérie. La pluie n'aura pas eu raison de leur courage. Selon les forces de police, ils étaient 800 à scander "A bas Bouteflika, à bas les généraux, à bas le FLN", faisant la joie des organisateurs. "Je n'ai pas vu autant d'Algériens réunis à Paris depuis longtemps, confie Nadjma Benaziza, de l'association des familles de disparus. En une semaine, on a déployé une énergie monstre. On savait qu'il y aurait une mobilisation, mais pas à ce point là".

Galvanisés par la victoire des rues égyptiennes et tunisiennes - "cette étincelle qui a allumé le feu de la liberté" - ils ont repris espoir. "On appelle à un mouvement pacifique comme en Egypte et en Tunisie, déclare Taleb Nazim, porte-parole du mouvement Rachad. Les dictateurs indéboulonnables se sont enfuis. Bouteflika, lui non plus, ne pourra pas résister à la volonté du peuple. Ils ont montré que rien n'était impossible". Alors, à la tribune, entre deux discours politique, les chants patriotiques étaient repris en choeur. Et les drapeaux algériens, tunisiens et égyptiens flottaient dans une ambiance de fête.

Tous étaient descendus dans la rue unis autour d'un seul mot d'ordre, rappelé par des pancartes : "Bouteflika, dégage !". "On souhaite la contagion de la liberté. Le pouvoir algérien fait des promesses comme la baisse des prix, par exemple. Mais c'est le système qu'il faut changer, s'exclame Derbal Halim, du collectif de solidarité avec le peuple algérien, à l'origine de l'appel au rassemblement. On dit stop à la dictature". Lui, il ose à présent confier qu'il rêve à une réelle indépendance de son pays : "Elle a été usurpée par les dictateurs et leur chute achèvera ce processus en apportant l'égalité et la justice sociale pour tous", explique-t-il. "On est là pour faire tomber le pouvoir de Bouteflika et on a besoin de démocratie, affirme Issas Smatti, cadre dans le tourisme. Il a été 48 ans au pouvoir et il a donc eu assez de temps pour travailler. On demande l'égalité et la démocratie pour tous. Et on ne veut pas seulement qu'il parte mais on souhaite aussi faire la lumière sur les richesses qu'il a accumulé". De son côté, Renée Le Mignot, coprésidente du MRAP ( Mouvement contre le racisme et pour la solidarité entre les peuples), ajoute que "depuis la lutte pour les indépendances, nous sommes du côté du peuple algérien. Aujourd'hui, on veut connaître l'égalité entre les hommes et les femmes, sans distinction".

Pourtant, ils sont encore nombreux à être sceptiques. "Dans l'état actuel, je n'y crois pas. Le pouvoir algérien et les clans qui gravitent autour ont des intérêts. Les bases de la société reposent sur l'armée. Alors que les partis de l'opposition sont discrédités, il faudrait une amplification de la mobilisation", déclare Derbal Halim. De son côté, Taleb Nazim avance un autre argument : "Le gouvernement est fragile et il a peur des manifestations. Il a donc déployé 30.000 soldats dans les rues et bloqué la capitale. Comme les manifestations sont interdites à Alger, nous ici on sert de relais". D'où l'importance pour les Algériens vivant en France d'afficher au grand jour leur solidarité : "On a tous des frères et de la famille qui souffrent en Algérie, confie Issas Smatti. Le silence, c'est la mort. Nous, on préfère parler et mourir. On a besoin que la voix de ceux qui souffrent arrive jusqu'en Europe pour que tout le monde sache qu'à 700 km de chez nous des personnes sont entrain de crever. Eux, ils savent qu'on les soutien sur Facebook et Twitter".

Tel est le but de Nadjma Benaziza : "Il faut poursuivre la solidarité internationale et rester attentif à ce qui se passe en Algérie. La rue, est le seul moyen de déloger les dictatures. On ira jusqu'au bout".

http://www.lexpress.fr/actualite/monde/a-p...ika_962009.html

Un dernier portrait du pouvoir avant sa chute définitive

portraitdefamille.png

Echoo

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Invité PADAK
Invités, Posté(e)
Invité PADAK
Invité PADAK Invités 0 message
Posté(e)

Ne pas se faire d'illusion!! :o

L'Algérie n'est pas la Tunisie!...encore moins l'Egypte! :cray:

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Membre, 111ans Posté(e)
echoo Membre 990 messages
Baby Forumeur‚ 111ans‚
Posté(e)
Ne pas se faire d'illusion!! :o

L'Algérie n'est pas la Tunisie!...encore moins l'Egypte! :cray:

Le sytéme sera détruit et on verra la naissance d'une autre république plus propre et plus conforme à la volonté du peuple.Il n'y a pas de place au doute la dessus.

C'est inéluctable et non négociable.

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Membre, Dazzling blue², 51ans Posté(e)
eklipse Membre 14 471 messages
51ans‚ Dazzling blue²,
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bouteflika-imposture-algerienne.jpg

Quatrième de couverture

Comment ne pas penser à L'Automne du patriarche de Garcia Marquez, où est décrit te monde de la dictature à la sud-américaine ? Cupidité, soif maladive du pouvoir, abus sexuels, telles sont les caractéristiques du pouvoir des tyrans. Mais dans ce document, nous sommes bien loin de la cocasserie et de la jubilation du roman colombien. Peut-être qu'à l'avenir, ce livre prendra une dimension burlesque s'agissant des aventures de « L'enfant adultérin d'un système grabataire et d'une démocratie violée ». Pour l'heure, il a des résonances tragiques,'car il s'agit de l'avenir et de la dignité nationale de l'Algérie. Plus qu'une charge contre Abdelaziz Bouteflika, L'auteur établit une chronique du temps perdu dans la recherche d'un destin national digne des innombrables sacrifices du pays.

Il dénonce avec force autant l'arlequin transformé en héros que le système, porté par des parrains aux biographies falsifiées, qui l'a mis sur scène.

Ce livre a le courage du combat mené à visage découvert. Mohamed Benchicou ne s'attaque pas à un prince déchu. Il brandit la braise de son indignation morale et de sa colère de citoyen à la face du « maître » de l'heure, tandis que ce dernier se réclame de l'amitié des puissants de ce monde, de la légitimité d'un scrutin tronqué, use de la puissance persuasive des milliards d'une cagnotte nationale détournée et de la force dissuasive d'une justice réduite au triste rôle de geôlier auxiliaire. Oui, ce livre est véhément et sans concessions ! Mais il est surtout précis et documenté. Il repose sur des écrits, des témoignages et des documents indiscutables car authentiques.

L'auteur vu par l'éditeur

Mohamed Benchicou, journaliste depuis 1974, fut rédacteur en chef du premier journal indépendant algérien, Alger républicain. Il est directeur du quotidien Le Matin depuis sa fondation en 1991.

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Invité PADAK
Invités, Posté(e)
Invité PADAK
Invité PADAK Invités 0 message
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Il faut être plus intelligent et prendre du recul! :o

Il ne s'agit pas d'évincer un trou du cul pour en remettre un autre! :cray:

C'est plus compliqué que cela!!

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Membre, Dazzling blue², 51ans Posté(e)
eklipse Membre 14 471 messages
51ans‚ Dazzling blue²,
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Algérie : les autorités exhortent la population à ne pas manifester

Après la Tunisie, l'Algérie ?

Les autorités algériennes semblent particulièrement redouter un éventuel "effet contagion" du mouvement populaire tunisien ayant conduit la semaine dernière au départ de l'ex-Président tunisien Ben Ali.

Alors que la ligue algérienne pour la défense des droits de l'homme (LADDH) nous informait récemment que le syndicaliste Ahmed Badaoui avait été arrêté pour «complot en vue de renverser les autorités de l'Etat », les autorités locales ont demandé à la population de ne pas répondre à l'appel de l'opposition à participer à une manifestation samedi à Alger .... mouvement en faveur d'une ouverture démocratique.

"Il est demandé aux citoyens de faire preuve de sagesse et de vigilance, et de ne pas répondre à d'éventuelles provocations destinées à porter atteinte à leur tranquillité, leur quiétude et à leur sérénité", indique ainsi tout net un communiqué de la wilaya (préfecture) d'Alger transmis dès jeudi soir aux agences de presse.

L'appel à la manifestation de samedi est fait "sans autorisation des services administratifs compétents", affirme par ailleurs le communiqué, histoire de faire régner la peur et tentant de justifier par avance une éventuelle répression.

Enfonçant le clou, les autorités rappellent par ailleurs que "les marches à Alger ne sont pas autorisées" et que "tout rassemblement sur la voie publique est considéré comme une atteinte à l'ordre public".

Rappelons en effet qu'en vertu de l'état d'urgence en vigueur depuis 1992, les manifestations sont interdites en Algérie.

La manifestation de samedi a été convoquée par un parti d'opposition, le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), lequel détient 19 sièges sur les 385 que compte l'Assemblée populaire nationale. La manifestation doit partir de la place de la Concorde à Alger, ex-place du 1er-Mai, vers le siège de l'Assemblée populaire nationale.

Mais malgré cette interdiction, le chef du RCD, Saïd Sadi, s'est déclaré déterminé à maintenir cette marche, initialement prévue le 18 janvier puis reportée au 22.

Répondant à la bergère, le RCD a déclaré dans un communiqué que "la demande d'autorisation déposée dans les temps et selon les règles ayant été refusée sans la moindre explication alors que des manifestations initiées par la clientèle du pouvoir ont été autorisées" avoir décidé "de maintenir la marche populaire du 22 janvier".

"C'est le droit et le devoir de tous les patriotes d'agir par tous les moyens pacifiques pour honorer les martyrs d'hier et d'aujourd'hui qui se sont sacrifiés pour une Algérie démocratique et sociale plus menacée que jamais", ajoute par ailleurs le texte.

"Le chef de l'état suggère qu'après cette interdiction, il interviendrait, en tant qu'arbitre, pour "lâcher du lest" par un remaniement gouvernemental", précise par ailleurs un autre communiqué. "Au lieu de suivre (...) la marche du monde, les plus hautes autorités du pays se réfugient dans la fuite en avant : occupation policière de la capitale, propagande à la radio et à la télévision, annulation de tous les transports ferroviaires vers la capitale, investissement par la police des cités universitaires d'Alger ; ce n'est plus l'état d'urgence, c'est l'état de siège !", s'indigne-t-il par ailleurs.

D'importants renforts de police auraient été en effet dépêchés dans la capitale, la presse affirmant quant à elle que les services de sécurité "sont en état d'alerte maximum".

A noter qu'outre l'ancien chef du gouvernement, Ahmed Benbitour, le Parti pour la laïcité et la démocratie (PLD), les étudiants de Tizi Ouzou, des signataires d'une pétition appelant au changement démocratique et des syndicalistes de diverses organisations autonomes ont exprimé leur soutien à l'initiative du RCD.

Sources : AFP, Liberté-Algérie, RCD

http://www.leblogfinance.com/2011/01/alger...ter-samedi.html

Hum, c'est différent de la Tunisie et de l'Egypte, la révolte pour l'instant ne vient pas du peuple, mais de partis d'opposition, j'ai l'impression que les Algériens ne sont pas assez nombreux à vouloir manifester pour un changement...mais je me trompe peut être

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Invité PADAK
Invités, Posté(e)
Invité PADAK
Invité PADAK Invités 0 message
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:o Sur les propos précédents!

Le peuple sait pertinemment que les représailles seront sanglantes!

L'armée n'est pas préte à céder le pouvoir! :cray:

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Membre, 111ans Posté(e)
echoo Membre 990 messages
Baby Forumeur‚ 111ans‚
Posté(e)
Il faut être plus intelligent et prendre du recul! :o

Il ne s'agit pas d'évincer un trou du cul pour en remettre un autre! :cray:

C'est plus compliqué que cela!!

trés compliqué effectivement.Le passif est trop lourd par le sang versé et la prédation.

La république a été construite sur des bases féodales ou le tribalisme et le régionalisme avaient droit de citer dans un sytéme basé sur la légitimité révolutionnaire,l'affairisme et le partage de la rente pétroliére.

On ne construit pas un Etat républicain moderne digne de ce nom sur l'abus de pouvoir,le clientilisme ,la justice aux ordres ,le trucage des éléctions et la médiocrité.

Guerre civile = 200000 morts sans compter les assassinats du printemps berbere et autres émeutes sporadiques..

La démocratie se paie trés chére dans nos républiques bananiéres et Md Benchikou en sait quelque choses,comme tant d'autres..

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Invité PADAK
Invités, Posté(e)
Invité PADAK
Invité PADAK Invités 0 message
Posté(e)

:p Vite un Doliprane!

Y' m'a donné mal à la tête! :o

Ceci dit tout n'est pas faux! :p

S'ils commencaient par éradiquer la corruption, et menaient une politique de redistribution plus enthousiaste...Cela calmerait considérablement les esprits! :cray:

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Membre, Dazzling blue², 51ans Posté(e)
eklipse Membre 14 471 messages
51ans‚ Dazzling blue²,
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Algérie : les étudiants inquiets pour leur avenir mais ne veulent pas que leur mouvement soit politisé.

Une nouvelle manifestation est prévue dans les rues d'Alger ce samedi. La mobilisation sera-t-elle importante ? Reportage auprès des étudiants qui ont beaucoup de mal à trouver du travail.

http://www.bfmtv.com/video-infos-actualite...-avenir-952628/

L'opposition a des difficultés à fédérer derrière elle

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Membre, 111ans Posté(e)
echoo Membre 990 messages
Baby Forumeur‚ 111ans‚
Posté(e)
Algérie : les étudiants inquiets pour leur avenir mais ne veulent pas que leur mouvement soit politisé.

Une nouvelle manifestation est prévue dans les rues d'Alger ce samedi. La mobilisation sera-t-elle importante ? Reportage auprès des étudiants qui ont beaucoup de mal à trouver du travail.

http://www.bfmtv.com/video-infos-actualite...-avenir-952628/

L'opposition a des difficultés à fédérer derrière elle

Le matracage médiatique du pouvoir à travers ses relais a commencé sur la seule et unique chaine de télé pour discréditer le mouvement.Les chargés de mission et des basses besognes ont le micro des médias lourds pour semer la propagande.

Pour faire porter leurs revendications,les initiateurs du mouvement s'expriment à partir des chaines des pays démoctiques étrangers puisqu'ils sont interdits d'expression chez eux.

Même le parti des travailleurs (PT) dirigé par Louiza Hanoune ,sensé être dans l'opposition (troskyste) s'est rangé du côté du pouvoir pour casser l'initiative citoyenne.

On aura tout vu dans cette " ratatouille" arrosée par la rente des pétro-dollars et surtout du sang du citoyen algérien dont le seul crime est de réclamer un peu plus de démocratie ,de dignité dans le partage équitable des richesses de son pays.

Ceci dit, rendez-vous est pris tous les samedis jusqu'à satisfaction du changement démocratique inévitable.

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Membre, Posté(e)
castor335 Membre 120 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
Le matracage médiatique du pouvoir à travers ses relais a commencé sur la seule et unique chaine de télé pour discréditer le mouvement.Les chargés de mission et des basses besognes ont le micro des médias lourds pour semer la propagande.

Pour faire porter leurs revendications,les initiateurs du mouvement s'expriment à partir des chaines des pays démoctiques étrangers puisqu'ils sont interdits d'expression chez eux.

Même le parti des travailleurs (PT) dirigé par Louiza Hanoune ,sensé être dans l'opposition (troskyste) s'est rangé du côté du pouvoir pour casser l'initiative citoyenne.

On aura tout vu dans cette " ratatouille" arrosée par la rente des pétro-dollars et surtout du sang du citoyen algérien dont le seul crime est de réclamer un peu plus de démocratie ,de dignité dans le partage équitable des richesses de son pays.

Ceci dit, rendez-vous est pris tous les samedis jusqu'à satisfaction du changement démocratique inévitable.

les algériens vont à nouveau manifester, mais ce sera plus dur qu'en Tunisie ou en Egypte car ils ont peur que le bain de sang qu'il y a eu dans les année 1990 recommence, donc il faut que cette peur soit surmontée pour qu'ils réussissent leur révolution

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Membre, Dazzling blue², 51ans Posté(e)
eklipse Membre 14 471 messages
51ans‚ Dazzling blue²,
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Alger : une marche sous haute surveillance

Plusieurs centaines de personnes ont participé à la manifestation à Alger ce samedi. Ces Algériens ont bravé l'important dispositif de sécurité déployé dans la ville. Reportage avec notre envoyé spécial.

http://www.bfmtv.com/video-infos-actualite...illance-959267/

Des jeunes ont été engagé par certains dirigeants, pour casser le mouvement, mais perso j'ai l'impression que les manifestants prennent de l'assurance

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Membre, Dazzling blue², 51ans Posté(e)
eklipse Membre 14 471 messages
51ans‚ Dazzling blue²,
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Algérie, pourquoi ça ne démarre pas

Samedi 19 février, les Algériens tentent une nouvelle fois de se lancer dans un processus révolutionnaire. Une marche est prévue à Alger, plusieurs sit-in et meetings doivent se tenir dans la journée à Oran, Annaba, Constantine... La semaine passée, le déploiement policier (plus de 30.000 rien que pour la ville d'Alger) avait volé la vedette à une mobilisation qui, selon les chiffres officiels du ministère de l'intérieur algérien, n'a pas dépassé 2.000 personnes dans la capitale.

Quels éléments permettent-ils d'expliquer une mobilisation si faible? Pourquoi l'Algérie peine-t-elle à suivre le chemin de la Tunisie et de l'égypte? Pourquoi ne glisse-t-elle pas sur cette vague qui partout, au Yémen, au Bahreïn, en Libye, menace chaque jour un peu plus d'emporter des régimes corrompus et vieillissants? En Algérie aussi, Bouteflika, malade, et n'apparaissant en public qu'à de très rares occasions, est en bout de course. Un câble dévoilé par WikiLeaks a même révélé qu'en 2007, la diplomatie française ne lui donnait pas grande chance de survivre deux années de plus pour assurer sa réélection.

Depuis début janvier, le réseau de militants algériens s'est fédéré en une coordination nationale qui a des représentants dans les plus grandes villes du pays. En avance sur les autres pays du Maghreb en termes d'activisme politique jusqu'à la veille de la révolution tunisienne, l'Algérie dispose de réseaux certes embryonnaires, mais dotés de militants motivés et capables d'un grand sens de l'organisation, comme les groupes Bezzzef, partis d'Alger, et qui se sont créés peu à peu sur une large partie du territoire.

Mediapart les avait rencontrés au printemps 2010 à Alger, pour réaliser ce portrait :

© © Pierre Puchot/Mediapart

«Vous savez, Bezzzef, ils nous ont beaucoup aidés. Ils ont plus d'expérience, pour s'organiser c'est décisif.» Amine Menadi pourrait être aujourd'hui le Slim Amamou ou le Wael Ghonim algérien. C'est lui qui crée début janvier un groupe Facebook (1200 membres), dont le premier rassemblement s'est soldé par un sit-in de 350 personnes, puis par la création d'un collectif, Algérie pacifique, qui fait aujourd'hui partie de la coordination nationale.

Avec tous ces ingrédients réunis, la mobilisation ne prend pourtant pas. «Il y a un premier problème, juge Amine Menadi : en Tunisie, vous avez 2 millions d'internautes réguliers, pour 10 millions d'habitants. En Algérie, même nombre d'internautes, mais pour 40 millions d'habitants. C'est un problème de sous-équipement et d'espace géographique. La mobilisation sur Facebook plafonne. Alors, on essaie de revenir à des initiatives plus classiques, on tracte dans la rue, c'est moins spectaculaire...»

Selon plusieurs sources de la coordination, un autre handicap pèse sur le mouvement: la surmédiatisation d'un parti d'opposition comme le RCD de Saïd Sadi, à l'initiative d'une marche le 22 janvier, que nombre de participants accusent de vouloir tirer la couverture à lui. C'est en partie ce qui a causé le retrait du Front des forces socialistes (FFS) de la coordination. «Les partis d'opposition, dont le RCD, ne représentent qu'eux-mêmes aujourd'hui, estime Amine Menadi. Ils n'ont pas soutenu les émeutiers des années 2000. Nous avons besoin de nouvelles têtes, de responsables qui nous représentent réellement, qui n'ont pas joué le jeu du pouvoir, et qui pourront porter ainsi nos revendications contre la corruption du régime, et pour qu'une justice sociale voie le jour dans ce pays.»

«Le RCD n'a jamais voulu être hégémonique dans la coordination, proteste Rafik Hassani, député RCD. éa, c'est le pouvoir qui tente de nous diviser, et de faire exploser une coordination qui lui fait peur. Ce dont il faut parler maintenant, c'est des prochaines étapes du mouvement.» Malgré ce paysage politique algérien contrasté, beaucoup de signes peuvent laisser croire qu'un processus révolutionnaire est en cours.

Outre les nouvelles actions promises par Amine Menadi, les luttes sociales n'ont jamais cessé sur le territoire algérien, et vont en s'amplifiant depuis le printemps 2008. Ce fut la grève des enseignants contractuels il y a deux ans. Ce sont aujourd'hui celles du secteur de la santé, et les actions des étudiants, qui passent la nuit devant leur ministère de tutelle, les sit-in devant la présidence de la République...

L'an passé, plus de 9.700 foyers d'émeutes ont été recensés dans tout le pays. Comme en Tunisie, où les mots d'ordre de grève générale par région avaient donné le coup de pouce suffisant au mouvement, c'est sans doute de là que les Algériens mesureront le mieux leur capacité à bousculer le régime.

http://www.mediapart.fr/journal/internatio...?page_article=2

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