Poésie

Merci :blush:

Jack Bauer

Vos poèmes sont magnifiques Je viens de m'inscrire

La douce caresse de votre âme guérira t-elle mon :blush: ?

Qui comme le vase où dort la verveine indifférente à mon malheur; N'y touchez pas il brisé.

Cool de la poésie, j'adore, je viens de faire celle là , je vous l'offre

Dans nos draps encore froissés

par nos deux corps enlacés,

paressant après une nuit sans sommeil,

notre chambre déjà noyée de soleil,

n'arrivant pas à échapper à ce supplice

de désirs et d'envies qui s'immiscent

en puissance

dans cette chambre baignée de silence

sans pudeur, on s'abandonne à notre plaisir

encore et encore sans finir

les sens exhacerbés et en éveil

par cette odeur qui sommeille

et on succombe tous les deux

à ce café croissants en amoureux

Vous pensiez à quoi d'autre, espèce d'obsédés ! :)

Bé........... longuets beurre et confitures Hé mal'intentionné !!! fuit' fuit' fuit'

Je m'essaye merci d'être indulgent(e)

Laisse aller tes doigts sur ma main

ivresse d'un instant satin .

Des perles opales glissent de tes yeux

et je les recueille au seuil de tes joues.

Ce nouveau feu m'invite vers d'autres dieux .

Je me pare de ton regard comme d'autant de bijoux.

Voyage avec moi mon tendre amour,

viens jusqu'au bout des jours.

Le long du fleuve de la vie

sur les rives de l'infini oubli.

Adieu

Quatorze heures sonnent à cette maudite horloge,

il le faut maintenant, c'est l'heure !

Je suis ton bourreau ce jour !

Hélie, pardonne moi !

Je te souléve, tu ne proteste pas.

Ni cris, ni larmes, tu as confiance en moi.

Je n'ose te regarder, j'ai la gorge nouée.

Je te porte à ton dernier destrier.

Je suis le vautour, ce jour !

Hélie, pardonne moi !

La route paraît longue, interminable,

une "planche de salut", tu parle !

Tu laisse ta truffe errer,

sur ce courant d'air qui s'engouffre par la vitre.

Moi, je n'ose te regarder.

La voiture s'arrête, on est bien arrivée !

Je soufle un bon coup et te prend contre moi.

Je suis l'assassin, ce jour !

Hélie, pardonne moi !

Voici mon complice, la piqûre à la main.

Je reste près de toi le temps que tu plonge.

Et j'explose comme un volcan.

Un flot de larmes et de paroles

éclate de ma gorge.

Je regrette de te tuer, mais c'est pour t'aider

drôle de façon, c'est vrai !

Je ne saurais jamais si j'ai eu raison ou tord,

mais je t'aime mon petit trésor.

De là haut, si tu me vois !

Je t'en prie, pardonne moi !

Bon vah désolé... je crois que je vais plomber l'atmosphère... et partir en courant

Maintenant je suis là

A écrire, en rime

Ce que tu ne liras pas

Ces souvenirs intimes

Qui presses, qui pleurent

Parfois a ces heures

Ou je me sens dans le noir

En plein jour pourtant...

Difficile d'y croire

Mais tu as pris les devant

Voila, tu es loin, très loin

Je le sais, mais je prend soin

A chaque mot à chaque lettre

D'hurler les maux de mon être

Pour atteindre, pourquoi pas

Le bout de paradis

Que de seconde en seconde

Un peu plus tu construis

Tu me manques, j'en ai peur

Ta voix, tes gestes, tes regards

Maintenant qu'il est trop tard

Je repense à ces heures

Ou j'aurais pu te dire

Ces mots qui rêve de sortir

Aujourd'hui les voila

Ces maux,

Mais tu ne les entends pas

Maintenant, je suis de trop

De trop dans cet ailleurs

Que chaque jour, tous

Nous coutisions un peu plus

Même s'il est notre peur

J'y vais aussi de ce pas

Un peu plus, un peu trop préssé

Peut être, je l'admets...

Je t'aimais... Granpa

Mad_

Depuis la nuit, la traque lancée

Contre lui l'a hélas épuisé

Mais toujours, il voulu continuer

Vers cet Horizon, de sang maculé

Maculé du sang des leurs ? des siens !

Impossible... et pourtant si seul sur ce chemin

A poursuivre sa route, le coeur aux aboies

Et ces chiens qui hurlent à l'orée du bois

A quoi bon avancer, ils iront jusqu'au bout

Malgré cette lueur insencée, ce parchemin d'espoir

De vivre ces lendemains qui rient et de boire

Le vin qui de son sang, gardera le gout

Alors la flamme de ses yeux rallumée

Par l'image de cet avenir inspéré

Il la senti proche, résgnée

Entendi ses pas, lourds, toujours plus près

Et il nous offrit son dernier courage

Son dernier élan, son dernier partage

Chantant ce doux cris de Liberté

Qu'aussitôt la faucheuse eût terminé

Que la mémoir de ces sacrifices reste en nous

Et buvons le vin, qui de son sang a gardé le gout

Mad_

J'arrête... vous allez finir par vous pendre :blush:

Mais tout de même... souvenez vous de temps en temps...

Je suis de la vielle école

J'ai 100 dans mon coeur

Ce monde qui s'immole

Aime-t-il encore les fleurs?

J'aime découvrire des choses

quitte à changé de costume

mais je me sens perdue

dans ces club mal foutu

devant ceux qui traite leurs amies

Comme leurs plans cul du samedi..

Je vomis.

car

Je suis de la vielle école

J'ai 100 Dans mon coeur

Mais pleines de révolte

Face à ce monde en pleure

Tu me dis que mes principes sont raillier

et mon ouverture bloquée

dans l'engrenage des sentiments des deux A(s)

important.

Donner est presque un crime

De A a Z on née seule..

Que dois-je faire dans ce film ?

Prendre Ma limes ou mon portefeuille?

et Errer comme un fantômes

pour trouver à 20 ans

Que toute mes hématomes

se conjugue au présent

Je suis de la vielle école

J'ai 100 dans mon coeur

Traiter moi donc de folle

Faites cesser mes peurs..

Pour Trouver mon chez moi

sans me sentir Alienois

sans hazart dans les bras

d'un homme a part...

Désole je sais que sa n'est pas trés poetique

mais sa fait deux ans que je n'arrivais plus a sortir quelque choses

alors sa fait quand même plaisir :blush:

C'est toujours très sympa de se promener sur ce topic... On y trouve toujours de belles choses...

Du coup, j'en profite pour en réclamer encore... N'hésitez pas, vous êtes toujours lu(e)s :blush:

Alors une pour la route ...

Moi aussi il m'arrive de grifoner ce qui me passe par la tête.

Je me surprend à fermer les yeux,

Pour oublier le mal qui me fait face,

Mais ces maux me dépassent,

Et je sombre avec eux.

Privé de mon regard,

Je me lamente dans le noir,

Cette obscurité si oppressante,

Ces ténèbres amies que je croyais apaisantes.

Mais de mon âme la noirceur,

N'est que terrain propice,

Aux souvenirs qui me salissent,

Et que je reconnais avec frayeur.

Ne voir que son passé,

Ne voir que ce que l'on ne peut pas oublier,

Ce que l'on aimerait voir scellé,

Et ne plus jamais avoir à supporter.

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Souvenir au triste velouté,

Persécute moi de ta beauté,

Car en mon fond je sais,

Que ces maux je les ai mérité.

Comme un souffle glacé,

S'échappent mes soupirs,

Dans ce rythme tant délaissé,

Emanant d'où je puis souffrir.

Déchéance de mes rêves,

Abandon de la réalité,

Danse avec moi sans trêves,

Jusqu'à ce que mon corps froid puisse s'aliter.

Se coucher d'un mal croissant,

Là où je les ai abandonné,

Dans ce monde tant espéré,

Qui n'était que le souhait d'un manant.

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Evasion

Un regard sans vie,

Voué à la solitude,

Telle une habitude,

A laquelle je me plie.

Morosité du quotidien,

Poursuite insensée,

Ressasse le passé,

D'un soupir sans fin.

Je reste enchaîné,

Soudé à mon âme,

Dans cette prison infâme,

Où je reste confiné.

Et pourtant je recèle,

Au fond de mon c¿ur,

Un espoir qui chancelle,

Un espoir qui se meurt...

ce dernier fut fait en compagnie d'une petite création visible ici

:blush: Bravo Jade! J'aime ces rimes qui semblent danser sur tes poèmes

Tu es telle une fleur que je voudrais cueillir

Je n'ose t'arracher à ce jardin tranquille

Par crainte d'effeuiller tes pétales fragiles

D'un brusque mouvement qui te ferait souffrir ...

Je respire l'odeur de ton corps chaleureux.

Tu m'embrasse et vois s'afficher un sourire radieux

Sur mon visage éclairé d'une exquise lumière

Celle que m'offre tes yeux bleu clair.

L'élixir de ta bouche où l'amour se propage

Et de part en part enveloppe mon visage

Rempli à jamais mon coeur de douceur

Et vers toi mes désirs partent sans peur.

J'aime voir ton être frémir avec ton âme

Quand dans le mien ton corps s'enflamme

Et boire ton souffle comme un cadeau de la vie

Ainsi nous sommes réunis en une parfaite harmonie.

Puis, quand la nuit voluptueuse pénètrera les cieux,

Que tu dormiras paisiblement à l'ombre de mes seins,

Je déposerai, éternel et muet, un baisé d'adieux

Sur les lèvres de ton sommeil divin.

Tu es ma gourmandise, ma faim insatiable,

Je te mange matin, midi et même le soir,

Je te savoure la nuit et le jour sans le vouloir,

Tu es ma gourmandise, mon parfum délectable.

Tu es ma gourmandise que je savoure du bout des lèvres,

Je t'effleure, je te dévore et je goûte ce fruit défendu,

Je ne peux m'arrêter, quand j'y goûte je suis prise de fièvre,

Mais que c'est bon cette sensation, cette chaleur inattendue !

Tu es ma gourmandise ou j'aime glisser mes doigts fins,

Tu es cette perfection, cette douceur aux jolies formes,

Ne laissant rien et saisissant chaque recoin,

Tu es mon dernier repas avant que je m'endorme.

Tu es ma gourmandise et je laisse monter mon émoi,

Je raffole de ces plaisirs, de toute cette gourmandise,

Tu es ce désir sans faim, il n'y a que ça qui m'électrise,

J'ai cette envie à chaque instant, j'ai cette suave faim de Toi.

:blush:

Le passé, un souvenir destiné

Le passé écrit un souvenir qui reste inchangé.

Présent est une plume sa trace est un futur appliqué.

Mais futur devient écrit quand il est passé.

Un souvenir écrit pas le présent tracé est la destinée.

Mouvement pur

Essai de le rattrapper,

passé présent purs

mouvements futurs,

le temps qui est libéré

frère de l'éternité.

Au clair d'une bougie,

alors que la nuit nous voile,

je m'approche de ta vie,

en allumant la toile.

d'un clic de souris

Mes doigts s'animent et gagnent,

Le post qui surgit

du topic de nos drames.

Je viens de lire ton cri,

je ressent ton tourment, just'encore un instant

cliquer sur la souris.

Je veux alors te dire,

que ton sentiment me charme,

et t'envoyer un post, pour calmer les tourments,

Aux ordres de mon ame,

mon clavier te délivre

mon affection comme une arme

et mon espoir de vivre..

D'un clic de souris,

dans la lueur électrique,

c'est la "generation amie"

du forum sympathique

Magnifique ce poême Venus j'aime beaucoup

Merci cynyhia, je suis en admiration devant le talent de tous.. c'est un vrai défoulement que de laisser aller ses pensées ... et je vois que tu t'y connais car ce que tu fs est superbe..!! bravo a toi .. merci.

Avance, petit enfant bien trop pensif.

Toi qui est si grand, toi qui est si naïf,

Tu en oublies la réalité, tu nies ta vie,

Tu payes la dette des autres, soumis.

Que t'apporte donc ce sacrifice inutile ?

Tes raisons n'existent pas, c'est futile

De croire que l'on tient vraiment à toi,

De t'imaginer un monde autre que froid.

Car tu fais l'erreur, tu tombes dedans, si niais,

Dans le piège de la bêtise humaine insensée.

Il est vrai que s'aveugler de la facilité

Reste un chemin assuré pour le bonheur.

Mais même si il t'y mène, qu'importe l'heure,

Tu pleureras d'avoir suivis ce pauvre leurre.

Hâtés par une bousculade sans préavis,

Les flocons jaillissaient des nuages sinistres,

Se déployant sous le regard des enfants ravis,

Avec la majesté d'un tapis à ministres.

Le héros, distrait, battait un pas mécanique,

Métronome d'un paysage symphonique,

Quand sa semelle dévoila le lit de verglas,

Conjurant de ses émois les célestes tracas.

Eclaircie dorée! Glissade dans la rue sombre!

Son buste désaxé dénonçait la gravité,

Forçant ronds de bras et arrachant l'équilibre,

Dans la grave puissance de la fatalité.

Frisson salvateur! Fortune providentielle!

Trop de perceptions flatteuses voilant le réel,

Qu'une verve opportune nourrit par passion,

Fourbes mensonges des humaines constructions.

Edit : Je précise que c'est un premier poème, et que je ne sais pas bien compter les mètres... je serais reconnaissant à celui qui pourra me confirmer qu'il y en a bien 13 à chaque vers... J'aimerais également connaître l'impression générale que vous fait le poème...

pout toi...qui se reconnaitra:

tu es appparue dans ma vie

un samedi après-midi

comme un soleil d'hiver

réchauffant mon univers

tu es comme une de ces étoiles

qui brille dans le ciel

juste audessus de moi

m'empêchant d''être hors-la loi

tu es ma fée,ma princessse

me refaisant découvrir la tendresse

celle qui qui fait remuer

toutes ces choses enfouies

comme un lourd secret

au fond d'un puit

grace a toi,je m'épanouie

grace a ta confiance

une deuxième naissance

s'ouvre a moi

dès que je suis dans tes bras

je sais qu'au fond de toi

ton coeur sait qui je suis

s'il t'a guidé vers moi

c'est pour réanimer

la flamme éteinte

au fond de mes yeux

pour ahniler toutes mes craintes

ou les partager a deux

ta passion et ta sensualité

ont su réveiller

le loup qui sommeilait en moi

guide moi encore

sur ce chemin de l'amour

ou nos corps

se font la cour

Magnifique ce poême Guns toute femme aimerait recevoir le même je suis sous le charme :blush: