Poésie

Je ne sais pas...

Tout dépend du sexe de la personne :smile2:

Voici un poème que j'ai écrit il y a une petite dizaine d'années. J'espère qu'il vous plaira.

Justine misan trope

La mort d'un amour donne la vie à un autre

Je le connais par coeur

Il dort toutes les nuits dans ma vieille antre

Et y révise ses leurres !

Oh oui, parlons en des vacances !

Ces gros plans

Ces crises de soupirs aux pires années

Ou ces clins d'oeils :)

Quelques vers de vains blancs pour

exciter le manque

et on se repasse le film sur le net

bleu de l'an amer

Que Dieu punisse le coeur mortel

L'écho des vils dessins

Les visées à perdre le sourire

Que les râles enveniment

La suite, délit de fuite...

:blush:

Vain dossiers grands vins

Adossés mains empochées

Au sortir d'une caverne

Va ptête yavoir l'ours faché

Car là peur reste un moteur

Je signe de ma fumée

:blush:

D'une rime faire une reine

et une

puissance en V ____ fuyt!

Il ne tient qu'à

ma personnalité propre

de retourner ce 6, et d'en faire

un élan 9 . comme si * était valise

facile

fallacieux

En chacun des coeurs, qu'On a miné

intow anne other day

music slow down and paint

dancing for see the stream

i should have listen to him

Je viens du mistral

De là où le courant s'agite dans tout les sens

Je viens de là où les rêves crèves

de là où l'azur se lève

de la où la nuit est la plus claire

Je suis viens de là où les oiseaux bouffent le temps, de là où les doigts pissent le sang

Je viens des voeux de chacun, de la mousse au pied des arbres, des produits chimiques et toxiques qui m'imprègnèrent

Je viens de là où le vent se lève,

En 2005

Il l'avait laissée sur les draps blancs

Abandonnée tel un ange dans l'obscurité

Son teint était livide, sa bouche murmurait

Une triste douleur sur son sein plein de sang

Son c¿ur déversait une plainte écarlate

La vidant lentement de toute sa chaleur

Une si courte vie, et voilà qu'elle meurt

Pour celles qui sommeillent, la mort n'a qu'une hâte.

Son serviteur transi avait perdu la tête

Pour cette fleur tout juste éclose

La rosée sur ses joues, le soleil ose

A peine caresser le pétale qui le guette.

Elle se laissait bercer par d'autres vents que lui

Et ne voulant plus jamais qu'elle partageât son c¿ur

Le regard fou de haine, et d'amour, et de peur

Il la tua, ainsi qu'on arrache une fleur.

Aussi banalement qu'on achète une fleur il passa

le temps constant unique et asymétrique..unimétrique ?

Aussi négligeament qu'on laisse pousser un hêtre

le temps passa ses spleens et idéaux sur nos traduites

:blush:

L'hiver pointa le bout de son nez

mais l'été restait au fond

les deux autres, là, je les laisserais faire figuration

printemps

automne

Et, brulé par mon amour du beau

Je n'aurais pas l'honneur sublime

De donner un nom a l'abime

Qui me servira de tombeau.

Baudelaire.

Ramené par le zéphyr infernal,

Je porte en moi la sombre spirale

Des nuits fraiches d'étés endiablés.

Atterré, apeuré, je m'approche

D'une chaumine mal éclairée

Par du bois sur de la roche.

"Permettez moi d'entrer gens

Familiers. Je suis le fils retrouvé

De votre noble et auguste lignée."

Alors que passe lentement le temps

Nulle âme ne vient pour entrouvrir

La porte qui fut mienne autrefois.

Alors qu'à l'intérieur s'accumulent les rires,

Je frappe à la porte une dernière fois,

De mes mains glacées je ne tire aucune force.

Aucun son ne ressort du contact glacé.

Sec et sourds j'entends le bruit d'une amorce,

La porte vient d'être scellée à tout jamais.

SotanahT

un broly caché dans les bottes

là c'est l'instant kaméhaméha

la trajectoire libre et bulles

mais l'hasard vient pour tous

là c'est juste que qui tornade

avé tes roses à la sève plombue

Kra d'aS

J'ai donné mes rêves à la nuit, Inuit des songes

J'ai perdu la fève qui me pousserait roi dla chalandise

En tournoyant autour de moi, de ma zone

J'ai perdu l'âme de faire de moi un don kitcheaze

J'ai pris mes jambes certifiées pro-ozone

Jack Bauer

Vos poèmes sont magnifiques Je viens de m'inscrire

Bienvenu alors :blush:

Au faite, tu commentes un poème qui se trouve à la première page, 62 pages se sont écoulées.

Jack Bauer

Vos poèmes sont magnifiques Je viens de m'inscrire

Merci c'est gentil, j'en ai fait un petit très récemment.

Pardonne-moi

Il y a longtemps tu as pansée mon c¿ur

Ce c¿ur remplit de tant de douleur

Toi mon étoile a qui je dois beaucoup

Tu es celle a qui je dois tout

Longtemps, nos chemins de vie se sont séparés

Pour au final mieux se retrouver

Un semblant de joie, en suit un déchirement

Je t'ai tout donné et toi tu as fait semblant

Tu m'as tant fait mal lorsque tu m'as trahi

Je t'ai tant fait mal lorsque je t'ai trahi

Le silence est certainement la pire des sentences

La douleur envahit mon âme par cette ignorance

Je t'ai perdu avant même que notre histoire prenne un sens

Tout serait si simple si mon c¿ur ne battait pas pour toi

Cette douleur est un vrai poison

Pardonne-moi pour cette trahison

tout simplement magnifique bravo

Bien sympathique :blush:

Comme tous les autres de ta part.