Poésie

Alors que j'étais seul, de tous abandonné,

Tu es venue me chercher.

Tu es entrée dans mon existence,

Et, en moi, tu m'as redonné confiance.

Alors que j'étais perdu, dans un monde inconnu,

Tu m'as montrée le chemin, et tu m'as secouru.

Tu m'as pris dans tes bras,

Et tu es restée près de moi.

Alors que j'étais souffrant, rongé par mes pensées,

Tu as su me consoler.

Tu m'as montrée la force que je possédais,

Et rappelé qui j'étais.

Alors que je n'avais rien fait pour toi,

Et que tu n'avais rien à y gagner,

Tu as pris soin de moi,

Et m'as aidée à avancer.

Je n'ai pas l'habitude de dire merci,

Et je ne suis pas doué pour ça.

J'espère que tu aimeras ce que je t'écris,

Et que tu n'en parleras pas.

Modifié le 7 avril 2008 par Kégéruniku 8

J'ai rencontré un ange,

Et en suis tombé amoureux.

é genoux dans la fange,

Je l'observe dans les cieux.

Je vois voler ma belle,

traversant les nuages,

En compagnie des hirondelles

Et d'autres bêtes à plumage.

Chaque jour j'observe mon ange

Et prie pour la retrouver.

Je lui adresse mille louanges

Mais n'ose pas vraiment espérer.

Néanmoins, elle posa son regard sur moi

Et m'attira vers elle.

Je me sentais comme un roi!

Je vivais un rêve réel.

Je suis en couple avec un ange,

Qui par ses ailes m'est semblable.

Mais notre différence me ronge et me dérange.

Contrairement à l'oiselle, j'ai la noirceur du diable!

Elle m'élevait dans les cieux,

Je voulais lui éviter la chute.

Elle me guidait vers Dieu,

J'appartenais à Belzébuth.

Il m'a donc fallu la quitter.

Sacrifiant mon c¿ur pour la protéger.

Mon c¿ur est las!

Il s'ennuie.

Et à tout va,

Il me fuit.

Mais où est il?

Mon c¿ur est mort!

é l'agonie.

Une fois encore,

Il m'oublie.

Mais que fait il?

Mon c¿ur s'éveille!

Reprend vie.

C'est un soleil,

Qui lui sourit.

L'aime t'il?

Mon c¿ur s'envole!

Vers le paradis.

Ce qui fut luciole,

Devient infinie.

Mais qui est il?

Il est là, au creux de tes mains.

Il suit les courbes de tes seins.

Il aime celle qui l'éblouit.

Il est cette flamme qui luit.

Modifié le 5 avril 2008 par Kégéruniku 8

Alors qu'elle venait d'éclore,

La rose a fanée!

Elle a trouvé la mort.

Elle était à peine née.

Alors que la pluie s'écoulait,

L'océan s'assécha!

D'eau, il ne restait pas même un filet.

On aurait dit le Sahara.

Alors qu'elle luisait dans les cieux,

La lune disparut!

Personne n'eut le temps de fermer les yeux

Qu'elle n'était déjà plus.

Alors que la passion s'exprimait,

Le monde entier s'arrêta!

Et l'instant d'après,

Le silence s'installa.

Alors qu'elle était dans mes bras,

Elle s'est écroulée!

Elle est passée de vie à trépas

En touchant la félicité.

Modifié le 7 avril 2008 par Kégéruniku 8

Merci!

Alors que j'étais seul, de tous abandonné,

Tu es venue me chercher.

Tu es entrée dans mon existence,

Et, en moi, tu m'as redonné confiance.

Alors que j'étais perdu, dans un monde inconnu,

Tu m'as montrée le chemin, et tu m'as secouru.

Tu es m'a pris dans tes bras,

Et tu es restée près de moi.

Alors que j'étais souffrant, rongé par mes pensées,

Tu as su me consoler.

Tu m'as montrée la force que je possédais,

Et rappelé qui j'étais.

Alors que je n'avais rien fait pour toi,

Et que tu n'avais rien à y gagner,

Tu as pris soin de moi,

Et m'as aidée à avancer.

Je n'ai pas l'habitude de dire merci,

Et je ne suis pas doué pour ça.

J'espère que tu aimeras ce que je t'écris,

Et que tu n'en parleras pas.

juste pour montrer qu'il ya une faute mais il est très beau

aussi dans le dernier c'est ''personne n'eut'' je pense

ouai bon je fais chier a faire remarquer les fautes

en plus c'est rare mais bon

beaux poemes quand même

merci!

je fais jamais attention à l'orthographe, alors c'est sympa de le faire pour moi!

à ton service

é mortel ennui

é divin ennemi

Qui souille, corrompt et détruit

Tous les rêves, espoirs et utopies.

Pourquoi t'attaques tu à moi

De toute ta force impie?

Je n'ai fait quoi que soit

Que ta malédiction justifie.

Jamais ma langue n'a daubée!

Jamais je ne t'ai critiqué!

Pourtant, tu m'as frappé.

Et tes coups ont portés.

Aujourd'hui, je suis à l'agonie

Touché par la folie et l'apathie.

"Ni fleur ni couronne"

Ni fleur ni couronne,

Puisque je ne suis personne,

J’entends que mon heure sonne,

Dans mon cœur le vide résonne.

Puisque je ne peux aimer à moitié,

Puisque je ne sais que tout donner,

Et puisque j’ai tort on dirait,

Je préfère vers l’obscurité m’en aller.

Mes mots sont devenus noirs,

Quelque part sur cette route,

On dirait que j’ai perdu l’espoir,

Et n’ai gardé que les doutes.

Ni fleur ni couronne s’il vous plait,

Ce n’est qu’une ombre qui disparaît,

Un dernier souffle encore muet,

Une image déjà effacée…

Modifié le 10 avril 2008 par madoka

Aujourd'hui est un jour spécial.

é mes habitudes je met un retourné facial.

Pour tout dire, je me lève même avant le soleil.

Je me lève tôt, et pourtant je n'ai pas sommeil.

é peine debout je file direct sous ma douche.

Mon colloque me voit passer et il trouve ça louche.

Il me fait signe, mais j'ai pas le temps et je ne lui répond pas.

Il m'envoie chier, mais de toutes façons je ne le calcule pas.

Le café est fait et même si je n'aime pas ça je décide de m'en verser,

Mais je vais trop vite et comme un con, je l'ai renversé.

Je ne nettoie pas, je n'ai pas le temps, mon colloque comprendra.

Sinon tant pis, de toutes façons,je ne m'en inquiète pas.

éa y est je sors, pas d'ascenseur!

Je regarde la montre: Oh putain dix heures!

Je prends l'escalier, à toutes vitesses, je me prend pour une fusée

Je cours, je saute, je vole et puis j'évite de m'écraser.

Je traverse les rues à toute allure

Sans même m'inquiéter de toutes ces voitures.

Il ne me reste pas deux minutes pour la retrouver

Un clochard m'accoste pour que je lui donne a manger

Mais j'ai pas le temps je dois y aller

Alors je continue ma course même si je dois le bousculer.

Je traverse la chaussé

Je suis bientôt arrivé

Mais j'aurai peut être dû regarder.

Voilà, je me suis fais renverser.

Mon crâne s'écrase et se fracasse

Sur la route s'étend ma carcasse

J'ai toujours été du genre à prendre tout mon temps

Et pour une fois que je cours, je me retrouve en sang.

Je m'accroche au peu de vie qu'il me reste

Le conducteur dis que c'est ma faute et il peste.

Personne ne l'a vu

Il est vraiment pressé

Il me laisse au milieu de la rue

Je prend mon temps pour agoniser.

un petit texte sans grande valeur.

Je l'avais écrit en deux minutes à une soirée slam juste pour pouvoir participer.

c'est euh....

sale chute :s

c'est le seul truc que je trouve potable pourtant.

ODYSSEE

Perdu dans les songes, au-delà des étoiles,

Je ne vois rien et n'entend rien.

Sur mes yeux longe un épais voile.

Et tous les sons ne me sont que lointain.

Malgré ces contraintes qui m'entourent et me nuisent,

Je ressens une chaleur qui m'appelle et m'attire.

Par ma faute, cette force s'amenuise.

Mais j'irai la rejoindre, dusse je vaincre le pire.

Je commence un voyage, peut être sans issues.

En luttant contre le temps, qui me barre le chemin.

Je vais vers un but qui peut être n'est plus.

Cependant ce périple ne sera pas vain.

J'y gagnerai au final et force et amour.

La force viendra suite aux dangers du voyage,

Le second récompensera le sacrifice de ces jours.

Ils m'accompagneront au travers des âges.

longent

je dis pas qu'elle est nulle mais

waow elel etonne

c'est l'épais voile qui longe les yeux!

donc cette fois ci j'ai pas fait de fautes!

j'aime tout ce qui surprend!

mais de toute façon le texte est nul!

en slam ça passait mais sinon c'est vraiment pas ça!

ah merde :s

ouaic a surpren,d

PAR CETTE BELLE JOURNEE

Si j'étais une abeille,

Et toi une fleur,

é peine le jour en éveil,

Je te butinerais des heures.

Je deviendrais nuage,

Et j'irais t'arroser.

Puis chassé par l'orage,

Je devrais te quitter.

Et celle qui venait d'éclore,

Rencontrera la mort.

Elle devra s'en aller

Par cette belle journée.

Je me changerais en pleurs.

Mais je serais heureux!

Car né dans ton c¿ur,

Je longerais tes yeux.

Puis on s'unira,

Et le monde finira.

On restera toute la vie.

Toi soleil, moi pluie.

De notre amour naîtra

La douce rosée.

Et la fleur reviendra.

Par cette belle journée.

J'ai pris la plume d'un ange

Et j'ai écris quelques mots.

Mais j'ai fait de la fange

Avec ce qui était beaux.

J'ai donc rendu sa plume

Au céleste animal.

Puis lourd comme une enclume

Je repris ma quête du graal.

Puis soudain, j'ai trouvé

La plume d'un oiseau.

Celle du prince des nuées

Comme disent certains mots.

Mais je ne fis pas mieux

de ce cadeau royal.

Mes écrits étaient boiteux

Comme mon esprit bancal.

Puis survint le corbeau

Qui me donna sa plume.

Il m'inspira les maux

Et fit partir la brume.

Je lui écrit un chant

é la couleur de mon âme.

J'échouai avec le blanc,

Car j'écris par le sang pour le drame.

beau a lire comme d'habitude!

rien a dire!

J'ai frappé à ta porte

J'ai frappé à ton c¿ur

Pour avoir un bon lit

Pour avoir un bon feu

Pourquoi me repousser?

Ouvre-moi mon frère !¿

Pourquoi me demander

Si je suis d'Afrique

Si je suis d'Amérique

Si je suis d'Asie

Si je suis d'Europe ?

Ouvre moi mon frère !.. .

Pourquoi me demander

La longueur de mon nez

L'épaisseur de ma bouche

La couleur de ma peau

Et le nom de mes dieux,

Ouvre-moi mon frère !¿

Ouvre-moi ta porte

Ouvre-moi ton c¿ur

Car je suis un homme

L'homme de tous les temps

L'homme de tous les cieux

L'homme qui te ressemble !¿

Je suis un prisonnier

Qui n'est jamais sorti de sa bulle.

Je suis né en captivité,

Et je mourrai dans ma cellule.

Je travaille en permanence

Pour atteindre le but qui m'est fixé.

Un but,qui, malgré mes efforts et mes dépenses,

Ne fait que s'éloigner.

Par chance, j'ai des compagnons

Avec qui je partage ma prison.

Mais ils sont plus libres que moi.

Eux peuvent faire ce dont je n'ai pas le droit.

Je voudrais m'enfuir,

Mais je n'ai pas mon mot à dire.

Ceux qui sont aux commandes

Refusent d'exaucer ma demande.

Ils se moquent de ce que je peux penser.

Je ne suis qu'une pièce de baby.

Je ne pourrai jamais marquer,

Parce que je suis le demi.

Je suis un prisonnier

Qui n'a qu'un but dans sa vie.

Mais je ne peux le réaliser.

On me l'a interdit.

é cause du destin, du sort

Je ne connaîtrais pas la délivrance.

Je ne peux même pas espérer la mort,

Je n'ai droit qu'à la souffrance.