Le problème du féminisme

le problème du féminisme c'est qu'il est apparu trop tard ; fut un temps où les bonshommes et les bonnes femmes vivaient en harmonie, le bonhomme allait à la chasse pour que la bonne femme puisse manger, se vêtir (pour provoquer l'érotisme), avoir un toit ; c'était l'ordre des choses et c'est à ce moment là que les bonnes femmes auraient dû avoir l'idée géniale de poser la première brique de ce qui allait devenir la ville moderne, avec ses rues et ses maisons confortables, mais pour cela fallait avoir des couilles, c'est à dire mettre en respect la faune hostile ainsi que les arbres de la forêt ; aujourd'hui dans notre société moderne plus personne n'a de couilles, ni les bonshommes ni les bonnes femmes, lesquelles essaient donc de faire les intéressantes avec une soi-disante égalité de la bonne femme qui n'a jamais existé ; alors moi, parce que je garde le souvenir de cette époque-là, la bonne femme soumise parce qu'elle savait que c'était là l'unique destinée programmée par ses gènes, eh bien je souris

Non non, si on considère une sorte d'opposition à la hiérarchie, dans le champ politique c'est la mouvance qui correspond.

Mais il n'y a pas d'opposition à la hiérarchie dans le féminisme ... pas à la hiérarchie en général. A la limite on pourrait dire que c'est une opposition à une hiérarchie dominée par les hommes uniquement parce que ce sont des hommes et sans possibilités égales pour les femmes. Mais ce n'est pas le seul type de hiérarchie qui existe ...

Ok, donc un féminisme pas anti-autoritaire milite pour une hiérarchie avec un mélange d'hommes et femmes. Mais à ce moment-là, cela ne règle pas du tout le sort des femmes en Afrique, étant donné que ladite hiérarchie, avec au sommet l'Elysée, organise des dictatures et la misère dans ces pays, ce qui est un frein pour le développement et par conséquence de l'éducation des hommes et des femmes, et donc un frein pour l'émancipation des femmes.

Vive l'Humanisme nom di djou ><! Surtout en voyant ça :

Ha non!! Le problème du machisme c'est que cela repose sur des préceptes érronés, donc de la bêtise.

C'est intéressant. Cela supposerait que les comportements humains sont basés sur une réflexion intellectuelle. Mais par définition, si on est bête, c'est qu'on ne réfléchit pas. Pas d'accord pour la bêtise donc, mais bien entendu si on formule par des concepts le machisme, on aboutit à des préceptes erronés, c'est bien possible, même si je vois pas trop le cheminement. La domination de la femme, ce n'est pas un précepte vrai ou faux.

Vive l'Humanisme nom di djou ><! Surtout en voyant ça :

sacrilège!

la bonne femme soumise parce qu'elle savait que c'était là l'unique destinée programmée par ses gènes, eh bien je souris  

Tu fais ton troll, là.

Un petit passage de Marguerite Yourcenar si je puis me fermettre (que toutes les "tartufettes" d'aujourd'hui prennent pour un exemple de feminisme -rires- ), je retape tout à la main donc un peu d'indulgence si y'a quelques fautes de frappes :

"En principe, je suis passionnement pour tout ce qui relève de la dignité humaine, donc celle de la femme.En principe, je crois qu'on ne peut trop lutter pour onbtenir cette égalité de fait qui, comme vous le montrez très bien à propos des salaires, n'est pas encore atteinte.Mais j'avoue que les femmes me découragent par leur perpetuel refus d'êtreau meilleur sens du mot LA FEMME.Je pense à la soumission niaise à la mode qui si souvent les enlaidit ou les ridiculise, à leur acceptation séculaire de modes cruelles ou extravagamment luxueuses, àleur respect, non pas pour la virilité, ce qui serait beau, mais pour les attributs postiches de celles-ci : l'uniforme, le fusil, sans oublier le rassurant portefeuille...

D'accord pour toutes les conquêtes pratiques et légales, droit du travail, égalité des salaires à MERITE EGAL, avortment (je n'aime pas beaucoup celà, mais peut-être que l'époque l'exige; encore voudrais-je qu'un rite soit prévu pour le mari et la femme qui ont, même sagement et pour eviter le pire, éliminé une vie.Celà ne changerait rien, certes, mais ferait reflechir au serieux de l'acte.).

Mais plusieurs choses me restent sur le coeur à propos du feminisme.D'abord, la haine de L'HOMME si visible chez les militantes.Pas plus bête, me direz-vous, que la mysoginie de l'homme.Non, certes, mais autant nous sommes tous de pauvres bougres.Je cite de mémoire ce qui suit (Jenny Vason, à propos des femmes de Napoléon) :"C'est effrayant à quel point un homme depend de sa femme, ET IL Y A SI PEU DE FEMMES".

La reciproque est aussi vraie, bien sûr.

Autre grief : la mode et son grossier commercialisme.Sa tyrannie et son mepris de la femme.Tant que les femmes l'accepteront (et pire encore, s'y soumettront), elles resteront des mineures.Il ne s'agit pas de leur demander d'être moins belles.Il s'agit d'en finir avec la vieille dame qui montre ses jambes, dont on rougit pour elle, parce que c'est la mode des jupes courtes, avec la PETITE dame aux seins erotiquement et artificiellement érigés sous son pull, et qui ressemble à tout sauf à des seins, avec la dame d'âge mûr frisotée, avec la jeune personne "sauvage" et très étudiée, dont les longs cheveux "trainent dans la soupe", avec la porteuse de talons aiguilles, avec la belle personne maquillée qui aurait l'air d'un guignol si elle n'avait l'air d'une femme à la mode.Mais il s'agit de reflechir un peu, il y a une beauté simple de la femme qui reste à decouvrir.

Grief plus grave encore : l'indefference TOTALE des femmes aux crimes dont sortent leurs parrures, leur indifference à la situation VRAIE des travailleurs dans les mines de diamant en Afrique du sud ou dans les usines de tissage aux Etats-Unis.

Les religions, avec un profond génie du sexe, ont fait d'Athena la personnification de l'intelligence, de Marie, un sublime symbole de la bonté,de Kuanon un esprit symbolisant la pitié.

Combien de femmes songent seulement à s'aligner sur ces modèles là ?

Autre grief encore : le goût de la guerre à travers le goût des guerriers.

En fait, jusque là, la femme a approuvé passivement, que dis-je, chauvinistiquement, la guerre.Je n'aime pas voir la femme émuler l'homme dans son adhesion à la civilisation du gâchis, de la concurrence, du commercialisme et de l'industrialisme exacérbé, malfaisants et futiles. Je n'aime pas les voir s'imaginer qu'alimenter un ordinateur est un tâche plus noble que récurer le plancher.Que les circonstances économiques l'y obligent, je le veux bien, encore qu'il y ait beaucoup de choses à dire là-dessus.La civilisation à laquelle j'aspire n'aurait pas de place pour le féminisme militant, non plus que pour l'aggressive masculinité.Et tout le reste ne me parait qu'ajouter à notre chaos, à nos desastres"

On est loin d'Isabelle Alonso la montreuse de gencives menaçant Gaccio d'une plainte pour harcelement si il ne plaçait pas "une femme drôle et intelligente" (elle voulait parler d'elle je suppose -rires-) avant de se rabattre sur Ruquier qui n'avait pas encore à l'époque les epaules assez larges pour refuser, ou de Clementine Autain, ou de Clementine Autain la post-ado inculte propulsée à la Mairie de Paris sur un principe de parité (les competents postulants doivent encore en grincer des dents), pour faire appliquer ce qui l'obnubile, l'égalité des tâches domestiques !! (qu'elle ne pratique pas elle-même celà va de soi)...

Amusant comme vous souhaitez dicter et aimer , ceux et celles qui dictent la maniere dont une femme doit se comporter pour être femme.

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Sur le texte de Yourcenar... fin c'est pas du Badinder ni du De Beauvoir...

J'ai adoré le passage de la Bonté de Marie... j'aspire également a ce que les hommes se souvienne de la bonté de jésus.

Je me suis permise de réécrire le texte...

"En principe, je suis passionnement pour tout ce qui relève de la dignité humaine, donc celle de l'homme.En principe, je crois qu'on ne peut trop lutter pour onbtenir cette égalité de fait qui, comme vous le montrez très bien à propos des salaires, n'est pas encore atteinte.Mais j'avoue que les hommes me découragent par leur perpetuel refus d'être au meilleur sens du mot L'HOMME.Je pense à la soumission niaise à la mode qui si souvent les enlaidit ou les ridiculise, à leur acceptation séculaire de modes cruelles ou extravagamment luxueuses, leur respect, non pas pour la virilité, ce qui serait beau, mais pour les attributs postiches de celles-ci : le costume, la grosse voiture, la femme de magazine qui reste dans sa cuisine, sans oublier le rassurant portefeuille plus gros que celui de leur femme...

D'accord pour toutes les conquêtes pratiques et légales, droit du travail, égalité des salaires à MERITE EGAL, congés parental, avortement(je n'aime pas beaucoup celà, mais peut-être que l'époque l'exige; encore voudrais-je qu'un rite soit prévu pour le mari et la femme qui ont, même sagement et pour eviter le pire, éliminé une vie.Celà ne changerait rien, certes, mais ferait reflechir au serieux de l'acte.).

Mais plusieurs choses me restent sur le coeur à propos de la phallocratie.D'abord, la haine de LA FEMME si visible chez les militants.Pas plus bête, me direz-vous, que la misandrie de la femme .Non, certes, mais autant nous sommes tous de pauvres bougres.Je cite de mémoire ce qui suit (Jenny Vason, à propos des femmes de Napoléon) :"C'est effrayant à quel point un homme depend de sa femme, ET IL Y A SI PEU DE FEMMES".

La reciproque est aussi vraie, bien sûr.

Autre grief : la mode et son grossier commercialisme.Sa tyrannie et son mepris de la l'homme.Tant que les hommes l'accepteront (et pire encore, s'y soumettront), ils resteront des mineurs.Il ne s'agit pas de leur demander d'être moins beau.Il s'agit d'en finir avec le vieux beau qui montre ses tatouages ou ses muscles, dont on rougit pour lui, parce que c'est la mode des t shirt moulant avec le petit cul mais tombant et la verge épilée et artificiellement érigé grace au viagra, et qui ressemble à tout sauf à un phallus, avec l'homme d'âge mûr coiffé a la brosse, avec le jeune rebelle "sauvage" et très étudié, dont les cheveux longuement coiffés au gel brillent de gras, avec le porteur de T shirt moulant soit disant virils, avec la belle personne portant la êtit chemisette de marque sur son petit jean de marque qui aurait l'air d'un guignol s'il n'avait l'air d'un homme à la mode. Mais il s'agit de reflechir un peu, il y a une beauté simple del'homme qui reste à decouvrir.

Grief plus grave encore : l'indefference TOTALE des hommes aux crimes dont sortent leurs parrures, leur indifference à la situation VRAIE des travailleurs dans les mines de diamant en Afrique du sud ou dans les usines de tissage aux Etats-Unis.

Les religions, avec un profond génie du sexe, ont fait d'Athena la personnification de l'intelligence et ce n'est pas pour rien, de Jesus un sublime symbole de la bonté, d' Eros ymbolise de l'amour

Combien d'hommes songent seulement à s'aligner sur ces modèles là ?

Autre grief encore : le goût de la guerre à travers le goût des guerriers.

En fait, jusque là, l'homme a approuvé activement, que dis-je, chauvinistiquement, la guerre.Je n'aime pas voir l'homme émuler l'homme dans son adhesion à la civilisation du gâchis, de la concurrence, du commercialisme et de l'industrialisme exacérbé, malfaisants et futiles. Je n'aime pas les voir s'imaginer qu'alimenter un ordinateur est un tâche plus noble que récurer le plancher.Que les circonstances économiques l'y obligent, je le veux bien, encore qu'il y ait beaucoup de choses à dire là-dessus.La civilisation à laquelle j'aspire n'aurait pas de place pour le machisme militant, non plus que pour l'aggressive virilité .Et tout le reste ne me parait qu'ajouter à notre chaos, à nos desastres"

Et voila...

Flinguer un texte de Yourcenar... m'enfin...

Badinter ? c'est celle qui s'insurgeait contre l'allaitement au profit du lait en poudre ?

Avec un tel feminisme, et comme je le disait plus haut (ce qui m'a vallu le très fictif mains non moins honorifique "léBleusd'or", que je revendique tous les jours) : "ou comment se tirer une balle dans le pied"

Les femmes qui apprécient de se soumettre à leur homme ne sont pas le problème vu qu'elles apprécient leur situation.

Ce contre quoi lequel luttent les féministes c'est le cas où la femme est contrainte à voir sa volonté considérée comme secondaire à coté de la volonté de son homme.

Dans une société marquée par la domination des hommes, les féministes sont les personnes qui luttent pour l'égalité homme/femme, et non pour la domination des femmes.

Le féminisme est un problème pour les phallocrates ; il est une solution pour les partisans de l'égalité.

je partage completement ces points de vues

Flinguer un texte de Yourcenar... m'enfin...

Badinter ? c'est celle qui s'insurgeait contre l'allaitement au profit du lait en poudre ?

Avec un tel feminisme, et comme je le disait plus haut (ce qui m'a vallu le très fictif mains non moins honorifique "léBleusd'or", que je revendique tous les jours) : "ou comment se tirer une balle dans le pied"

Peux-tu apporter la source de ce que tu dis là ?

Elle a fait un bouquin dans lequel elle nous raconte que l'allaitement, c'est la regression de la femme.

Les couches lavables y passent aussi... tout ce qui peut eloigner la femme de la consommation régulière de couches-culottes et de boîtes de lait en poudre, ce qui tombe dans le "beaucoup moins rentable".

Si c'est pas du feminisme, ça !!

Après tout, comme pour BHL avec Dombasle, on a la femme qu'on mérite...

Flinguer un texte de Yourcenar... m'enfin...

Ha tiens, quand le texte de yourcenar s'adresse aux hommesd ca ne te plait plus?

Badinter ? c'est celle qui s'insurgeait contre l'allaitement au profit du lait en poudre ?

Non pas du tout, c'est celle qui s'insurge contre les techniques culpabilisantes visant a allièner la femme a un role unique de mère. Lis la histoire de savoir ce qu'elle raconte.

Elle a fait un bouquin dans lequel elle nous raconte que l'allaitement, c'est la regression de la femme.

Faux.

Les couches lavables y passent aussi...tout ce qui peut eloigner la femme de la consommation régulière de couches-culottes et de boîtes de lait en poudre, ce qui tombe dans le "beaucoup moins rentable".

Si c'est pas du feminisme, ça !!

Après tout, comme pour BHL avec Dombasle, on a la femme qu'on mérite...

Lis la au lieu de faire comme si tu l'avais fait

Siiii ! ça m'a fait rire et de bon coeur !! et je suis sincère, j'avais pas vu la partie viagra + Jacky (j'y aurais ajouté une touche de Laguna ou Scenic + asticage de jantes mais bon..), j'ai trouvé ça drôle finalement, un tantinet revanchard mais j'ai vraiment ris de bon coeur.

J'ai pas envie de lire Badinter, si c'est pour apprendre que c'est presque de l'inceste d'allaiter son rejeton...

La nécéssité de faire chier celles qui pratiquent le "naturalisme" ...???...??

Et puis sur les differents commentaires, de tous bords et toutes parts, on voit ou elle veut en venir...

Elle a fait un bouquin dans lequel elle nous raconte que l'allaitement, c'est la regression de la femme.

Les couches lavables y passent aussi... tout ce qui peut eloigner la femme de la consommation régulière de couches-culottes et de boîtes de lait en poudre, ce qui tombe dans le "beaucoup moins rentable".

Si c'est pas du feminisme, ça !!

Après tout, comme pour BHL avec Dombasle, on a la femme qu'on mérite...

Elle a écrit un bouquin dans lequel elle dénonce la méthode qui consiste à culpabiliser la mère en ne laissant pas le choix. (comme l'a dit Elaïs) mais je te mets l'extrait de son discours à défaut de lire son livre....

Au c¿ur de cette révolution maternelle, il y a l'allaitement. En quoi cette pratique ancestrale peut-elle se révéler pernicieuse?

Je ne suis pas contre l'allaitement et pense même que le lait maternel est parfaitement adapté, mais pas pendant six mois et à la demande du bébé, comme le recommande l'OMS et d'autres experts ! Ce n'est plus une recommandation mais une obligation.

Chaque semaine, on trouve de nouvelles vertus au lait maternel et de nouvelles raisons de se méfier du biberon. «Vous devez donner le meilleur à votre bébé» entend-on partout. Quelle mère supporterait de ne pas donner le meilleur? La culpabilité est une arme.

En ce qui concerne les couches lavables, elle a parfaitement raison, est ce que l'homme se préocupe vraiment de façon "responsable" de la polution de la planette ? (voir le pétrole et la polution, la marré noir etc....) nous pourrions également culpabiliser celui-ci en le mettant face à ses responsabilités.

voici le discours d'Elisabeth Badinter concernant la polution des couches jetables...

Quand je vois notre ministre de l'écologie Nathalie Kosciusko-Morizet se battre pour établir une taxe sur les couches jetables, je me dis qu'elle ferait mieux d'encourager les biodégradables. Je n'aime pas cette écologie qui fait passer la protection de la nature avant la liberté des femmes, et qui les renvoie 50 ans en arrière.

source : http://www.lesquotidiennes.com/philosophie...-familles%C2%BB.

Non pas du tout, c'est celle qui s'insurge contre les techniques culpabilisantes visant a allièner la femme a un role unique de mère. Lis la histoire de savoir ce qu'elle raconte.

Globalement, elle considère plutôt l'allaitement comme une régression.

D'un certain point de vue, elle culpabilise les femmes qui allaitent, alors que ce n'est pas facile, et que beaucoup de mère ont parfois peur d'allaiter car c'est pas très bien vu.

Au c¿ur de cette révolution maternelle, il y a l'allaitement. En quoi cette pratique ancestrale peut-elle se révéler pernicieuse?

Je ne suis pas contre l'allaitement et pense même que le lait maternel est parfaitement adapté, mais pas pendant six mois et à la demande du bébé, comme le recommande l'OMS et d'autres experts ! Ce n'est plus une recommandation mais une obligation.

L'allaitement a des effets bénéfiques connus. je ne vois pas au nom de quoi on devrait montrer du doigt les femmes qui allaitent.

Elle n'est pas contre l'allaitement, mais pas pendant 6 mois et à la demande du bébé, ce qui est totalement différent.

Si elle culpabilise les femmes qui allaitent comme tu le prétends, je doute que beaucoup de mère ont peur d'allaiter et que celle ci considère l'allaitement comme une régression...une mère qui éprouve le besoin ou le désir d'allaiter son enfant, passe au dessus de se genre de préjugé....par contre l'inverse qui consiste à orienter son choix, est toujours dictée par la culpabilité.

D'un certain point de vue, elle culpabilise les femmes qui allaitent, alors que ce n'est pas facile, et que beaucoup de mère ont parfois peur d'allaiter car c'est pas très bien vu.

J'ai besoin d'une précision Grenouille.

"allaiter car c'est pas très bien vu"

Comment ça ? Je ne vois pas comment on peut avoir un regard négatif sur l'allaitement d'une mère à son enfant... Quelle considération fait que c'est pas très bien vu ? Vraiment je ne comprends pas.

ouais ça revient un peu à culpabiliser celles qui continueraient de porter des serviettes..... pourtant les marées rouges influent sur leurs émotions et leur comportement

purée c'est de l'anti-féminisme primaire là je sais m'enfin c'est vous qui avez commencé