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l'expansion de l'univers


patrice69

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Sodak Membre 1 434 messages
Baby Forumeur‚
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Fou Du latin follis (« ballon », « sac vide »). La comparaison ironique s'est alors faite entre une personne un peu sotte et un ballon gonflé d'air

C'est marrant parcequ'à notre époque les scientifiques nous poussent à comparer l'expansion de l'univers à un ballon qu'on gonfle alors qu'avant la finalité, de cette expansion représenté par un ballon qu'on gonfle, s'assimilait à quelqu'un de sot. Et à la fin on va comprendre que d'y avoir cru c'est qu'on était idiot. :blush:

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Membre, le corps sur Terre, l'esprit ailleurs , 54ans Posté(e)
pascalin Membre 15 340 messages
54ans‚ le corps sur Terre, l'esprit ailleurs ,
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En effet, l'univers visible grandit à la vitesse de la lumière.

Mais qu'est-ce que tu racontes ?

L'univers observable grandit de façon exponentiellement plus grande ,sinon nous ne pourrions voir ce qui n'est plus observable dans l'ultra violet.

Automatiquement , l'univers grandit plus vite que ce que peut assimiler la vitesse de la lumière ,et ce ,même dans l'observation ,car sinon nous aurions un repliement de l'espace-temps et non une expansion .

L'univers va plus vite que la lumière ,c'est pour ça qu'il y a un décalage entre les effets et l'observation.

Le calcul de la densité critique de l'univers nous révèle que l'univers dispose d'un espace-temps quasiment plat, d'où l'on peut supposer qu'il soit infini (espace-temps légèrement courbé, mais supposons qu'il soit totalement plat) : on aurait donc les galaxies qui s'écartent les unes des autres, admettons grossièrement que la distance double tous les 2Ga. Mathématiquement, deux fois l'infini, ça fait toujours l'infini ...

En plus d'être une supposition , les maths ne sont pas copines du tout avec les notions infini car elles ne sont pas applicables .

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Membre, Posté(e)
Sodak Membre 1 434 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Si les galaxies s'éloignent les unes des autres pour d'autres disent qu'elles peuvent s'attirer et s'entrechoquer et donner une nouvelle galaxie parceque ceux qui avancent cela disent aussi qu'il y a un trou noir au centre de chaques galaxies et que les trous noirs, en plus d'attirer toute la matière de sa galaxie lui donnant sa forme, s'attirent entre eux pour s'unifer ainsi que leurs galaxie respectives pour donner une nouvelle galaxie.

L'image de points dessinés à la surface d'un ballon qu'on gonfle illustre par les points s'éloignant les uns des autres, les galaxie s'éloignant les une des autres ou l'image du gateau avec des raisins qui représentent les galaxie aussi. Mais comment peuvent elles s'éloigner les une des autres et s'unifier entre elles ? L'image est faussée.

Ou sinon ce qui est marrant avec le fait de l'expansion de l'univers c'est qu'à force de croitre ça va péter, comme à trop souffler dans un ballon qui pète, et en éclatant cela fera un autre big bang et ainsi de suite à l'infini.

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Invité Gallium
Invités, Posté(e)
Invité Gallium
Invité Gallium Invités 0 message
Posté(e)
Mais qu'est-ce que tu racontes ?

L'univers observable grandit de façon exponentiellement plus grande ,sinon nous ne pourrions voir ce qui n'est plus observable dans l'ultra violet.

Automatiquement , l'univers grandit plus vite que ce que peut assimiler la vitesse de la lumière,et ce ,même dans l'observation ,car sinon nous aurions un repliement de l'espace-temps et non une expansion .

L'univers va plus vite que la lumière ,c'est pour ça qu'il y a un décalage entre les effets et l'observation.

Je ne parle pas de l'expansion de l'univers, mais de l'univers qui nous est visible, de ce qui parvient à nos yeux ... et en effet la lumière qui doit nous parvenir voyage à la vitesse ... de la lumière et l'univers qui nous est visible, donc observable, grandit à la vitesse de la lumière (champ de vision et non quantité de visible).

Pour être plus rigoureux, je te dirais : l'horizon cosmique s'éloigne de nous à la vitesse de la lumière. Chaque seconde, les parois de notre univers observable sont repoussées de 'C' km.

L'univers observable est un terme utilisé en cosmologie pour décrire la partie visible de notre Univers. Par définition même, la limite de cette partie visible est située à l'horizon cosmologique. Du fait que notre Univers a un âge fini, environ 14 milliards d'années, la lumière des objets célestes situés au-delà de l'horizon n'a pas eu le temps de parvenir jusqu'à nous et ces objets sont donc invisibles.

Il serait scientifiquement inconséquent d'ignorer la partie non observable de l'Univers au prétexte que nous ne pouvons pas la voir. C'est toute la force des modèles théoriques de pouvoir appréhender l'Univers dans son ensemble alors que nous ne pouvons en voir qu'une partie. D'ailleurs la lumière voyageant à la vitesse de 300 000 kilomètres par seconde, chaque seconde de temps qui s'écoule nous fait découvrir une profondeur d'espace nouvelle de 300 000 kilomètres. De la sorte, en une année, quelques galaxies nouvelles supplémentaires se découvrent à notre vue. On conçoit qu'il serait absurde de dénier la réalité de ces objets avant que nous puissions les voir alors qu'ils vont apparaitre d'un moment à l'autre. Appréhender la seule partie observable de l'Univers n'est pas appréhender la réalité de l'Univers dans son ensemble.

lien

C'est parfaitement ce que je dis ... et ce qu'il fallait comprendre.

En plus d'être une supposition , les maths ne sont pas copines du tout avec les notions infini car elles ne sont pas applicables.

As-tu seulement connaissance des méthodes mathématiques et de physique mathématique utilisées dans ce cadre ?

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Membre, le corps sur Terre, l'esprit ailleurs , 54ans Posté(e)
pascalin Membre 15 340 messages
54ans‚ le corps sur Terre, l'esprit ailleurs ,
Posté(e)
Je ne parle pas de l'expansion de l'univers, mais de l'univers qui nous est visible, de ce qui parvient à nos yeux ... et en effet la lumière qui doit nous parvenir voyage à la vitesse ... de la lumière et l'univers qui nous est visible, donc observable, grandit à la vitesse de la lumière (champ de vision et non quantité de visible).

Pour être plus rigoureux, je te dirais : l'horizon cosmique s'éloigne de nous à la vitesse de la lumière. Chaque seconde, les parois de notre univers observable sont repoussées de 'C' km.

L'univers observable est un terme utilisé en cosmologie pour décrire la partie visible de notre Univers. Par définition même, la limite de cette partie visible est située à l'horizon cosmologique. Du fait que notre Univers a un âge fini, environ 14 milliards d'années, la lumière des objets célestes situés au-delà de l'horizon n'a pas eu le temps de parvenir jusqu'à nous et ces objets sont donc invisibles.

Il serait scientifiquement inconséquent d'ignorer la partie non observable de l'Univers au prétexte que nous ne pouvons pas la voir. C'est toute la force des modèles théoriques de pouvoir appréhender l'Univers dans son ensemble alors que nous ne pouvons en voir qu'une partie. D'ailleurs la lumière voyageant à la vitesse de 300 000 kilomètres par seconde, chaque seconde de temps qui s'écoule nous fait découvrir une profondeur d'espace nouvelle de 300 000 kilomètres. De la sorte, en une année, quelques galaxies nouvelles supplémentaires se découvrent à notre vue. On conçoit qu'il serait absurde de dénier la réalité de ces objets avant que nous puissions les voir alors qu'ils vont apparaitre d'un moment à l'autre. Appréhender la seule partie observable de l'Univers n'est pas appréhender la réalité de l'Univers dans son ensemble.

lien

C'est parfaitement ce que je dis ... et ce qu'il fallait comprendre.

En ce sens oui .

As-tu seulement connaissance des méthodes mathématiques et de physique mathématique utilisées dans ce cadre ?

De quel cadre parles-tu ? moi j'en était à une définition de l'infini , le vrai^^ , pas l'extension du concept de

nombre entier réel infini ou nombre transfini ,qui est apparenté à l'infini mais qui ne l'est pas ,

comme l'a stipulé Cantor ,

deux sortes d'infini existent :

_ l'infini improprement dit ou fini variable

_ l'infini proprement dit ou infini parfaitement déterminé

le véritable infini ou absolu est hors du nombrable ,d'ou par extension l'impossible calcul/imprécision calculatoire (deux fois l'infini fait toujours l'infini ) est impropre selon la définition de l'infini que l'on adopte.

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Invité Gallium
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En effet, mais en ce qui concerne la densité critique qui suppose l'univers infini, c'est une histoire beaucoup plus complexe.

Mon "2 fois l'infini, ça fait toujours l'infini" n'est vrai qu'au niveau mathématique.

2∞ = ∞

L'infini n'étant pas un nombre ...

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Invité Le Génie
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Invité Le Génie
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Posté(e)
Il n'y a pas de "gonflement de l'univers". On parle d'horizon cosmologique en ce qui concerne l'élargissement de l'univers. En effet, l'univers visible grandit à la vitesse de la lumière. Le calcul de la densité critique de l'univers nous révèle que l'univers dispose d'un espace-temps quasiment plat, d'où l'on peut supposer qu'il soit infini (espace-temps légèrement courbé, mais supposons qu'il soit totalement plat) : on aurait donc les galaxies qui s'écartent les unes des autres, admettons grossièrement que la distance double tous les 2Ga. Mathématiquement, deux fois l'infini, ça fait toujours l'infini ...

Si les galaxies s'écartent les une des autres alors c'est que le volume d'espace existant entre chacune augmente cher Gallium... d'où provient cet espace qui n'était pas là auparavant... vous le dites ''courbé'' ou ''plat'', mais d'où vient ce quelquechose qui se courbe ou s'applatit...

Le paradoxe de la nuit noire pose de même que l'univèrs n'est pas infini... donc de ce fait il prend plus de place à mesure que le temps passe... cette distance qui doublerait, qu'est-ce qui la constitue dites-moi, de quoi est-elle faite?

Vous donnez des propriétés à l'espace mais agissez comme si il n'existait pas physiquement ou concrètement, comme si ce n'était qu'un cadre dont vous ajusteriez les bords selon le besoin... serait-ce un lapin que la physique sort de son chapeau quand bon lui semble?

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Invité Gallium
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Si les galaxies s'écartent les une des autres alors c'est que le volume d'espace existant entre chacune augmente cher Gallium... d'où provient cet espace qui n'était pas là auparavant... vous le dites ''courbé'' ou ''plat'', mais d'où vient ce quelquechose qui se courbe ou s'applatit...

Le paradoxe de la nuit noire pose de même que l'univèrs n'est pas infini... donc de ce fait il prend plus de place à mesure que le temps passe... cette distance qui doublerait, qu'est-ce qui la constitue dites-moi, de quoi est-elle faite?

Vous donnez des propriétés à l'espace mais agissez comme si il n'existait pas physiquement ou concrètement, comme si ce n'était qu'un cadre dont vous ajusteriez les bords selon le besoin... serait-ce un lapin que la physique sort de son chapeau quand bon lui semble?

Le fait que le volume d'espace augmente ne signifie pas qu'il ait un transfert d'espace. La théorie des big crunch à l'origine des big bang montre qu'il y a concentration d'espace, repliement sur soi-même, qui engendre une libération d'énergie, et donc comme un "dépliement" de l'espace.

La nuit noire pose le problème d'un univers qui n'a pas toujours existé, soit aucun rapport avec la notion d'infini.

Je rappelle qu'appréhender la seule partie observable de l'Univers n'est pas appréhender la réalité de l'Univers dans son ensemble.

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Invité Le Génie
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Invité Le Génie
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Donc l'espace prendrait lui-même plus ou moins d'espace :blush: ... il se replie et se déplie, se gonfle et se déglonfle comme par enchantement... comme pour ce lapin qu'on sort d'un chapeau!!!

Il n'y aurait pas plus d'espace unitaire entre des objets qui s'éloignent selon vous cher Gallium... le fait que le volume d'espace augmente plus ou moins vite entre 2 galaxies qui s'éloignent serait seulement dû au fait que l'espace présent prendrait plus d'espace en y mettant plus ou moins d'énergie... est-ce un argument de poids selon vous comme si les photons se transformaient en espace... comme si le temps prenait plus ou moins de temps pour laisser l'espace prendre plus ou moins d'espace... :coeur:

Si rien ne se perd ou ne se crée et que tout se transforme... qu'est-ce qui se transforme en espace selon vous?

Se pourrait-il que si la masse engendre une courbure alors le fait de le courber de l'extérieur donnerait de la masse selon le principe de relativité... autant dire que Dieu aurait mis la main à cette pâte pour lui donner un certain poids.

Le fait que l'horizon cosmologique recule avec le temps n'a rien à voir avec l'expansion de l'univers visible... avec le fait que la distance augmente entre les amas ''déjà visibles'' de matière à grande échelle... elle n'a qu'un rapport avec le fait que la lumière d'objets lointains ne nous parviennent qu'aujourd'hui étant donné la distance qui les séparent de nous... mais on remarque que ces objets s'éloignent tout de même eux aussi et sont donc en expansion également aussitôt qu'on peut les observer.

En fait il y aurait création permanente d'espace dans l'univers puisqu'il y en aurait toujours plus depuis l'origine, et que si il était plus petit au départ alors il était tout de même infini puisqu'il serait infini aujourd'hui et que comme vous le dites si bien on peut multiplier l'infini autant de fois qu'on le veut et ça reste l'infini quand même, une singularité infinie au départ qui serait d'une infinie singularité aujourd'hui...

Se pourrait-il que cette importation ou création d'espace représenterait la masse manquante que les physiciens du cosmos cherche dans le noir...

Si ça se plie et se déplie par lui-même alors est-ce que ça pèse quelquechose de l'espace puisque ce serait ce qui pèse quelquechose qui le ferait se plier et se déplier? Que si la masse engendre la courbure alors la courbure engendrerait de la masse en retour.

On en revient à dire que l'espace occupe de l'espace... ça frôle le n'importe quoi dans lequel il y aurait n'importe quoi... mais est-ce bien le n'importe quoi qui contiendrait n'importe quoi ou bien ne serait-ce pas plutôt n'importe quoi qui contiendrait le n'importe quoi...

Vous direz surement que c'est n'importe quoi... et vous aurez bien raison.

Plutôt que de concentrer l'espace sur lui-même... les physiciens devraient peut-être se concentrer un peu plus dessus.

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Invité Gallium
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Posté(e)

En mécanique classique ou en relativité restreinte, l'observation d'un décalage vers le rouge s'interprète en termes de déplacement dans l'espace et d'effet Doppler. En relativité générale, une telle interprétation n'est plus suffisante car il n'existe pas de notion d'espace absolu comme en mécanique classique, ou tout au moins présentant une certaine structure rigide comme en relativité restreinte. L'espace de la relativité générale est, dans un certain sens, « élastique », la distance entre les points étant par exemple fonction de la structure du champ gravitationnel dans leur voisinage. Il n'en demeure pas moins que la relativité générale stipule que localement l'espace s'identifie à celui de la relativité restreinte. Si elle était généralisée à grande échelle l'interprétation Doppler pourrait soulever un paradoxe, car elle signifierait que des objets suffisamment éloignés s'éloigneraient à des vitesses supérieures à celle de la lumière et, de ce fait, semble enfreindre les lois de la relativité restreinte. Il n'en est rien car si ces objets se déplacent bien avec une vitesse relative plus grande que celle de la lumière, cela ne permet pas d'échange d'information. Ainsi l'accroissement de la distance mutuelle entre galaxies dû à l'expansion de l'espace n'est pas en conflit avec la relativité restreinte.

On déduit de la métrique de Robertson-Walker que l'Univers est en expansion en se créant son propre espace-temps, l'Univers désignant ici l'espace-temps résultant du big-bang.

Mais la métrique de Robertson-Walker prend comme hypothèse que la masse contribuant au champ gravitationnel dans cet Univers est homogène et isotrope : ce qui n'est pas prouvé.

L'Univers <espace-temps résultant du big-bang> s'expanse peut-être dans un <Tout> plus vaste possédant les mêmes lois physiques, peuplé d'une infinité d' <espace-temps résultant de big-bang>, plus agés, disjoints ou englobant notre Univers (ce qui entrainerait un accroissement de sa masse au fur et à mesure de son expansion).

Ceci pourrait expliquer :

- la non-linéarité de l'expansion de l'univers

- les fluctuations du fond de rayonnement cosmologique.

- la baryogénèse (absence d'antibaryons).

Plutôt que de concentrer l'espace sur lui-même... les physiciens devraient peut-être se concentrer un peu plus dessus.

Ils l'ont fait bien avant votre venue au monde.

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Invité Le Génie
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Invité Le Génie
Invité Le Génie Invités 0 message
Posté(e)

''... On déduit de la métrique de Robertson-Walker que l'Univers est en expansion en se créant son propre espace-temps, l'Univers désignant ici l'espace-temps résultant du big-bang... ''

Vos mots se résume au fait que l'espace-temps (résultant du big-bang) se crée son propre espace-temps... donc que l'espace-temps se fabrique de l'espace-temps en lui-même et par lui-même.

Soi-même se fabriquant soi-même un soi-même en prenant de l'expansion... je comprend que soi-même aurait besoin de plus de place en soi avec tous ces soi-même à exprimer...

Si c'est sur cet espace que les physiciens se sont concentré alors je dirais du physicien qu'il devrait se concentrer un peu plus sur l'espace plutôt que sur soi-même... car on tourne en rond sur soi-même dans l'état actuel des choses...

Donc notre univers serait dans un autre univers avec d'autres univers... et il y aurait surement un univers aussi dans notre univers qui pourrait contenir lui-même l'univers contenant notre univers une fois parti... tant qu'à replier l'espace pourquoi ne pas en faire un univers d'univers.

Dites-moi est-ce que ça pèse quelquechose de l'espace en fin de compte? éa s'étire, ça se replie, ça se gonfle, ça se contient et ça se fabrique tout seul... On parlerait de Dieu qu'il n'y aurait pas de distinction tellement c'est omnipotent de l'espace...

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Membre, Au coeur de la Cité des Papes, Posté(e)
PUNCHETTE Membre 34 166 messages
Au coeur de la Cité des Papes,
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:blush: et FRIEDMANN-LEMAITRE??

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Invité Gallium Invités 0 message
Posté(e)
et FRIEDMANN-LEMAITRE??

Métrique de Friedmann-Lemaître-Robertson-Walker, if you want.

@Génie : Je t'offre une agréable lecture : http://www.lacosmo.com/Nature74.html

Ensuite, je te dirais que ta référence aux autres univers n'entre pas tellement dans le sujet que nous développons actuellement. L'expansion de l'univers, sauf si l'on en croit la cosmologie branaire (et dans ce cas, on peut en effet parler d'univers parallèles), n'a aucun rapport direct avec les univers parallèles.

Concernant ce que pèse ou non l'espace : je te rappelle que notre définition actuelle qui nous est donnée par la relativité générale de ce qu'est la gravitation se caractérise par une courbure scalaire. La masse provoque la courbure de l'espace-temps, d'où la gravité définie comme une courbure de l'espace-temps. Je crois que vous vous faites une mauvaise modélisation de ce que sont des dimensions.

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Invité Le Génie
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Invité Le Génie
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Un peu plutôt, cher Gallium, vous écriviez ceci...

''... L'Univers <espace-temps résultant du big-bang> s'expanse peut-être dans un <Tout> plus vaste possédant les mêmes lois physiques, peuplé d'une infinité d' <espace-temps résultant de big-bang>, plus agés, disjoints ou englobant notre Univers (ce qui entrainerait un accroissement de sa masse au fur et à mesure de son expansion)...''

Puis ensuite vous me dîtes ceci...

''... Ensuite, je te dirais que ta référence aux autres univers n'entre pas tellement dans le sujet que nous développons actuellement. L'expansion de l'univers, sauf si l'on en croit la cosmologie branaire (et dans ce cas, on peut en effet parler d'univers parallèles), n'a aucun rapport direct avec les univers parallèles...''

Je vous répondrais peut-être... peut-être. Peut-être que votre propre allusion entrait dans ce cadre... et peut-être que la mienne y entrait aussi... on ne sait pas tout ce qui peut se trouver dans un cadre infini vous savez.

Courbure scalaire... votre monde est mathématique cher Gallium... mais dans la réalité l'espace occupe sa place et si il se courbe c'est qu'il réagit concrètement en offrant une résistance à ce qui voudrait prendre sa place...

Il n'y a qu'une seule dimension dans ce monde et quand bien même vous le diviseriez en 6 ou 10 ou 26 dimensions ce ne seront que des vues mathématiques qui permettront aux physiciens de caser tout un univers dans une dimension puis de la replier selon leur bon vouloir... puis ensuite de le cacher dans un autre univers qu'il pourront également replier à la dimension qui fait leur affaire... un univers de poupées gigognes où des poupées gigognes sont les constituants des poupées gigognes...

Je ne modélise pas ce qui n'a pas de réalité vous savez... l'univers forme un tout et vous pouvez lui donner toute les dimensions que vous voudrez sur papier celà n'empêche pas que le papier aura encore 4 dimensions... c'est toute sa dimension en fait.

Connaissez-vous seulement une seule chose concrète qui n'aurait que 2 dimensions cher Gallium?

Peut-être que l'expansion a lieu pour faire place à ces autres univers qui se déplierait en sortant des calculs des physiciens en fait... ces univers de dimensions repliées qui contiendraient aussi des univers de dimensions repliées tant qu'à jouer avec l'infini... y a tellement de place à remplir, une infinité d'univers ne serait pas de trop vous savez...

Aimeriez-vous que je vous remplisse l'univers à l'infi avec seulement un point de volume spatial cher Gallium, je pourrais même lui ajouter des propriétés qui en ferait le seul constituant de l'univers à la limite et vous y trouveriez votre place tout comme moi... c'est relativement simple et facile quand on joue avec des dimensions... et pas besoin de calcul compliqués et de nombres imaginaires vous savez... seulement de la transcendance et des entiers naturels... Vous n'avez qu'à demander.

L'univers serait un espace qui aurait de l'espace selon vous... pour moi on est pas ce que l'on a... et on a pas ce que l'on est... c'est ce que j'appelle faire une distinction pour éviter la confusion. Sans doute suis-je dans ma bulle, mais c'est tout mon univers et il est en parrallèle avec le vôtre...

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Invité Gallium
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Invité Gallium
Invité Gallium Invités 0 message
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Je m'autorise également le hors-sujet. A noter la nuance que j'emploie avec le mot "directement" dans "n'est pas directement en rapport".

Posez des questions précises si vous voulez que j'y réponde, car je suis un peu perdu dans vos réactions qui sont à la fois des jeux de mots, de la philosophie, et autres.

Quand je lis : "Il n'y a qu'une seule dimension dans ce monde", je ne sais à quel degré prendre le post, alors que la réponse aux dimensions est pourtant si évidente. Temporel et spatial constituent déjà deux dimensions, d'après la définition que nous adoptons de la dimension. Et si la dimension dont vous parlez ne concorde pas avec la définition du mot, alors je me ferai un plaisir de la lire quand vous me l'aurez écrite.

Malheureusement, et j'ai le regret de le dire, il faut une ouverture d'esprit parfois un peu plus large pour comprendre certaines notions de la physique.

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Membre, le corps sur Terre, l'esprit ailleurs , 54ans Posté(e)
pascalin Membre 15 340 messages
54ans‚ le corps sur Terre, l'esprit ailleurs ,
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L'expansion de l'Univers aurait plusieurs hypothèses selon le modèle cosmologique dominant.

L'univers serait composé de 4.6% de matière ordinaire ,23% de matière noire et de 72% d'énergie noire

post-18852-1268263794_thumb.jpg

Selon ce modèle ,l'énergie noire serait la cause de cette expansion accélérée ;

de plus ,il y aurait trois visions de cette expansion cosmique :

post-18852-1268264714_thumb.jpg

Le contenu de l'univers a son importance dans cette expansion:

Mais tout cela fait appelle à des valeurs et des notions pour le moins invérifiables pour le moment (énergie noire ,masse de certaines particules);

Il y a une autre hypothèse intéressante pour tenter d'expliquer l'expansion de l'univers:

L'antimatière .

La force de cette théorie, c'est qu'elle n'a pas de zones d'ombres (énergie noire) qui sort tout droit du chapeau d'un magicien.

En effet , ce serait l'antigravitation de l'antimatière qui serait à l'origine de l'expansion de l'univers.

Cette approche est semble t'il plus viable car elle se base sur des choses qui existent .

Selon cette théorie (de Gabriel Chardin) ,elle est compatible avec trois aspects cosmologiques majeurs:

_ Elle explique la luminosité apparente des supernovae de type Ia.

_ Elle prédit les proportions dans lesquelles les élèments atomiques légers ont été créés lors de la nucléosynthèse primordiale.

_ Elle rend compte de certaines hétérogénéités observées dans le fond diffus cosmologique ,émis lorsque l'univers est devenu "transparent".

@Gallium , selon toi ,quel est la théorie qui semble la plus probable ? énergie noire ou antimatière ?

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Invité Le Génie
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Invité Le Génie
Invité Le Génie Invités 0 message
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''... Je m'autorise également le hors-sujet...''

Dans ce cas cher Gallium, ne reprochez pas aux autres de prendre eux aussi des libertés que vous êtes le premier à prendre...

''... Posez des questions précises si vous voulez que j'y réponde...''

Je vous en ai posé une très précise : Est-ce que ça pèse quelquechose de l'espace?

Et voici votre réponse...

''... Concernant ce que pèse ou non l'espace : je te rappelle que notre définition actuelle qui nous est donnée par la relativité générale de ce qu'est la gravitation se caractérise par une courbure scalaire. La masse provoque la courbure de l'espace-temps, d'où la gravité définie comme une courbure de l'espace-temps...''

Alors mon cher Gallium... j'attends toujours de savoir si ça pèse quelquechose... peut-être vous poserai-je une autre question lorsque vous donnerez une réponse claire à celle-ci...

''... Quand je lis : "Il n'y a qu'une seule dimension dans ce monde", je ne sais à quel degré prendre le post, alors que la réponse aux dimensions est pourtant si évidente. Temporel et spatial constituent déjà deux dimensions, d'après la définition que nous adoptons de la dimension...''

Espace-temps comme vous l'avez vous-même mentionné mon cher Gallium, c'est la seule dimension de ce monde... vous pouvez la séparer en 2 (temporel et spatial) et reséparer le spatial en 3 si vous voulez... ça en fera 4... puis évoquer des dimensions enroulées sur eux-même ensuite pour remonter à 10 ou 26... mais à la base c'est de l'espace-temps dont je parle... la dimension de l'entière réalité.

C'est là toute la dimension que j'accorde au concept de dimension... celle de l'unité.

''... Malheureusement, et j'ai le regret de le dire, il faut une ouverture d'esprit parfois un peu plus large pour comprendre certaines notions de la physique...''

Je préfère la profondeur pour ce qui serait de l'ouverture d'esprit... je vous laisse toute la largeur que vous voulez mon cher Gallium, profitez bien de cette largesse.

Une jolie analogie serait de comparer la profondeur au fait de comprendre et la largeur au fait d'apprendre... ou encore de donner du volume aux choses comparé au fait de simplement les laisser en plan.

J'attendais une réponse de votre part aujourd'hui mais je ne me doutais pas que votre réponse serait d'effacer de votre message le fait que vous donneriez une réponse aujourd'hui... surement ce que l'on pourrait appeller une anti-réponse...

Une autre façon de voir l'univers serait de dire qu'il n'a qu'une dimension soit le temps... et qu'il est celle d'espace.

Comme pour dire qu'on n'est pas ce que l'on a... et qu'on n'a pas ce que l'on est.

''On'' prend alors une dimension universelle évidemment...

Je me retire dorénavant de votre chemin cher Gallium... mon mélange de jeux de mots, de philosophie et d'extravagance n'ayant pas vraiment sa place dans ce haut-lieu de la science par définition...et je me doute bien que tout le plaisir fut pour moi... mais si jamais vous tenez à répondre alors faites comme l'univers, prenez tout votre temps.

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Invité Gallium
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Invité Gallium
Invité Gallium Invités 0 message
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Le Génie, tout d'abord je tiens à dire que la réponse que j'ai donné précédemment n'est pas à prendre au premier degré. Je ne vois aucun inconvénient dans le fait que nous débattions.

Ma réponse du le poids de l'espace-temps me semblait claire : puisque le poids est une déformation de l'espace-temps, il est logique que l'espace-temps n'ait lui-même de poids, sinon ça supposerait qu'il serait à l'origine de sa propre déformation (si celle-ci était visible lorsqu'aucune masse ne se trouvait à proximité, ce qui n'est jamais le cas).

Donc non. De plus nous ne parlons pas d'une quantité de matière, ni d'une masse, mais de dimensions. Avez-vous un moyen de "peser" le temps ? Non, même pas un dynamomètre ne peut mesurer une force liée dont le temps serait sensible, parce qu'il n'y a tout simplement rien à mesurer sur cette "dimension", sauf son écoulement, qui reste encore assez mystérieux. De même pour l'espace, sauf qu'on y mesure des distances, et rien d'autre.

L'espace-temps n'est pas une dimension. C'est plusieurs dimensions, que l'on regroupe en 4 : temps, 3 d'espace.

Et ce n'est pas un hasard si on prend ces 4 dimensions, il s'agit d'être conforme à la définition même de la notion de dimension.

NB : si je n'ai pas répondu hier, c'est que j'ai beaucoup de travail en ce moment. Et j'avais répondu sur le temps ...

Mais autant dire que je n'ai pas réellement de temps ...

@Gallium , selon toi ,quel est la théorie qui semble la plus probable ? énergie noire ou antimatière ?

Les deux ont leurs arguments. Personnellement je n'ai pas de préférence sur les probabilités.

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Membre, Posté(e)
Sodak Membre 1 434 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Est ce que l'expansion de l'univers peut faire de notre univers l'origine d'un big bang ?

Je ne sais pas ce que devient ce qui est absobé par les trous noirs pour moi tout disparait et je me demandais aussi si tous les trous noirs, par attraction les uns des autres, n'enforment plus qu'un seul est ce que tout disparaitrait ?

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Invité Gallium
Invités, Posté(e)
Invité Gallium
Invité Gallium Invités 0 message
Posté(e)

éa ne suffirait pas à tout faire disparaître.

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