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l'histoire légendaire du monstre de Frankenstein, célèbre paria, monstruosité, tout droit sortie de la folie scientifique, nous rappelant que la créature peut être plus humaine que son créateur. 

Caesura Texas – une minuscule bourgade clôturée, au fin fond du désert. Population ? 48 habitants. Des criminels, a priori. Ou des témoins. Comment savoir ? Tous ces gens ont changé d’identité, et leur mémoire a été effacée. Pour leur bien. Dans l’optique d’un nouveau départ.

En échange de l’amnistie, les résidents doivent accepter trois règles simples : aucun contact avec l’extérieur, aucun visiteur, et aucun retour possible en cas de départ. Une expérience unique, menée par un mystérieux institut. Pendant huit ans, tout ce petit monde est resté à peu près en place. Jusqu’à aujourd’hui. Errol Colfax, en effet, s’est suicidé… avec une arme qu’il n’aurait jamais dû posséder. Puis Hubert Humphrey Gable est assassiné. Calvin Cooper, le shérif local, est contraint de mener l’enquête. Ce faisant, il risque de déterrer des secrets que l’essentiel des habitants – y compris lui-même – auraient préféré voir rester enfouis. Trop tard pour faire marche arrière. Bientôt, un irrépressible déferlement de violence va s’abattre sur les rues poussiéreuses de Caesura…

100 pages lues pour l'instant et j'ai hâte d'y retourner, c'est prenant !!

il y a 16 minutes, January a dit :

Caesura Texas – une minuscule bourgade clôturée, au fin fond du désert. Population ? 48 habitants. Des criminels, a priori. Ou des témoins. Comment savoir ? Tous ces gens ont changé d’identité, et leur mémoire a été effacée. Pour leur bien. Dans l’optique d’un nouveau départ.

En échange de l’amnistie, les résidents doivent accepter trois règles simples : aucun contact avec l’extérieur, aucun visiteur, et aucun retour possible en cas de départ. Une expérience unique, menée par un mystérieux institut. Pendant huit ans, tout ce petit monde est resté à peu près en place. Jusqu’à aujourd’hui. Errol Colfax, en effet, s’est suicidé… avec une arme qu’il n’aurait jamais dû posséder. Puis Hubert Humphrey Gable est assassiné. Calvin Cooper, le shérif local, est contraint de mener l’enquête. Ce faisant, il risque de déterrer des secrets que l’essentiel des habitants – y compris lui-même – auraient préféré voir rester enfouis. Trop tard pour faire marche arrière. Bientôt, un irrépressible déferlement de violence va s’abattre sur les rues poussiéreuses de Caesura…

 

100 pages lues pour l'instant et j'ai hâte d'y retourner, c'est prenant !!

Ah oui ça donne envie!

J'attaque celui-là moi, grand classique non encore compulsé et tout à fait d'actualité :

eh oui ! Je lis en anglais ! (Croc-Blanc)

Du Karine Giebel quoi, mais elle a fait pire, là ça va, pas trop gore, il est bien. 

On sent bien l'excès du monsieur. Il dit vrai il dit faux ? Ma balance penche pour vrai. 

Je prends : 

Hello,

Je suis une grande fan de la saga Harry Potter, j’ai recommencé à lire chaque volet. Je ne compte plus le nombre de fois où j’ai lu ces romans. À chaque fois, j’ai l’impression de redécouvrir l’histoire sous un nouveau jour, d’en apprendre encore plus. En ce moment, je relis « Harry Potter et l'Ordre du phénix ».

Je relis BEL AMI.

Le 11/02/2019 à 17:11, Out of Paprika a dit :

Ah oui ça donne envie!

J'attaque celui-là moi, grand classique non encore compulsé et tout à fait d'actualité :

Je l’ai préféré en anglais . War is peace, freedom is slavery and ignorance is strength !

INGSOC

Le 16/02/2019 à 11:00, January a dit :

Du Karine Giebel quoi, mais elle a fait pire, là ça va, pas trop gore, il est bien. 

On sent bien l'excès du monsieur. Il dit vrai il dit faux ? Ma balance penche pour vrai. 

Je prends : 

 

Coucou mon ange , 

J'avais vu une interview du " dealer du tout - Paris " à la TV . Il avait une sacrée grande baboule et des anecdotes plein la bouche , il racontait un peu comment il fournissait un Certain Johnny H********....Moi aussi me suis demandé si c'était vrai ou s'il en rajoutait beaucoup . Un sacré personnage en tout cas .

Bisous 

Coucou mon coeur, 

Je l'avais entendu à la radio et c'est pour ça que j'ai acheté le bouquin. Je n'en attendais pas grand chose et bon, c'est pas le best seller de l'année évidemment. Mais il avait été malmené par des journalistes qui n'"instruisait qu'à charge" et j'ai acheté le livre pour me rendre compte par moi-même. 

Les journalistes ont été bien durs avec lui, oui il y a une exubérance et quelque exagération, des maladresses aussi, mais je crois qu'il dit la vérité. On lui a beaucoup reprocher de ne pas se repentir.

Il exagère un peu en effet mais doit moins mentir que Benalla 

sûr !

Ca se lit vite, c'est facile. L'histoire est pas ouf mais la fin m'a émue quand même.

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coucou j’étudie le développement personnel et après plusieurs lectures comme les accords tolteques et comment devenir riche de napoleon hill je suis sur celui la qui est terrible et bien écrit.

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le destin de trois femmes battantes, qui font face à leur misérable condition. 

il y a 5 minutes, Crève a dit :

le destin de trois femmes battantes, qui font face à leur misérable condition.

Ah, j'ai failli l'acheter celui-là. Tu me diras ce que ça donne ? 

Le 27/02/2019 à 19:04, January a dit :

Ah, j'ai failli l'acheter celui-là. Tu me diras ce que ça donne ? 

@January ; je pense que le livre peut plaire aux féministes. pour un premier roman, c'est réussi, et l'idée de la tresse, de la trame narrative, c'est d'entremêler une tranche de vie de trois femmes qui ne se connaissent pas, aux 4 coins du globe, une Intouchable en Inde, une femme à Palerme et une executive woman au Québec, mais qui se relient par leur combat ; un combat que je qualifierait contre le patriarcat ; en effet, Smita en Inde, tu n'es pas sans savoir que la situation des femmes dans ce pays est catastrophique : violée, soumise à leur mari, et même les bébés dont on ne veut pas, leur crime ? juste d'être née femme. le rythme du roman est entreprenant, on ne s'ennuie pas, et chaque fin de chapitre se conclue, se couronne d'une phrase lapidaire. le roman n'est pas long, et tu apprendras sur la fin, pourquoi le roman s'appelle "La Tresse", outre l'image de récits emmêlés faisant penser à une tresse. ce roman rappelle combien les femmes sont fortes, qu'elles se débattent dans un monde patriarcal, et qu'il y a encore beaucoup de progrès à faire. 

 " La mort selon Turner " De Tim Willocks 

Déçu