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Bonjour, Pour m'expliquer brièvement, je dois 130 euros à mon agence interim pour des frais de repas non réglé à la boite dans laquelle j'étais en mission jusqu'à fin décembre. N'étant pas en mesure de régler cette somme au moment voulu, j'ai rempli un formulaire pour débloquer mon CET (compte épargne temps) de telle sorte à avoir une rentrée d'argent plus conséquente qui m'aurait alors permit de rembourser ce que je devais. J'attend alors la date à laquelle ce CET était censé être viré sur mon compte, soit dans la semaine du 13 (la semaine des paye) du mois suivant la demande. Je ne perçois rien et décide donc d'appelé l'agence pour savoir ce qu'il en est. On finit par me faire du chantage en me disant que si je ne viens pas régler mon panier repas sur place et en espèce, ils ne me donneront pas mon CET. La responsable aurait payer de sa poche (louche) et insiste sur le fait que je dois venir régler le panier repas (en liquide) sous peine de "procédure", lesquelles ? je ne sais pas. Je tiens à savoir quoi faire dans ce cas de figure et si l'agence est en position de force ou non. Je trouve la méthode douteuse concernant le fait de me dire "Pas de remboursement, pas de CET", alors que la réclamation du CET est mon droit, faite à l'écrit et qui aurait permis à la régularisation de ma dette directement. Je précise également que le montant de mon CET se situe entre 500 et 700 euros et que c'est tout simplement de l'argent que j'ai cumulé avec les missions que j'ai faites, autrement dit c'est mon dû. Ils ont refusé de prélevé directement les 130eu de mon CET et insiste sur le fait de venir sur place régler ça en espèce. J'ai aussi proposé de me faire signer quelque chose qui attesterait que je m'engage à régler ce que je dois une fois le CET perçu, parce que j'ai compris qu'ils pensent que je ne règlerais jamais le panier repas.. D'après les prud'hommes, je gagnerai dès l'audience de conciliation mais je tiens à être sur de moi si je dois en arriver là. Merci d'avance pour vos éventuelles réponses. Bonne journée ! HUGO
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- compte épargne temps
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À notre époque : C'est quoi l'Amour ? C'est quoi la vie ? Pour moi personnellement, l'amour a deux faces : l'amour charnel ou matériel et l'amour de dieu ou spirituel. C'est deux choses différentes : l'amour charnel ne considère que ce qu'il voit, mais l'amour spirituel voit l'intérieur de la personne.
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D'après une étude inédite de la Banque Mondiale, c'est un secteur en pleine croissance. Jusqu'à 400 millions de personnes seraient concernées par ce type de travail d'un nouveau genre, souvent à temps partiel. Ces tâches en ligne représenteraient même désormais plus de 10 % du marché du travail mondial, bien plus qu'il y a quelques années. Le secteur est en pleine croissance dans les pays en développement, particulièrement depuis la pandémie. L'Afrique sub-saharienne est la région du monde où cette croissante est la plus forte : +130 % en 5 ans. et pour tout savoir...> SOURCE
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C'est incroyable. Vous aimez pas l'argent? Moi je veux avoir 15k /mois. Vous?
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Pour se lever. Rester réveiller. Être performant. Rester en vie. Gagner. Stimulant. Vous aimez le café?
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Bonjour, je dois trouver un plan pour répondre à cette problématique en philosophie. J'ai déjà fait une analyse préalable, mais j'aimerais d'abord prendre connaissance de vos éventuelles idées. Je pense par exemple, une partie sur : est-ce que le travail nous libère t-il de la nature que pour nous asservir à la technique ou bien : - Il ne nous asservit pas à la technique - Il nous asservit à autre chose - Le travail ne nous libère pas de la nature mais nous asservit quand même à la technique J'aimerais vraiment avoir d'autres points de vue, pour éviter de faire un hors sujet ou alors manquer des éléments importants. Merci beaucoup.
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Je comprends pourquoi j'ai pas d'amis: je travail. Je dis que Jasmine et l'AI travaillent pas fort ou voir pas du tout. Le retour au travail se fait sentir.
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Bonjour à toute la communauté, J'aurai besoin de votre aide… Je recherche des personnes en situation de reconversion professionnelle en ce moment et qui pourrait répondre à mon étude. Voici le lien : https://enquete.univ-reims.fr/limesurvey/index.php/196821?lang=fr Je suis en master de psychologie sociale à Reims et mes recherches portent sur la façon dont les personnes en situation de changement professionnel gèrent leur identité pro, càd. comment font-elles pour faire le deuil de leur ancienne identité pro avant formation/reconversion et comment réussissent-elles à intégrer la nouvelle identité liée à leur nouveau métier, nouvelles qualifications/compétences. Alors si vous êtes-vous même en situation de reconversion pro et que vous souhaitez m'aider, je vous invite à cliquer sur le lien (ci-dessus). En répondant au questionnaire (qui est anonyme et de quelques minutes seulement), vous participerez à faire avancer les sciences sociales sur la question, problématique qui devient de plus en plus saillante dans notre société actuelle où le marché du travail de spécialise sans cesse. En plus, vous me serez d'une aide précieuse puisque plus j'aurai de participants plus cette étude aura un impact et permettra à la psychologie de s'ouvrir pleinement sur la question (il existe à l'heure actuelle que peu d'études en la matière en psycho sociale - paradoxalement). PS : Si vous connaissez des personnes autour de vous dans cette situation et qui pourraient répondre à cette étude, je vous serai gré de leur partager le lien du questionnaire. MERCI à ∞
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- reconversionprofessionnel
- reconversion
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Les psychologues du cabinet Empreinte humaine étudient depuis trois ans le moral des salariés français au travail. Ils ont mesuré leur état de détresse psychologique, qui combine la dépression et l’épuisement et qui peut avoir des conséquences graves comme l’hypertension artérielle, la dépression et les troubles anxieux. La dernière édition de ce baromètre met en évidence une détresse psychologique en hausse de trois points par rapport à juin 2022, avec 44% des salariés atteints par cet état. Pour 14% d’entre eux, la détresse psychologique est même qualifiée d’élevée. https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/c-est-mon-boulot/bien-etre-au-travail-44-des-salaries-francais-sont-en-etat-de-detresse-psychologique_5673998.html
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A partir de 50 ans , tu es bon pour la casse pour le marché du travail .
Prendresoindesoi a posté un sujet dans Emploi
A partir de 50 ans , tu ne trouves pas de travail en France . Trop vieux pour les employeurs , ou trop expérimentés , trop chères , etc , ou trop ceci comme la pub de la vache qui rit en son temps , pour ceux qui se souviennent . C'est ceux qui en parlent le plus , qui ne vivent pas la situation . S'ils veulent nous faire travailler plus longtemps , ils vont faire comment ?- 60 réponses
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Les évêques ont trop de travail! j'en ri encore!
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La ville, le pays, tout ce qui à dedans. Tout ce que nous devons faire pour la maintenir. Tout ça dans la paix et l'axe. Être civilizer c'est prendre soins de sa ville et faire les travaux necéssaires pour y vivre. Avec une religion conforme et en respectant les règles local. Et en plus, c'est le respect des autres et dans les groupes.
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La chose la plus dur normalement. À long terme, ce n'est pas facile pour bien du monde. C'est ça qui nous mène vers la prospérité. Ce qui fait que notre ville est vivante. De plus, c'est très impopulaire. Beaucoup de monde n'aime pas ça du tout.
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Nous devons rassembler l'intelligence et nous organiser. Et ils et elles doivent obéir. Simple. Je garde ça simple.
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Le Travail est toujours aussi impopulaire. C'est incroyable de ne pas être intéressé à faire de l'argent. Je sais bien qui travail maitenant. 1-2.
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Je pense pas que les travaux vont être bien fait. Non plus que faire travailler Bart va faire avancer notre cause dans l'Univers. Qu'est-ce que vous en pensez? Raven
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Ce qui fait que les fin de semaine arrive plus vite. Donc moi, le cadre, je rétorque, la fin de semaine commence vendredi prochain.
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Télétravail, reprise dans les bureaux, chômage technique, garde d'enfants, l'organisation de la reprise est au cœur des préoccupations. Alors pour vous le déconfinement ça se passe comment ? Si vous retournez travailler, quelles dispositions sont prises pour votre protection ? Est ce que vous attendez ou au contraire vous redoutez ce déconfinement ? Pour les autres, quelles sont les choses que vous envisagez de faire, qu'est ce qui va changer depuis ces 2 derniers mois dans votre quotidien ? Je rappelle à toutes fins utiles que ce sujet n'est pas dans l'asile
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Bonjour, En déplacement à Rodez ce mardi 3 octobre pour défendre la réforme des retraites, le président de la République a expliqué ne pas "adorer" le terme de "pénibilité", "parce que ça donne le sentiment que le travail serait pénible". Qu'ils sont douillets, ces prolos… En pleine campagne présidentielle, l'ex-banquier d'affaires avait déjà fait le coup, devant les représentants de la Confédération des petites et moyennes entreprises : "Je n’aime pas le terme [de pénibilité] donc je le supprimerai. Car il induit que le travail est une douleur", avait-il déjà expliqué. N'en déplaise au président de la République, une étude de la Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares) de 2016 montrait bel et bien que 69,7 % des ouvriers étaient quotidiennement exposés à au moins un facteur de pénibilité. C'était également le cas pour 35,7 % des employés, 24,4 % des professions intermédiaires, et seulement 12,2 % des cadres. La même enquête montrait que 26 % des ouvriers subissaient au moins trois facteurs de pénibilité, contre 0,5 % des cadres. L'Insee relevait quant à lui, également en 2016, un écart moyen d'espérance de vie à 35 ans de 6,4 années entre un homme ouvrier et un homme cadre. Quant aux femmes, l'écart moyen d'espérance de vie entre une ouvrière et une cadre était de 3,2 années. "Ceux qui ne sont rien" en apprécieront d'autant plus cette nouvelle sortie… Article entier
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Rennes: Une centaine de salariés de Cora manifestent contre le travail dominical Le magasin de Pacé souhaite ouvrir le dimanche à partir du 21 octobre...
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Lost. I am lost. Why ? what a shitty question. All is turning around it. Why am i here ? Cette question tourne de plus en plus fréquemment dans ma tête. Elle me torture. Mon incapacité chronique à suivre ma formation lui donne une emprise très forte. Je n'arrive pas à faire ce qui doit être fait. Des moyens et des ressources formidables sont mis à ma disposition. Des gens comptent sur moi, des gens ont placé leur confiance en moi. J'ai du respect pour ces personnes, j'aime ces personnes. Ces personnes sont ma famille et mes amis. J'ai envie d'être digne de leur confiance et de les rendre fiers. J'ai envie qu'ils sachent que je suis une personne de confiance, une personne brillante et mature. Je me sens tellement loin de ce que je devrais être. J'agis uniquement selon mon bon vouloir, selon mes addictions. Le poker, Lol... Deux activités intensément chronophages et couteuse pour la première. De l'argent qui n'est pas mien et qui n'est pas destiné à ce genre d'utilisation. Et pourtant... Je reste sans rien faire à regarder le temps passer inlassablement. Les journées sont répétitives et vides de sens. La motivation n'est pas là et le projet inexistant. Le sentiment de perdition s'accroît fortement. Ma situation n'est pas mauvaise. Je suis entouré de personnes qui m'apprécient et j'obtiendrais mon diplôme en passant à travers les gouttes comme de coutume. Mais cela me rend-il heureux ? J'en doute très fortement. Soyons même honnête, je sais que cela n'est pas le cas. J'ai besoin de donner du sens à mes actions. J'ai besoin qu'elles soient le fruit d'un dessein plus grand. Quelque chose que j'ai décidé et qui a du sens, de la signification pour moi. Je ne peux pas continuer de la sorte. Il est temps de sortir de mon trou... Je ne peux plus être l'enfant prometteur qui utilise ses capacités pour passer à travers les mailles du filet en n'en faisant qu'à sa tête. Ce temps doit prendre fin. Il est temps d'entrer dans la danse. De prendre ses responsabilités. De ne plus vivre uniquement pour ses envies immédiates et à court terme. Il est temps de grandir et de voir plus loin. Il est temps de se construire, d'entrer dans le monde, le vrai monde. Ce monde si riche d'opportunités qui ne demandent qu'à être saisi par les plus audacieux et les plus travailleurs. Je ne veux pas d'une vie bien rangée. Je ne veux pas d'une vie dans le cadre. Je veux être maître de mes actions et avoir une grande marge de manoeuvre. Et je sais pertinemment qu'atteindre cet état nécessite du travail et un sens du travail. Deux notions qui m'ont déserté depuis bien trop longtemps maintenant. Je suis totalement conscient des enjeux et de ce qui doit être fait. Mais je contemple ma connaissance sans l'utiliser... Je la gaspille... Comme je gaspille mes capacités... Je dois trouver un moyen d'y mettre un terme. J'ai l'impression de manquer d'énergie pour le faire. Se lever le matin est difficile, j'ai souvent les yeux lourds, le cerveau pris et incapable de s'atteler à une tâche exigeante. J'ai le sentiment frustrant d'avoir toutes les ressources en moi pour manger le monde, le croquer à pleines dents, mais de ne pas pouvoir les extraire faute d'énergie et de volonté... Il me faut trouver le remède à ce mal. Les perspectives sont fabuleuses. Je pourrais tout avoir, tout. Si j'arrivais à forger toute cette matière première qui fourmille en moi... Le résultat serait incroyable à n'en point douter. Et tout mon entourage en bénéficierait, moi le premier. C'est sans aucun doute le chemin vers la sérénité, le chemin vers la solidité. J'ai vraiment envie que ce yo-yo émotionnel prenne fin. Je suis fatigué de tout le temps être sur le fil du rasoir. De tout le temps devoir me faufiler à droite à gauche pour trouver un moyen de sauver les meubles. J'ai envie d'une base solide sur laquelle construire. Je crois qu'il est temps pour moi de construire. J'ai était en retrait bien trop longtemps. Tu as peur de vieillir sans avoir accompli de grandes choses. Mais tu ne fais qu'aller dans le sens de ta peur. Tu ne t'engages qu'à moitié dans ce que tu entreprends. Ou même pas du tout. Tu vas droit vers ce que tu crains. Et il ne tient qu'à toi de mettre un terme à cette spirale malheureuse. Tu as tous les ingrédients. À toi de retrousser les manches et de te mettre au travail. Personne ne te le dira parce que la société est-ce qu'elle est... Hypocrite. Personne ne te mettre face à cette réalité donc à toi de le faire. Tu es une déception. Ton parcours est décevant, ta manière d'agir est décevante, immature et petite. Tout t'a était donné à la naissance. De très grandes capacités. Que tu n'utilises pas. Pardon que tu utilises pour assouvir tes caprices. Tu ne les exploites pas, tu ne les travailles pas, tu ne les fais pas grandir... Au contraire, tu les emprisonnes, tu les capitonnes à un second rôle... Tu les plafonnes alors qu'elles ne demandent qu'à s'agrandir et à exploser. Tu dois briser cette barrière. Bordel de merde, bouge-toi le cul mon gars ! Arrête d'agir comme je ne sais quel connard de fils à papa qui attend son virement tout les mois et qui voit son avenir bien tracé à reprendre le réseau de sa famille pour vivre une vie de cadre bien rangée. Tu ne veux pas de cette vie et pourtant, tu fais tout comme si tu aspirais uniquement à elle. La contradiction est tellement importante... En deux mots : tu es Faible et Lâche. J'ai peur. J'ai terriblement peur de l'échec. Je me cache derrière des excuses perpétuellement. Je n'accepte pas d'être moins bon, d'être en apprentissage et d'écouter les enseignements de personnes plus compétentes ou plus à l'aise que moi. Ce rejet est encore plus prononcé quand il s'agit de personnes de mon âge ou plus jeune. Je me sens forcé de cacher mes lacunes par de l'humour au second degré et de l'auto-dérision. Je me désavoue avant que les autres ne puissent le faire. De cette manière, je me protège de la vérité et je n'entends jamais les remarques des autres. Remarques qui me permettrait de me remettre en question. Mais les énonçant en premier lieu à haute voix, je n'en tiens pas compte. En effet, c'était de l'humour, rien de sérieux. Par ce procèdè, je me retrouve limité... Je ne peux pas grandir à travers la manière dont me perçoivent les autres, car je les empêche continuellement d'exprimer leurs avis sur moi. J'ai peur de cet avis... J'ai peur d'apparaître faible et sensible... Alors que ma sensibilité et ma compassion sont sans doute deux de mes plus beaux cadeaux... Je les protège tellement jalousement... J'ai peur de les exposer. J'ai peur que cela me coûte terriblement en énergie, énergie dont j'ai le sentiment d'être déjà en pénurie.
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"Je n'aime pas les Arabes", un reportage choc sur le racisme au travail Jeudi 08 octobre - 20:15 L'émission de France 2 "Complément d'enquête" diffuse ce jeudi soir des images édifiantes montrant un employé prénommé Mustafa se faire insulter et menacer par son patron, qui tient des propos ouvertement racistes. L'illustration d'un phénomène plus global, d'après une étude. Depuis les attentats de Charlie Hebdo, les discriminations au travail visant les musulmans s'aggravent. La vidéo diffusée par l'émission Complément d'enquête ce jeudi soir est éprouvante : violences verbales, psychologiques... Mustafa, 37 ans, se disait victime d'insultes et de menaces répétées de la part du patron d'une société de transports en Moselle. Mais il avait besoin d'une preuve. Il a donc filmé son supérieur avec son téléphone portable. [...] Un employeur coupable de discrimination risque jusqu'à trois ans de prison et 45.000 euros d'amende. Suite de l'article... Source: France info / France tv info
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À l'heure où un système carcéral couteux et inefficace fait du Garde des Sceaux le grand formateur des apprentis djihadistes, et où l'industrie nationale achève de se dépecer sous l'ombre d'une dette étatique sustentée, n'y aurait-il pas d'une pierre deux coups à faire en rétablissant le travail forcé des prisonniers dans les bagnes ? ¤ Les arguments utilitaristes, notamment économiques, peuvent convaincre mais ne sont pas les principaux atouts. L'utilitarisme est un concept issu de l'idéologie des Lumières auquel je n'adhère pas comme chrétien ; ce qui fait la qualité du bagne est pour moi et avant toute chose la rédemption par le labeur, ce labeur n'est pas une caricature (il n'y a plus de galère à faire ramer ni de cailloux à casser à la pioche), il peut se décliner sous de multiples formes adaptées aux circonstances et à l'époque. Celui qui argumente le mieux en faveur des vertus du bagne se nomme Dostoievski (« Je n'ai pas perdu mon temps : j'ai appris à bien connaître le peuple russe, comme peut-être peu le connaissent (...) J'étais coupable, j'en ai pleine conscience... J'ai été condamné légalement et en bonne justice... Ma longue expérience, pénible, douloureuse, m'a rendu ma lucidité... C'est ma croix, je l'ai méritée... Le bagne m'a beaucoup pris et beaucoup inculqué. »), l'écrivain russe l'ayant expérimenté pendant quatre ans. Les carnets de la maison morte sont un texte édifiant à ce sujet. À son entrée au bagne, l’infortuné se replie sur lui-même : du monde ignoble où il est précipité, il n’attend que désespoir et scandale. Mais peu à peu, il regarde dans son âme et dans les âmes qui l’entourent, avec la minutieuse patience d’un prisonnier. Il s’aperçoit que la fatigue physique est saine, que la souffrance morale est salutaire, qu’elle fait germer en lui d’humbles petites fleurs aux bons parfums, la semence de vertu qui ne levait pas au temps du bonheur. Pour un assassin qui possède une conscience rétrospective, le bagne représente une libération, une rédemption par le labeur très bien décrite dans Crime et Châtiment. Ce n'est pas en consumant leurs jours devant la télévision et la playstation, à suspendre le temps par le divertissement, que les prisonniers risquent d'apprendre quoi que ce soit du châtiment. La rédemption par le labeur est une chance pour celui qui a quelque chose à se faire pardonner, pas seulement à la société et aux victimes, mais aussi à lui-même. C'est difficile à concevoir pour beaucoup, dans une société du divertissement où la pire des sanctions semble être celle du travail et de la privation d'écran.
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Avant tout, j'aimerais préciser EXPRESSÉMENT que ma question est SÉRIEUSE. Je ne suis ni un "spam", ni un "troll". C'est pourquoi j'aimerais vous remercier de prendre ma question au SÉRIEUX et de vous PASSER DE TOUTE MOQUERIE INUTILE. Bien, on y va... Je suis conscient que ce travail a une mauvaise réputation. Ça reste quand même pour moi un métier de rêve. L'uniforme me plaît. La routine de la tâche me convient. De plus, on peut bouger. La liberté dont on peut profiter est aussi importante. On n'a presque jamais le chef sur le dos et on peut décider soi-même de son rythme de travail. Pour finir, on est au contact des gens, ce qui est aussi appréciable. Pouvez-vous comprendre ça ? Si vous êtes balayeurs/éboueurs, je me réjouis déjà de vos témoignages. Que des réponses SÉRIEUSES, s'il vous plaît! Merci beaucoup.
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Une question me taraude. Comment chacun de nous l étant au minimum un peu, gère l'hypocrisie de ses collègues au travail ? Postures conformistes, adhésion à la culture d'entreprise ou bons mots pour les collègues qu'on aime pas en réalité ?