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Le réchauffement des océans, lié aux activités humaines, provoque une nouvelle vague de blanchiment des coraux dans le monde. Si ce phénomène n'est pas inédit, les chercheurs observent que les épisodes de crises reviennent de plus en plus fréquemment. Les études précisent qu'un habitant sur 15 sur la planète vivent de la richesse de ces merveilleux récifs. En 2019 le GIEC estimait estimait qu’avec +1,5 °C sur Terre par rapport à l’ère pré-industrielle, on perdrait 70 à 90 % des récifs coralliens.Malheureusement, les scénarios actuels tendent plutôt vers un réchauffement à plus de 3,8 °C. Inutile de mettre à jour les calculs sur les coraux pour saisir l’ampleur du danger. Les politiques d'hier continuent de tuer lentement la planète. Il est temps d'agir, plus pour nous, mais pour les générations futures.
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- dérèglement climatique
- récifs de corail
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Marine Tondelier attaque certains médias ,dérive écolo vers la censure??
new caravage a posté un sujet dans France
Une interwiew de la nouvelle ( et sans doute provisoire ) cheffe des écolo(e)s qui sent bon la teentation totalitaire à la cubaine: Et c'est bourré de contres vérités ( de mensonges en françaais normal). -
bientôt un impôt transition écologique Où prendre cet argent ? L’économiste avance trois pistes, dont la création d’un nouvel impôt qui n’est pas sans rappeler l’ISF supprimé en 2017 par Emmanuel Macron. « Nous préconisons un impôt exceptionnel et temporaire, assis sur le patrimoine financier des 10 % de ménages les plus aisés, et calibré en fonction du coût anticipé de la transition pour les finances publiques », explique Jean Pisani-Ferry. « D’ici à 2050, ce prélèvement pourrait représenter de l’ordre de 5 milliards d’euros par an », ajoute-t-il. https://www.huffingtonpost.fr/environnement/article/un-impot-pour-financier-la-transition-ecologique-propose-cet-economiste-proche-de-macron_218145.html du coups on devrait avoir plus de monde dans les manifs .
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J'ai trouvé encore plus cintrés que la vegan de notre ami @Phylou . Manifestation à Paris pour défendre les rats Je suis contre l'eugénisme mais merde pourrait-on faire une exception et stériliser ces tarés? Comment peut-on humainement défendre pareilles saloperies en pleine grève des éboueurs alors qu'elles prolifèrent comme jamais. Ces gens sont des malades et je pèse mes mots.
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Chacun ses finalités ...
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Peu de monde en a entendu parler mais des négociations majeures pour le climat et la biodiversité s’ouvrent aujourd’hui au siège de l’OMC à Genève. Les enjeux sont immenses. Ce dimanche 12 juin à Genève, les négociateurs de 164 pays membres de l’Organisation mondiale du commerce se réunissent pour discuter, parmi d’autres sujets, d’un accord sur les subventions publiques accordées au secteur de la pêche. L’enjeu est IMMENSE car il s’agit de couper le robinet financier qui alimente de façon irrationnelle et contre-productive la destruction de l’océan et des pêcheurs artisans par les flottes de pêche industrielles. Un fléau qui n’épargne aucun État côtier dans le monde mais qui est particulièrement dévastateur pour les pays les moins développés. Les aides publiques ont été identifiées comme la principale cause de la tragédie des communs qui frappe l’océan mondial. BLOOM a participé, avec le professeur Rashid Sumaila et d’autres chercheurs, à la plus récente évaluation globale des aides publiques allouées au secteur de la pêche. Nos estimations, utilisées par les décideurs publics, montrent que : • 35,4 milliards de US$ d’’argent public ont été alloués au secteur de la pêche au niveau mondial (année de référence 2018) • Plus de 80% de ces aides ont été accordées au secteur de la pêche industrielle, et seulement 19% à la pêche artisanale. • L’immense majorité des aides (>18 milliards) sont des subventions néfastes qui encouragent la capacité de pêche, ce qui mène en droite ligne à la surexploitation et destruction de l’océan. Nos évaluations scientifiques révèlent que les pêcheurs industriels reçoivent en moyenne 3,5 fois plus de subventions que les pêcheurs artisanaux. A la disparition des pêcheries artisanales dans les pays qui en ont le plus besoin pour des raisons vitales de sécurité alimentaire et d’équité économique, s’ajoutent désormais la disparition accélérée des espèces marines et la dégradation inexorable du milieu marin qui agit comme un gigantesque puits de carbone indispensable à la régulation du climat de la Terre. Les ministres n’ont que d’excellentes raisons pour aboutir à un accord ambitieux, clair, efficace qui permettra d’interdire les subventions encourageant la pêche illégale, la surpêche et la surcapacité de pêche dans le monde, y compris les subventions directement nuisibles pour le climat : les aides au carburant qui représentent 7,2 milliards de dollars par an et profitent aux pêches les plus destructrices. Mais nous ne sommes pas naïfs. Nous connaissons les processus politiques. Les lobbies industriels « respirent dans le cou » des négociateurs comme des dragons qui influencent les décisions publiques à leur avantage, contre l’intérêt des citoyens, pour leurs profits individuels court-termistes. Les industriels de la pêche sont financés par l’argent public pour exploiter des animaux sauvages dans un milieu océanique qui forme le plus grand bien commun du monde. Les industriels DEPENDENT des subventions publiques : sans elles, la majorité des pêches industrielles seraient déficitaires et cesseraient leurs activités. C’est pour cette raison que les négociations durent depuis plus de 20 ans à l’OMC… En mai 2008, pleine d’espoir, j’y plaidais, avec l’ONG et Pascal Lamy, alors directeur général de l’OMC, en exposant les photos de la splendide diversité de la faune abyssale pour montrer concrètement le tort que faisaient les subventions publiques à l’océan en encourageant d’énormes chalutiers industriels à détruire des écosystèmes fragiles en allant pêcher et racler les fonds jusqu’à 2000 mètres de profondeur. En 2015, regain d’espoir : l’ONU adopte les objectifs de développement durable dont l’objectif 14.6 visant à « interdire, d’ici 2020, les subventions à la pêche qui contribuent à la surcapacité et à la surpêche ». En 2017, je plaide de nouveau en personne auprès des représentants des nations lors du « Forum Public » de l’OMC à Genève. Faits et chiffres sont accablants. Il n’existe pas une seule bonne raison de maintenir ces subventions destructrices. Fin 2017, on y croit. BLOOM se rend à Buenos Aires en Argentine pour la 11ème Conférence ministérielle de l’OMC en se disant que la date-butoir de l’objectif onusien de 2020 va mettre la pression aux États, qu’ils vont au moins interdire les aides encourageant la pêche illégale. Mais l’organe de régulation du commerce mondial entre dans une phase de paralysie qui va durer plusieurs années et les États ratent l’occasion de mettre en œuvre l’engagement de l’ONU. Ce dimanche 12 juin 2022, les ministres se remettent au travail lors de la 12ème conférence officielle de l’OMC. La volonté semble réelle d’atteindre un résultat concret sur les subventions à la pêche. Le texte de négociation est une base excellente (voir ici : https://docs.wto.org/dol2fe/Pages/SS/directdoc.aspx?filename=q:/WT/MIN21/W5.pdf&Open=True&utm_source=CUTS+Updates&utm_campaign=beaaccf87a-&utm_medium=email&utm_term=0_0b1c315a62-beaaccf87a-146506909 ) Mais qu’en restera-t-il à l’issue des 4 jours ? Source : post FB de Claire Nouvian
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Trouvé sur Ouest France, un petit carnet de bord pour savoir ce que nous pouvons faire au quotidien pour la santé de notre environnement. 1. S'alimenter différemment Acheter des produits locaux et de saison, éviter le gaspillage alimentaire... Ce sont quelques-uns des leviers que vous pouvez activer pour adopter une alimentation plus respectueuse de l'environnement. Le Fonds mondial pour la nature, le WWF, propose, aussi, d'adopter le régime flexitarien. Autrement dit : consommer moins de viande et de poisson, plus de légumineuses et de céréales, moins de produits transformés… 2. Revoir sa consommation énergétique Optimiser sa consommation énergétique, c'est une autre manière d'agir pour la planète. Parmi les petits gestes à adopter, toujours selon le WWF : débrancher les appareils en charge, comme le chargeur du téléphone, éteindre les ordinateurs, télévisions ou imprimantes - et pas seulement les laisser en veille, éteindre systématiquement la lumière en quittant une pièce, installer des ampoules LED… 3. Se déplacer autrement C'est un sujet particulièrement d'actualité, avec la levée des mesures de confinement en France et l'épidémie de Covid-19. Privilégier les modes de déplacements "alternatifs" à la voiture permet d'agir pour l'environnement au quotidien. Exemples : le vélo, les transports en commun… Dans le même esprit, mieux vaut favoriser le train à l'avion pour des déplacements plus longs. Et si ce n'est pas possible ? Le WWF propose plusieurs conseils pour adopter une conduite plus écologique : moins de freinages ou d'accélérations brusques, ne pas trop ouvrir les fenêtres et gonfler ses pneus pour ne pas consommer trop d'essence… 4. Limiter les déchets Privilégier les produits en vrac, ou dans de grands contenants, utiliser des sacs réutilisables, ne pas acheter d'eau en bouteille, éviter les produits jetables comme la vaisselle en plastique… Ce sont quelques-uns des petits gestes qui permettent de limiter sa production de déchets. Autres idées, recycler, et réutiliser certains produits. En achetant des produits de seconde main, par exemple. 5. Réduire son empreinte numérique Autre sujet dont on parle beaucoup : la pollution numérique. Celle qui est générée par nos ordinateurs, nos tablettes et autres smartphones… Frédéric Bordage, le fondateur de Greenint.fr, une plateforme spécialisée dans le "numérique responsable", nous avait livré plusieurs conseils sur la question. Il suggérait de conserver ses équipements plus longtemps, quitte à le faire réparer, d'éteindre sa box internet quand on ne s'en sert pas, de privilégier le WiFi au réseau mobile et… de regarder la télévision via la TNT plutôt qu'en streaming. 6. Limiter sa consommation d'eau Dans le même esprit que la consommation d'électricité, il est aussi possible de limiter sa consommation d'eau. L'Ademe, l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie, nous livrait plusieurs conseils sur ce sujet-là, l'an dernier. Parmi les gestes suggérés : installer des "mousseurs" sur les robinets pour en réduire le débit, attendre que le lave-vaisselle soit plein avant de le faire démarrer, repérer des fuites, récupérer de l'eau de pluie quand cela est possible... Partager !
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Pour mon premier test, j’ai décidé de m’attaquer à des domaines en vogue en ce moment : l’écologie et le fait maison. J’entendais beaucoup parler de la lessive faite maison. Je me suis donc dit pourquoi pas ? Allier mon côté économe à l’écologique, ça me semble être une bonne idée ! Première étape : trouver une recette. Ça n’a pas été difficile, il y en a des dizaines sur internet, et beaucoup de livres et magazines en proposent également. Deux sortent du lot : La lessive au savon de Marseille La lessive à la cendre Celle au savon de Marseille, ça me paraissait logique, celle à la cendre beaucoup moins… Je décide tout de même de tester les deux. 1ère recette : la lessive au savon de Marseille Les recettes dénichées se ressemblent toutes. Voici donc la liste des ingrédients : 100g de savon de Marseille (en bloc ou bien en copeaux) 2 cuillères à soupe de bicarbonate de soude 2L d’eau (1L avec le savon, puis 1L une heure après) Il ne me reste plus qu’à acheter du savon de Marseille et du bicarbonate de soude. Un petit tour au supermarché et hop me voilà prête, pleine d’enthousiasme, à me lancer dans la concoction de ma lessive. Ça a l’air rapide à faire. On coupe en copeaux un savon de Marseille, on fait porter à ébullition, on rajoute le bicarbonate de soude. On laisse reposer une heure, on rajoute de l’eau. On met le tout dans un grand bidon et c’est fini. Et bien, facile à faire ! C’est vraiment top la lessive faite maison ! Je décide d’attendre quelques jours avant de tester mon linge avec. Et là, ce fut le drame. Ma lessive a complétement durci à l’intérieur du bidon ! Un vrai caillou. J’ai beau délier en rajoutant de l’eau, rien à faire. J’ai dû me planter quelque part. Je me replonge donc dans mes recherches et trouve l’ERREUR du débutant. Il y a savon de Marseille ET savon de Marseille. Le vrai, l’authentique est plus rare à trouver et seules quelques marques en fabriquent encore. Avec ma chance, j’avais pris un faux savon de Marseille. D’ailleurs la plupart des supermarchés ne proposent que de faux savons. J’aurais dû me méfier, un savon de Marseille « enrichi en huile d’olive » c’était un peu louche ; le savon de Marseille étant à la base déjà composé d'huile d'olive. Pourtant, à voir l'emballage, ça paraissait vrai : Assurez-vous donc de vous procurer le véritable savon de Marseille, voici la liste des savonneries qui le fabriquent encore : La Savonnerie du Midi, le Sérail, le Fer à Cheval et Marius Fabre. Il ne se compose que de 4 ingrédients : Sodium olivate et/ou sodium cocoate Aqua Sodium chloride Sodium hydroxide S’il en contient plus, c’est un faux. Je retourne donc au supermarché acheter DU VRAI savon de Marseille et recommence ma recette. Je coupe 100g de savon de Marseille que j’ajoute à un litre d’eau. Je porte à ébullition et éteins le feu. L’odeur est peu agréable, ça sent le chaudron et pas trop le savon !! La couleur est un peu ragoûtante. J’ajoute mes deux cuillères à soupe de bicarbonate, ça mousse un peu ! Je laisse reposer une heure. Puis j’ajoute un litre d’eau. Je mets le tout dans un bidon et j’attends quelques jours. Mon mélange n’a pas durci ! Il suffit juste de le secouer pour que les éléments se mélangent bien ensemble. C’est le grand jour, nos vêtements et ceux de ma fille pleins de tâches de lait et nourriture n’attendent que ça ! Je sais qu’avec ma lessive industrielle habituelle ces tâches partent au premier lavage. Un gros bouchon (soit un verre à eau) dans la machine et c’est parti. Machine terminée, je sors mon linge. Bon, l’odeur n’est pas terrible. Forcément, je n’ai ajouté volontairement ni huile essentielle ni adoucissant. Ça sent juste le savon de Marseille, odeur que je n’apprécie pas vraiment. Mais bon, l’important n’est pas là, mon linge est-il propre ? Là est la mission de ma lessive. Et là je vous avoue que c’est la déception. Aucune de mes tâches ne sont parties. La lessive n’a fait que rafraîchir mon linge peu sale mais n’a pas vraiment lavé. J’ai retenté plusieurs fois l’expérience. La seule façon de faire partir les tâches est de mettre du détachant avant. La recette du détachant écolo existe (il suffit d’appliquer du bicarbonate de soude avec de l’eau tiède sur les tâches) mais bon, ça devient un peu galère de laver son linge. 2ème recette : la lessive à la cendre Recette totalement différente et plus étrange au premier abord. La cendre a le pouvoir de dégraisser. Il vous faudra ici un peu plus de matériel et de patience. Voici la liste de ce qu’il vous faut : De la cendre bien sûr. J’ai la chance d’avoir une cheminée donc ça me débarrasse. La cendre des bois durs, de chauffage est meilleure que celles des résineux. 1L d’eau Un tamis ou une passoire Un seau Un tissu qu’il faudra jeter ensuite Une bouteille pour stocker la lessive Première étape, une fois que vous avez récupéré votre cendre, il faut la tamiser. Je m’installe dans une pièce que je peux aérer : mon arrière cuisine. J’avais du temps devant moi, j’en profite donc pour tamiser ma cendre, il ne reste plus qu’une poudre grise toute lisse. Pour mon essai, je n’ai tamisé que 50g de cendre, si vous voulez en faire une quantité importante, sachez qu’il faut un certain temps pour la passer au tamis. Ma cendre déposée dans un seau, j’ajoute mon litre d’eau, cela crée un peu de poussière, d’où l’intérêt de le faire dans une pièce aérée (ou dehors si le temps le permet). Il faut maintenant attendre toute la nuit que le mélange macère. Le lendemain, rien n’a bougé. La cendre s’est déposée dans le fond du seau. Je suis censée obtenir un mélange visqueux, il n’en est rien. De l’eau un peu grisâtre stagne. Je décide de rajouter de la cendre tamisée, en me disant que les proportions ne doivent pas être bonnes. Et j’attends 24 heures de plus. Le surlendemain, j’obtiens toujours la même mixture : la cendre boueuse au fond et de l’eau grise au-dessus. Je décide tout de même de faire ma lessive avec ce mélange. Tant pis pour le mélange visqueux. Je prends donc un tissu que je plie en quatre, une passoire, et je filtre le tout. Je m’aide d’un bâton pour faire couler le mélange à travers ce filtre. J’obtiens un liquide un peu jaune, ça a l’air de ressembler aux lessives à la cendre que j’ai pu voir sur différents sites internet. Honnêtement, à ce stade, je n’ai aucune envie de tester mon linge avec cette préparation. On dirait de l’eau sale, tout simplement. Je mets donc à laver des tissus sans grande importance et quelques bavoirs que j’ai moi-même tâchés de chocolat, à 30°. Et voici le résultat : le linge est ressorti propre ! Sans odeur, sans mauvaise odeur plutôt. J’étais très sceptique et me voilà assez convaincue. 3ème étape : résumé des tests La lessive au savon de Marseille Points positifs : cette lessive ne revient pas chère du tout ! Elle est facile à faire, et c’est 100% écologique. Points négatifs : son efficacité est limitée. L’odeur n’est pas des plus agréables même si cela reste personnel. Fabriquez également votre détachant, vous en aurez besoin, elle sert, pour moi, à rafraîchir le linge peu sale. Il paraîtrait qu’elle encrasse les machines à force... La lessive à la cendre Points positifs : elle ne coûte rien du tout si vous pouvez récupérer de la cendre. Son efficacité est prouvée sur des tâches qui partiraient avec une lessive habituelle. Pas d’odeur désagréable. Points négatifs : un peu plus compliquée et plus longue à fabriquer. Vous l’aurez compris, à choisir, je pencherais plutôt pour la lessive à la cendre, en rajoutant quelques écorces d’orange ou citron pour aromatiser le mélange. Le bicarbonate de soude est aussi un excellent détachant pour les tâches coriaces avant de laver son linge. Bien sûr, ce n’est que mon expérience. Peut–être avez-vous eu des résultats différents des miens. Mais, laver son linge en préservant la planète, c’est possible ! N’hésitez pas également à me faire part de vos idées pour un prochain « J’ai testé » !
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Je viens de l'entendre dans la matinale de France Inter... Il a enfin compris avec qui il bossait. Un éclair de lucidité qu'on n'espérait plus.
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