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Titsta

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Messages posté(e)s par Titsta

  1. il y a une heure, Lowy a dit :

    Pourquoi se livrer à la pression sociale? la facilité ?, n'est -il pas plus facile d'être soi même?

    Plus facile d'être soi même, peut être (quoi que, la force de l'habitude et du conditionnement, ça ne se défait pas avec seulement de la bonne volonté). En revanche, les conséquences sont, elles, souvent très difficiles.

    Nous sommes capables (normalement) de prévoir l'avenir, et avec un peu d'expérience les comportements de notre entourage. Toute la difficulté, c'est de faire le compromis entre notre besoin vital d'être nous mêmes, et celui d'être accepté par les autres (sans quoi, on meurt... ou on est tué)

    ( Et si tu veux vraiment ajouter à la complexité d'être un humain... tu peux ajouter dans l'histoire le besoin vital de se sentir utile... qui n'est vraiment compatible avec aucun des deux précédents... mais c'est un autre débat. )

     

    il y a une heure, Lowy a dit :

    Paraitre suspicieux, parceque non conforme au moule?, le moulage n'est ce pas dénigrer l'essence de notre humanité: notre particularité.

    C'est une chose que je regrette, mais c'est une constatation qu'il est assez facile de faire. Le regretter est une chose, le dénier une autre. Le constatant et ne voulant le dénier, je suis bien forcé de m'adapter à cette situation. Or si se cacher attire la suspicions et si sortir du moules attire l'agressivité et le rejet... Bien exprimer ce que je suis exige un compromis, celui d'arrive a mesurer la dose de ce que je peux montrer de moi, qui sera quand même acceptable pour les autres.

    Et pour ma part, je pense qu'être humain, c'est précisément être confronter à ce problème, et notre particularité c'est la manière dont chacun de nous cherche à le résoudre. (plus ou moins bien)

    il y a une heure, Lowy a dit :

    S'accommoder au regard de l'autre, en devenant ce qu'il veut y voir: pourquoi? quel intérêt?; le pot aux roses finissant par se découvrir forcément.

    Il y a une piste : se rendre compte que tout le monde essaye de s'accommoder au regard des autres en "tordant" sa Vérité profonde. Et finalement, même si ça fait peur, échouer est facilement excusé... car tout le monde est dans ce cas.

    ça n'est pas tant d'échouer à s’accommoder au regard des autres qui est rejeté, c'est ne pas essayer. (l'important, ça n'est pas de réussir, mais d'essayer) Pire, si on se croit quelque part supérieur en n'essayant pas, et en envoyant ainsi aux autres l'image qu'ils seraient inférieur malgré les efforts et les sacrifices qu'ils font pourtant pour s'accomoder, eux, au regard de leur entourage. Dénier les efforts et sacrifices que font les gens, ça n'aide pas à s'en faire apprécier.

     

     

  2. Le 11/02/2024 à 21:29, DroitDeRéponse a dit :

    Quelle solution alternative serait à discuter ?

    Mmmm réfléchir aux intérêts qu'on a pour une Mayotte Française, et réfléchir à ce qu'on est près à payer pour ça.
    - ça permet le contrôle des eaux territoriales dans un passage étroit par lequel passe une énorme route commerciale internationale.

    - ça permet d'intervenir sur la protection écologique d'un milieu richissime sur ce plan et très fragile.

    - On serait américain je me dirait que ça permet de foutre le boxon dans la géopolitique du coin et d'y imposer notre armée pour rétablir l'ordre ?

    Maintenant, est-ce qu'on est près à faire tomber nos principes républicains d'égalité des droits, (et de droit du sol au passage) ?

    Est-ce qu'on est près à "aider l’Afrique" ou du moins les nouveaux pays frontalier pour qu'ils instaure des hôpitaux gratuits chez eux. (coûteux, mais pour le coup, vlà la gloire )

    Est-ce qu'on est près à assumer de poser des mitraillettes sur tout le pourtour de l'ile et donner à manger de l'humain à toutes les espèces en voie de disparition du coin pour voir ce que ça fait d'inverser un peu la donne pour une fois ?

    On peut aussi dire qu'on a fait une connerie. Et virer Mayotte du territoire.

  3. Le 11/02/2024 à 23:56, Lionel59 a dit :

    "Le Conseil constitutionnel avait alors estimé que les lois « peuvent faire l’objet d’adaptations tenant aux caractéristiques et contraintes particulières »."

    Le Conseil constitutionnel dit beaucoup de connerie.
    Après, pour une institution totalement anti-démocratique et totalement illégitime, ça ne m'étonne pas qu'ils disent grosso modo qu'il n'y a aucune loi valable, on peut toujours s'arranger comme on veux si on a des "caractéristiques particulières" :D 

    Ouééé je ne savais pas le conseil constitutionel aussi anarchiste ^^ (et je pense qu'ils sont trop séniles, imbue d'eux même et détériorées mentalement par la propagande pour être capable de se rendre compte à quel point c'est anarchiste leur remarque :D )

    Mais encore une fois, ça ne m'étonne pas d'une institution qui peut sur ses seuls décisions arbitraire annuler toute loi sans aucune justification, sans contrôle, sans aucun contre pouvoir, juste s'ils en ont envie. Vive l'institution de merde.

     

     

  4.   

    Le 11/02/2024 à 12:43, LAKLAS a dit :

    Pourquoi la fin du droit du sol que pour Mayotte ??  La doctrine des jacobins depuis la révolution c'est la France une et indivisible, tout le monde logé à la même enseigne...pas de différence ni de particularisme entre les régions qui la composent, donc si on suit cette logique ,il est impossible de mettre fin au droit du sol à Mayotte sans l'étendre à toute la république mais comme ces enfoirés font ce qu'ils veulent comme et quand ça les arrange......  :censored:

    Pour plaire aux électeurs d'extrême droite ? Qui aiment tant le sang qu'ils aimeraient lui donner le monopole du droit ?

     

    Le 11/02/2024 à 13:15, querida13 a dit :

    Tous les pays de l'hémisphère Nord pratiquent le contrôle des naissances; il Serait temps que l'Afrique, l'Inde , l'Indonésie, le Pakistan bon nombre de pays musulmans emboitent le pas ...Les pays occidentaux ne sont pas le déversoir des pays intempérants.

    Hooo non non.  Nous, nous sommes leurs pilleurs et les fouteurs de bordel dans ces régions. Et maintenant qu'on les a bien pillé, on va les stériliser. :) Parce que nous on est les gentils quand même.

    C'est quand même con, on peut même pas profiter des inégalités pénard. Alors qu'on a fait tant d'effort pour les construire.

    Il ne faudrait surtout pas qu'on se mette un peu trop à regarder la difficile solution étique qui s'expose : aider ces pays à améliorer leurs conditions de vie, histoire de leur rendre un peu ce qu'on leur a pris.

  5.   

    Le 11/02/2024 à 15:30, Crabe_fantome a dit :

    À l'époque où je bossais dans le cinéma et où il fallait se faire la main avec des courts métrages, j'avais été "introduit" par la comédienne principale, elle même compagne du producteur. Au dernier moment le preneur de son nous fait défaut. Le producteur fait appel à la commission du film (régional) qui possède une base de données de comédiens et techniciens locaux. On embauche un gars mais au lieu de prendre le son, il nous a pris la tête entre chaque prise pour nous parler de jésus. 

    Le producteur s'est juré de ne plus jamais prendre quelqu'un autrement que par favoritisme (par connaissance). 

    Moi même je ne risquerais pas mon job en employant un inconnu. 

    J'aime beaucoup cette anecdote. Je pense qu'il y a plusieurs sorte de favoritisme : celui dont tu parles qui est surtout une sélection par la connaissances mutuelle et non par un "diplôme officiel", dans ce cas, le débat c'est plutôt sur les avantages et inconvénients de chacune de ces méthodes. Et là, j'ai un avis plutôt favorable au favoritisme.

    En revanche, la question se pose différemment si, face à des personnes que nous connaissons, qui n'ont pas les mêmes compétences, on sélectionne le moins compétent parce que c'est un fils, ou un neveu (ou quelqu'un qui a accepté de faire une pipe au sélectionneur)... Là il ne s'agit plus de la meilleurs méthode de sélection, mais plutôt de la corruption d'un système de sélection : il ne s'agit plus de faire le meilleur choix (avec les risques d'erreurs que chaque méthode peut comporter), mais pour celui qui a le pouvoir de sélection, de profiter de son pouvoir dans son intérêt personnel et non plus dans l'intérêt du projet lui même.

     

    Nous vivons dans une société qui semble avoir de plus en plus en horreur l'arbitraire, c'est à dire utiliser le jugement et l'intelligence humaine pour décider. Et ce, uniquement par peur de cette corruption possible de l'humain. Du coup, on va souvent préférer des systèmes de sélections inhumains. (Concours, IA ... ) qui sont pourtant tout autant faillible ou susceptible de corruption (par celui qui fait passer le concours, par celui qui conçoit les tests, par celui qui va développer l'IA et lui poser ses contraintes).
    On ne fait que repousser le problème alors qu'en réalité, et ce quelle que soit la méthode, la question a se poser c'est pas "arbitraire" ou non, c'est que vu que nous intégrons forcément des décisions et de l'intelligence humaine, comment on contrôle le (ou les) type qui décide et emploit son intelligence et son jugement dans l'histoire.

    J'aime bien la méthode grecque antique : décision démocratique et débatue en publique, et lorsqu'on doit choisir un "décideur" humain, on fait confiance à priori et on contrôle son comportement à posteriori. (C'est à dire le contraire de ce qu'on fait actuellement, où on contrôle fortement à priori, et on ne contrôle plus rien après que le sélectionneur ai été mis en place.)
     

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  6. Et les crottes de chats ? ^^

    Et les crottes de pigeons ? On fait payer les mamies qui les nourrissent ?

    Dans mon village, il y a un type qui circule en voiture après avoir étalé ses propres étrons sur la toiture de sa voiture. À chaque virage... pouf, il lâche un paquet. Mais pour lui, pas d'analyse ADN. ;)

     

    Pour ma part, tout ces politiques qui font de la répression mais surtout sans jamais se préoccuper de l'éducation... ça sent surtout la grosse combine économique. La guerre aux armements, toussa toussa.. qui profite en fait surtout aux gros industriels qui fournissent la technologie. Vous pariez combien que ceux qui proposent ça ont comme par hasards justement des potes actionnaires des entreprises de hautes technologies qui vont rafler le marché ?? ;)

    Plutôt que "qui va payer", demandons nous plutôt "qui va empocher le pactole ?" 

  7. Difficile de répondre dans l'absolu, sans le contexte.

    Qu'est-ce que vous appelez tromper déjà ? Coucher ailleurs ou mentir ? Celui qui couche ailleurs et qui ne le cache pas ? il trompe ?

    De toute façon, ça dépend complètement des relations et de sur quoi elle repose. Les gens ont des notions différentes de la fidélité. Pour certain, la fidélité c'est uniquement une histoire de cul. Coucher ailleurs ou pas coucher ailleurs et ça s'arrête là, les sentiments ou le contexte n'entrent même pas en ligne de compte... Pour d'autres, c'est une histoire d'attention, de soutiens dans la vie ou dans les difficultés, d'affection réciproque, de compatibilité de vie construite sur des années (ou décennie) d'apprentissage l'un de l'autre. À choisir, on fait reposer notre couple sur le cul, ou sur l'attention et le soutient réciproque ? Chacun ses choix.

    Pour ma part, si ma conjointe ne couche avec personne d'autre que moi, mais qu'elle ne me soutiens pas quand je vais mal, si elle ne prend pas soin de moi, si elle se fiche complètement de ce que je ressens... bah elle est tout sauf fidèle. Avez vous réellement réfléchi au sens profond de ce mot ?

    Quelque part, quelqu'un qui brise des décennies de couple, de relation construite ensemble, juste pour une histoire de coucherie... C'est pas quelqu'un de fidèle à la base, même s'il couche pas ailleurs voir même s'il s'en vante. (la paille, la poutre... tout ça tout ça)

    Quelqu'un de fidèle, c'est quelqu'un sur qui on peut compter. Qui sera là pour nous épauler ou nous soutenir. Quelqu'un qui nous comprend et pour qui on importe. Quelqu'un capable de donner énormément de lui pour nous.
    Et ça ne s'obtiens pas sans respect mutuel. Et le respect, c'est laisser l'autre être lui même, pas lui imposer de faire ou ne pas faire ce qu'il a envie.

  8. J'allais donner une réponse philosophique, du style : 

    Nous sommes nos masques, nos facettes, notre interface avec les autres. Notre intérieur n'est qu'émotions brutes et sans forme et sans grande originalité, ce qui fait notre vraie personnalité, notre forme et la subtilité de notre personnalité, ce n'est pas nos émotions, mais comment nous arrivons à les manifester, à les faire connaître, à réagir vis à vis de notre environnement. De quel manière notre comportement sera "adapté" ou non, si nous tenons compte de telle ou telle règle sociale, si on décide de s'en foutre, ou si on l'ignore. Par exemple, je suis en colère... est ce que je vais coller mon poing dans la gueule de celui en face (même si c'est pas lui qui nous a énervé), fuir, faire une plaisanterie. Somme nous ce qu'on ressent... ou les choix de la façon dont on va correspondre aux normes sociales ou attendues autours de nous ?

     

    Mais nous sommes dans "société", pas dans "philo" ... Du coup, je dirais plutôt que je ne pense pas que nous soyons dans une société de l'apparence, mais bien plus dans une société du voyeurisme. Et qui plus est du voyeurisme facile, fainéant, pas de celui qui fait un effort pour voir les trucs pas évident. Plutôt du voyeurisme de canapé.

    Les causalités me semblent inversées. Notre société me semble bien plus représentée par cette prise de photos permanente de tout ce qui se manifeste dès que ça sort un peu de l'ordinaire (ou même pas en fait), en se fichant du droit de ne pas être pris en photo des uns et des autres d'ailleurs. Ou par ceux qui vont rechercher et espionner toute notre vie "extime" sur les réseaux sociaux pour en savoir le plus possible sur nous. Dans ce contexte de pression sociale importante, comment s'étonner que beaucoup veillent de plus en plus à leur image et à l'apparence qu'ils donnent ? Ne pas donner d'information aux voyeurs, c'est paraître suspicieux. Donc arranger la réalité, paraître... et comme ça n'est pas notre truc, pas nos valeurs, on est maladroit, ça se voit et en passe pour ce qu'on n'est pas réellement : quelqu'un qui ne fait que se préoccuper de son apparence, un manipulateur etc... Bien pratique pour que ceux qui nous regardent se déculpabilise de leur voyeurisme. ;)

    Le soucis de l'apparence dans notre société, je pense que c'est plus une conséquence qu'une cause.

  9. il y a 11 minutes, BELUGA a dit :

    Ok mais moi, en l'expèce,le gamin de 9 mois n'était pas du "matériel"... Ils auraient pu y penser avant de foutre connement le feu.

    Oui, on est d'accord là. De toute façon faut être un peu con pour foutre le feu. Il y a quand même très peu de gilet jaune qui sont content d'une telle connerie. Et ce sont les gilet jaune qui ont appelé les pompiers dès qu'ils ont vu le problème.

    Après les gens ont tout fait pour prévenir cette personne, et personne n'a fait d'entrave à la police ou aux pompiers pour régler cette situation.
    Réduire le problème soulevé par les gilets jaune au seul dégâts qui ont pu se déroulé lors d'une manif, après des mois d'insultes et de provocations de la part du gouvernement… c'est très réducteur.

    Les réponses sont politiques. Macron n'a jamais parlé du quart de ce qu'il fait dans ses réformes, et très peu de gens ont voté pour lui, et la grande majorité de ses électeurs (même parmis la minorité des 17% du premier tour), la grande majorité n'ont pas voté par adhésion.

    ça le rend très peu légitime à adopter un politique extrêmement lourde de conséquence, et pour la plupart irrémédiable, comme s'il avait l'adhésion pleins et entier d'une grande part de la population.

    Le simple fait qu'il n'arrive pas à concevoir la relation de pouvoir du président autrement que par le totalitarisme c'est effrayant. (anti-démocratique=se foutre de ce que veulent les Français)

    Et s'enfermer dans un acharnement idéologique sans le moindre esprit critique rationnel, sans faire son métier qui est de trouver des synthèses entre les volontés de TOUS les Français, ça montre surtout un fanatisme effrayant.

     

  10. il y a 8 minutes, DroitDeRéponse a dit :

    Oui brûler les logements de familles c’est un point de détail. En plus jamal doit être un salaud de riche , il pourra toujours se reloger au Crillon et puis les assurances sont là pour ça . Tu as raison la petasse tord mais à totalement tort .

    Question d'échelle de valeur, effectivement.

    La question, c'est est-ce que tu places les vies humaine au dessus du matériel ou non.

    Je sais très bien que ça créera une ligne de rupture. Certains considèrent effectivement la propriété privée de quelques uns plus sacrée que la vie humaine (de beaucoup de monde). Tout est question d'échelle de valeur.

     

    Note que même a droite, chez la droite catho par exemple, beaucoup considèrent quand même que les vies humaines ont plus d'importance. Et qu'il y a quelque chose de malsain de cacher un problème de fond humain, derrière le faux problème d'avoir ou non cassé quelques vitrine ou que Macron ai fait saccagé un ou deux resto, parce qu'il jugeai que le trône sur son cul valait bien ça.

     

  11.  

    Il y a 10 heures, marine10 a dit :

    J'espère que tu n'auras jamais besoin du flic bouffon.

    Je ne cautionne ni ses insultes ni sa violence… mais je ne peux m'empêcher une remarque. (qui ne te concerne pas particulièrement)

     

    Le jour où le-dis flic viendra te piller, j'espère que tu n'auras pas besoin des "boufeur de flic" pour te défendre ;) 
    Et crois moi, au rythme où vont les choses, je pense qu'il n'y en a plus pour longtemps pour voir des "milices d'état" piller les concitoyens comme dans tout bon état fasciste.

    Ils en sont déjà à tirer des lacrymo sans sommation (puisqu'il y a encore des civils non concernés), à l'intérieur des bâtiments public, au milieux de passant non gilet jaune et d'enfants… parce qu'un groupe de GJ pacifiques se rassemblent et chantent (comme n'importe quel groupe après une fête… y a pas non plus d'effraction), avant d'aller à la manif.

    Ha et j'oubliais… ils blessent une grand mère civile (non gilet jaune), et matraquent ceux qui lui viennent en aide… Rien à foutre des civils, ils sont pas là pour protéger la population, c'est clairement une police politique qui est là pour réprimer toute forme de contestation, même pacifique, et pour sauver les fesses des élus (dont tu ne fais pas partit) ^^

    J'insiste, personne n'a commis la moindre infraction, que les choses soient clair. Parce qu'avec les temps qui courent on a l'impression que simplement manifester, ou chanter en groupe dans la rue, est devenu une violence insoutenable à réprimer immédiatement…


    Parce qu'à un moment, il faudrait se rendre compte que nous ne sommes plus en face de flic de la république, service public bien respectable au service de la nation et de la paix.
    Toutes les instances internationales, l'ONU, la haute comissaire au droit de l'homme à l'ONU, le parlement européen et j'en passent vous crient à tue tête qu'il y a un problème grave de non respect des droits de l'homme, en France. Mais non… surement un coup monté de Poutine.

    Le chef Macron a toujours raison, puisque c'est le chef. ( faite un petit salut en levant la main bien haut quand il passe, juste pour voir si vous portez bien l'uniforme ? )
     

     

  12. Il y a 10 heures, Vintage a dit :

    Ce n'est pas en changeant la monnaie que l'on va récupérer l'argent.

    Générer de la monnaie permet d'appauvrir tout ceux qui en possèdent… donc précisément les détenteurs des dettes de l'état. Ce qui ne serait que justice après tout… au passage, je rappelle que ces détenteurs condamnent la France d'avoir une dette trop élevée, alors qu'elle a emprunté justement pour sauver leur cul pendant la crise.

    Quand plus de la moitié des impôts servent à payer les intérêts de la dette, et ce depuis plus d'une génération, je pense qu'on pourrait effectivement demander aux investisseurs d'assumer leur part du risque : plus de dette. Point barre. Parfois on gagne, parfois on perd, ça fait partit du jeu c'est comme ça.


     

  13. Il y a 10 heures, marine10 a dit :

    Je ne savais pas que les grenades lacrymo étaient aussi des grenades incendiaires.

    Combien de personnes ont dû être brûlées alors !

    L'explosion au moment de la libération des différents palets est une explosion… avec de la poudre… c'est pour ça que ça fait "boum".
    On parle pas de la fumée.
    Après, savoir qui a incendié le Fouquet's, c'est pas vraiment important. C'est accidentels, seul le paravent a brûlé, et ça s'est fait lors d'échauffourée entre manifestants et CRS (ça faisait des heures que les manifestants avaient investit les lieux. Si les blackblocs avaient voulu le bruler, ça aurait été fait depuis longtemps… ils auraient pas attendu que les CRS chargent. )
     

  14. Il y a 11 heures, pila a dit :

    Ils reçoivent des enveloppes de quelqu'un ou quoi ? Même dans les différents "ministères" de Pétain, entre 1940 et 1944, il y a eu certains éléments plus raisonnables.

    Ha ? un début d'éveil des consciences ? :D

    Macron est corrompu, il a été placé en poste par une petite clique de financiers (j'ai pas dis par la finance, mais par une petite clique de financier) à qui il fait de très gros cadeaux sur le dos du contribuable.

    Il en a rien à foutre de détruire la France, c'est son but. Un "PDG" mis en place après une OPA hostile sur la France, et qui démonte "l'entreprise" pour la vendre à son profit et à celui de ceux qui l'ont mise en place.

    Il y a 11 heures, Vintage a dit :

    Quelle solution pour dissoudre ce mouvement ? La police est sur le terrain mais les magasins sont pillés. Les gilets jaunes devraient cesser pour ne pas être infiltrés par des casseurs. Pourquoi continuent ils ?

     

    Parce qu'ils sont vraiment entrain de crever ? ( mais vraiment hein )
    Et que le pillage de magasin, à côté, ils arrivent pas à comprendre pourquoi ça devrait être plus important que la survie de plus de 5 millions de Français (en dessous du seuil de pauvreté) ? Admets que c'est difficile à comprendre aussi, non ?

    Survie de 5 millions de tes concitoyens - quelques vitrines brisée remboursée par les assurances… Mmmm on se tâte… ça se vaux ?

    Après on peut être comme toi, et par négligence et ignorance, préférer la mort pure et simple de 5 millions de personnes et l'affirmer ouvertement, juste pour avoir le bonheur de faire ses petites courses aux champs élysée… ^^

    Le pire des fascisme, c'est l'ignorance, c'est bien connu.


    Après… si tu me racontes que tu le savais déjà, c'est une autre histoire. (mmm… non, le pire des fascisme, c'est pas l'ignorance finalement)

     

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  15. Il y a 2 heures, Promethee_Hades a dit :

    Déjà, tu aménes une nuance l'assassinat. Faut savoir ou il commence, par ce que le fait de se masturber peut être considérer comme un assassinat, le fait pour une femme de ne pas avoir été fécondé peut aussi en être un assassinat. Et qu'est un assassina, dans le fait de la brave dame, je ne considère aucun assassinat. Toi et moi la dedans divergeons d'opinions. C'est tout nous n'allons pas nous étriper pour ça. 

    Je n'ai pas amené une nuance, c'est toi qui l'avais effacé de mon discours.
    Je réagissais à ceux qui considéraient qu'un parent pouvait avoir un droit de vie et de mort sur son enfant, et décider que comme il ne voulait pas l'élever, il avait le droit de "régler le problème" en faisant disparaître celui qui les emmerde, plutôt que simplement abandonner l'enfant.

    Les mots ont un sens. Je dis qu'à partir du moment où on peut abandonner un enfant, décider de le tuer pour régler ses problèmes, c'est un assassinat égocentrique et rien d'autre… (et je parles bien d'un enfant né)
    Et j'avais précisé ça, parce qu'au départ, on parlait d'assassiner un enfant poly-handicapé, qui aurait eu une vie trop difficile.
    J'ai aussi précisé après l'avoir appris, qu'apparemment la femme dont on parle a simplement coupé la machine d'un enfant dans un stade végétatif, et que ça, c'est une autre histoire.

    J'ai aussi précisé que pour moi, c'est la conscience qui détermine l'être humain. S'il n'y a plus de conscience, alors le seul respect à avoir, c'est celui du corps car l'individu est déjà mort (même si ses cellules ne le sont pas, il est mort en tant qu'individu)
    En revanche, s'il y a conscience, c'est pas aux parents de décider du droit à vivre de leur enfant, même si cette vie va être "difficile".

     

  16. Le 15/03/2019 à 20:57, Vilaine a dit :

    « Vivre dignement... »

    Je lorgne sur une Jaeger-Lecoultre en ce moment (et sur une Vacheron Constantin), et tant qu’une des deux ne sera pas bien installée sur mon poignet, je ne me sentirais pas considérée (à ma juste valeur).

    J'ai parlé d'être considéré comme un être humain, ayant le droit de vivre.

    Je n'ai pas parlé d'être considéré à sa juste valeur, encore moins d'être l'évaluateur personnel de notre propre rétribution. Ce que tu racontes n'est pas de la considération, mais de la reconnaissance.

    Pour obtenir de la reconnaissance, il faut avoir rendu des services, fait un travail qui apporte un plus à quelqu'un, qui en échange nous reconnais. C'est une notion professionnelle. ( en échange = marché, contrat, commerce… )

    Être considéré comme un être humain, c'est être accepté, (là, par les êtres humains, comme faisant partit du groupe des êtres humains), et disposant de ce seul fait d'un certains nombres de droit. Comme celui de vivre.

    C'est une notion sociale, et non professionnelle. Ta "valeur" n'est pas ce que tu as produit ou fait, mais simplement ce que tu es.

     

    La question sociale, portée par les gilets jaune n'est pas une question professionnelle. Mais la questions des droits fondamentaux dont devraient disposer les Français, sans avoir à justifier pour autant d'un échange, d'un service fourni, ou d'une utilité professionnelle.
    Ils évoquent aussi par ailleurs la reconnaissances (professionnelle cette fois) de personnes qui ont bel et bien fournis un travail par le passée. À travers la non réduction des pensions de retraites.

    Ils s'opposent de ce fait aux partisans de la dissolution de toute forme de société. Ne considérant plus que l'utilité sociale instantanée, comme seule source des moyens de survie d'un individu.

     

    Pour ma part, je considère que l'idéologie de la disociété (dont tu semble partisante) est une idéologie extrémiste et dangereuse, car en détruisant tous les liens sociaux entre les êtres humains, même la reconnaissance professionnelle ne pourra plus être assurée. Et toute la société humaine va simplement s'effondrer.

    Rare sont les gens qui ont les mots pour décrire ces choses, mais beaucoup sont ceux qui ont l'intuition de ce problème. En particulier ceux qui ont vécu et subit la disparition de la société, à savoir les petits retraitées, les mères célibataires qui travaillent, etc…

    Nous qui n'avons pas encore souffert de la disparitions de cette société, car nous avons encore une reconnaissances professionnelle (sous forme de salaire) suffisante, ou un soutiens social (sous forme de soutiens familial conséquent), nous devrions écouter les premières victimes de l'incendie disociétal, qui crient à l'urgence sociale, et à la reconstruction des fondations et des piliers de la société.

    Car nous sommes les suivants qui seront pris dans les flammes, et même si nous y survivons, nous seront tous victime de l'effondrement qui vient.

     

    il y a 22 minutes, Vintage a dit :

    Je voulais dire qu'on ne peut pas juger cette mère sans avoir été à sa place.

    Je ne parlais pas vraiment de cette mère. Puisqu'il s'agit apparemment d'un enfant dans un état végétatif.

    Je parlais plus des concepts qui nous permettent d'appréhender le monde, et qui fondent notre organisation sociale.

     

  17. Il y a 22 heures, Promethee_Hades a dit :

    Pour moi ce que cette mère a fait n'est qu'un acte grandiose d'amour, envers son enfants.

    Mais dans la vie l'amour est de trop, la  raison surtout envers la société est de mise, l'amour c'est un détritus, si on ne se conforme pas aux ukazes sociétaux, et ceux ci ne sont que médiocrité au mieux.

    Les prisons regorgent de criminel passionnel. ^^

    Il y a pleins de façon d'aimer, certaines sont égocentrique, possessive et dangereuse. Il y en a même qui séquestrent des femmes et les réduisent en esclavage par amour. ( véridique ) Que c'est beau l'amour ! :)

    Cet amour est peut être "romantique", ça fait de belles histoires et de bon roman. Mais je pense que beaucoup devraient revoir leur admiration pour certaines formes "d'amour", en particulier quand il ne s'agit pas d'un film mais de la vie réelle, avec une vraie personne en jeu.

    Personnellement, je n'admire que l'amour qui respecte l'autre. Ni sacrificiel, ni égocentrique. L'amour qui accepte l'altérité, c'est à dire qui considère l'être aimé comme un égal, ni comme un "être supérieur", ni comme un objet.

  18. Le 15/03/2019 à 23:29, Promethee_Hades a dit :

    Bonjour Titsta, poigne de mains

    Fabuleux, mais vraiment fabuleux on peut donc enlever tout droit parentaux et pouvoir donner à l'adoption pour ceux uniquement qui on ont les moyens n'importe quel enfant, les parents légitimes n'ont qu'un droit de les faire et de se la boucler.

    Bravo Titsta, vraiment bravo, excellente démonstration.

    Mais tout à fait ! :) Je suis pour qu'on retire leur droit parentaux à des gens qui choisissent d'assassiner leur enfant.

    Je te remercie pour ton acclamation. Content de voir qu'au moins là dessus, nous somme d'accord. ;)

    Pour moi, être parent, c'est pas être un géniteur, c'est vouloir élever son enfant. Dès la seconde où tu décides que tu ne veux plus l'élever, tu n'es plus le parent de cet enfant. C'est aussi simple que ça. La paperasse administrative fait que ça prend un certain temps avant de ne plus être "officiellement" parent, mais pour moi, c'est dès l'instant où tu décides que tu ne veux plus l'élever que tu ne disposes plus du moindre droit sur l'enfant.

     

    Parmi les géniteurs, tu as ceux qui abandonnent leur enfants. Ceux là sont respectables dans le sens où ils assument, soit ne plus pouvoir, soit ne plus vouloir élever leur enfant. Ils sont respectable car ils continuent d'agir dans son intérêt.

    Et tu en a d'autres, qui ne sont pas les parents de l'enfant (cf ma définition du dessus) et décident je ne sais pas pourquoi qu'ils ont le droit de vie et de mort, et pour leur petit confort personnel et égocentrique (leur "conscience"), décident "d'effacer le problème qui les dérangent".

    Donc non seulement ils ne sont pas les parents de cet enfants. Mais ils décident d'assassiner quelqu'un pour effacer leur problèmes.

    Donc je confirme, ces gens sont de dangeureux criminel. Ils devraient être pris en charge dans des institutions psychologique adaptées, et on devrait surveiller intensément ces personnes s'ils décident de re-faire une progéniture.

    ( De plus, puisque tu me parles de moyen, je pense que la nation devrait beaucoup plus assister les parents, en terme d'argent ET de personnel. De façon à réduire le drame des géniteurs qui doivent abandonner leur enfant parce qu'ils ne peuvent plus l'élever, alors qu'ils le voudraient. )

     

    PS :

    Je reprécise un truc pour être vraiment clair. Parce que j'ai l'impression qu'il manquent des bases à beaucoup de gens.

    Que ce soit clair Personne, pas même les parents, ne dispose de droit sur leur enfant. Un enfant est une personne, pas une chose.

    Un enfant est un mineur, et ne peux pas exercer ses propres droits. Les parents ne disposent d'aucun droit sur l'enfant, ils le représentent, ils exercent à sa place ses droits, dans son intérêt.

    ça n'a absolument rien à voir.

    Personne ne dispose de droit sur un enfant. Et je serai pour que la DASS surveille intensément tout parent qui n'a pas bien compris cette nuance, et estimerait qu'il possède le moindre droit sur son enfant. Car c'est un premier signe de dérive grave.

     

     

     

     

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  19. Il y a 7 heures, Passiflore a dit :

    Aucune indignité dans ce qui fut de belles histoires d'amour vécues dans l'horreur de la guerre ; les gens indignes furent ceux qui humilièrent ces femmes en public...

    Oui, enfin, la vie, c'est pas toujours comme à la télé hein.

    Pour certaines c'était une histoire d'amour, pour d'autres c'était pour nourrir leurs enfants… et pour d'autres c'était de la pure collaboration arriviste. Faudrait pas croire que les collabos, c'était que des hommes hein.

    ça a touché des innocentes, mais ça veux pas dire non plus qu'elles étaient toutes innocentes.

     

    De surcroit je trouve que ce genre de peine est intéressante. Bien mieux qu'une amande, qu'un temps de prison. Les cheveux, ça repousse, donc c'est pas une peine trop longue.

    Et ça ne blesse que l'égo hein… c'est pas la peine de mort non plus. Y a franchement eu pire comme exactions, ça ça reste bon enfant encore.

    C'est un moment qui est dur à passer, mais je pense que l'humiliation publique fait quand même partit des peines douces. Un peu comme le goudrons et les plumes par exemple. ( C'est mieux comme peine, parce que ça peut concerner autant les hommes que les femmes ^^ Alors que la tonte, ça va pas faire grand peur aux hommes… )

    Je pense qu'on devrait s'inspirer de ce genre de chose pour punir certains riches, ou énarques. ça aurait plus d'impacts que de leur faire payer une amande qu'ils ont déjà provisionnée.

    Même s'ils ont peu de dignité, j'ai même l'impression que ça pourrait avoir un certain effet dissuasif ! ^^

     

     

     

     

     

  20. il y a 10 minutes, juliette56 a dit :

    Je suis d'accord, c'est pourquoi je précisais que la dignité des uns était l'indignité des autres ;)

    ha ok :)

    Ceci dis, je me demande.

    Que nous ne soyons pas d'accord sur ce que signifie la dignité, oui.

    Mais est-ce une notion conflictuelle, comme la liberté par exemple ? ( = la liberté des uns s'arrête là où commence celles des autres )

    Il y a forcément des écarts de points de vu, mais ne pourrions nous pas tous être digne ?

    ( et merci de ramener le sujet sur autre chose que l'avortement ^^ )

  21. il y a 19 minutes, Virtuose_en_carnage a dit :

    La quête de la normalité, quelle bonne blague. Comme si la normalité était autre chose qu'une coercition exercée par la société sur ses membres. On peut choisir ou non de se plier à la force sociale, mais s'opposer tout entièrement à elle revient juste à vivre seul dans une cabane au fin fond de l'Oural.

    Oui, c'est bien ce que je dis. La "normalité" est une pression sociale. S'opposer radicalement à une pression, c'est aussi s'en préoccuper. On peut aussi ne pas la considérer comme pertinente comme objectif de vie. En particulier si l'objectif n'est pas humainement atteignable.

     

    Citation

    Les parents d'enfants handicapés passent leur temps à s'occuper de leur enfant et à se prendre les regards de la société en pleine tronche, il me semble alors normal qu'ils arrivent à s'enthousiasmer quand leur enfant handicapé parvient enfin à faire quelque chose de "normal" du point de vu d'autrui mais extraordinaire de leur point de vu.

    C'est ce que je sous-entendais quand je disais qu'ils étaient humain, et que ce genre de réactions est compréhensible.

    Toutefois, ça n'est pas parce que c'est normal que c'est une bonne chose.

    Ce comportement, même s'il est induit par notre société et les circonstances, est une des grandes causes du problème.

     

    Citation

    Comme toujours, ton phrasé est indigeste et tes propos mériteraient d'être concis pour être intelligible. Tu repousses les problèmes sur des définitions ce qui ne fait en rien avancer l'affaire. Qu'est-ce qu'une personne "viable"? En quoi un fœtus de 5 mois est-il moins en vie qu'un enfant de trois ans et plus en vie qu'une carotte dans un jardin? L’œuf ou la poule?

    Je ne repousse pas le problème sur les définitions, je me repose sur des concepts, et j'utilise des mots pour décrire ce que je pense.

    Une personne viable, c'est une personne qui peut vivre.

    J'entend par là que s'il faut un acharnement thérapeutique pour gagner quelques jours ou mois, la question n'est pas la même que s'il s'agit d'un individu, même polyhandicapé, qui peut arriver à vivre.

    Et effectivement une carotte dans un jardin est viable. Après quand je dis un enfant viable, il y a enfant devant.

    Mais ça n'est pas la caractéristique "vivante" qui me semble pertinente. Comme j'ai précisé par la suite, c'est la caractéristique "consciente" qui me semble valable.

     

    Après, je n'ai pas abordé la question de la fin de vie d'un individu non-viable. (donc entrain de mourir)

     

     

     

  22. Je pense que c'est un peu plus complexe qu'une "culture du viol".

    À mon avis, c'est plutôt représentatif d'une culture de la répression du viol.

    C'est intérêts pour les tueurs en série, ou les jeux s'opposant à la morale, sont précisément des fantasmes qui se construisent en contre-réaction, uniquement que parce qu'il y a une ligne répressive très forte de ces deux notions. Meurtre et viol.

    La culture est un tout, contrairement au marché qu'on peu subdiviser. 

    Si tu écrase d'un côté, ça pousse de l'autre, c'est aussi simple que ça. La culture, c'est l'ensemble du phénomène.

    On ne peut pas considérer les philosophes des lumières sans considérer la répression religieuses très forte de cette époque, à laquelle ils s'opposaient, précisément. La culture de cette époque, c'est l'ensemble. 

    Je pense que si ce genre de jeu apparait aujourd'hui, et n'existait pas hier… c'est justement parce qu'hier le viol, tout le monde s'en foutait.

     

  23. Choir n'est pas d'extrême droite, et il n'a jamais soutenu Soral, c'est de la diffamation pure et simple. Il a parlé une fois de Soral en disant que c'était un résistant au système. Oui, Soral n'est pas vraiment quelqu'un qui colabore au système… dire ça ne signifie pas qu'on le soutien, c'est simplement ne pas être débile profond.

    Si vous n'êtes pas d'accord avec Choir sur ce point, alors vous considérez que Soral est un type convenable.

    Regardez vous un peu…

     

    Et c'est pas en citant des articles de presses sans faits, sans preuves, (donc des torchons de merde qui ne sont pas des articles de presses), que ça changera quoi que ce soit à la diffamation. Personne n'a dit qu'aucun journaux n'avait diffamé choir et diffusé ce genre de mensonge. ça n'est pas en montrant que des journaux balançant des mensonges sur le devant de la scène que ça prouve qu'il ne sont pas diffamant.

    Choir est pour que tous les citoyens puissent devenir constituant. Tout les citoyens, ça inclue ceux qui vote FN… ça tombe sous le sens, et seul les débiles profond considèrent que ceux qui votent FN ne sont pas des citoyens. D'ailleurs, voter pour le FN n'implique pas qu'on soit antisémite. Il y a des racistes qui votent en Marche hein… et même probablement beaucoup plus, parce que le racisme touche bien plus les chefs d'entreprises et cadres sup que les paysans et ouvrier. Donc on arrête les conneries.

     

    Oui, la démocratie, ça implique d'inclure tout le monde, ceux qui font un procès à la démocratie sous prétexte qu'il y a des citoyens antisémites sont simplement de gros fascistes… peut être même racistes eux même d'ailleurs. Et visiblement il y en a un certain nombre ici. Donc avant de jeter la paille aux électeurs du FN, regardez vous vous même, vous puez bien plus. Parce qu'au moins un électeur du FN, on ne peut pas dire à priori qu'il est raciste ou non… Alors que votre fascisme et votre anti-démocratie, vous la défendez bec et ongles.

     

     

  24. Il y a 9 heures, Swannie a dit :

    Il s'agissait d'un enfant en état végétatif chronique, pas d'un handicapé tout court.

    Ok. Puisque c'est un être humain dans un état végétatif, mon argumentation tombe, bien sûr.

    Pour ma part, il n'y a que deux choses à considérer : la conscience, et le fait qu'il s'agisse d'un être humain.

    Le premier pour la préservation (et le développement) de la conscience, le deuxième pour le traitement digne du corps et du mort, et sa sacralisation passant par une ritualisation du décès et du deuil.

    S'il n'y a plus de conscience, pour moi, la question de la survie est hors-sujet. La vie d'un être humain passe par sa conscience. Sans conscience, il ne s'agit plus que de la vie de ses cellules.

     

    Il y a 9 heures, DroitDeRéponse a dit :

    Même à 6 mois ?

    Là pour les fœtus, j'avoue ne pas avoir d'avis. Je ne connais pas les limites légales actuelles.

    C'est à un comité éthique de trancher à partir de quand nait une conscience de soi.

    Tant que nous n'avons pas d'utérus artificiels, le droit de la femme à disposer de son corps me semble aussi un élément à prendre en compte.

    "L'indivision" est un problème en cas de conflits d'intérêts. ^^

    Une fois la naissance accomplis, et donc cette problématique réglée, je ne considère pas que les "parents" détiennent des droits sur l'enfant.

     

    • Merci 1
  25. Tiens j'ajoute un truc.

    Pour ceux qui justifient les meurtres d'enfant, pourquoi ils le feraient pas pour les enfants des autres aussi, au passage ?

    Si vous pensez que c'est un acte légitime… Si cette personne décide de partir en mode commando, et d'aller éliminer tous les enfants handicapés qui trainent… ça vous parle plus ce que cette personne est entrain de faire ? C'est pourtant tout autant légime non ? Dans l'intérêt de l'enfant après tout. ^^

    Pourquoi le deux poids deux mesures sinon ?

    Je pense que ce qui m'outre personnellement, c'est le pouvoir que le parent s'arroge. Alors qu'à mes yeux, un simple géniteur n'est pas vraiment légitime en soit à disposer d'un quelconque droit sur un enfant.

     

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