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InstantEternité

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Messages posté(e)s par InstantEternité

  1. il y a 6 minutes, Quasi-Modo a dit :

    Parfois il ne manque que l'audace ! Mais elle n'est pas toujours facile à trouver selon l'environnement, le contexte et le passé de chacun(e).

    Oui je comprends mieux votre point de vu. Il ne s'agirait donc pas d'une caprice mais d'un vrai amour où pour des raisons personnelles venant en partie de l'environnement et du passé de la personne, l'amour reste inavoué. Ce que je comprends perso car il pourrait alors s'agir d'un enjeu "vital" pour nous-même. Mais j'ai quand même une pensée "philosophique" à ce propos :

    Le fait de manquer cette audace, alors que nous nous croyons et disons "amoureux" n'est-elle pas contraire au fait même que nous nous disons "amoureux". C'est un peu l'idée que j'ai avancé dans un autre poste dans ce fil, à savoir une atteinte à la notion/philosophie même de l'amour.

  2. il y a 53 minutes, Pensée philo a dit :

    C'est la peur d'avoir un refus.

    Oui mais dans ces cas là, si on sait par avance que ça ne marchera pas il ne s'agit pas de l'amour dans le sens où je l'entendais dans le sujet de ce topic. C'est plutôt une forme de caprice on va dire...

    Dans ce topic je parle d'un amour où tout est là, les conditions sont du moins "estimées" réunies pour que cela se concrétise mais pourtant la personne, qui est réellement amoureuse en plus, ne fait rien pour que cela se concrétise. Du style : "Il n'a jamais su que j'étais amoureux de lui...".

  3. il y a 2 minutes, moch niap a dit :

    y a un cours du collège de France de Foucault sur le courage de la vérité et qui traite de cette époque, celle des cyniques. 

    "Courage de la vérité" ? "Cynisme" ? 

    Oui sûrement... mais que c'est profondément "beau" tout ça !!! :ange2:

  4. Il y a 6 heures, Jane Doe a dit :

    Je ne comprends pas la vie. Expliquez-la moi ? 

    Si c'est moi le problème, c'est quoi la solution ? 

    Mais il n'y a rien à comprendre... C'est le règne de l'absurde et plus tu essaies d'y comprendre quelque chose justement plus tu t’éloigne de la solution... qui en fait c'est d'admettre que l'absurde est le maître-mot et que la seule solution c'est de tourner la vie en dérision (et chacun à sa manière...) ! :zen:

  5. Bon, au vu de toutes ces différentes interventions et les "likes" qui les ont suivi, il faut comprendre qu'il y a quelque chose de "sexy" dans les amours inavouées que perso j'ai du mal à comprendre.

    Mais en même temps il est vrai que les goûts et les couleurs ne se discutent pas... donc... :smile2:

  6. il y a 7 minutes, Jane Doe a dit :

    Je ne suis pas une spécialiste en la question, mais de mon point de vue, non; d'une part parce que le terme de reproduction me renvoie à mes cours de biologie et que cela ne s'associe pas bien à mes cours de littérature sur le romantisme. 

    Ensuite parce que je crois que l'Amour Romantique est une recherche de dualité, la notion d'enfant (je préfère ce terme) ne vient qu'à la fin du conte de fée avec le mariage d'ailleurs. Tout le conte de fée, ne parle que de l'amour de deux êtres. Le mariage et les enfants n'étant que la fin de cette rencontre.

    Crimes contre l'humanité ? je trouve que vous y allez fort. Mon esprit ne peut pas associer des génocides avec le fait qu'une personne refuse d'avouer son amour à quelqu'un. Ce parallèle me semble disproportionné.

    Oui j'avoue que le terme était mal choisi. Cependant, il faudrait voir si d'un point de vue psychologique, dans notre inconscient, il n'y a vraiment pas de lien entre un amour romantique (dualité) et la notion d'enfant. Je crois que dans la philosophie de Schopenhauer il est justement dit que la nature se sert de nous pour sa continuité dans le sens où tout acte amoureux a une racine dans la sexualité et la question de la reproduction.

  7. il y a 7 minutes, Jane Doe a dit :

    Sans doute parce que la notion d'amour inavoué ne s'inscrit pas dans une logique sociétale ou biologique. Il s'agit souvent de romantisme, de poésie et de littérature, d'imaginaire.

    Parce que dans un amour imaginaire, romantique ou poétique il ne peut pas être question de la reproduction ?

    ...Amours inavouées ou crimes contre l'humanité !!! Oui j'accuse ! 

  8. il y a 7 minutes, Virtuose_en_carnage a dit :

    Que penser des amours inavouées? Que si ils étaient avouées, il n'y aurait plus d'amour.

    Quelque part je comprends ce que vous voulez dire et j'apprécie. C'est poétique.

    Cependant, je parle d'un amour où on estime alors que c'est la bonne personne, on estime qu'il y a un potentiel de pouvoir fonder une famille avec, la reproduction ! etc. Et pourtant on ne fait rien pour que cela se concrétise...

  9. il y a 1 minute, Jane Doe a dit :

    Il serait malsain, s'il devenait harcèlement, obsession, sinon il sera considéré par certains comme romantique, par d'autres comme triste ou par d'autres encore moqué.

    Je ne parle pas philosophie, je n'ai pas les "outils" pour. Veuillez en m'excusez.

    Vous savez, pour faire un parallèle, je pense à Kant et son idée "morale" de devoir "ne jamais mentir" même s'il y a une question de vie ou de mort ! 

    "Car le mensonge nuit toujours à autrui : même s’il ne nuit pas à un autre homme, il nuit à l’humanité en général et il rend vaine la source du droit"

  10. il y a 13 minutes, Jane Doe a dit :

    Vaste programme, les raisons sont tellement nombreuses me semble-il. Crainte du rejet, crainte de la déception, amour "interdit" (ex: à cause d'un mariage), vieille cicatrice qui empêche d'aimer de nouveau et puis parce que déclarer son amour, c'est le rendre réel, rendre possible la relation et la réalité peut être décevante, banale, alors que l'amour fantasmé est toujours idéalisé, merveilleux, parfait, grandiose. C'est aussi un acte égoïste, l'Autre aimé et fantasmé en secret est alors "à moi" dans le sentiment le plus intime qui soit, non partagé. En n'étant jamais "à moi", la perte est impossible. 

    Oui mais je vous remets la question

    "Est-ce qu'au fond il n'y a pas un aspect "malsain" dans ce genre d'amour ?"

    Parlons philosophie : Est-ce qu'au final ce n'est pas une insulte à la "notion" même de l'amour que d'aimer quelqu'un sans que la personne ne soit jamais au courant ??

  11. il y a 4 minutes, Jane Doe a dit :

    On ne peut pas tout oublier, violence, traumatisme, guerre, deuil... ce sont des souvenirs qui blessent l'esprit, parfois le corps, qui sont là visibles en permanence. La résilience permet à certains de vivre avec et malgré elles. D'autres survivent. D'autres en meurent. 

    Oui il est évident que si on a eu un événement "grave" dans le passé il restera à jamais en et avec nous... Lorsque je parle d'oubli concernant le passé je parlais d'une manière "générale" en pensant au terme "passé" de manière objective et non à des cas extrêmes...

  12. Le passé peut effectivement être problématique. Cependant il est exagéré d'en parler en faisant allusion à un serpent venimeux qui paralyse etc. !

    Toute personne a un passé plus ou moins douloureux, à mon avis ce sur quoi il faut se focaliser c'est notre capacité naturelle à l'oubli. Il faut savoir et apprendre à oublier et comme disait Nietzsche : "Souviens toi d'oublier !".

    • Like 1
  13. Que faut-il penser des amours inavouées ? Aimer quelqu'un sans que la personne ne soit finalement jamais au courant ?

    S'il n'y a pas d'enjeu "vital" en question (pour soi-même ou pour la personne aimée), qu'est-ce qui peut justifier un tel comportement ?

    Est-ce qu'au fond il n'y a pas un aspect "malsain" dans ce genre d'amour ?

  14. il y a 9 minutes, ÈléonoreK a dit :

    Fausses questions! La réponse étant avant la question.

    La question pourquoi est une manœuvre de l'esprit idiot.

    Il y a quelque chose, toi, moi, et le reste de l'univers, c'est là. Et la question pourquoi est absurde.

    À la limite, pourrait-on se poser la question comment, mais ce serait à peine moins absurde.

    Je vois une question plus acceptable (un peu moins absurde) : Qu'est-ce que c'est qui est là ? C'est certain qu'on aurait du mal à trouver souvent une bonne réponse, mais c'est amusant au moins.

    Celle-là de question je me la pose mille fois par jour, c'est comme cela que j'arrive à écrire sur une ligne tracée sur un papier. Toutes les autres questions sont suspectes, risque de se retrouver avec un entonnoir sur la tête.

    "Etre ou ne pas être telle est la question"

  15. il y a 13 minutes, Marzhin a dit :

    @InstantEternité Le vandalisme, le confusionnisme et le victimisme ne manquent jamais d'art, et ce n'est pas le moindre de leurs paradoxes. Autrement dit, en l'occurrence, pour un forum, ce sont des formes de philistinisme. A quoi bon flagorner ?

    https://www.forumfr.com/sujet896750-la-culture-est-elle-indispensable-à-la-pensée.html?do=findComment&comment=12101909

    :witch:

  16. il y a 28 minutes, Annalevine a dit :

    Et alors ? Doit on se soumettre à la culture dominante ?  Vous développez une mentalité d'esclave. Le Français, dans sa mémoire émotionnelle sait qu'il n'est pas un esclave. Et je me dis, et si c'était cela le trouble actuel français ? Ce balancement entre la servitude que vous défendez et qui n'est pas le génie français et la fierté d'une culture originale et solitaire qui je pense est justement le génie français ?

    Bref nous balançons entre le chien que vous désirez être et le lion que nous désirons rester être.

    ...N'oublions tout de même pas "LA FABLE DU PETIT MOINEAU"... :o°

  17. Il y a 2 heures, hell-spawn a dit :

    Evidemment pas a la pensée qui tourne en rond, mais a celle qui avance, qui s'achemine, qui progresse  ?

     

    D'un coté un esprit puissant mais peu cultivé aura plus de chance de développer une pensée originale, mais d'un autre coté un esprit disposant d'une culture étendue ( donc pas uniquement spécialisée), s'il parvient a la synthétiser , aura plus de chance de cerner le réel au plus prés.

    On peut penser a la toile d'araignée: plus elle est grande, plus elle est en mesure de saisir des proies ( de capturer le réel ) pour les attirer au centre de la toile, mais faut pouvoir les digérer.

    Donc une culture globale pour une pensée globale, analyser, recouper, relier, non ?

    Je pense que la culture, jusqu'à un certain point, est nécessaire pour pouvoir structurer sa pensée et donc pour pouvoir avoir une pensée qui progresse. Mais trop de culture à mon avis bride la pensée et plus précisément le potentiel de la pensée.

    Il y avait un sujet sur le forum qui était : "Est-il  possible de penser par soi-même en dehors de tout déterminisme psychosocial?" -> Je pense que la réponse à cette question peut élucider le chemin vers la réponse à la question de ce topic.

    • Like 1
  18. il y a 28 minutes, Marzhin a dit :

    C'est donc que vous n'êtes pas nietzschéen. En outre, je tenais à vous faire remarquer qu' @Annalevine vous flatte aussitôt sur les mois pluvieux prétendument dépressifs, pour derrière plus tard dire à un autre qu'iel aime la pluie. Cherchez la cohérence, vous en déduirez que c'est de l'opportunisme pour nous faire tourner en bourrique, au lieu de liker, d'autant plus qu'iel répète à la suite d'un autre, la problématique déjà mainte fois évoquée du doit, à commencer par Inamuno lui-même d'emblée. Le trolling est jouissif.

    Au reste, en quoi est-il cynique et haïsseur, d'admettre l'implacabilité ? Il n'y a que vous pour la sentir telle. Je disais justement qu'elle n'avait rien de cruel en soi. Les bouddhistes, si vous préférez (ça fait toujours moins brutal, quand on parle des bouddhistes ... préjugés, quand vous nous tenez ... ), les bouddhistes disent ainséité. Qui peut être une belle farce. Certains Amérindiens, iroquois il me semble, croient que le Coyote mythique a fait une farce au Grand Loup Blanc, et que d'avoir été dupé par le Coyote, le Grand Loup Blanc a créé l'univers. L'univers comme divine erreur, je trouve ça sublime, et non moins implacable/ainsi (implacabilité/ainséité).

    Si vous y trouvez de l'avilissement et de l'horreur, c'est que vous avez des préjugés sur la méchanceté de la chose, c'est-à-dire que pour vous elle est mé-chéante, mal-chéante, mal-choyante, mal-tombante : vous trouvez que ça tombe mal. Vous auriez préféré que ça se présente autrement. Mais, puisque vous aimez les concepts nietzschéens, dîtes-vous bien que vous êtes alors dans le ressentiment, sans grand oui affirmateur du tout, pétri par le bien et le mal (traduisible par le gentil et le méchant, dans le titre de Par-delà ... ). Or, comme disait Nietzsche : je suis le contraire d'une négateur.

    Enfin, je vous ferai remarquer que personne n'a encore répondu à votre question.

    Bonjour,

    Alors je voudrais commencer par dire que je suis ravi que des personnes comme vous participent sur ce forum. Ce n'est pas pour vous flatter mais j'estime personnellement que vos interventions apportent vraiment des choses intéressantes et intrigantes aux différents sujets. Ceci étant dit, maintenant plusieurs choses :  

    - Concernant @Annalevine moi je ne la trouve pas mauvais comme intervenant, au contraire je trouve qu'elle apporte des choses, à sa manière, aux différents sujets. Et franchement je trouve qu'il y a une certaine sincérité dans ses interventions, après elle peut s'amuser comme elle le dit à rendre le forum "plus violent", c'est à d'autres de savoir ce points et à essayer de la "contenir" ou de lui répondre de la manière qu'on estime être la meilleure. Et je vais vous dire, je n'essaie nullement de "défendre" @Annalevine  elle m'a fait 2 ou 3 remarques personnelles que j'ai trouvé intéressantes et c'est à cause de cela qu'elle a attiré mon attention et c'est tout !

    - Implacabilité : Ce qui me gêne dans l'implacabilité c'est ce côté "acharnement", "vouloir à tout prix", en somme ce côté féminin, cette "faiblesse" qui n'a rien de la générosité du Surhumain, de ce grand "Oui" du Surhumain. Avouez qu'il est difficile d'associer les mots "Surhomme" et "Implacable", un "Surhomme implacable ??", un tel Surhomme est un non sens... Car justement le grand "Oui" à la vie c'est d'accepter son destin, l'amor fati, au lieu de s'exciter dans toutes les direction pour essayer de s'imposer comme le suggère le qualificatif "implacable". Pour terminer, je n'ai pas horreur, comme vous l'avez écrit, de la "dureté" de l'implacable mais de son de son côté "vouloir à tout prix" qui en fin de compte ça se traduit par un sentiment de ressentiment.

    - Enfin, vous n'avez pas encore répondu à la question : "Pourquoi doit-il y avoir l'art ?"... Est-ce que l'art s'explique aussi par l'implacable ?

    Bonne journée.

    • Confus 1
  19. Il y a 5 heures, Annalevine a dit :

    Quelle nécessité y a-t-il à l’existence du hasard ?

    Mais je pense que le hasard n'est pas "quelque chose" dans le sens où la question au départ de ce topic s'est posée. La question c'était "Pourquoi doit-il y avoir quelque chose ?" : il est question là à mon avis de l'existence des choses qui sont matériels ou du moins "matérialisables".

  20. @Marzhin

    Le cynisme de cette philosophie me tourmente profondément l'esprit ! Et je me suis sérieusement posé la question d'est-ce que cela est vrai ? Est-ce que l'existence s'explique par cette nécessité là ? par l'implacabilité ? ...Et j'ai fini par trouver un contre exemple et aussi une belle manière d'y remédier :

    - L'art et la musique : Pourquoi doit-il y avoir l'art ? Pourquoi doit-il y avoir la musique ? Et bien, sûrement pas par une nécessité d'implacabilité ! L'art et la musique existent ni par implacabilité ni par nécessité si ce n'est une nécessité de justement remédier à ce cynique implacabilité... L'art existe par générosité (et non gratuité) il me semble, oui cela fait cliché mais en fin de compte tellement efficace dans la réalité.

    - Le Dionysiaque : Ou plus précisément la sagesse Dionysiaque qui consiste à tourner en dérision ce cynisme, cette implacabilité existentielle, en d'autres termes : "Le remède à la détresse c'est la détresse".

    • Confus 1
  21. il y a 37 minutes, Marzhin a dit :

    Ce que vous avez oublié de citer, ce sont les mots longuement (lire longuement) et méditation (méditation de la lecture) dans les parages. Mais si c'était pour vous consacrer à un bouquin de philosophie en bonne et due forme, passe.

    Si bien sûr, mais j'y étais. Il y a une gratuité de l'Être qui se donne comme tel, mais cette donation, comme d'autres l'ont déjà souligné, à commencer par Inamuno, de quelle nécessité procède-t-elle ? Cette implacabilité gratuite, gratuité implacable ! C'est là que se situe la spiritualité, sans "religion", et vous pourriez aussi bien avoir estimé qu'Alea Athena est une allégorie. On ne pourrait qu'en parler poétiquement, encore faut-il se laisser aller à poétiser. Le paganisme spirituel est une telle poétisation. Dire poétisation n'est qu'une façon rationnelle de l'énoncer sans le vivre, mais si vous le préférez dit comme ça alors, la poésie prend ici sa place - ce qui revient au même, mais sans le vivre.

    Depuis que je parlais de souci ontologique de toute façon, et avec cette donation poétique de l'être, on tend vers Heidegger, dans l'idée. Mais Heidegger n'était pas païen. Heidegger se la jouait post-nietzschéenne, en disant que seul le dernier dieu nous sauvera (parallèle avec le dernier homme nietzschéen). Personnellement je vis l'expérience de plusieurs dieux, archéofuturiste. Cela ne change rien, dit rationnellement, à la poésie, qui elle ne se laisse pas si bien rationaliser, pour être vécue. En l'occurrence, je disais Alea Athena.

    OK. Mais je trouve tout de même que c'est une manière bien cynique de répondre à la question "Pourquoi doit-il y avoir quelque chose ?". Même si je dois avouer que la réponse ainsi donnée fait réellement sens. Cynique car par exemple le fait même que vous ayez pris "la peine" (!) de me répondre, par cette implacabilité, pour qu'il y est quelque chose justement, signifierait que quelque part vous vouliez me haïr !

    Mais alors au lieu de cela, ne peut-on pas simplement répondre à la question de départ en l'expliquant par la volonté de puissance. Pourquoi doit-il y avoir quelque chose ? Parce que l'existence même est volonté de puissance ! Tout en se rappelant que Nietzsche avait étendu la notion de la volonté de puissance mêmes aux êtres non organiques, à toute chose.

    Mais peut-être qu'il faut voir que derrière la notion de la volonté puissance il y a toujours cette raison qui est l'implacabilité ?! C'est à dire qu'en faisant une psychanalyse de la notion de la volonté de puissance on retombe encore sur l'implacabilité... On en arrive à un point où on se dit qu'effectivement l'existence est une belle farce !!

    Enfin, je pense ici à @Boutetractyxreqs qui explique tout par la douleur/indolore et il faut avouer qu'il n'a finalement pas tort... ;) 

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