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Auger

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Messages posté(e)s par Auger

  1. il y a 1 minute, Elisa* a dit :

    :D
    Il est certain que la com’ change tout ac les vecteurs actuels : tout est relaté, décortiqué, parfois même amplifié ou déformé. C’est pratiquement incontournable.

    Cette visibilité met le focus sur des phénomènes sûrement pré-existants qui passaient plus ou moins sous silence, semblant moins prégnants. 

    (ça fait 3 fois : ch'te cause plus !:D)

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  2. il y a 8 minutes, kinobunika joy a dit :

    Plouj bonjour,

    j'avais entendu dire que sur les champs de bataille en 14-18 les survivants, souvent pieds nus retiraient les chaussures des morts, pour

    s'en chausser, est ce que nous en sommes là ?

    Belle journée à vous.

    Il peut être logique de perdre tout "sens commun" en période de crise grave (comme ton exemple sur les tranchées) ; pour autant, est-ce acceptable dans notre société actuelle où, quoi qu'on en dise, nous ne sommes pas (encore) dans une période de grande tension (guerre, "vraie" épidémie, famine,...)

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  3. il y a 8 minutes, Plouj a dit :

    Je ne me souviens pas avoir connu, ni même avoir entendu mes parents parler de violence à ce point. Papa lisait pourtant son journal à fond tous les jours et nous abordions bien des sujets.

    La violence était-elle localisée en des endroits très précis et pas un peu partout (écoles, rues, lieux de culte, salle de spectacle, etc.) ?

    Est-ce que ça existait et on en parlait moins (pas de réseaux sociaux, moins d'infos rapides ou "immédiates",...) ou est-ce que la société s'est violentisée (je dépose ce mot à l'Inpi avant qu' @Elisa*ne me crie dessus :laugh:)

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  4. il y a 6 minutes, Elisa* a dit :

    Ce qui m’interpelle c’est le manque total d’empathie : tuer un autre ne produit aucune réaction, de réflexion, hormis le désir et donc le fait d’éliminer une personne qui dérange pour des motifs plus ou moins futiles. On ne supporte aucune frustration, on agit, on ne s’embarrasse pas, ceci sans guère d’émotion apparemment.
    Un peu comme dans un jeu vidéo… 

    ça fait déjà deux fois que je suis complètement d'accord avec toi aujourd'hui : ça commence à faire beaucoup ! :D

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  5. il y a 2 minutes, MadeleinedeProut a dit :

    Ben non passque y'a aucun mot qui s'écrit comme ça! que y'a même pas une apostrophe qui soit admise après pas......voilà!

    on fé pa tou sa kon veu aveque la langue franssaise!

    Ben si :

    Un espèce (entendu à longueur de journée)

    La chose auquel (c'est un homme qui parle) je pense (employé tout le temps)

    Consumérisme (on a fini par en changer le sens à force de l'employer à l'envers)

    etc., etc., etc.

  6. il y a 4 minutes, Plouj a dit :

    Tu obtiens les réponses habituelles.

    En France, cela a toujours existé !

    Les enfants mineurs de 11 à 16 ans ont toujours tué pour se servir.... :sleep:

    C'est vrai, mais la violence actuelle (s'acharner sur un ado. jusqu'à le tuer, par exemple) équivaut-elle à la violence des années 60 où on se filait quelques coups de poings pour un blouson ou un paquet de cigarettes (bon, ok, je caricature un peu)

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  7. à l’instant, Elisa* a dit :

    :D Je ne suis absolument pas énervée mais j’ai une profonde lassitude de lire à longueur de temps des invraisemblances… on dirait que les gens ne font plus aucun effort pour être lisibles. 

    Pas faux ! ça va avec le reste : se foutre de tout et de tous !

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  8. à l’instant, Elisa* a dit :

    Le problème c’est que nous sommes à l’écrit… que @Blaquièreest le premier à être sensible au vocabulaire, que nous sommes dans « Littérature » et que franchement, lire des fautes aussi énormes sur des mots aussi simples, même en supposant que ce soit voulu je trouve que ça plonge un peu plus dans l’illettrisme.

    Ce qui ne relève pas abaisse… ce que je peux comprendre de certains, passe moins bien concernant des personnes d’un certain âge semblant avoir une certaine culture des langues.

    Ne t'énerve pas, je taquinais juste...:)

    il y a 1 minute, MadeleinedeProut a dit :

    On peut l'écrire "pas que" aussi:o ou "pas queue":8P:

    Et pourquoi ? Pas' que ! :D

  9. il y a 6 minutes, Elisa* a dit :

    J’en pense déjà que… attaché comme tu sembles l’être aux racines d’un langage comme le provençal que tu nous décortiques particulièrement il serait cool que tu ne nous massacres pas un mot simple et chargé de sens pour pas mal de monde « Pâques ».

    Cela dit, d’une part, je n’ai aucune croyance et d’autre part, je ne saisis pas le fondement de ton sujet… 
     

    Peut-être que ça s'écrit comme ça dans son patois provençal ?

    Et tu noteras (je te taquine) que, pour d'autres, c'est Pâque:)

  10. il y a 4 minutes, Elisa* a dit :

    Oui une plaie, un fléau !

    Et je sais hélas fort bien de quoi on parle je le vis pratiquement au quotidien dans le cadre de mon taff mais pas du côté qui t’intéresse.

     La jalousie peut tourner à l’obsessionnel.

    La personne jalouse est sur tes côtes non-stop, t’observe en permanence et interprète le moindre mot, la moindre de tes réactions pour tenter de te dénigrer, voire te démolir.

    La jalouse peut même aller jusqu’à manifester sa haine sans scrupule ou le faire discrètement de façon insidieuse… elle te cherche sans cesse par tous les moyens possibles dans le but de te perturber dans ton taff, de faite perdre ton calme, ta bonne humeur et te faire mettre en maladie ou démissionner. Tout est bon pour t’éliminer !

    C’est un poison qui détruit à petit feu si tu n’essaies pas de te recentrer et de ne surtout pas rentrer dans la confrontation car la jalouse a le vice, le machiavélique en elle pour te dégager. 

    C’est ce que je vis… et quoi que je fasse, la personne jalouse ne lâche pas l’affaire : elle ne supporte rien de ma part, ce qu’elle veut c’est se rendre intéressante auprès des autres collègues et responsables pour exister. 

    Donc elle essaie d’isoler l’autre, de la décrédibiliser, de lui faire péter un câble.

    C’est ça une putain de psychopathe de jalouse qui ne supporte pas de perdre même un minimum de l’attention des autres, de ne pas/plus la capter au bénéfice d’une autre personne.

    Pardon mais suis excédée justement par une jalouse qui pourrit chacune de mes journées de taff… 

    Je me demande s'il n'y a pas une forme d'admiration refoulée (de la part de la personne jalouse) dans ce que tu décris.

    Nota : j'emmerde royalement ceux qui m'accuseront de psychologie de comptoir ; j'essaie de comprendre, c'est tout.

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  11. à l’instant, Axo lotl a dit :

    ça marche si on ne s'attache pas; dès le moment où la personne prend une place centrale dans notre vie, je crois qu'accepter toute modification de la relation est douloureux.

    On peut s'attacher avec une forme de lucidité, non ? Sans forcément être dans des conneries du style : "je t'aimerai toujours !!).

    Moi, je ne sais déjà pas si j'aimerai toujours les frites demain, alors le reste...

    il y a 1 minute, Elisa* a dit :

    Grave je sais pas mais désolant ! 

    Mais non : lucide !

    C'est comme si tu disais que c'est désolant de dire que l'on va tous mourir : c'est vrai, pas grave, une réalité, faisons avec !

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  12. à l’instant, Axo lotl a dit :

    je crains que vous ayez raison. 

    Au fond est-ce si grave ? Une fois qu'on a réussi à accepter les choses comme elles sont (en partant du postulat que je ne me trompe pas, ce qui est loin d'être certain :D) ; on fait avec, on accepte le réel (ou  sa propre vision du réel), sans se prendre la tête (mais je reconnais que c'est facile à dire).

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  13. il y a 1 minute, Axo lotl a dit :

    pour vous, une relation peu importe sa nature, doit s'accompagner de confiance pour fonctionner, confiance en soi d'abord et confiance en l'autre ensuite (je résume ce que j'ai compris)

    je ne sais pas, j'ai l'impression d'avoir des relations (assez superficielles certes) avec des gens en qui je n'ai aucune confiance. 

    j'ai déjà aime très intensément des personnes qui n'avait aucune confiance en moi. Pour moi les deux ne sont pas associés. je pense que c'est génial les deux ensembles, mais je crois aussi que c'est très rare en fait.

    Peut-on avoir durablement confiance en quelqu'un ? Je crois que c'est impossible, dans la mesure où on change chaque jour, chaque heure, chaque minute... La personne en qui j'ai entière confiance aujourd'hui aura probablement déjà changé demain, pourrais-je toujours lui octroyer la même confiance ?

    Alors lier Amour et confiance... Bonjour les dégâts.

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