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Dictho

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  1. Orchidée ou testicule ? Vous devez déterminer si ces noms avec orchi- ou orchido- concernent en médecine les testicules ou en botanique les orchidées. En effet, le nom de l'orchidée est dérivé du latin orchis, du grec ο ρ χ ι ς « testicule », puis « orchidée » d'après la forme de la racine (les tubercules jumeaux ressemblent à 2 testicules). Créateur Dictho Type Mode apprentissage Nombre total de questions 12 Catégorie Langue Française Envoyé 07/29/20  
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    • 12 Questions
    Vous devez déterminer si ces noms avec orchi- ou orchido- concernent en médecine les testicules ou en botanique les orchidées. En effet, le nom de l'orchidée est dérivé du latin orchis, du grec ο ρ χ ι ς « testicule », puis « orchidée » d'après la forme de la racine (les tubercules jumeaux ressemblent à 2 testicules).
  2. Cheval et compagnie Voyage parmi les mots ayant rapport aux chevaux. Créateur Dictho Type Mode apprentissage Nombre total de questions 8 Catégorie Divers Envoyé 07/28/20  
  3. Dictho

    Cheval et compagnie

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    • 8 Questions
    Voyage parmi les mots ayant rapport aux chevaux.
  4. On disait un connil ou conil, connin, conin pour désigner un lapin, conniller ou coniller pour fuir ou se cacher comme un lapin ou user de subterfuges. Une connillière ou conillière étant une garenne ou un clapier ou un subterfuge, une échappatoire. Le nom (un) connil ou connin vient du latin cuniculus « lapin ». Les termes plus connus sont une cuniculicultrice ou cunicultrice, un cuniculiculteur ou cuniculteur, pour une éleveuse, un éleveur de lapins domestiques. La cuniculiculture ou cuniculture étant l'élevage de lapins domestiques, une substance cunifuge faisant fuir les lapins sauvages et les lièvres. Peut-être connaissez-vous ces termes ? lapiner : pour une lapine, mettre bas. une lapinière : un lieu peuplé de lapins ; un clapier. un lapinisme : une fécondité excessive comparable à celle du lapin. un lapereau : un jeune lapin.
  5. un constable : en Grande-Bretagne et aux États-Unis, un titre donné aux officiers de paix, puis à leurs agents ; dans la marine impériale allemande, un maitre-canonnier ; dans l'armée impériale autrichienne, un artilleur. elle ou il est constabulaire : est du constable. un constabulaire : le gouverneur d'un château. Le nom (un) constable vient de l'anglais constable, désignant un officier engagé pour remplir des fonctions de police dans une paroisse ou une municipalité (parish ou petty constable) ou un personnage officiel chargé du maintien de la paix publique dans tout un district (high constable), ce terme étant une spécialisation d'emploi de l'ancien anglais conestable, connestable emprunté à l'ancien français (connétable). un connétable : un grand officier de la Couronne ; un commandant en chef des armées royales ; une fonction remplie au sacre du roi par un maréchal de France ; un titre donné lors de son avènement par Napoléon 1er. On lit madame la connétable. une connétablie : la juridiction du connétable, et plus tard des maréchaux, chargée de juger les crimes et délits des gens de guerre ; le personnel de la connétablie, les gens de guerre relevant du connétable et ayant des attributions d'ordre judiciaire. Le nom (un) connétable vient du bas latin comes stabuli littéralement « comte de l'étable » « grand écuyer » puis « chef militaire »
  6. Une contemptrice, un contempteur, c'est celle, celui qui méprise, qui critique violemment et avec mépris, qui ne tient aucun compte de quelque chose, ou qui dédaigne habituellement. Une personne contemptible mérite la contemption, le mépris, est méprisable. Un contemnement est un mépris, l'action, le fait de contemner. Contemner signifie mépriser, exprimer son mépris. Le verbe contemner est emprunté au latin classique contemnere « tenir pour négligeable, mépriser ». Le mot contempteur est emprunté au latin classique contemptor (de contemnere, voir : contemner) « qui dédaigne, qui méprise ». Le nom (une) contemption est emprunté au latin classique contemptio « mépris ».
  7. Dictho

    ForumFr

    @ Ame errante : C'est un problème occasionnel que l'on rencontre avec d'autres sites. Pour les administrateurs : j'avais perdu l'espoir de trouver un forum qui ne soit pas dirigé par un gourou qui exclut de facto ceux qui ne lui conviennent pas ou les éreinte pour les faire fuir. Le vôtre est très intéressant. Cependant, il n'échappe pas aux écueils habituels : par exemple, une des lois internetielles est qu'après une dizaine de messages apparait l'insulte réelle ou supposée, ou tout du moins une certaine animosité. On constate aussi inéluctablement une dérive par rapport au thème initial. Cela n'est pas de votre fait. Mais voici ma proposition : laisser la possibilité à celui qui a lancé un forum de le clore (sans le supprimer) lorsqu'il estime que cela n'apporterait rien de le prolonger. C'est ce que je souhaite par exemple pour http://www.forumfr.com/sujet567164-pour-faire-beaucoup-moins-de-fautes.html . Est-ce faisable ? Bonne continuation.
  8. J'avoue que je ne comprends plus qui s'adresse à qui et que je ne discerne pas d'insulte dans les propos que je lis... D'autant qu'ils se distingu(ai)ent par leur qualité. Je me permets de rappeler le parallèle entre la grammaire et l'internet : le but de celle-ci ne devrait pas être une étude systémique et pointilliste de la langue mais de faciliter la compréhension et donc la communication.
  9. Comment pourrait-on maitriser cette conception en se basant sur l'exemple "le substantif an est transféré en adverbe" ? Comment peut-on prétendre aider à améliorer la langue avec tous ces salmigondis ? Ma conception est simple : La grammaire est l'internet de la langue. Cordialement. Mais rappelez-vous (vous avez indiqué votre âge) les messages codés que vous utilisiez pendant votre jeunesse, l'orthographe approximative des messages qui circulaient entre écoliers et qui étaient parfaitement compris, les différents argots que vous entendiez, les patois et les parlers locaux qui étaient encore usités. Cela a-t-il nui à notre langue ? Que nenni ! C'est même un enrichissement permanent par les échanges, codages et décodages... Et soulignons que le langage texto est complexe... Bien textoter n'est pas à la portée de tout le monde, en tout cas, il me faudrait un temps d'apprentissage...
  10. Il est vraiment dommage que l'imparfait du subjonctif soit tombé dans les oubliettes. D'une part, son usage est simple : Il faut qu'il parle. Il fallait qu'il parlât. D'autre part, son mode de fonctionnement est régulier. Prendre le passé simple (avec tu) et utiliser les terminaisons -sse, -sses, -^t, -ssions, -ssiez, -ssent. tu vins il fallait que tu vinsses J'avais commencé une recherche sur les ressemblances avec des verbes en -asser ou -isser au présent de l'indicatif à cette page. Vous dites fort justement que "la nécessité d'orthographe parfaite n'est point évidente". Mais l'orthographe peut-elle être parfaite ? Les dictionnaires ne sont que des outils (indispensables). Ils diffèrent souvent et présentent des choix discutables, basés sur leur corpus de référence. En ce qui concerne l'origine des mots que j'utilise pour les familles étymologiques dans le Dictho, il faut préciser que beaucoup ont été modifiés en raison d'une ressemblance avec un mot souvent utilisé. Ma culture étant fort limitée, pourriez-vous expliquer votre jeu de mots ?
  11. @ chirona Concernant France Inter, j'ai le souvenir d'un dirigeant d'une très importante entreprise qui avait promis à une de ses relations d'employer un subjonctif imparfait, il y a quelques années. Il se vanta après l'entretien d'avoir dit une formule du genre "il fallait que la France utilisasse d'autres méthodes". Je pense que personne n'a osé (ou su) lui faire remarquer qu'il convenait de dire "que la France utilisât". Pour les donneurs de leçon, on voit par exemple le journal Le Monde être le gardien de l'orthographe archaïque (trop quelquefois) et laisser les gardiens de l'orthographe immuable (un mythe bien rentable pour eux) monopoliser les points de vue sur cette question. Et pratiquement chaque jour, on découvre des fautes non détectées par les correcteurs automatiques comme "palier" à la place de "pallier", glue / glu , contentant / contenant. En conclusion, je partage votre avis sur la nécessité de bien écrire, tout en respectant les possibilités de chacun. Comme je l'ai déjà indiqué, je regrette qu'une grande partie des internautes n'ose plus s'exprimer.
  12. Si vous aimez les défis, rendez-vous sur le blog "Le dico des solos".
  13. @ Talon _ Puisque vous utilisez un dictionnaire, vous n'êtes absolument pas nul en orthographe. Les nuls sont ceux qui croient tout savoir, qui ne se donnent pas la peine de vérifier.
  14. @ Talon Votre point de vue est tout-à-fait compréhensible et justifié. Mais je ne peux m'empêcher de penser aux exclus du web, ceux à qui on reproche leur façon d'écrire ou ceux qui n'osent pas participer. Et ce n'est pas nécessairement de la négligence ou de la provocation. J'ai rencontré de nombreuses situations de dysorthographie qui n'est prise en compte que depuis peu, ou d'élèves qui se sont retrouvés en situation d'échec, du fait notamment de l'incohérence des apprentissages. Aussi j'évite de juger sur le seul critère de l'orthographe. NB : Le suffixe -logie signifie certes langage mais davantage au sens de la parole, du discours. (CNRTL) Ce qui n'amoindrit pas la portée de votre raisonnement.
  15. On peut aussi élargir ce débat. Quand on voit des médias tel que le Monde proclamer leur attachement à l'orthographe archaïque, on devine que ceux qui déclarent s'opposer à toute réforme, gagnent de l'argent en vendant des bouquins basés sur cette prétendue complexité. Et là où ils déçoivent et témoignent d'un manque de respect, c'est que dans le même temps on y découvre "souffre" écrit à la place de "soufre", "contentant" à la place de "contenant",... De plus, ces gens qui avec leur "supériorité" intellectuelle jugent sévèrement ceux qui leur font remarquer que l'orthographe a toujours évolué, omettent de nous dire qu'ils appliquent plus de la moitié des recommandations de l'Académie française en 1990. Alors oui, l'orthographe c'est important, non pas pour juger sur les capacités et les erreurs, mais pour renforcer la communication. NB : Les "fautes" que fait celui qui apprend la langue française m'intéressent beaucoup car elles permettent de comprendre sa démarche de découverte de la langue.
  16. Je ne pense pas que ce soit le fait des poètes. On subit encore des graphies "simplifiées" qui pouvaient être tolérées du temps des machines à écrire. Quand on pense qu'on a encore des claviers inadaptés à la fréquence des lettres et qui obligent à taper un code ou à choisir un caractère spécial pour écrire cœur... L'informatique a mis un certain temps à s'adapter aux nécessités de la langue, ce qui fait que même dans des sites de référence, il faut souvent deviner s'il faut écrire æ ou œ. On voit aussi encore des majuscules sans accent. Dans les listes de mots, les accents passent après les autres lettres, les mots avec un trait d'union sont avant les autres. Dans le Dictho, ces anomalies sont rectifiées.
  17. Je suis d'accord avec vos remarques. "L'important c'est la compréhension du message qu'on veut faire passer !" Oui mais ce n'est pas vrai dans tous les cas. L'orthographe reste un moyen de sélection élitiste contrairement à d'autres pays qui privilégient l'oral à juste titre. Le fait que les journaux et les dictionnaires continuent à imposer des graphies aussi absurdes que "interpeller" est révélateur. L'orthographe reste un des premiers critères de sélection professionnelle par des gens qui n'en connaissent pas les rectifications admises. D'autre part, les livrets indiqués dans le premier message sont le fruit d'une importante recherche à partir de listes de mots et les règles ne sont pas alambiquées comme dans les manuels. Elles permettent de constater que certaines règles apprises à l'école sont inutiles car concernant peu de mots ou sont fausses. Par exemple, il y a maintenant plus de noms en -al qui font leur pluriel en -als qu'en -aux. Pour Clou quantique, je partage son avis pour l'impression que l'on donne avec une "mauvaise" orthographe (ça permet de trier rapidement les e-mails) mais je sais aussi que les difficultés peuvent être très importantes, en cas de dyslexie par exemple. C'est pourquoi le site Gaétan Solo propose de très nombreux outils et exercices.
  18. Pour ceux qui ne les connaissent pas encore, voici quatre livres à télécharger gratuitement : Les mots qui se ressemblent : homonymes et paronymes. Livre de conjugaison (110 exercices). Livre d'orthographe (98 exercices). Règles d'orthographe. C'est à cette page : https://sites.google...vres-a-imprimer
  19. Dictho

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