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Mórrígan

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Tout ce qui a été posté par Mórrígan

  1. Bonjour ici, J'ai testé sans trop y croire "Poches et cernes" de chez Oenobiol, (entre 25 et 30€ en parapharmacie). Ma peau est très fine, et les vilaines cernes, je ne vois tout le temps que cela, elles sont limite bleu fluo (j'exagère si peu) et même après une nuit de sommeil, complète et paisible. Dès la première application du produit (le matin), on ressent d'emblée un effet tenseur. Les cernes n'ont pas disparu totalement et par magie (les secrets de grands-mères, la crème anti-hémorroïdes et les sachets de thé, c'est de la bêtise au passage, et merci les allergies pour les peaux fragiles), mais néanmoins sont moins visibles sur le long. Quand le tube est fini j'attends une semaine afin d'appliquer à nouveau le produit. https://www.oenobiol.com/fr_fr/product/poches-cernes/ J'ai également testé la palette Gingerbread Spice de chez TooFaced (à partir de 45€), toujours aussi fan de leurs palettes de fards. Belle pigmentation, excellente tenue, une odeur agréable. Idéales tant pour un maquillage de jour, comme du soir.
  2. @Tequila Moor La coordination des mouvements, l'effort de concentration afin d'accomplir ces différentes tâches à la fois, tout en étant aspergé ou avec les yeux bandés, c'est proprement hallucinant. Chapeau bas. Cela devrait être intéressant à observer sur un électroencéphalogramme. Musicalement parlant, la voix du "papa" est jolie, parfois masquée par le brouhaha des instruments environnants, bouteilles en plastique et synthé, et le xylophone. Le xylophone surtout, je n'y arrive pas, trop aigu, trop strident. La voix des gosses n'est pas sans évoquer l'école des fans... Joli effort de coordination de leur côté toutefois, également. La relève devrait être assurée. Belle performance, mais honnêtement, je n'ai pu écouter jusqu'à la fin.
  3. Il y aura toujours des individus qui resteront dans la stricte observance des textes, même en interdisant. La réaction des religieux à l'interdiction n'a pas été d'abonder en son sens et se soumettre à l'autorité, non, davantage de la remettre en question, de protester. La religion surpasse pour eux, la justice, la religion surpasse tout. Ce qui est gravissime évidemment, c'est que ces textes servent la parole d'hommes d'il y a des siècles, et des individus n'acceptent pas de prendre le recul nécessaire et de vivre en adéquation avec notre époque. Les traditions à la con, oui, c'est peu de le dire... Le problème est insoluble, tant que les religions subsisteront, donc sans doute à jamais. Je comprends bien que le sujet soit pour vous très sensible, ne vous en faites pas pour cela. Ne pas porter plainte n'est pas un manque de courage, à mon sens, mais j'ai compris l'idée. Toutes les femmes n'ont pas la même sensibilité, le même entourage, les époques sont toutes différentes et les mentalités qui s'y accordent, également. Aujourd'hui, avec un phénomène comme la libération de la parole des femmes, il y a une prise de conscience collective (et même s'il reste encore du chemin à faire). Si les victimes sont toujours blâmées, celles-ci sont davantage encouragées à porter plainte. C'est ensuite plus ou moins bienveillant. Certains y vont à grands renforts d'injonctions aussi, et humainement parlant, c'est à se demander comment une mentalité si dégouttante, et avec tout ce que nous savons, peut être possible encore en 2018. Le psychisme a ses secrets et vous aviez enfoui pendant toutes ces années ce qui est source de douleur, de frayeur, c'est ce que le vieux Freud aurait appelé un mécanisme de défense. Tout a ressurgi suite à une conversation au sujet du viol et puis lors d'un examen gynécologique douloureux. Logique, mais néanmoins impossible à vivre depuis, barrière à une vie sexuelle épanouie, si non, normale. Vous pourriez en discuter, non pas avec des indigents, davantage avec un professionnel voire d'autres victimes (groupes de discussion). Au sujet de cette jeune fille, violée, partie trop tôt, celle-ci consommait, semble t-il beaucoup de drogues. Elle était connue des services sociaux d'abord, de la justice ensuite, elle a dealé et récidivé plusieurs fois. C'est une véritable descente aux enfers. Le social et la justice ont échoué. La préoccupation du gouvernement devrait être, aussi, à mon sens, la drogue, une des causes de mortalité première chez les jeunes, qui n'ont (plus) rien. Le viol ne doit absolument pas être toléré évidemment, et les violeurs empêchés et punis. Axer juste sur le viol et les migrants, clandestins ou non d'ailleurs, n'est pas répondre pleinement au sujet, à mon sens.
  4. Ouch... sans être concerné(e) ou avoir vécu, je pense que l'on peut entendre la colère et compatir sincèrement. J'espère que vous êtes entourée jacky et que vous pouvez de tant à autre décharger votre sac. Et en attendant des has been, en mal de notoriété, clament que : "que l'on peut éprouver du plaisir à être violée" ou "que l'on peut guérir d'un viol, et qu'elle aimerait avoir été violée, afin de le prouver". Cela fiche la nausée.
  5. Le Conseil de l'Europe s'est positionné en contre en 2013, invitant par la même, à prendre des mesures contre les violations de l'intégrité physique des enfants (ce qui vaut aussi bien sûr pour l'excision). Le président Hollande, suite à des polémiques, et analogie entre excision et circoncision (injustifiée et calomnieuse selon les instances religieuses), a rassuré tout ce petit monde en annonçant qu'il n'était pas question de remettre en cause la circoncision. Il semblerait qu'elle soit toujours tolérée, ainsi le "droit à l'éducation religieuse" prévaut officieusement sur les droits de l'enfant.
  6. L'excision est une abomination, personne n'écrit le contraire ici. Je m'interroge également quant au bien fondé de la circoncision, en dehors des raisons médicales, évidemment : les garçons n'ont-ils pas de "droit au corps" également ? Et puis qu'est-ce qu'il en fait le rabbin ensuite, une salade de prépuces ? Ah non, c'est vrai qu'il faut les enterrer. Il y a des histoires de succion après circoncision qui circulent et j'espère vraiment que ce ne sont que des histoires (c'est immonde). La religion fourre son gros nez partout là où elle ne le devrait pas, dans la sphère privée, le corps, l'intime... et c'est si étonnant que cela déraille à ce point-là ensuite ?
  7. Bonjour libredeparler, Pas de passage précis, c'est toute la tribune qui est remise en cause, si le texte était sous format papier, le "stabilo" en recouvrirait toute la page. Je vous l'ai déjà écrit et ai pris soin aussi de vous expliquer pourquoi tout est dérangeant. Ça ne me rassure pas de vous lire affirmer qu'il n'y a rien de choquant dans cette tribune. Votre âge n'est pas un handicap pour échanger sur un forum tant que vous percutez... Quand vous évoquez un premier travail, il me permet aussi de situer dans le temps l'événement et certaines périodes de notre histoire sont plus empreintes d'une certaine mentalité très libérée ou trop libertaire peut-être (post 68, les années 80). Libre à vous de la jouer vexé à outrance ensuite. En vous souhaitant une agréable ce que vous voulez.
  8. Bien sûr, il n'existe pas de gène de la soumission, cependant certains gènes influeraient sur le comportement de dominance sociale ; et la religion relève bien du culturel. Si la culture migre avec ses migrants ? Évidemment, par contre nous avons déjà en France, des "spécimens" qui ont une culture très analogue (les pratiques barbares en moins). Il y a de toute façon un tronc commun en ces religions et leur rapport à la Femme est toujours, le même. En Europe, les mentalités évoluent et d'autant quand il y a une distance avec les religions. Là où la croyance est plus forte, les femmes sont systématiquement piétinées (Italie, Irlande). Quand le rapport à la croyance est "extrême", tout est à redouter, surtout pour les femmes.
  9. Oh mais comme je suis étonnée de cette prise de position, si soudaine, je ne my attendais pas du tout, du tout. Se faire pétrir le genou par un strict inconnu (en dehors d'un massage thérapeutique hein), c'est quoi pour vous ? Subir un baiser d'un producteur en chaleur de deux fois son âge, qui fait trois fois sa poids, ne pouvoir s'en dégager, c'est quoi pour vous ? Oser écrire que l'agression sexuelle n'est pas toujours si mal vécue, qu'avoir affaire à un frotteur dans les transports en commun n'est pas dramatique et un non événement, c'est quoi pour vous ? Mais ça se comprend au fond, ça se défend, mais oui, ces signataires sont si défraîchies que si même les délinquants sexuels prennent peur de les agresser sexuellement, cela va devenir beaucoup plus compliqué pour elles d'obtenir un poste, un rôle, il va falloir qu'elles soient réellement brillantes, trop dure la vie ! Minimisons l'agression sexuelle avec Catherine Deneuve et Sophie De Menthon, dédramatisons le viol avec Brigitte Lahaie et Catherine de Millet, et dans la prochaine édition : acceptons avec le sourire les tartes dans la gueule avec les 100 signataires de cette tribune misogyne au possible et mensongère. Être une "psy", une historienne, ou une refoulée de l'ENA n'est pas argument en la matière, chaque jour nous pouvons constater au quotidien ou à travers les médias que des "intellectuels" ne sont pas que des demis-cons, non, en effet, ils peuvent l'être totalement. Si je peux dire à des hommes qu'ils se comportent comme des zouaves et prends le temps d'en éduquer quelques uns, de temps à autre, malgré un entourage très frileux, je vous laisse imaginer ce que je pourrais dire à ces dames, de plein fouet (et d'ailleurs il faudrait croire qu'elles l'aiment). La morale n'est légitime qu'à la première personne, ou ne vaut que pour soi. Ces dames sont, en sus, des écervelées. Si j'en suis votre "grand âge" avancé, les faits se situeraient dans les années 80 et d'ailleurs on dirait que vous êtes en train de nous relater un vieux film porno de ces années-là. Nous sommes en... 2018 ? 2018, ah, je me disais aussi. Vous vivez dans le passé, c'est un souci. Il y aura toujours des individus qui se comporteront de façon déplacée (hommes et femmes confondue), il y en a toujours eu. Aujourd'hui il semble y avoir une prise de conscience autant chez des femmes que chez des hommes, et certains marchent main dans la main, personnellement, je trouve cela chouette.
  10. Bonjour Libredeparler, Lisez la tribune dans son intégralité et vous serez alors libre de penser ce que vous en voulez. Lire ces dames m'a réellement attristée, pour elles. Importuner une femme, l'agresser verbalement et sexuellement n'est aucunement indispensable à la liberté sexuelle. Ce sont des mensonges. Libre à vous de vous laisser embobiner. Ces dames sont libres d'aimer les délinquants sexuels -et même les criminels sexuels si c'est leur kif'- en effet et bien que ce soit une façon de voir les rapports homme/femme très dégradée, tant qu'elles ne se versent pas dans le prosélytisme ou n'acculent pas les victimes... La drague maladroite existe -et c'est la loose et parfois même attendrissant- néanmoins elle ne s'exprime absolument pas de façon agressive et n'est aucunement décrite dans cette tribune (à aucun moment) : la confusion entre drague et agression est bien entretenue ici et c'est excessivement dangereux. Le victim blaming y va bon train et c'est vraiment gravissime. Être athée, c'est croire en aucun dieu. Être laïc c'est tolérer toutes les religions sans en privilégier aucune. Être athée n'induit pas forcément d'être laïc... et je ne serais pas si manichéenne que vous bien que je n'affectionne ni les religions, ni les idéologies. N.B : Faites attention vous allez virer féministe, houlala.
  11. Même constat. J'ai échangé avec des femmes en provenance du Mali, du Niger, de Guinée, c'est assez typique. L'une m'a encore plus marquée que les autres, nous avons sympathisé et elle s'est rapidement confiée sur sa relation avec le monsieur avec qui elle occupe toujours sa vie, et spontanément (l'écart d'âge est de plus de 40 ans). En gros, elle est bien plus libre ici et avec lui, et il ne "l'escalade" pas toutes les 5 minutes. Malheureusement, ces femmes sont éduquées pour être les soumises des hommes, les servir ou les privilégier en toutes circonstances. On retrouve aussi ce genre de mentalité chez les européennes, les plus bigotes.
  12. Je suis complètement impressionnée par ces gens qui font de la musique avec 3 fois rien : Et un drôle d'instrument :
  13. C'est une pratique déjà courante en ce qui concerne les pages professionnelles. Tout ce qui est au public est consultable pour n'importe qui. S'en servir (à des fins commerciales ou de traques), c'est encore autre chose. S'abriter derrière la CNIL, mouais, est-ce qu'elle les empêchera d'aller fouiller dans les messageries quand elles ne sont pas hyper cryptées comme Whatsapp ?
  14. C'est possible aussi, des jeunes hommes sont attirés par des femmes plus âgées. Il y a eu un rapport, il y a deux versions des faits. Donc vous faites des inférences sauvages et je vous renvoie au sujet dédié, je m'y suis largement exprimée : https://www.forumfr.com/sujet809936-asia-argento-aurait-acheté-le-silence-d’un-homme-qui-l’accuse-d’agression-sexuelle.html?tab=comments#comment-11356547
  15. Bonjour libredeparler, Mais tout à fait, ces femmes ont droit au respect sauf qu'elles y renoncent pleinement quand elles se révèlent défenseurs du "droit d'agresser sexuellement les femmes", également à leur dignité. Si elles souhaitent se faire agresser, mais grand bien leur fasse, nous ne pouvons les sauver d'elles-même, après tout. Ces femmes renoncent aussi au respect quand elles parlent d'agression sexuelle en terme de -je cite- "non événement" (c'est un délit, pour rappel) : Comment voulez-vous encourager les femmes à porter plainte -ou leur reprocher de ne pas l'avoir fait comme certain(e)s s'y plaisent- s'il leur est envoyé en permanence un message mensonger, dangereux (=ce n'est pas si grave)?! Elles y renoncent encore quand elles se permettent un texte des plus péjoratifs et des plus blâmants encore envers les victimes. Être victime ne rend pas pour autant la victime plus faible. Être victime, c'est être victime, il n'y a aucune connotation stérile à y apporter en sus. Les victimes n'ont pas à avoir honte, ce sont les délinquants et les criminels sexuels qui sont à blâmer. Il est crucial de ne pas culpabiliser les femmes victimes de violences (quelles qu'elles soient) et de ne pas minimiser les faits. Il est primordial d'assimiler la réalité des violences sexuelles pour mieux les combattre. Les propos que ces bonnes femmes ont tenus au travers et au dehors de cette tribune, sont indignes. Il n'y a pas à tortiller, il s'agit bien de délits et de crimes : tolérance zéro. Des femmes, mais aussi des hommes n'ont pas tardé à réagir à sa parution : Des hommes font partie de mouvements féministes, pas énormément et bien que des mouvements comme "Osez le féminisme" notamment soient très ouverts à la mixité (toutes les femmes ou presque souhaitent le respect, peu de femmes sont militantes ou activistes, déjà, plutôt logique que nous y voyions aussi peu d'hommes), et pour des raisons évidentes peut-être : quand on a des privilèges, on a surtout envie de les garder... Des hommes, dont des personnalités plus ou moins connues, s'expriment en faveur des femmes, comme vous aurez pu le lire ici. J'entends bien que Caroline De Haas ne vous revient pas. Ses interventions, en toute objectivité, en réaction aux déclarations de ces rombières et au moins(moi ce sont elles qui ne me reviennent pas) ont été bienveillantes et salutaires, et heureusement qu'elle a su réagir spontanément et rapidement. Votre tout dernier paragraphe, va totalement dans le sens des interventions de Caroline De Haas pourtant. Cet adage sonnerait plutôt là comme "l"homme impose, la femme doit composer avec" (débrouille-toi avec cela ma grande). Il y a une nette différence entre imposer et proposer. Je vous l'écris une nouvelle fois, la drague n'est pas un souci, la pugnacité n'est pas non plus un souci tant qu'il n'y a pas de menace, agressivité, intimidation. Un compliment sur un chemisier, un sac à main, ou que sais-je encore, n'est pas malvenu, tant que c'est correct, poli, cela peut même indiquer que des hommes sont sensibles au prêt à porter et peuvent être raffinés. C'est positif. Ce qui n'est pas admis et admissible ce sont des commentaires déplacés et à connotation sexuelle sur une tenue vestimentaire ou des parties de l'anatomie visibles et même non visibles du public, de siffler les femmes comme des clébards, de les toucher, de les agresser et d'en abuser sexuellement. Vous aimeriez vous voir une femme strictement inconnue vous sauter sur l'entrejambe, faire des commentaires sur votre pantalon et ce qui se trouve en-dessous, vous foncer dessus, et vous aspirer comme un Dyson ? Ne croyez pas ces rombières, qui n'ont de toute façon, plus rien pour elles, et se sentent ainsi obligées de se ranger derrière les hommes, pour se donner un galbe, ou en être appréciées. Il y a toujours un spectre religieux, son expression la plus parfaite est la subsistance d'individus misogynes et parfois prosélytes en plus du reste (vous les décèlerez notamment sur des sujets tels que le port du voile ou l'obsession de couvrir les femmes très en général, l'IVG, l'euthanasie etc...). La femme est, pour ces religieux, la soumise et l'inférieure, toujours. Au service de l'Homme, elle doit organiser ses mouvements, bouger, penser en fonction des hommes et ne vivre que pour ceux-ci. Ce sont des discours qui ne devraient plus avoir court en 2018. Je ne pense pas non que les féministes aillent faire leurs lois jusqu'aux chambres à coucher, ce sont toujours des délits et des crimes qu'elles dénoncent, pour rappel. Il me semble que certaines figures de mouvements féministes très controversés aient aussi indiqué qu'elles se prostituaient. D'autres revendiquent l'amour pluriel, ou la liberté sexuelle autant pour les femmes que les hommes, et d'autant le féminisme est souvent catégorisé comme une idéologie de gauche. Ensuite, nous pouvons trouver dans ce mouvement encore jeune, toutes générations confondues, de toutes influences politiques, le discours n'est pas toujours unifié. Des femmes se réclament aussi être féministes quand elles tiennent tout de la Femme misogyne (Catherine Deneuve, Sophie De Menton, Brigitte Lahaie, Nadine Morano... et d'ailleurs certaines sont des cagotes avérées, ceci explique cela sans doute). Mieux vaut un réveil tardif, que rien du tout... Eh oui, il se fait soigner, et s'abrite d'ailleurs aussi derrière son addiction sexuelle. C'est bon là, vous allez pouvoir prendre l'ascenseur avec des femmes sans prendre peur ? Donc Jimmy Bennett accuse Asia Argento d'agression sexuelle là où vous vous écrivez carrément que c'est une violeuse. J'en aurais vu d'autres, encore mieux, parler de pédophilie. Il aurait 17 ans et demi à l'époque où il y aurait eu un rapport (et peut-être pas une agression). En France, une femme qui couche avec un jeune de 17 ans et demi est dénommée simplement milf ou cougar et ne tombe pas sous le coup de la justice.
  16. Alors vous vous êtes vraiment trop fort, Caprio peut aller se rhabiller ! Malgré l’enregistrement et les aveux de Weinstein (il ne passera pas aux aveux si facilement, les ténors du barreau qu’il a engagés ne sont pas idiots), le nombre important et toujours grandissant de femmes -de différents milieux- témoignant (ce qui permettra peut-être de dessiner un modus operandi), les dépôts de plainte dans 3 États aux States (eh bah non Asia Argento n’a pas déposé plainte contre « Veyvey », il lui aurait même demandé de témoigner en sa faveur, avant qu’elle ne se rallie à #Metoo), ainsi qu’en Allemagne et en Angleterre (accusé de trafic sexuel), vous demandez à ce que l’on ne s’avance pas trop vite... par contre au sujet D’Asia Argento, vous avez-vous vite de nous faire tomber le couperet. Weinstein est au moins un prédateur et un délinquant sexuel. Ceci dit, je ne m’inquiète pas trop pour lui, il a les moyens financiers de s’en sortir à très bon compte. Il n’y a pas de relevés d’ADN. Il en faudra bien plus pour que cela pour qu’il prenne du pénal et il faudrait au moins convaincre le grand jury. Des rumeurs circulent déjà et aussi au sujet d’un procureur corrompu... Il aurait été agréable que vous preniez les mêmes précautions avec « l’affaire Argento ». Si l’affaire est plus récente (y a t-il une instruction déjà ?) et toujours très floue, vous, vous l’avez déjà jugée coupable de viol. En outre, ce n’est pas parce que cette actrice est vraisemblablement paumée, qu’elle a eu une relation suivie avec Weinstein qu’il n’a pas abusé d’elle à un moment ou à un autre. Nous aurons entendu que quand cet... homme veut quelque chose, il ne demande pas l’autorisation pour l’obtenir. Le cas Weinstein est emblématique de la misogynie de la culture ricaine, pire encore il trouve des échos chez nous. N.B : et rangez-moi ce numéro de pleureuse que je ne saurais voir. Oh complètement dans le sujet... Toute ressemblance avec des personnes existant ou ayant existé et blabla
  17. Vous penchez certes, néanmoins si vous me nommez, vous oubliez aussi de me mentionner ("@" suivi du pseudo, pour votre information et à l'avenir, je vous pardonne ici, puisque vous seriez une "nouveauté"), il convient aussi, dès lors, de replacer la mosquée au milieu du village. En bref, ce n'est pas parce que je me refuse à sombrer dans la démesure, que je suis pour autant aveugle. En accord, dans les grandes lignes, au sujet du 2) et du 3). Une remarque -et les arabophones m'arrêteront peut-être ou pas- le djihad ou le jihãd signifie, "la voie", des extrémistes y ont apposé une "valeur" guerrière. Le message du Coran aurait donc été travesti, une fois n'est pas coutume, par les croyants les plus extrêmes. Il y a déjà pourtant fort à faire avec les écrits religieux. La guerre civile, je n'y crois effectivement pas. Davantage en des actes isolés qui font monter la mayo, et si vous n'y mettez pas de l'huile de pépin de raisin, elle redescend au bout d'un petit moment. Une guerre civile, impliquerait une mobilisation de toute part, or je ne crois pas plus en autant de votes d'adhésion pour le FN, que pour autant de votes d'adhésion pour Macron. Les uns ont fait barrage à l'autre et inversement. La tendance serait, de plus en plus, et si nous regardons autour de nous, à l'isolationisme (États-Unis, Brésil, Russie, Hongrie...), les français n'y sont peut-être encore prêts, ou simplement pas favorables, malgré la grogne des "nationalistes". Autre remarque, et au dehors de votre intervention, remarque générale quant à cet article dédié à cette personnalité politique : il me semble qu'il y a confusion, un brouillage de pistes, erreur ou abus de langage simplement peut-être et je le retrouve à droite à gauche sur ce topic. Ainsi, à mon sens, mondialisation et mondialisme sont deux notions distinctes, mais pouvant s'imbriquer (De Villiers joue là sur ces deux notions). La mondialisation, c'est l'articulation globale des échanges commerciaux transnationaux. Le mondialisme, lui relève, de l'idéologie (un truc en -isme, dites donc encore) et prêche pour la fin des frontières, de la singularité souveraine des États, au profit d'un "pays monde", ainsi le citoyen est "citoyen du monde". Mm, c'est en effet une abjection. La réaction des parents est très froide, et paraît très inhumaine, toutefois, elle n'est pas si rare dans les familles où l'inceste s'est installée, et même malheureusement plutôt fréquente. Des hommes, et des femmes peuvent être des piètres humains, ce qui n'en fait pas pour autant des piètres "dirigeants", c'est peut-être difficile à concevoir et pourtant...
  18. Bonsoir libredeparler, C'est un chouette pseudonyme que vous avez là. Nous devons chérir cette liberté d'expression, mais pas en particulier, surtout en général. La vôtre, la mienne, celles des rombières qui ont écrit cette tribune, celle de Caroline De Haas que vous prenez la précaution d'appeler "madame" etc... Il est impératif qu'à des voix médiatisées (celles de ces actrices, journalistes, bigote et/ou animatrices radio à côté de la plaque) puissent répondre d'autres voix médiatisées (celle de Caroline De Haas, enfin auparavant puisqu'elle a pris "ses congés", celles d'actrices, de politiques réellement engagées pour les femmes, ainsi que pour les victimes de violences sexuelles). Quand ces personnalités se regroupent pour nous pondre une tribune, véritable ode aux violences sexuelles, que celles-ci y ont déjà été prises, font l'objet par la suite d'un bashing, je ne suis pas soulagée par les "bien fait pour toi", je n'ai cure du karma et sais que personne "n'est puni par là où il a péché". Je crois en une ligne de conduite et un réveil, parfois tardif, du bon peuple. Par ailleurs, les plus futés d'entre nous, auront bien compris l'inutilité de la tribune, pour les mieux éduqués encore, son ignominie. Le viol doit être fermement condamné par notre société, il n'est jamais inutile de rappeler encore, que c'est un crime. Dès lors, les propos s'inscrivant dans la culture du viol -comme c'est le cas de ceux qu'ont tenu toutes ces dames sus-nommées- doivent être impérativement contrés. L'apologie au viol, l'apologie au crime doit être contrée. Bien sûr et évidemment que j'ai parfaitement entendu que vous ne tolériez en aucun cas le viol, que vous êtes solidaires des victimes, et c'est ainsi qu'il m'a semblé utile de vous informer des interventions de Caroline Haas (ou de vous les rappeler, si vous en aviez déjà connaissance), auxquelles vous devriez, en toute logique, agréer puisqu'elles sont salutaires. Ce qui est valable pour le viol, l'est aussi pour toute agression sexuelle (condamnation, et les propos doivent impérativement être contrés, encore une fois) bien qu'ils soient catégorisés seulement comme un délit, ayons conscience qu'elles laissent une empreinte néfaste, un sentiment d'insécurité constant et pouvant amener à une grande souffrance psychologique. Que serait la liberté d'expression, sans la liberté de penser ? Les médias nous transmettre. Les médias nous captent, via des moyens rhétoriques souvent, de l'information pas toujours, mais avant toute chose le titre est choisi et il doit être saisissant, percutant. Ainsi comme vous avez pu le voir, cette échange de 45 minutes (on en dit des choses en 45 minutes), avec un journaliste de l'Obs et : ""1 femme sur 2 victime de violence sexuelle. Dans la majorité des cas, par quelqu'un de leur entourage. Donc ça signifie que les agresseurs sont nombreux. 1 sur 2, 1 sur 3 ? Je ne sais pas. Beaucoup"a été traduite par ce même journaliste, il a donc été titré : "Un homme sur 2 ou 3 est agresseur". Cela interpelle, choque, ce journaliste a très bien fait son travail et soyons sûrs que le travail aura été récompensé à hauteur de l'effort. Nous pouvons, évidemment ne nous en tenir simplement à cette manoeuvre manifestement commerciale du média, ou bien, aller plus avant et prendre le temps de lire les propos de la promise, au bûcher. Titrer ainsi peut donner le sentiment aux violeurs qu'ils entrent dans une norme, et c'est évidemment plus que dangereux. Afin de contester les chiffres, il faudrait aussi qu'ils avouent que leur méfaits sont des abjections. Les violeurs peuvent penser aussi, que ce qu'ils font ne va pas à l'encontre du droit ni même à l'encontre de la dignité physique de la personne dont ils abusent, nombre sont ceux qui récusent le non-consentement d'ailleurs...Un indice, peut-être. Pas vu encore le lobby des "violeurs en colère" contre les gros titres de l'Obs. Ce qui vous déplairait surtout (et arrêtez-moi si je me trompe), c'est que Caroline De Haas englobe le viol dans les violences sexuelles, puis revient au viol, switche, et pour vous, crimes et délits finissent ainsi par être mélangés pour le lecteur qui ne prend pas garde. Certains pourrait trouver cela pernicieux, et selon le droit le crime est au-dessus du délit. Pour d'autres, ceci ne rend pas pour autant le délit plus acceptable pour les individus sensibles à la cause des femmes, des victimes plus généralement, ou engagées pour ces causes : tout devient alors inacceptable, intolérable. Quand vous écrivez que "probablement moins de 10% des hommes sifflent les femmes dans la rue", j'ai d'une part à coeur de vous rappeler, l'importance des mots, d'autre part, celle des chiffres. Intuitivement, je vous écrirais que plus de 10% des hommes sifflent les femmes dans la rue, celles-ci l'apprennent parfois bien jeunes, quand elles ne sont encore que des filles, quand elles croisent des hommes, seuls, mais le plus souvent en groupe. Des groupes d'hommes parfois bien plus âgés, des hommes qui ne devraient pas avoir les yeux qui traînent sur les collégiennes (le sac à dos et les livres, en plus des traits encore poupins ne sont que trop d'indicateurs, du jeune âge de ces filles), des hommes qui ont des filles aussi, peut-être, du même âge. Avez-vous déjà entendu parler de ce que les anglophones ou les amoureux de l'anglicisme nomme le "male gaze" ? Littéralement le "regard masculin", sur les femmes. Pas tous les regards, que l'on se rassure (les hommes et les femmes ont encore droit de se regarder). Je vous parle des regards appuyés, évaluateurs, pouvant constituer un jeu entre mâles, et s'accompagner souvent de commentaires déplacés et graveleux sur une tenue, sur le corps des femmes (ce qui se voit évidemment mais aussi, ce qui porte sur des parties plus intimes non appréciables à la vue du public) et nous tombons là pleinement sous le coup de l'outrage sexuel, qui est désormais rappelons-le, un délit). Ce male gaze a fatalement des conséquences -plus ou moins- terribles en ce qui concerne l'acceptation de son propre corps, en ce qui concerne ce sentiment d'insécurité pouvant vous tarauder, quand vous êtes femme, seule -et même en groupe- dans un espace public. Un espace public, qui si par définition, est public devrait appartenir autant à tous les individus et ce en dehors ou en dépit -devrais-je écrire- du cadre genré. #MeToo, la libération de la parole des femmes -qui restent cibles et victimes majoritaires- a eu un effet bénéfique en ce sens, puisque des pères, des maris, des hommes plus en général, qui entendaient auparavant d'une oreille, se rendent aujourd'hui davantage compte de l'ampleur du problème, puisque des femmes, beaucoup, se sont exprimer. La prunelle de leurs yeux, les femmes généralement sont en danger dans l'espace public mais pas que. Des hommes sont ainsi devenus encore plus solidaires, des femmes, conscients réellement des difficultés, des dangers qu'elles affrontent, au quotidien, et c'est aussi ce que révèle l'article. Il n'y a pas de dissensions majeures entre les hommes et les femmes, il y en a entre des hommes (+des femmes) qui couvrent les criminels/auteurs de délits sexuels, et des hommes et des femmes qui s'élèvent contre tout ce petit monde. Pour vous rassurer et encore, ce n'est pas la drague qui est visée, et la pugnacité peut être aussi une qualité, tant elle ne s'accompagne d'une attitude et de comportements menaçants, imposants, agressifs, violents. Des femmes ont tout intérêt à entretenir la confusion, ce ne sont pas les féministes, et je vous laisse deviner pourquoi. N.B : Afin de discerner les réponses en direction d'Anatole et celles qui vous sont en votre direction, il suffit simplement de lire le message original. Elles augmentent de façon exponentielle. Je ne dirais personnellement pas que les victimes sont ridiculisées par la justice, ou du moins le terme "ridiculiser" est mal choisi. Davantage que les mentalités sont encore très rétrogrades, la victime est toujours blâmée, la victime est considérée encore pour beaucoup trop de monde, comme responsable des violences sexuelles du fait d'autrui (c'est abject), auparavant celles-ci été dissuadées de parler, aujourd'hui il leur est reprocher la parole (c'est finalement double peine). Les forces de l'ordre ont encore à être formées. La justice est souvent impuissante tant que les faits sont loin, et se reposer sur l'ADN seulement et simplement n'est que trop expéditif, la justice est débordée certes, la justice doit aussi être conscientisée. Sandra Muller(#Balancetonporc) a exclu les hommes en imposant un cadre genré d'emblée, là où le mouvement #MeToo les inclut puisqu'il s'adresse à toute victime de violences sexuelles, des hommes ont aussi témoigné de l'inceste ou de la violence, du viol, qu'ils ont subis sous ce hashtag. Les contours de #Balancetonporc sont aussi très mal définis : des femmes considèrent que déjà des hommes déblatérant des commentaires et appréciation graveleux à leur encontre, font de l'homme, un porc, ont-elles réellement tort ? L'avantage c'est que des françaises non anglophones, ont pu aussi verbaliser, que le phénomène a pris de l'ampleur dans l'Hexagone, qu'il y a eu une véritable conscientisation des hommes, et des femmes. Vous confondez avec Asia Argento. Des médias, des hommes et des femmes ont peu penser qu'il serait plaisant que le mouvement coule avec celle-ci. La fondatrice de #MeToo est Tarana Burke, qui a aussi rappelé que ce hashtag est mixte, que des hommes s'y expriment tout autant, qu'aucune victime n'est exclue sous prétexte de genre. Des femmes refusent les propositions malvenues qu'il s'agisse du milieu artistique ou d'ailleurs. Certaines s'en sont mieux sorties que d'autres, toutefois face à l'agresseur. Personne n'affirme que des femmes ne couchent pas pour un poste, un rôle, ce qui est dangereux c'est de partir du postulat que puisque cela existe, une majorité de femmes est coutumière de ce fait. C'est souvent le raccourci qui en fait, et d'autant plus qu'il s'agit du milieu artistique. Gageons que la condamnation pourra permettre aux victimes d'avancer. Weinstein est au moins un délinquant sexuel (à moins que vous ne considériez que peloter la poitrine d'une femme contre son gré, malgré son refus, la menacer, n'est finalement que badinage ? Et pour info, il a bien reconnu avoir laisser traîner ses grosses pattes sur sa poitrine), peut-être un criminel sexuel.
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