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Tout ce qui a été posté par Mórrígan
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Si nous en sommes à définir un cadre, c'est que des adultes sont mal très mal éduqués. Dans le meilleur des mondes, cela n'existerait pas, mauvaise nouvelle, nous ne vivons pas dans le meilleur des mondes. Laissez donc Gégé là où il est. Déjà, un titre est fait pour accrocher et ne peut pas faire 5 kilomètres, vous en conviendrez. Le corps du texte sert à développer. Toute violence est à proscrire, aucune violence n'est éducative, ce n'est pas positif. Tous les individus ne reproduisent pas des comportements et gestes inadaptés, inappropriés fort heureusement. Certains le font, ou n'y sont pas réfractaires, malheureusement. Vous trouverez des articles et études en cherchant sur le net. Vous êtes toujours en mode rombière, et êtes passé en plus en mode couard, en sus, de mieux en mieux. L'abus c'est déjà d'être persuadé que c'est une méthode d'éducation : abus de pouvoir de l'adulte, abus de violence, inutile qui plus est. Vous fesser et vous petit taper mutuellement, vous devriez, histoire de ne pas perdre la main.
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Il y aura toujours des vieux de la vieille (ce n'est pas péjoratif promis) pour nous dire/écrire qu'ils ont reçu des fessées et qu'ils n'en sont pas morts (textuellement). La fessée peut faire des dégâts tant sur le plan psychologique, que physique. Elle n'a aucune valeur éducative. À partir de là, il n'y a pas à niaiser, elle doit disparaître de "notre" quotidien. Vous avez justifié son emploi par un manque de temps et apporté l'argument comme s'il faisait autorité, puisque (bien) vécu. Je ne suis pas désolée de vous apprendre qu'il y a d'autres méthodes. Il y a toujours possibilité de faire autrement, de traiter rapidement, puis d'y revenir plus tard, au besoin. J'avais bien compris et vous ne manquez d'ailleurs pas de clore votre première contribution sur le fil par "l'outrance courante des propos sur ce thème me font penser à de la médisance politiquement correcte" (jugement entrecoupé d'un jugement au passage), vous écrivez auparavant que vous "comprenez qu'on lutte contre la maltraitance infantile et tant mieux si cette loi y contribue"(page 5). En d'autres termes, vous avez le séant entre deux chaises et ne pouvez en vouloir à vos parents, que vous chérissez (je ne vous blâme même pas). Maintenant, vous êtes adulte -il semblerait- et les faits remontent à un certain temps, c'était une autre époque. Il serait bon qu'aujourd'hui, le regard change tout à fait sur la fessée/gifle/tape. Qu'une grande majorité des français s'y accrochent bien que cela soit désuet et inefficace, est affolant. Bien sûr que non, cette loi n'est pas simplement juste puisque récente. L'éducation par la violence est une hérésie et avant cela un non sens. Cela ne correspond ni à mes valeurs (qui ne datent pas d'aujourd'hui), ni à l'avis de professionnels.
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Et à ceux qui nous sont revenus sous un "nouveau" format...
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Principe de précaution. Je ne pense pas pour vous, je vis avec mon temps, simplement. Nous avons aujourd'hui le savoir, il serait idiot de ne pas en profiter pour évoluer. Et vous allez me tenir la jupe encore longtemps sur ce point ? Vos parents auraient pu faire autrement, même s'ils avaient peu de temps. À chaque problème sa solution. La fessée/tape/ gifle ne sera jamais la solution. Vous, vous l'avez bien vécu, tant mieux pour vous et pour eux, cela n'en fait pas une méthode d'éducation pour autant. Certains voient en la violence une notion d'éducation, ça équilibre.
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Ce n'est pas marrant, ni enrichissant, de toute façon d'avoir un homme H24 à la maison. Vous ne seriez pas une grande romantique vous par hasard ? (Je croise également mes petits doigts pour cette nouvelle rencontre - lue plus bas).
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C'est bien ce que je vous ai écrit. Personne n'est parfaite. Je ne "tape" pas -et sans vilain jeu de mots- sur le parent qui a failli et se refuse à recommencer. Celui qui en fait un modèle d'éducation, est un idiot à mon sens, voire un gros beauf. Je n'ai jamais eu besoin de lever la main ni sur un enfant, ni sur un ado, pour me faire entendre et comprendre. Vous vous bassinez la couscoussière, tout seul.
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Pas vraiment non et vous n'êtes pas obligé de nous raconter des épisodes de votre vie, s'ils vous touchent autant. J'ajoute que le but n'était pas de vous toucher autant. La gifle est dangereuse. La fessée peut l'être physiquement et psychologiquement (des liens ont été postés sur le sujet et vont en ce sens). L'adulte qui réagit et s'en voudra est tout à fait excusable, parce qu'il ne récidivera pas. L'adulte qui voit en celle-ci un moyen d'éducation (celui qui administrera selon vous de façon réfléchie et "mesurée", sic) est plus inquiétant, c'est très archaïque. Nous sommes en 2018, wake up ! Puisque d'autres choses fonctionnent, la fessée s'avère inutile et est donc à bannir. Mon post est très correct et qui puis-je si vous avez des soucis avec les parallèles ? Certains adultes pensent gagner du temps en ayant recours à la gifle, à la tape, à la fessée, c'est prendre des risques inconsidérés en effet et parfaitement inutile encore une fois. Aucun gain de temps.
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Personne n'a écrit que c'était facile. Il est du devoir du parent d'essayer, toujours, de faire au mieux possible. Certains fessent leur ado, les giflent, sans état d'âme, aucun. Il n'est pas étonnant que ceux-ci se rebellent. Les parents éduquent en priorité leurs enfants, s'ils ont appris des choses qui ne conviennent pas chez la nourrice ou à l'école, s'ils calquent des comportements non attendus vus chez d'autres enfants, les parents ne sont pas obligés d'être démissionnaires pour autant. L'école est censée enseigner et beaucoup comptent trop sur elle afin d'éduquer, ou pallier à leurs manques. Éducation nationale, il y a déjà un souci d'appellation à mon sens (mais ce n'est qu'un avis). Je ne suis pas sûre que la vie ait été plus facile avant, et au contraire même, les adultes étaient tout autant travailleurs si ce n'est plus et ils n'étaient pas aidés de robots ménagers comme nous pouvons l'être. Les transports en commun étaient moins fréquents, l'automobile moins accessible...
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J'essaie de lire tout le monde et certains messages peuvent échapper. Là, en l'occurence votre message est cité dans son intégralité donc non, votre objection n'est pas valable. Peu importe, chausson ou main, la situation vous a échappée et vous avez frappé. Vous ne prônez pas, vous n'assimilez pas que cette violence est parfaitement inutile, c'est différent. Eh non là vous "ralotez" mon bon monsieur, puisque le parallèle -de je ne sais qui- ne vous sied pas, là où ailleurs il vous convenez, plutôt bien. Vous pouvez pronostiquer, Plouj (et rangez-moi ce ton de rombière en crinoline, par pitié), dites-vous que si j'en ai, la fessée et consort sont proscrits.
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On éduque un palais, faire du forcing est tout à fait idiot. "Fessée/gifle", "outil éducatif"," humiliation" : houlala, cela fait vraiment très peur. Un enfant qui a pour habitude de dialoguer avec ses parents, de façon apaisée, qui sera aussi éduqué de façon valorisante et positive aura de toute façon à coeur de ne pas décevoir ses parents. Jamais. Les enfants en bas âge et en très bas âge savent déjà discriminer les visages familiers -encore davantage celui de la mère- et également les différentes expressions du visage. Nous savons par exemple, que des expressions telles que la colère et la peur déclenchent quasi systématiquement les pleurs du jeune enfant. Il y a un langage adapté pour tout âge simplement. Avec un jeune enfant, il faudra souvent y revenir, et privilégier le jeu. Avec un adolescent, échanger et débattre, argumenter et accepter de visionner, les vidéos youtube qu'il peut amener, lui en tant, qu'argument, lui faire lire des sources, jugées plus sérieuses, et encore en débattre.
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Vous voilà bien inspiré... Il y a effectivement des adultes qui ont recours à cette méthode (des dingues) ou laissent les enfants devant leur assiette pendant des heures (des idiots), et j'en passe et des meilleures. Vous ne pouvez de toute façon faire autrement, c'est un package, si vous supprimez la fessée, vous supprimez la tape. Vous n'avez pas un "fesséeomètre", eh bien les juristes non plus. Quand à la gifle ce doit être le summum (sic). Rappelons la dangerosité de la chose sur le plan neurologique, en plus du psychologique, une commotion cérébrale peut si vite arriver. Tous ces gestes restent inappropriés, c'est toute une violence envers l'enfant, qui est complètement à bannir. La gifle, tout comme la fessée et variantes sont un exécutoire pour le parent qui ne sait maîtriser ses nerfs, elles resteront toujours injustifiées. Certains parents regrettent leur(s) geste(s) ensuite, ils ont failli et ils le savent. Des enfants, adolescents leur font payer verbalement, physiquement (et vous vous semblez être une bonne pâte, tant mieux pour vos parents), ou par le mépris, une fois devenus adultes et tant pis pour leurs parents. (Eh bien si cela ne vous plaît pas, prenons les châtiments corporels dispensés en prison, dans les pays, les moins civilisés... une bonne correction). J'aimerais vous rassurer et puisque vous voyez des ambiguïtés là où elles ne sont pas : je n'ai cure que vous ayez des enfants ou non, cela ne nous regarde pas ici, cela ne m' intéresse pas. Ce qui est effrayant, c'est que des français puissent s'accrocher encore à ces violences, y voir là une possibilité, et pire encore une méthode d'éducation. Je comprends les parents qui regrettent leur geste, moins et même pas du tout ceux qui en font la promotion. Bonjour Prométhée_Hadès, révérence, Vous voyez mal ? Les enfants sont sacrés et à protéger de tout abus, de toute violence. Est-ce plus clair ? Il n'y aura jamais de fessée bien méritée (quelle drôle d'idée), la fessée n'a aucune espèce de vertu éducative. Si elle était la clé de la bonne éducation, cela se saurait. Bon exemple le feu et il fascine parfois les enfants : si vous mettez une tape, voire une fessée à l'enfant qui tente de mettre sa main au feu sur la cuisinière, il y a nombre de chances pour qu'il tente à nouveau, ou à l'occasion d'un barbecue, en ouvrant le four etc... A contrario, si vous prenez le temps de lui expliquer (après l'avoir éloigné) qu'il faut y faire attention et dans toutes ses formes, que des individus, même les adultes, ne maîtrisent pas toujours, qu'il faut prendre garde, lui montrez par exemple que vous vous êtes brûlé vous-même (la cicatrice, la cloque), il y a des chances pour qu'il vous écoute et retienne justement la leçon et vous gagnerez du temps. Un enfant est un adulte en devenir, il convient de lui enseigner les choses, de dialoguer, répondre à ses interrogations. Punir un ignorant, le frapper, devrait vous sembler idiot, pour un enfant, qui est en quelque sorte une toile vierge, c'est exactement la même chose. L'enfant, vous le façonner, et cela peut prendre du temps, il faut le savoir. Aucun enfant n'est identique, c'est certain, si certains caractères sont plus trempés que d'autres aussi, si certains méritent ce genre de punitions et pas d'autres ? Non, aucun ne mérite cela, il n'y a absolument pas besoin d'avoir recours à la violence pour éduquer des enfants, fille comme garçon. Les enfants agissent par mimétisme. Si dans le foyer, par exemple on chahute beaucoup, si les voix portent, il y a fort à parier que les enfants seront ultra bruyants, plutôt pas zen, à moins qu'ils ne soient complètement traumatisés, par leurs parents. Si les parents ont recours à la gifle et à la fessée, il y a des chances pour que les enfants trouvent cela normal et reproduisent (mais ce n'est pas systématique). Alors il y a évidemment l'influence de l'école, de la nourrice, et les parents doivent systématiquement reprendre et démystifier, s'entretenir avec les adultes au besoin. Ces comportements devraient tendre à disparaître, et surtout au regard des méthodes d'éducation nombreuses et existantes qui fonctionnent bien. J'ai déjà vu des fessées marquer physiquement et personne n'était hémophile. Regardez la finesse de la peau d'un enfant, sa délicatesse, regardez la finesse de la peau de certaines femmes et de certains hommes aussi, et c'est faux le "non" n'est pas une violence psychologique insupportable. Le "non" à mon humble avis s'accompagne, également d'une explication (pas une dissertation hein). Quel que soit l'âge, il y a un discours adapté pour l'enfant. Un enfant plus jeune comprendra très bien des mots simples (sans pour autant en faire un demeuré : les "miam miam", "pipi", "caca", sont à bannir, à mon sens, les enfants ne sont pas des chihuahuas), et le vocabulaire s'étoffera et sera choisi ensuite au fil de son évolution et afin d'enrichir également son vocabulaire. Ne pas frapper un enfant, n'est pas en faire un enfant roi, c'est simplement ne pas en faire un enfant battu (même occasionnellement). Si le quantitatif était un argument d'autorité, gage de bon sens, de qualité, ici bas, cela se saurait. C'est dingue de vous lire vous accrocher à la fessée, comme d'autres pourraient s'accrocher à une bouée. Elle est parfaitement inutile. Il faudra bien un jour, que les français s'alignent. Passera maintenant, passera un jour. Il y a aussi des chances, pour que même votée, la tradition l'emporte là sur le droit et c'est bien triste. Freud et Dolto, c'est vous qui les amenez sur le sujet. La pédophilie, j'y réponds plus bas. Auschwitz, pas lu (quel post ?), et je ne comprends pas moi-même pourquoi d'aucuns sont en recherche du point Goodwin. Par contre vous, cela vous dérange moins quand cela va à peu près dans votre sens, les parallèles aux heures les plus sombres de notre histoire passent là tranquilles. Indignation à géométrie variable. Je comprends votre dégoût et le partage. Il y a ce sentiment que l'adulte a toute puissance sur l'enfant, frapper un enfant n'apporte de toute façon rien, à l'enfant. Au sujet de la pédophilie, c'est encore autre chose et à condamner évidemment, s'en prendre sexuellement à un enfant est un crime inexpiable.
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Et c’est forcément idiot puisque pouvant amener à un blocage alimentaire, alors que présenté ou préparé autrement une fois à venir, l’aliment peut mieux ou bien passer.
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Les adultes qui trouvent utiles et justifiés les châtiments corporels infantiles, se tiennent souvent étrangement bien en présence d’un patron, d’un supérieur, d’une personne qui pourrait potentiellement leur en coller une en retour. C’est ce que l’on appelle la lâcheté ordinaire.
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La sanction se doit-elle d’être un châtiment corporel ? Dans certaines sociétés, les voleurs sont amputés, les violeurs castrés physiquement, les détenteurs de drogue, fusillés... ah évidemment on peut trouver cela utile, éducatif voire aimer pour les plus sadiques. La sanction pour la sanction n’est pas éducative, vous en conviendrez, les devoirs supplémentaires peuvent apporter quelque chose et suivant l’âge cela peut aussi être un sujet philosophique par exemple. Non et vous pouvez relire, j’évoque les risques qu’ont pris vos parents puisque vous preniez l’exemple pour argument. J’évoque le risque que tout adulte peut prendre en admiminstrant un châtiment corporel. Risque parfaitement inutile. Une fessée est toujours une violence et n’a jamais une valeur éducative. C’est le déversoir des frustrations des adultes et s’il faut éduquer les adultes frustrés au moyen de la loi, alors soit.
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Vrai que le pseudo n’est pas sans évoquer les donjons... enfin les donjons sans les dragons, merci de régler vos affaires privées, bah au privé.
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Laissez donc papy Freud là où il est. Il n’y a absolument aucune corrélation entre une bonne éducation et l’administraction de châtiments corporels. Ce n’est pas plus compliqué que cela. Des études ont été faites en ce sens, il y aurait un lien, pour des chercheurs entre sado-masochisme et violences physiques et/ou psychologiques infantiles puisque vous le demandez et donc trop selon eux. Plussoyer un troll, la messe est dite. Le souci de Dolto et de ses méthodes c’est l’ultra permissivité. De mémoire papa Dolto pouvait avoir aussi « la main qui lui démangeait ». Pas vraiment un parangon d’éducation la famille Dolto et cela leur a été reproché, en premier lieu, par leur fils. S’il n’y a pas de cohésion et de communication, un discours qui va dans le même sens, l’enfant peut s’en trouver aussi perdu. Et encore une fois, ne pas être adepte des violences physiques et psychologiques, ne veut pas dire tout laisser faire non plus. Ce n’est pas open bar. Comment allez-vous vous y prendre pour mesurer les violences ? S’il y a un bleu ou si la peau est arrachée, c’est une amende, pour le reste, circulez y a rien à voir ? Encore une fois qui peut le moins peut-être tenté de pouvoir plus, c’est une possibilité et c’est dangereux.Dans tous les cas les violences physiques sont l’expression d’un échec. Elles sont à proscrire. Faire passer cette loi sur le sol national, c’est aussi lancer un message fort. Il est évident que donner une fessée est la réponse rapide, c’est l’aveu d’échec, précisément. Un enfant n’est pas idiot et si vous prenez une minute de plus, vous pourrez lui expliquer les choses et il comprendra certainement, peut-être pas tout à fait la première fois, mais à la seconde, la troisième sans doute et il est aussi possible d’y revenir le soir après le travail, de démystifier encore. C’est comme foncer sur la route afin de gagner une minute et demie votre histoire, vous risquez de faire des dégâts irréversibles et inutilement en plus, c’est dommage.
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C’est humiliant et cela peut être vraiment très mal vécu.
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85% Je trouve cela effrayant.
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La fessée n’est pas un symbole ici mais cela marque oui, dans tous les sens du terme. Il y a d’autres façons de faire, vraiment. Le sujet traite des châtiments corporels administrés aux enfants dont fessée et gifle. Les tartes, je ne les aime définitivement qu’en pâtisserie.
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Et ça justifie une fessée ou une bonne tarte dans sa gueule ?
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Encore moins de l’éduquer.
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Un sujet sur la fessée et ils sont tous prêts à vouloir se taper dessus... les hommes sont formidables.
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Il faut toujours un titre aux articles et la fessée est une symbolique qui entre au même titre que la gifle et la tape dans ce que les beaufs appellent la « violence éducative ». Les deux termes sont déjà antagonistes. Je suis d’accord avec vous la loi doit s’appliquer à tout adulte qu’il y ait des liens filiaux ou non. Et oui, bien sûr l’impact de ces châtiments corporels et/ou psychologiques n’est plus à démontrer et quand bien même les violences perdurent. Difficile de faire changer les mentalités quand elles sont bien arriérées.
