Triathlète

[Invité Ivanna]

Je pratique le triathlon depuis mon service militaire. Je pratique la natation et la course à pied depuis ma plus tendre enfance et l’idée de les combiner avec le vélo ne m’était jamais venu à l’esprit jusqu’à mon arrivée à Riazan. Très vite mes instructeurs m’ont motivés à continuer mes activités sportives et un d’entre eux, triathlète militaire, m’a proposé de me faire connaitre cette activité sportive et de me donner un entrainement professionnel. J’ai eu droit a la nutritionniste de l’école militaire et aux installations sportives. Le triathlon militaire en Russie est basé sur la distance standard dite olympique, soit 1500 mètres de natation, 40 km de vélo et 10 km de course. Je ne suis pas une athlète professionnelle, mais je suis assez fière de mon temps établit en 2 :37 à la fin de mon service et le terrain n’est pas des plus accidenté. Je savais nager, pédaler et courir, mais pas de façon aussi intensive. Et à Riazan, les instructeurs étaient intenses! Aujourd’hui le même parcours me prend un peu moins, environ 2 heures, dépendamment de la nature du terrain. Je m’entraine environ 15 heures par semaines. L’important, c’est avoir une alimentation saine, une bonne diète et un programme d’entrainement structuré, mais également flexible. Avec le temps et ma participation à différents triathlons, j’ai mis en place mes petites astuces : comme le départ c’est la natation et qu’il y a des gros bras, je me mets toujours à l’extrême gauche (les bouées sont au centre), mon style est libre, j’attend que les moins rapide soit vite en arrière et je reviens tranquillement vers le centre. C’est lors de la nage qu’il faut déployer tout son effort. On en sort épuisée, mais les deux autres épreuves n’utiliseront pas le haut du corps. Il faut ensuite bien gérer son temps et son énergie. Se fatiguer au vélo, c’est crever à la course.

La diète est essentielle, mais dépend de l’athlète. Chacun la sienne. La mienne au quotidien est toujours constante : 5 repas soit petit-déjeuner - collation - déjeuner - collation – diner, au moins 2 litres d’eau, peu d’aliments sucrés et aucun avec du sucre raffiné. Important je réduis au max ma consommation de glucide (certains non, chacun ses choix) et j’augmente ma consommation de protéines et de fibres.

Important aussi de reconnaitre le terrain qui sera parcouru.

Mon équipement est simple et performant : costume de bain, lunettes et casque de natation, vélo (Leo SL ultegra devinci), montre GPS avec les informations de bases comme la distance, vitesse, rythme cardiaque (j’ai la Garmin Forerunner 310XT depuis 5 ans, elle est super pratique, son cadran est gros et va dans l’eau), chaussure de course (Inov-8 ou New Balance W1400), lunettes de soleil (Oakley Radar), ceinture (Fuel Belt type Revenge R20), casque de vélo, vêtements pour vélo et course, bouteille d’eau ou sac d’hydratation (Geigerrig), vaseline (pour les irritations de friction), potion magique apprise a Riazan dans la bouteille ou le sac (2/4 d’eau, 1 / 4 de jus d’orange pure pressé et 1 / 4 de jus de tomate fait maison).

[Invité PINOCCHIO]

Sujet double , déjà répondu

[Septicimus 22]

Le 07/03/2019 à 09:36, Ivanna a dit :

Je pratique le triathlon depuis mon service militaire. Je pratique la natation et la course à pied depuis ma plus tendre enfance et l’idée de les combiner avec le vélo ne m’était jamais venu à l’esprit jusqu’à mon arrivée à Riazan. Très vite mes instructeurs m’ont motivés à continuer mes activités sportives et un d’entre eux, triathlète militaire, m’a proposé de me faire connaitre cette activité sportive et de me donner un entrainement professionnel. J’ai eu droit a la nutritionniste de l’école militaire et aux installations sportives. Le triathlon militaire en Russie est basé sur la distance standard dite olympique, soit 1500 mètres de natation, 40 km de vélo et 10 km de course. Je ne suis pas une athlète professionnelle, mais je suis assez fière de mon temps établit en 2 :37 à la fin de mon service et le terrain n’est pas des plus accidenté. Je savais nager, pédaler et courir, mais pas de façon aussi intensive. Et à Riazan, les instructeurs étaient intenses! Aujourd’hui le même parcours me prend un peu moins, environ 2 heures, dépendamment de la nature du terrain. Je m’entraine environ 15 heures par semaines. L’important, c’est avoir une alimentation saine, une bonne diète et un programme d’entrainement structuré, mais également flexible. Avec le temps et ma participation à différents triathlons, j’ai mis en place mes petites astuces : comme le départ c’est la natation et qu’il y a des gros bras, je me mets toujours à l’extrême gauche (les bouées sont au centre), mon style est libre, j’attend que les moins rapide soit vite en arrière et je reviens tranquillement vers le centre. C’est lors de la nage qu’il faut déployer tout son effort. On en sort épuisée, mais les deux autres épreuves n’utiliseront pas le haut du corps. Il faut ensuite bien gérer son temps et son énergie. Se fatiguer au vélo, c’est crever à la course.

La diète est essentielle, mais dépend de l’athlète. Chacun la sienne. La mienne au quotidien est toujours constante : 5 repas soit petit-déjeuner - collation - déjeuner - collation – diner, au moins 2 litres d’eau, peu d’aliments sucrés et aucun avec du sucre raffiné. Important je réduis au max ma consommation de glucide (certains non, chacun ses choix) et j’augmente ma consommation de protéines et de fibres.

Important aussi de reconnaitre le terrain qui sera parcouru.

Mon équipement est simple et performant : costume de bain, lunettes et casque de natation, vélo (Leo SL ultegra devinci), montre GPS avec les informations de bases comme la distance, vitesse, rythme cardiaque (j’ai la Garmin Forerunner 310XT depuis 5 ans, elle est super pratique, son cadran est gros et va dans l’eau), chaussure de course (Inov-8 ou New Balance W1400), lunettes de soleil (Oakley Radar), ceinture (Fuel Belt type Revenge R20), casque de vélo, vêtements pour vélo et course, bouteille d’eau ou sac d’hydratation (Geigerrig), vaseline (pour les irritations de friction), potion magique apprise a Riazan dans la bouteille ou le sac (2/4 d’eau, 1 / 4 de jus d’orange pure pressé et 1 / 4 de jus de tomate fait maison).

Je comprend mieux pourquoi votre plastique est des plus irréprochable. Vous avez fais votre service militaire ou ? En France ? En tout cas vous êtes impressionnante et brillante. Je ne suis pas le plus complet des athlète, mais je fais un footing tous les matins.

à l’instant, Septicimus a dit :

Je comprend mieux pourquoi votre plastique est des plus irréprochable. Vous avez fais votre service militaire ou ? En France ? En tout cas vous êtes impressionnante et brillante. Je ne suis pas le plus complet des athlète, mais je fais un footing tous les matins.

Je suis idiot, je viens de relire, Riazan c'est en Russie. Et votre arme lors de votre service: Air, mer, terre ?

[Invité Ivanna]

Le 09/03/2019 à 10:04, Septicimus a dit :

Je comprend mieux pourquoi votre plastique est des plus irréprochable. Vous avez fais votre service militaire ou ? En France ? En tout cas vous êtes impressionnante et brillante. Je ne suis pas le plus complet des athlète, mais je fais un footing tous les matins.

Je suis idiot, je viens de relire, Riazan c'est en Russie. Et votre arme lors de votre service: Air, mer, terre ?

Service militaire volontaire féminin a l'école militaire supérieure des troupes aéroportées de Riazan pour y recevoir une formation de base pour devenir officier de réserve. Je suis également brevetée parachutiste et monitrice sambo. J'y suis restée 1 an et je dois renouveler mon brevet paras tout les ans, pendant 1 semaine, mais c'est juste les épreuves dite TAP, le rappel des consignes et des procédures de sécurité, quand ouvrir son ventrale par exemple, etc ... et les trois sauts réglementaire a 3000 mètres pour environ une quarantaines de secondes de chutes. 

Le 09/03/2019 à 10:04, Septicimus a dit :

Je suis idiot, je viens de relire, Riazan c'est en Russie. Et votre arme lors de votre service: Air, mer, terre ?

Armée de terre, unités parachutiste de réserve attaché au 108eme régiment des cosaques de Sibérie ... aucun secret la dessus.

[Septicimus 22]

il y a une heure, Ivanna a dit :

Service militaire volontaire féminin a l'école militaire supérieure des troupes aéroportées de Riazan pour y recevoir une formation de base pour devenir officier de réserve. Je suis également brevetée parachutiste et monitrice sambo. J'y suis restée 1 an et je dois renouveler mon brevet paras tout les ans, pendant 1 semaine, mais c'est juste les épreuves dite TAP, le rappel des consignes et des procédures de sécurité, quand ouvrir son ventrale par exemple, etc ... et les trois sauts réglementaire a 3000 mètres pour environ une quarantaines de secondes de chutes. 

Armée de terre, unités parachutiste de réserve attaché au 108eme régiment des cosaques de Sibérie ... aucun secret la dessus.

Vous êtes impressionnante !!!!!