<em> ( 18 décembre 2008 )</em>
<p>La gloire et la malédiction de l'espèce humaine, C'est sa faculté à se projeter dans l'avenir.<br/>
Rien ne peut être construit sans cela. C'est la source de notre pouvoir sur le monde.<br/>
Mais transcender le temps nous éloigne de la nature même de la vie. et c'est notre malédiction pour avoir obtenu ce pouvoir.<br/>
Notre capacité à nous projeter dans l'avenir, le passé, ou même d'autres mondes par notre imagination, no
<img src="http://www.amorosart.com/image-work-monory_fouillis_mathematique-4376-450-450.jpg" style="float : right;width:20em;margin:0 0 1 1;" />
<p><em>(4 février 2009)</em></p>
<p>Les mathématiques permettent de décrire le monde, et non l'inverse. ça ne sont pas les mathématique qui font fonctionner le monde.</p>
<p>La plupart des scientifiques oublient que le monde n'est pas forcément mathématisable !
Tout part toujours de cette hypothèse, m
(2 avril 2004 )
Il existe une force en nous qui lutte contre notre propre volonté. Quand on veut faire quelque chose, cette ‘force’ se met en route et nous trouve des centaines de raison de ne pas travailler. Cette force agit même si on a vraiment envie de faire quelque chose. En fait, si on arrête un travail, si on abandonne, c’est toujours cette force qui prend le dessus sur notre volonté.
Le plus difficile pour réaliser un projet, ce n’est pas le travail de préparation ou les difficultés qu
(10 janvier 2011)
Le territoire de l'attirance se trouve entre la préoccupation instinctive qu'amène celui qu'on ne domine pas, et la peur de celui qui nous domine trop.
Être accessible et non-dominé, serait-ce l'incarnation de l'attirance ?
Ce binôme paradoxal semble correspondre à tous les exemples que j'amène à mes yeux.
Tous les jeux de séduction me semble les exacerber directement.
Et même dans les amours dissymétriques, non "accouplé", le rejeté me semble toujours l'être à force de s'
(5 décembre 2010)
Une de mes plus grande erreur à été de croire que l'intelligence isole.
Si ma préoccupation est honorable, je pense maintenant qu'elle n'isole en fait que ceux qui se servent de leur intelligence pour s'éloigner du commun des mortels.
Leurs efforts sont alors seulement récompensés par une conséquence naturelle de cette volonté : la solitude.
L'intelligence n'isole que ceux qui se servent de leur intelligence pour s'éloigner du commun des mortels.
Je me demande d'ailleurs s
(11 octobre 2005)
Il n'y a pas que la beauté qui ai besoin de la souffrance… la sagesse aussi !
Et on ne peut pas être heureux sans être sage !
La souffrance est une chance qu'on doit chercher à perdre !
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(19 mai 2010)
Si la nuance est vitale, la frontière est mince entre ceux qui se battent pour donner un sens à leur vie, et ceux qui le font pour cacher qu'elle n'en a aucun.
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(11 janvier 2011)
Ce soir, je dors à tes côtés, amie de cœur,
repose les armes, et pour un soir, te soutiens
te souris, et te donne la main.
Ce soir, une fois n'est pas coutume, je chanterai en ton sein.
Toi, qui m'a apporté plus que la vie même,
à chaque instant, son goût et son odeur.
À qui je dois la force de la vie que je mène.
Je chante ce soir ta gloire, en ton honneur.
Toi, plus qu'une mère qui donne vie, à l'origine des temps,
Quand je fais l'effort de penser à toi et de venir
(31 mars 2010)
(poème à une fraise)
Une présence, une aura.
L'intrusion d'un monde dans ce monde virtuel
L'étrangeté d'une tranquillité née de blessures
Une mélancolie distillée, une sagesse révélée
La sagesse du roseau, de plier dans le vent.
De maîtriser les passages entre ton monde et le grand
Passage de coton et tampon de temps.
Une lecture, une rencontre.
Souvenir d'une présence, d'une aura
de l'intrusion d'un rêve dans ce monde réel
L'étrangeté d'une force née de l'irréalité
c
( 3 mai 2010 )
Je serai confident, puisque tu m'as choisi tel pour épanouir ta liberté.
Je boirai ton aura, comme j'aurai aimé boire ton cœur, ton âme... et ta félicité.
Et m'en servirai pour trouver la force de chercher encore
d'autres demoiselles qui, elles, me laisserons épanouir leur corps.
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( 25 décembre 2003 )
Je me perdais en toi, mais maintenant que je ne t’ai plus, je ne me retrouve plus.
Je suis resté en toi, mais bien que je me sente vide, je ne le suis pas.
Toi, tu est en moi, emprisonnée avec mes souvenirs.
Tu ne cesses d’essayer de sortir.
Tu te débat, tu te noie en moi.
Mais seul mes souvenir reviennent à la surface.
Comme des bulles… Les bulles de ton agonie.
Toi, tu reste en moi. Prisonnière de ton évasion.
Et je préfère souffrir tout ces souvenirs plutôt que d
(3 mai 2010)
À toi ange de lumière et petite elfe de mes nuits
Toi qui m'as à jamais guidé et à jamais meurtri.
Petite innocente qui m'a tout appris de la vie.
Par ton sang de passion, des rêves, tu m'as ramené à la vie.
Pour toi qui a affronté la mort en me regardant dans les yeux.
Pour toi, qui pour moi a parjuré ses dieux.
Pour tes larmes de force que seul ton rire égale en clarté
Par ton cris, Sandrilicia, tu as celé notre hyménée.
Toi que je ne reverrais jamais, mais qui ne m'a jam
(5 janvier 2010)
C'est un règlement de compte... avec le monde !
Ce monde est pourri. Plus on est égoïste, plus on prend de force, plus on prend de pouvoir.
Plus je prend en force et en pouvoir, plus je mesure la noirceur des sains, la faiblesse des forts, le masochisme ou la conformité des modestes...
HYPOCRISIE de toujours prétendre être ce qu'on n'est pas !!
Ne vous y trompez pas, ce n'est pas un rejet. Mais une contemplation de la beauté de ce monde !! Voir l'hypocrisie, c'est voir la b
(17 aout 2010)
La première tromperie, c'est de dire à quelqu'un qu'on n'aimera que lui.
Ensuite... le mensonge entraine le mensonge, on connait la chanson.
La seule chose vraie, c'est ce qu'on ressent.
Suivre la Vérité, c'est suivre ses sentiments.
Pas ses promesses.
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(20 mars 2011)
Lorsque le malaise arrive à la conscience,
s'il n'est pas collectivisé mais individualisé, l'être humain culpabilise,
et considère qu'il n'est pas normal,
plutôt que de considérer que c'est la norme qui est inhumaine.