Salut a tous. Je me livre ici à un exercice de style, à savoir, tenter de décrire mon idéal de femme sur le plan attirance/sexualité. En gros, tenter de définir ce qui me plait chez une femme.
Je l'immagine petite (1m40~1m50), ni trop maigrichonne, ni trop grassouillette, une carrure sportive. De bonnes fesses, hautes et musclées de quoi poser mes grandes paluches, une bonne poitrine, pour la même raison (90-95 C-D), les seins ronds et lourds. Un beau ventre très légèrement bombé, et un port d
Où est donc la voix qui est venue hanter
cette nuit ma pensée, mes rêves engourdis,
réclamant de mes doigts qu'ils viennent pianoter
ici des mots posés, pour elle, ce jour dit.
Si elle, seulement, m'avait dans mon brouillard
laissé entrevoir celle qui m'a commanditée
j'aurais trouvé comment, j'aurais su, débrouillard,
dépeindre ici la belle, en toute partialité.
Mais seuls des mots émis par cette voix si douce
ont pénétré mon rêve, pas le moindre visage.
Depuis moi j'en frém
Salut,
Aujourd'hui, je déprime, alors je me livre. Mais comme je suis quelqu'un de compliqué, je le ferai en vers...
À toi ma belle muse qui ne les lira pas
je dédie ces doux mots, ces pensées éphémères
bien que je m'en excuse, je ne porterais pas
à ton c¿ur leur echo, ce serait trop vulgaire
Aussi laisse moi écrire là ou mon âme pleure
de ne savoir occire en elle cette peur
venir te faire la courre et me faire rejeter
c'est un risque trop lourd pour mon c¿ur émiété
Ne serait-ce ces no
Pas besoin de savon pour que je m'entuyaute :
descend donc sans façons ta petite culotte
qui cache tes ballons, faudra bien que tu l'ôte
ou j'irais à tâtons y chercher ton c*l l'hôte
Ouvre à ton étalon, avance et recule, hot !
Debout sur tes talons, viens que je t'enc*le haute.
Noir.
Aujourd'hui sera un jour Noir. Mais peut-on alors parler de jour ?
On dit que c'est la couleur qui les autres contient toutes,
pourtant j'ai tant de peine à les y percevoir que j'en doute.
Peut-être est-ce la saturation d'une autre teinte :
trop de faiblesse, trop de colère ou trop de douleur ;
écrivant en nos êtres de si profondes empreintes
que leurs maturations se ternissent en nos pleurs ?
Quel est ce déséquilibre qui sentimentalement nous assombris ?
Pourrais-t-on être défini
C'est cet engin insupportable,
sonnerie qui te dérange pile,
au moment qui aurait été si agréable
pour le briser, le voilà le mobile
car tu l'a sortit, ton portable
maudite machine qui m'horripile.
Un outil voué à se contacter
dont tu ne peut plus te passer
pour aux autres rester connecté
sans en voir ce revers glacé
ce sacrifice de ta liberté
de n'être que nous deux, ensemble, enlacés.
"T'es où ? Tu fait quoi ? Tes mots sont prononcés
à cet ailleurs à notre intimité
et moi, déjà,
Voilà un texte que j'ai écrit en slam, un peu à la façon de Grand Corps Malade (même si je suis bien conscient d'être à mille lieux de son talent). J'aimerais savoir ce que vous en pensez par rapport à ma prose habituellement plus structurée, merci. :)
Draguer n'est pas pour tous les hommes une activité facile,
quand l'objet de leur cœur rends leurs pensées si fébriles.
Certains aimeraient bien sortir de belles phrases alambiquées
alors ils les préparent tout le temps en pensées
mais quand
Le brousouf régulier de ce souffle séculier commence à poindre dans ma nuit. La tâche là bas marquée, s'attache à se démasquer sans se dissocier de ce bruit. Les jets portent une légère odeur de bois brulé, d'huile et de suif échaudés. Le ciel déjà peu clair se recouvre, obscurcis par ses crachats de vapeur. Dans un temps qui ralentis, l'énorme engin envahis l'espace du quai tout gris. L'implacable mécanique dans un crissement de freins fait vibrer tout son métal.
En cette heure impossible j'
En rêve cette nuit, tu m'étais revenue
si belle dans mon lit, en légère tenue.
Tu avais délaissé ton homme pour me voir,
ma mie t'avais laissée sa place pour un soir,
alors nous profitions de cet instant tout doux,
fi de leurs permissions, nous les faisions jaloux.
Couché tout contre toi, je humais tes odeurs
le nez dans tes cheveux aux ardentes couleurs.
Là, du bout de mes doigts je goûtait la saveur
de tous tes arrondis, de toutes mes raideurs.
Ma main se faisant douce sur
Je fais le guet devant le gué et cela me remplis de bonheur
je savoure la puissance, ce pouvoir que j'ai sur l'autre
la virilité de ma position, dans cette guerre ou je contrôle
celui qui voudra franchir l'étroit passage convoité.
C'est dingue comme cela me rends gai !
Ce soir j'aimerais l'aborder
poser mon sourire à bord des
contours de ses yeux là, bordés
par les reflets d'mes émotions.
J'aimerais tant que la bordée
de mots doux à son abord dès
que j'les dirais fassent sensation.
Ce soir j'aimerai la border
mais j'ai la trouille, sans rémission.
Je n'ferais rien, pas d'émission.
Sur ma joue cette larme ne viendra pas je la retiens,
ma muse ayant rompue le charme, ne me laissant qu'effroi, rancœur.
C'est en brisant sa plus belle arme, me laissant là tel un cretin
qu'elle s'est perdue dans ce vacarme où je ressent ce froid au cœur.
Que vais-je faire maintenant que je n'ai plus ce doux repère
qu'est la promesse d'un demain blottit contre son corps radieux ?
Je me remémmore lentement ce moment qui me désespère
Où me tenant de ses deux mains, elle me regarde, me dit a
Même si en vers je suis versé tu est sévère à mon endroit
c'est bien mon droit de converser avec de paroles corsées
pour te serrer pas à l'envers mais à l'endroit que tu préfère
afin de dans ton con verser ce qui tâcherais ton corset.
Si mon amie la rose m'avais dit à l'aurore
que manquant de symbiose elle ne pouvait éclore
j'aurais tourné ma prose tant encore et encore
tant à fin qu'elle expose aux yeux son si beau corps.
Et mon fier baratin aurais produit le rêve
d'un si charmant matin ayant un goût de trêve
où rose, cette catin, pour ne pas faire qu'on crève
nous eut de grâce atteint, par sa floraison brève.
Aux roses en devenir si vous rêvez d'éclore
risquez vous a tenir des propos vous d'abord
car san
En entrant dans la pièce je suis pris d'un frisson,
vague émotion, ivresse, sentiment polisson,
en voyant dans le fond la silhouette gracile,
le pelage rubicond d'un animal fébrile.
Oubliant la raison ayant guidée mes pas
dedans cette maison ne nous concernant pas,
je vais près des jaloux, des idiots qui se rient
de tes cheveux si roux, de ton anatomie.
Cet air mélancolique que tu prends comme défense
aux propos bucoliques de ces fous qui t'offensent
font qu'ils t'abandonnent
Pale virgule à la brume naissante,
jaune bascule dans la nuit tombante,
cet air penché, montrant qu'elle est montante,
lueur cachée, mais sur nous éclairante.
Doigts entachés par ta pruine mouillante,
envies lachées sur ta peau captivante,
mes bras t'acculent contre ma q.... band....
qui viens, qui t'en...., longuement pénétrante.
Lune, de mes amantes, sera tu l'une ?