Carillon
Comme il sonnait gaiement ce c¿ur dans ma poitrine
Comme il tonne aujourd'hui de ce mal qui m'anime,
Du si beau carillon il est devenu glas
Car ce c¿ur que voilà n'est plus entre tes bras
Il est vide, solitaire, détruit, anéanti
Il ne chantonne plus de douces mélodies,
Je le sens en-dedans, il bat péniblement
Je l'entends, je l'entends, il faiblit doucement,
Il paraît déjà loin alors qu'il est en moi
Drôle de sensation que ce c¿ur en émoi,
C'est à se demander pourquoi i