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Avant-propos: Dans le présent sujet je vais discuter d'une vidéo d'un youtubeur à l'idéologie hautement «contestable» pour ainsi dire. Néanmoins l'aspect idéologique du bonhomme n'est pas ce qui est intéressant à discuter, ce qui l'est sont les prétentions argumentatives et scientifiques de ce dernier. Aussi nous allons aborder les propos de ce youtubeur sur les seuls arguments scientifiques ou à prétention scientifiques en laissant de côté tout le pathos idéologique. Et j'invite chaque intervenant ici à faire de même. Car je vais inviter l'auteur de la vidéo à débattre en bon et due forme de ses arguments en lui proposant un échange cordiale et exclusivement basé sur l'argumentation factuelle et scientifique. Merci à tous. L'origine évolutive et géographique d'Homo sapiens a toujours déchainé les passions. Et le pathos induit par la recherche de nos propres origines a brouillé et brouille encore parfois, les recherches à ce sujet. Cependant aujourd'hui les données paléoanthropologiques et surtout génétiques, ont déjà permis de déterminer de manière solide l'origine géographique de notre espèce, à savoir l'Afrique. Nous le savons notre espèces est sortie d'Afrique, puis en sortant d'Afrique s'est métissé avec les descendants des Homo erectus eurasiatiques, à savoir Néandertal et Denisova, mais cela en remplaçant largement ces derniers, si bien que l'ascendance génétique des Eurasiens actuels, dérive essentiellement de ces Homo sapiens sortis d'Afrique. Seulement voilà, tout le monde n'est pas satisfait avec cet état de fait, et cela hélas, souvent davantage pour des raisons idéologiques et politiques que pour des raisons politiques, cela m'amène donc à la vidéo suivante. Lien Direct Vers La Vidéo Bon on va passer outre la présentation politique du sujet car la théorie dite de la sortie d’Afrique, donc «Out of Africa», n'est pas une théorie qui doit son acceptation par les chercheurs en raison du «Zeitgeist» de notre époque, mais bien parce qu'elle est appuyée par les faits. Par ailleurs même si la Théorie «Out of Africa» a bien été utilisé à des fins politiques, ce qui est regrettable, il est tout aussi fallacieux d'attaquer cette théorie en usant de l'angle politique, je ne vais même pas commenté ici la théorie du complot mentionnant les juifs car c'est déjà suffisamment honteux comme cela. Cela nous amène à la «preuve» qu’il nous présente pour réfuter l’origine africaine de notre espèce, à savoir une obscure publication d'un dénommé Anatole Klyosov, prétendant que l’origine des hommes modernes serait à chercher en Eurasie, voire carrément en Europe. Il ne faut cependant pas particulièrement longtemps pour une personne avisée en génétique des populations pour détecter la connerie que constitue cette «étude». Cette dernière prétend que les haplogroupes du chromosome Y réfuteraient l’origine africaine de l’homme, en ne proposant ni plus ni moins que de proposer un scénario statistiquement tellement improbable qu’il est absurde à souhait. Petit rappel pour comprendre la chose. Les haplogroupes du chromosome Y, sont des marqueurs génétiques situés sur la partie non-recombinante du chromosome Y, c’est-à-dire qu’ils se transmettent uniquement de père en fils sans recombinaison génétique. Ainsi avec les haplogroupes du chromosome Y nous pouvons reconstituer des arbres phylogénétiques des lignées patrilinéaires. Les haplogroupes sont des groupes d’haplotypes, c’est-à-dire des groupes se définissant par des allèles particuliers situé sur un chromosome donné. Et justement les haplogroupes de la partie non-recombinante du chromosome Y, du fait qu’il n’y a justement pas de recombinaison, permette de déterminer les lignée patrilinéaires via le principe de «hiérarchie imbriquée» ou «Nested Hierarchy» en anglais. Pour le comprendre observez le diagramme suivant. Soit la mutation α définissant l’haplogroupe α, puis la mutation β définissant l’haplogroupe β, puis la mutation γ définissant l’haplogroupe γ, la mutation δ définissant l’haplogroupe δ et la mutation ε, définissant l’haplogroupe ε. Vous remarquerez que l’haplogroupe β est un sous-ensemble de l’haplogroupe α, l’haplogroupe γ un sous-ensemble de l’haplogroupe β, et ainsi de suite. Or et c’est là que c’est intéressant cette hiérarchie imbriquée des haplogroupes de la partie non-recombinante du chromosome Y, nous permet de déterminer les origines géographiques probables des chromosome Y ancestraux dont l’ancêtre commun est généralement appelé «Adam Chromosomique», et donc par extension un indice majeure sur l’origine probable des populations humaines actuelles. Car si les individus d’un groupe «basal», comme l’haplogroupe α, du diagramme ci-dessus, sont présent sur le continent Africain, mais absent du continent Eurasiatique où ne sont présent que des individus d’haplogroupes plus dérivés (des sous-ensemble des groupes basaux α et β), cela signifie que l’évolution du chromosome Y a vraisemblablement commencé sa diversification en Afrique, avant qu’un sous-ensemble spécifique, ici l’haplogroupe γ, ne sorte de l’Afrique et se diversifie à son tour en différents sous-ensembles en Eurasie, comme le montre le diagramme ci-dessous. Et bien sûr il s’agit là d’une simplification, car en fait le nombre de mutations et d’embranchements attestant de cet enracinement phylogénétique du chromosome Y en Afrique sont bien plus nombreux et l’origine Africaine de «l’Adam chromosomique» est clairement une théorie solide. Mais surtout hormis les haplogroupes du chromosome Y nous avons également clairement une origine africaine pour les haplogroupes de l’ADN mitochondriale qui définissent ainsi une «Ève Mitochondriale» également originaire d’Afrique (mais n’ayant pas vécue en même temps que l’Adam chromosomique, ce dernier étant bien plus ancien). Mais surtout nous avons l’entièreté du génome, dont la très grande diversité africaine converge massivement là aussi vers une origine africaine de l’homme moderne. Mais donc en quoi la publication d’Anatole Klyosov est fallacieuse ? Simple elle assoie son postérieur sur la logique la plus élémentaire, si bien qu’un groupe de chercheurs russes a pris le temps de lui répondre de manière détaillée je mets ici une traduction approximative mais décrivant bien le problème, de leur critique adressée à Anatole Klyosov. «A. A. Klyosov nous dit que « La théorie Out of Africa n’est actuellement acceptée que comme un outil de lutte contre le racisme et que cela n’a rien à voir avec la science », À partir de là A. A. Klyosov n’a même pas besoin de nouvelles données pour étayer son point de vue: il peut utiliser les mêmes données génétiques que celles que la communauté scientifique mondiale accepte comme preuve incontestable de la sortie de l’homme d’Afrique. L'astuce qu’il utilise est simple : il explique la diversité génétique maximale en Afrique non pas par des migrations à partir de ce continent, mais par des migrations de l’Eurasie vers l’Afrique. Peu importe que la théorie des « nombreuses entrées vers l'Afrique » nécessite un abîme d'hypothèses : Car donc cela signifierait que pendant des centaines de millénaires, des migrations à répétition de l'Eurasie vers l'Afrique doivent se succéder, et ces nombreuses lignées génétiques migrants vers l’Afrique doivent toutes survivre une fois arrivée en Afrique. Mais parallèlement à cela, par la volonté de A. A. Klyosov, ces mêmes lignées originaires d’Eurasie, devraient pour la plupart disparaître d’Eurasie sans laisser de trace. Dans les écrits de A. A. Klyosov, une hypothèse est exprimée selon laquelle le nord de la Russie est la patrie ancestrale de l'Homo sapiens : « Il y a 160 000 ans, l'homme vivait dans la plaine russe, ou au nord de la plaine russe, et d'ici une partie de ses derniers sont partis vers le sud, en Afrique, où ils sont arrivés après une longue migration il y a environ 140 à 120 000 ans » . Une analyse des constructions fantastiques de A. A. Klyosov a déjà été donnée dans le livre de l'archéologue L. S. Klein et par des anthropologues sur le site « Anthropogenesis ». Le même site Internet présente et développe progressivement une analyse détaillée des distorsions génétiques, pour laquelle il n'y a pas de place ici pour une analyse raisonnée.» Pour bien comprendre la critique adressée, illustrons à nouveau la manière dont les haplogroupes nous renseignent sur l’origine africaine de l’homme (à gauche) et sur la manière dont A. A. Klyosov interprète ces mêmes haplogroupes (à droite). Le problème de l’interprétation de A. A. Klyosov est qu’elle suppute que les haplogroupes basaux α et β, seraient apparue en Eurasie, à l’ouest de l’actuelle Russie pour être précis, puis il y aurait eu des migrations d’individus n’appartenant qu’à α et β en Afrique, mais pas de ceux des haplogroupes dérivés suivants. Puis par une chance incroyable, tous les individus n’appartenant qu’au groupe α et β auraient disparus de l’Eurasie sans laissé la moindre trace. Or c’est précisément cette disparition ad hoc, qui ne tient pas la route. Car en réalité il y a bien plus que deux simples branches définies par deux simples mutations, qui définissent les haplogroupes les plus basaux, présents aujourd’hui uniquement en Afrique. Diagramme représentant les différents haplogroupes du chromosome Y, on remarque que les haplogroupes les plus basaux s'enracinent tous en Afrique. Or si ces haplogroupes étaient originaires d’Eurasie, il est très improbable, pour ne pas dire impossible, qu’ils aient tous disparu d’Eurasie, leur continent d’origine, tout en se retrouvant abondamment en Afrique. Et à cette improbabilité s’ajoute également celle concernant les haplogroupes de l’ADN mitochondriale ainsi que les données génétiques de l’ensemble du génome. Cette une critique non-exhaustive de la vidéo ci-dessus, critique adressant uniquement l'argument génétique avancé par l'auteur de la dite vidéo, et donc une critique qui mériterait d'être développé. Aussi comme déjà dit je vais inviter l'auteur de la dite vidéo à venir débattre du sujet, sur sa dimension scientifique, ici dans le présent forum. Nous verrons bien si celui-ci accepte, parviens à défendre sa thèse ou qui sait, change d'avis.
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Dieu comme Principe Je voudrais partager mon approche qui me fais penser que dieu existe forcément. Voici les raisons qui font que je crois en dieu. 1. L'aproche anthropologique et historique d'un dieu créateur universel. La croyance en un dieu créateur qui a tout créé depuis le néant est universel. On retrouve cette croyance sur tous les continents et la plupart des civilisations depuis que l'homme sait écrire, même s'il existe des contre exemples. Et les vénus symbolisent dans notre subconscient commun, le principe de la création, du don de la vie ou la déesse mère de la fécondité qui est à l'origine de la création. La plus ancienne statue de vénus remonte à 160.000 ans dans le passé en Israël, à Barakhat Ram. Soit la date de l'aparition de l'homme moderne sur Terre. En l'absence d'écriture, on ne pouvait transmettre la foi en cette déesse que par les représentations de triangles (sexe féminin, genèse de la vie), de femmes aux formes exacerbées (vie), de taureaux (puissance créatrice). 2. Approche anthropocentrée et neurochimique de dieu, et mode de fonctionnement neurologique de tout interpréter pour atteindre la cohérence parfaite et unifiée. Notre cerveau fonctionne de façon à atteindre la cohérence parfaite du monde, il faut une explication à tout, et in fine, nous aboutissons à la recherche d'une théorie du tout et d'un seul dieu démiurge qui a tout conçu. Chaque observation, chaque réaction dans nos neurones est immédiatement interprété pour y donner un sens logique. Et ce fonctionnement nous conduit à chercher la Cause Originelle, le Principe de Tout Unique. Ce fonctionnement étant précisément celui de notre cerveau et le fondement, la pierre angulaire de toutes les sciences, et étant tout bonnement incontournable de par le fait qu'il constitue notre propre mode de réfutation, ce fonctionnement donc, est un point inévitable qui nous fait découvrir spontanément dieu. A moins de remettre en question, tout notre édifice logique et rationnel qui est le produit de ce fonctionnement, la croyance en dieu est innée en nous et une conséquence même de toute rationnalité fondée sur une recherche de cohérence ultime. 3. Le Paradoxe Absolu. Il est logiquement inadmissible que l'Univers soit infini ou éternel. Avec une infinité d'occurences, tout ce qui est possible devrait se répéter une infinité de fois, en sorte que les probabilités n'aient strictement plus aucune garantie d'être respectées dans aucune tranche de temps ou d'espace d'un tel univers. Ncp = Ti x Ei x DTi = Ncp = Nombre de fois qu'un cas particulier se produira, Ti = Nombre de tentatives infinies pour obtenir Cp, Ei = Espace disponible pour tenter d'obtenir Cp, DTi = Temps disponible pour tenter d'obtenir Cp. ... Ainsi, si il existe un Frelser, et que l'Univers est éternel : il doit avoir existé une infinité de Frelser depuis l'éternité sans commencement. Ce qui permet de faire un calcul pour tester l'hypothèse de l'éternité de l'Univers. Comme Frelser à une durée de vie d'une centaine d'années environs, 3.000.000.000 de secondes. Imaginons à présent cet infinité de Frelser, et le nombre de lancers de dé qu'ils ont faites chacuns depuis l'éternité. Que se passerait-il ? En fait, comme Frelser est délimité dans le temps, il ne pourra jamais lancer au-delà de 3.000.000.000 de dés sur toute sa vie, surtout qu'il devra faire d'autres tâches... Ce qui signifie en clair, que le nombre total de suites probables est de 6^3.000.000.000! et est délimité dans ce nombre critique. Or, si il n'existe pas plus de 6^3.000.000.000! de suites potentielles, chaque suite probable a dû surgir une infinité de fois selon la formule qui peut s'écrire comme suit : / 6^3.000.000.000! = Donc, Frelser (moi) ne devrait pas obtenir des séries respectant les probabilités au lancers de dé. Puisqu'il ne serait qu'un des infinis Frelser obtenant strictement n'importe quelle suite d'entre les 6^3.000.000.000! suites disponibles sur une vie de Frelser. Et cela serait valable pour n'importe quelle personne lançant un dé, aussi longtemps qu'elle vivra. Ce qui signifie que Frelser pourrait obtenir strictement n'importe quelle suite avec la même aisance, parceque face à une infinité de lanceurs, plus aucune mesurabilité ne serait possible. Notre univers présent devant avoir une infinité de répliques, n'importe quel phénomène même le plus farfelu devrait avoir une probabilité égale à un de se produire dans le notre. Pourtant, les tests au lancers de dé aboutissent à des résultats qui respectent les lois des proportions et de séries aléatoires. Ce qui ne devrait absolument pas s'observer si l'Univers était éternel et sans commencement. Tout être vivant d'une durée de vie donnée existant une fois devrait exister une infinité de fois, et s'il est capable de lancer un dé, le paradoxe absolu sera vrai pour chacuns. Il devrait exister une infinité d'univers violant systématiquement les lois des proportions et de suites aléatoires. Dans une infinité d'univers incohérents, se trouver précisément dans un univers comme le notre tendrait asymptotiquement à zéro (car pamis une infinité d'univers matériellement possibles se répétant chacun à l'infini, ceux n'étant pas cohérents sont géométriquement infiniment plus nombreux), et la chance que cela change à chaque instant tendrait exponentiellement à l'infini. Donc, avec un simple test chez soi avec un dé, on peut vérifier comme notre Univers porte la signature d'un Univers Unique ayant une origine dans le temps. De la même manière, comme notre Univers existe et est donc probable, si des Univers existaient depuis l'éternité, il devrait exister une infinité d'Univers exactement identique au notre, avec des Frelser qui écrivent précisément ces lignes. Mais également, tous les univers probables de taille tendant à l'infini et variant à l'infini jusqu'à l'absurde... Notre Univers n'étant qu'un des Univers dans une infinité indénombrable d'Univers simiaires devrait être le théâtre de tous les possibles. Il pourait apparaître un papillon sur mon nez émergent du néant par fluctuation quantique et effet tunnel, dont les atomes et les tissus se matérialiseraient spontanément. Cela serait aussi aisé que de boire un verre d'eau, car tout phénomène probable serait infiniment probable. 4. La mécanique quantique comme un potentiel de l'Univers à émerger du néant. Etant donné cet état des faits, il faut un moment où le temps, la matière, l'énergie apparaissent, or cela a une origine unique. Donc, il fallait que Rien n'existe avant la Genèse. Par conséquent, cela devait exister potentiellement, mais pas réellement, et se manifester une seule fois. Ce qui se rapproche très clairement de l'idée d'un démiurge. 5. La M. Q. comme commademant divin permettant la fluctuation de matière et son émergence par effet tunnel, en conformité avec un Univers unique ayant une origine dans le temps. La M. Q. comme des commandements de dieu pour générer l'Univers. La réalité est purement matricielle selon la physique quantique, il est donc de plus en plus vraisemblable que la réalité est faite de lois abstraites, vides d'espace, de temps et d'énergie. Ces lois doivent s'être manifestées qu'une seule fois, ce qui se rapproche de la notion de création et de Logos de façon claire. 6. Notion Athée d'un dieu strictement stable, indivisible et sans faille... Il faut de même que dieu soit à l'origine parfaitement stable, indivisible, sans lacune, en fait, il doit être exactement comme ce que nous nommons Rien. Chaque accident, chaque événement étant dû à ce Rien... A l'origine, toujours ce Rien Parfait, ce Principe Absolu. A ceci près qu'il devait potentiellement pouvoir se manifester par les lois quantiques à travers l'Univers qui sera le lieu de ses manifestations... Donc, le dieu décrit par anthropocentrisme, est la conception de dieu en tant qu'humains, depuis l'intérieur de notre conscience et de l'espace-temps, en observant ses manifestations... Tandis que pour le Principe, le temps n'existant pas, il est insensé de parler de raisonnement, de finalisation ou de programme. Ces choses étant liées à la notion de temps qui est inexistant pour Lui. 7. Le Monde comme une illusion de dimensions, de temps, de couleurs etc. Et la notion de l'émergence du principe de dieu par manifestation dans l'Univers entier en générant de l'information quantique qui sont la signature de ses manifestations. Tout est une manifestation directe de dieu. D'un point de vue mystique, je vois donc dieu en toute chose. Dans la beauté d'une belle femme, dans la puissance d'un trou noir, dans l'intelligence d'un génie, dans le parfum d'une fleur... Dans le vent qui souffle, les lois de la nature. En moi-même, car il anime indirectement chaque particule de mon corps, tandis que moi je ne fais que subir pleinement ses manifestations. Une manifestation de la beauté spontanée de dieu. Nébuleuse du cone. Galaxie spirale (Hubble). Musculature humaine. Pulsar. Cristaux d'eau. Pendentif en forme de vénus trouvée à Barakhat Ram, daté ancien d'environs 160.000 ans, date de l'apparition de l'homme moderne.
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