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Le plus grand personnage de l'histoire militaire

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Membre+, Fée Rosse à Balai, 40ans Posté(e)
anariel Membre+ 17 040 messages
40ans‚ Fée Rosse à Balai,
Posté(e)
Le plus grand personnge militaire selon moi, c'est mon pôpa, il a réussi à se faire réformer :o

Pour quelle guerre, si j'en juge par ton âge, je ne vois pas pour quelle guerre. Trop jeune pour l'Algérie, non ?

A moins que tu parles de ton grand-père.

je parlais juste du service militaire

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Membre, 45ans Posté(e)
Ergal Membre 758 messages
Baby Forumeur‚ 45ans‚
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ANTOINE DE JOMINI

215px-Antoine_de_Jomini.jpg

Il naît le 6 mars 1779, à Payerne, dans le pays de Vaud. Sa famille appartient à la bonne bourgeoisie, et occupe depuis des générations, des fonctions de banneret, ou d'avoyer. Dès ses 12 ans, il est attiré par la carrière militaire et cherche à entrer à l'école militaire du prince de Wurtemberg à Montbéliard. Ce projet sera avorté à la suite du déménagement de l'école à Stuttgart. La chance ne sera toujours pas de son côté : quand, peu de temps après, sa famille voudra lui acheter une charge dans le régiment de Watteville, alors au service de la France, les événements révolutionnaires y feront obstacle.

Jomini est alors envoyé à Aarau, pour se préparer à une carrière commerciale dans la « Pension mercantile pour jeunes Messieurs » qu'Emmanuel Haberstock y a fondée. Il travaille effectivement un moment dans une banque.

En 1798, il est secrétaire du ministre de la Guerre de la République hélvétique pour devenir son adjoint en 1800, en même temps que chef de bataillon. Mais il démissionne dès 1801.

En 1803 il rencontre Ney, le futur maréchal, venu recruter des régiments en Suisse. Ce dernier le prend comme aide de camp et, pendant la paix d'Amiens, l'aide à publier les premiers volumes de son traité sur les campagnes militaires de Frédéric II. Peu de temps après Austerlitz, Jomini en envoie un volume à Napoléon. Celui-ci est vivement impressionné par les comparaisons entre la stratégie de Frédéric II et la sienne et en septembre 1806 le fait appeler à Mayence. Il obtient le grade de général de brigade, devient chef d'état-major de Ney en Prusse puis, pendant la campagne de Russie, gouverneur de Vilna puis de Smolensk. Néanmoins, il n'obtient pas le bâton de maréchal qu'il convoite. Jomini en attribue la faute au maréchal Berthier qui n'aime pas l'arrogance du Suisse.

Cette absence de promotion, et la réticence de Napoléon à lui confier des troupes expliquent qu'en 1813, il passe au service du tsar Alexandre Ier dont il devient le conseiller militaire. Il devient précepteur d'Alexandre II et prend part à la création de l'école de guerre russe. Pendant la guerre de Crimée, il est encore conseiller militaire. En 1855 il se retire à Paris où il finit ses jours.

Avec Clausewitz, son contemporain, Jomini constitue l'un des auteurs les plus lus des grands stratèges de l'Europe.

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Membre, 45ans Posté(e)
Ergal Membre 758 messages
Baby Forumeur‚ 45ans‚
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MARECHAL D'EMPIRE LOUIS-ALEXANDRE BERTHIER

250px-Louis-Alexandre_Berthier.jpg

, Louis-Alexandre, prince de Neuchâtel et de Wagram (Versailles, 20 novembre 1753 ¿ Bamberg, 1er juin 1815) : Elève de l'école du génie de Mézières en 1764, ingénieur-géographe, Berthier participe à la guerre d'Indépendance américaine. Sa promotion de lieutenant-colonel, le 11 juillet 1789, précède de quatre jours sa nomination comme major général de la garde nationale de Versailles. Maréchal de camp à l'armée du Nord, chef d'état-major de La Fayette puis de Luckner, il est destitué après le 10 août 1792, suspecté de royalisme. Il attend jusqu'en mai 1793 qu'on l'autorise à servir comme volontaire dans l'Ouest insurgé. Biron le prend pour chef d'état-major.

Il n'est réintégré dans son grade qu'en mars1795 comme chef d'état-major de l'armée des Alpes et d'Italie. Général de division en juin 1795, il fait la connaissance de Bonaparte qui s'attache ce militaire savant et expérimenté et le nomme chef d'état-major de l'armée d'Italie. Ami et confident de Bonaparte, de seize ans son aîné, Berthier n'est pas seulement le chef d'état-major de Napoléon, c'est aussi un guerrier courageux : il est au pont de Lodi, reçoit une blessure à Marengo, a son cheval tué sous lui à Wagram. Il est par deux fois ministre de la Guerre, du 11 novembre 1799 au 4 avril 1800, un poste important pour préparer le coup d'Etat de Brumaire, et du 8 octobre 1800 au 9 août 1807.

L'Empereur le comble d'honneurs : maréchal en mai 1804, prince de Neuchâtel et de Vallengin en mars 1806, prince de Wagram en août 1809. Agé de soixante et un ans en 1814, il aspire à la paix et accueille Louis XVIII à Compiègne, chevauchant devant lui lors de son entrée à Paris. Au retour de Napoléon, il accompagne le roi et se voit rayé de la liste des maréchaux. Ayant rejoint sa famille à Bamberg, en Bavière, il tombe d'une fenêtre au troisième étage du château. S'agit-il d'un crime, d'un attentat pour l'empêcher de se rallier à Napoléon, ou d'un suicide lié à l'état dépressif du maréchal depuis le retour de Napoléon ? Le nom de Berthier est inscrit sur l'arc de triomphe de l'Etoile.

berthier.jpg

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Membre, 45ans Posté(e)
Ergal Membre 758 messages
Baby Forumeur‚ 45ans‚
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Vous avez surement remarqué mon interêt pour le 1er empire, normal c'est la periode me passionnant.

GENERAL JEAN JOSEPH ANGE D'HAUTPOUL

hautpoul2.jpg

Hautpoul est né au château familial de Salettes le 13 mai 1754, descendant dans une famille d'ancienne noblesse du Languedoc.

Très tôt il se dirige vers la carrière des armes en s'engageant comme volontaire, à 15 ans, dans la Légion corse. En 1777, il passe comme cadet gentilhomme dans le régiment des chasseurs du Languedoc et devient lieutenant-colonel en 1792, puis colonel du 6° régiment de chasseurs à cheval.

Resté à la tête de ses troupes (grâce à l'intervention de ses soldats) lorsque les guerres de la Révolution débutent, il se distingue lors de la victoire de Fleurus (26 juin 1794), au siège de Nimègue ou encore à la victoire d'Aldenhoven (2 octobre) ou à la tête des ses Dragons Français il culbute la cavalerie ennemie deux fois supérieure en nombre, il obtient ensuite le grade de général de brigade et commande la cavalerie d'avant-garde de l'armée de Sambre-et-Meuse de 1794 à 1795.

Affecté ensuite à l'armée du Rhin, il est blessé à Altenkirchen (4 juin 1796). Peu après, il est promu général de division et inspecteur général de cavalerie. Le 18 avril 1797, il participe activement à la victoire de Neuwied.

En 1799, après la bataille de Stockach (25 mars), il se voit injustement accusé par les généraux Lefebvre et Jourdan d'être le principal acteur de cet échec .

Acquitté par le conseil de guerre, il commande une division de cavalerie dans l'armée du général Moreau, durant la campagne d'Allemagne de 1800 : il se distingue dans la plupart des grandes victoires Française que remporte Moreau .

Il se distingue tout d'abord à Engen (3 mai), à Hochstadt (19 juin) où il fait 1,800 prisonniers avec ses Dragons Français, à Biberach, ou encore à Hohenlinden (3 décembre).

En 1803, il se voit confier le commandement de la cavalerie du camp de Saint-Omer puis est fait Chevalier de la Légion d'honneur le 11 novembre, pour enfin en devenir Officier le 13 juin 1804.

A Austerlitz (2 décembre 1805), il s'illustre une nouvelle fois grâce à ses charges de cavalerie, conjointement exécutées avec le général Nansouty qui ont permis d'enfoncer le centre russe et de remporter la victoire .

hautpoul1.jpg

Fait grand aigle de la Légion d'honneur le 21 février 1806 et sénateur le 19 mars, il prend part à la campagne de Prusse la même année, à la tête d'une division de cuirassiers : il détermine le sort de la victoire d'Iéna (14 octobre).

Le 8 février 1807, il est présent, à la tête de ses cuirassiers, à la célèbre « charge des 80 escadrons », mais est mortellement blessé par un biscaïen qui lui fracasse la hanche, lors de sa troisième charge : il succombe de la gangrène, le 13 février.

hautpoul3.jpg

Georges-Frédéric Roussel, "La mort du général d'Hautpoul à Eylau".

Ainsi est mort ce grand général de cavalerie qui était sur le point d'être nommé maréchal. Napoléon le fera inhumer au Panthéon et ordonnera d'édifier une statue équestre le représentant avec une partie des canons pris à l'ennemi durant cette dernière bataille : l'ordre ne sera jamais exécuté.

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Membre, 45ans Posté(e)
Ergal Membre 758 messages
Baby Forumeur‚ 45ans‚
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GENERAL LOUIS LEPIC

Louis Lepic est un général français né à Montpellier le 20 septembre 1765 et mort dans sa propriété d'Andrésy le 7 janvier 1827.

Onzième enfant d'une famille de vingt-deux, la misère le contraint à s'engager dès l'âge de seize ans dans les dragons. Il entra au service en 1781 comme simple dragon, dans le régiment de Lescure, devenu 2e de chasseurs à cheval. Il bénéficie de la Révolution avec son admission dans la garde constitutionnelle du roi. Après le 10 août 1792, il passe maréchal des logis aux dragons de la République. Au bout de six semaines, il est lieutenant-colonel.

Chef d'escadron dès mars 1793, il se bat contre les Vendéens de 1793 à 1796 et y reçoit un nombre considérable de blessures. Il servit pendant trois ans à l'armée de l'Ouest (Vendée) en qualité de lieutenant-colonel et s'y fit remarquer par sa bravoure et par son humanité envers les Vendéens.

Passé à l'Armée d'Italie en 1796, il se distingue à plusieurs reprises par son courage et est plusieurs fois blessé : se signala particulièrement à la bataille de Vérone et à Marengo, où il reçoit sept coups de sabre sur la tête, un à l'épaule et un coup de feu au bras.

Il fut nommé colonel après Marengo. Peu après il entra avec le grade de major dans les grenadiers à cheval de la garde consulaire et fit avec ce corps les campagnes de la Grande Armée.

Nommé colonel major des grenadiers à cheval de la garde impériale après Austerlitz, il participe aux campagnes de Prusse et de Pologne.

La bataille d'Eylau

é Eylau, où il est grièvement blessé et reçoit deux coups de baïonnette dans la poitrine et deux coups de crosse sur les genoux, il est promu général de brigade (1807) et entre dans l'histoire.

Chargé de contenir les masses d'infanterie russe qui s'avançaient vers le cimetière, et d'enlever une batterie ennemie qui semait le ravage et la mort dans les rangs français, il tomba sur cette infanterie et en fit un carnage épouvantable ; se portant en même temps sur la batterie russe, il sabre tout ce qui s'y trouve et s'empare des pièces.

Sur le champ de bataille, le soldat Billon le voit, superbe et colossal, exubérant de valeur, de force et d'audace.

« Le jour d'Eylau, le régiment est placé sous les ordres de son colonel major, Lepic. Les boulets russes qui se fraient sans difficulté un chemin au milieu des flocons, enlèvent hommes et bêtes. Soudain, une voix s'élève, dominant le fracas. C'est Lepic qui hurle : « Haut les têtes Jarnidiou, la mitraille n'est pas de la merde ! »

eylau_cavalerie02.jpg

Le colonel-major Lépic à la bataille d'Eylau.(peinture d'Edouard Detaille)

La charge suit de peu ces vigoureuses paroles. Cependant la neige qui tombait avec abondance ne permettait plus de reconnaître la direction qu'il fallait suivre; après avoir exécuté quelques mouvements il se trouva enveloppé par l'armée russe. Les grenadiers à cheval bousculent l'infanterie russe, mais, perdus dans la tourmente de neige, se retrouvent cernés.

Un officier russe se détache et, courtoisement, prie Lepic de se rendre. Sommé de se rendre, il répondit au parlementaire en montrant ses grenadiers : « Regardez ces figures, et dites-moi si elles ont l'air de vouloir se rendre. » Néanmoins, Lepic, connaissant tout le danger de sa position, s'adresse en ces termes à ses grenadiers : « Amis, il faut vaincre ou mourir aujourd'hui, nous avons trois lignes d'infanterie à renverser. Beaucoup d'entre nous y resteront sans doute; mais dût-il n'en retourner qu'un seul pour porter la nouvelle, l'honneur du corps et celui de notre étendard seront sauvés. »

A ces mots, les grenadiers s'écrièrent : « La charge ! la charge! et nous passerons ! » Lepic se forma alors en colonne serrée par pelotons, ordonna' la charge et culbuta successivement les trois lignes russes, sans autre perte que celle de six hommes dont un officier ; lui-même reçut dans la mêlée deux coups de baïonnette et un coup de crosse sur les genoux qui l'empêchèrent pendant quelque temps de monter à cheval sans aide. Le corps qu'il venait de traverser se trouvait alors aux prises avec les Français; ceux-ci voyant arriver sur eux une cavalerie qui débouchait du centre des colonnes russes, la crurent ennemie, l'accueillirent à coups de fusil et tuèrent deux grenadiers et quelques chevaux.

Cependant Lepic parvint à se faire reconnaître et le feu cessa. L'Empereur qui, depuis plusieurs heures, ne savait ce qu'étaient devenus les grenadiers de la garde, témoigna toute sa satisfaction, et nomma le colonel général de brigade, en conservant ses fonctions de major, et y ajouta une dotation de 30 000 francs. Fait baron d'Empire en mai 1809, il est de toutes les autres campagnes (Espagne, Russie, France).

Ce général se couvrit de nouveau de gloire à Wagram, passa en Espagne en 1810, et y remplit avec distinction les fonctions de capitaine général sous les ordre de Murat et de Joseph Bonaparte.

En 1812 il fit la campagne de Russie dans la Garde impériale, et obtint le 9 février 1813 le grade de général de division. Il eut la satisfaction, pendant la campagne de Russie, d'affronter les cosaques de Platow.

Le général Lepic fit encore les campagnes de Saxe et de France, en 1813 et en 1814, à la tête du 2e régiment des Gardes d'honneur.

La Restauration le fit commandant de la 21e division militaire. La chute de Napoléon ne lui nuit pas puisque Louis XVIII le fait comte en janvier 1815.

En 1815 il fut employé, pendant les Cent-Jours, assista à la bataille de Waterloo, et fut mis à la retraite sous la seconde Restauration. Il est mort le 7 janvier 1847 à Andresy.

Son nom est inscrit sur le côté est de l'Arc de triomphe de l'étoile à Paris.

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Membre, pas membre +, 114ans Posté(e)
mamidu67 Membre 4 733 messages
114ans‚ pas membre +,
Posté(e)

Il était Corse....

Aprés 4 mois d'entraînement en Angleterre ?il a débarquer sur les côtes Normandes, le petit chasseur participe a tous les combats de la libéraration, il se distingue à Selestat( cité à l'ordre de la brigade)Son adresse et son sang froid en tant que conducteur de char de tête ( aprés avoir pris part aux opérations de la poche de Royan) lui vaudront d'être encore cité à l'ordre de la division!

Affecté à la 1ere compagnie de marche du 501éme régiment de chars de combat il embarque pour Toulon rejoindre l'Indochine.Lors de l'attaque du village de Tanan ,il est blessé par balles mais reste debout sur son véhicule assurant par le feu la défense de son char (encore cité à l'ordre de la division)

Il rempile pour 5ans et se retrouve au Maroc.

Il rejoint l'Indochine pour un second "séjour" il s'illustre lors de la prise de NHAN-SON (re citation)s'illustre encore et toujours (c'est un peu fatiguant)

en contribuant à la destruction de nombreux éléments ennemis(beurk!)

Son sens du terrain et son esprit d'initiative lui permettent d'intercepter une section Viêt-Minh, une citation à l'ordre à l'ordre de la division (encore!) reconnaîtra son audace.

L'année 1954 se léve sur les préparatifs de la bataille de DIEN BIEN PHU dans la cuvette il sert sous les ordres du lieutenant Preaud affecté au point d'appui Isabelle. Il se distinguera une derniére fois le 4 avril 1954 et tombera mortellement blessé debout dans sa tourelle!

Médaille militaire!Croix de guerre des T.O.E avec palmes! et tout le toutim!!! L'était Corse mais pas Napoléon....

la doc. ne sort pas de chez Google ni de Wikipedia, tu m'excuses du peu, ce sont des archives famliales.

NB j'espére que mon petit parent ne va pas dépareiller ta prestigieuse galerie de Militaires.

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Membre, 45ans Posté(e)
Ergal Membre 758 messages
Baby Forumeur‚ 45ans‚
Posté(e)

Mais pas du tout, cette partie est faites pour cela. D'ailleurs il serait peut être interressant que vous mettiez (si vous le vouliez) la "carrière" militaire de membre de vos familles.

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Membre, pas membre +, 114ans Posté(e)
mamidu67 Membre 4 733 messages
114ans‚ pas membre +,
Posté(e)

En fait Egal ,je suis d'une famille farouchement anti-militariste, alors le pauvre Tonton avait été relégué aux vieux dossiers qu'on préfere laisser dormir dans la poussiére..... L'accrocher a ta prestigieuse Galerie etait un clin d'oeil qui m'a amusé.

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Membre, 45ans Posté(e)
Ergal Membre 758 messages
Baby Forumeur‚ 45ans‚
Posté(e)

Si vous voulez exposé la 'carrière" militaire de vos parents n'hésitez pas.

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  • 2 semaines après...
Membre, Tu n'auras d'autre batracien devant ma face, 108ans Posté(e)
Grenouille Verte Membre 32 822 messages
108ans‚ Tu n'auras d'autre batracien devant ma face,
Posté(e)

Gandhi.

Pourquoi ? Car il a réussit à provoquer la décolonisatio par la non-violence là ou d'autres étaient obligés de recourir à la violence, à la force armée.

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Membre+, tchoubidouwap <3, 33ans Posté(e)
Astrogirl Membre+ 1 308 messages
33ans‚ tchoubidouwap <3,
Posté(e)

Je suis pas très histoire, ni très militaire, mais je dis Napoléon, parce que ... je sais pas mais j'l'aime bien :o

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VIP, Ours des Pyrénées 100% AOC, Posté(e)
Méthylbro VIP 1 038 messages
Ours des Pyrénées 100% AOC,
Posté(e)

Quelle honte !

Vous n'avez pas citer le plus grand de tous !

L'homme de qui a anéanti des villes entiéres. L'homme qui brula Carthage, qui marcha sur Alesia (d'ailleurs, on ne sait même plus ou était cette ville depuis)...

C'est cet homme qui a inventé toutes les plus grandes stratégie ; qui inspirerons plus tard Alexandre le Grand ou Napoleon ... il s'agit de Caius Iulius Caesar IV !

http://fr.wikipedia.org/wiki/Jules_C%C3%A9sar

Jules César bien sur ! Je pense que c'est lui le plus grand personnage de l'histoire militaire. Et c'est incontestable !

les plus important et les plus fort ya pas de doute asterix et obelix :o ... par la , ===> oki je sort...
Comme quoi, tu n'était pas loin Celti ^^
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Membre, 40ans Posté(e)
cheuwing Membre 16 414 messages
Maitre des forums‚ 40ans‚
Posté(e)

alexandre le grand a vecu 256 avant césar et c'est plutot lui qui inspira césar (surtout sur le domaine politique )

De plus il n'a pas inventé plus de stratégies que certains de ses predecesseurs comme scipion l'africain, sylla ou pompée

Ensuite les stratégies de combat son totalement différent entre césar et napoléon se dernier s'inspire plus de frederic II de Prusse qui est surement le plus grand chef d'armée du 18 eme siècle .

Sinon le IV au bout de caius Iulus tu le sors d'où ?

Chaque époque a son grand perso de l'histoire militaire

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Membre, Posté(e)
Zelig Membre 5 446 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

180px-Karl_XII_of_Sweden.jpg

Le roi Charles XII de Suède (1682-1718)...

Un homme téméraire, capable de vaincre une puissance majeure en deux semaines (ce qui à son époque tient du délire, vu la logistique), éventuellement des armées cinq fois plus nombreuses avec des pertes presque ridicules, comme à Narva.

Avec moins de 8000 soldats, et face à 38000 russes, ses troupes causèrent 15000 morts en quelques heures, contre 667 pertes du côté de son armée. Ses ennemis étaient si puissants et si nombreux, démographiquement parlant, que presque toutes ses batailles ont été remportées avec un ratio inférieur à un contre trois.

Au début de son rêgne, il a dû faire face à des coalitions insensées (Danemark+Pologne+Russie+Saxe+la moitié de la Prusse... et aucun allié), et il a fini par triompher malgré tout.

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