Aller au contenu

Messages recommandés

Membre, Posté(e)
sensualmetis Membre 272 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

y-a-t-il quelque chose d’absolu pour vous ? qu'on ne pourrait remettre en doute, remettre en question ... ?

ABSOLU !

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
Membre, Docteur Honoris Causa Es "Patati & Patata...", 60ans Posté(e)
BadKarma Membre 13 115 messages
60ans‚ Docteur Honoris Causa Es "Patati & Patata...",
Posté(e)

Absolument, dans la fondamentale permanence d' un perpétuel changement... :zen:

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 62ans Posté(e)
PapesseJeanne Membre 2 167 messages
Baby Forumeur‚ 62ans‚
Posté(e)

y-a-t-il quelque chose d’absolu pour vous ? qu'on ne pourrait remettre en doute, remettre en question ... ?

ABSOLU ! :D

Pour moi, la survivance de " l' âme " ou de " l'esprit " après la mort... :zen:

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Talon 1, 78ans Posté(e)
Talon 1 Membre 22 854 messages
78ans‚ Talon 1,
Posté(e)

Est absolu tout ce qui est extrême. Si l'on peut ajouter quelque chose, ce n'est pas absolu. Si l'on peut retrancher quelque chose, ce n'est plus absolu. Platon disait que l'univers n'a ni bras ni œil, ni oreille puisqu'il n'y a rien à saisir hors de lui. Et Montaigne disait que l'amitié est absolue et unique car ce qui est extrême n'a pas son pareil.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Barbara lebol
Invités, Posté(e)
Invité Barbara lebol
Invité Barbara lebol Invités 0 message
Posté(e)

Quelque chose qu'on ne peut mettre en doute ou en question, je n'en vois qu'une : c'est la mort !

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 64ans Posté(e)
pila Membre 18 571 messages
Baby Forumeur‚ 64ans‚
Posté(e)

Les humains sont égaux. La preuve : il y a des noirs intelligents et des blancs dégénérés médicalement parlant. Et vice et versa.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
placide3 Membre 522 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

S'il existe l'infini par principe ou définition ou nature est absolu, i.e relatif à rien d'autre qu'à lui-même.

Le problème étant que si l'infini existe il est inconnaissable par nature.

N'importe quelle quantité pour grande qu'elle puisse paraître est un infinitésimal au regard d'un univers infini, si ça existe.

La sphère d'observable, de rayon très grand (relativement aux observations humaines) est un infinitésimal au regard d'un l'univers infini, si ça existe.

Dire "L'univers est infini donc au final les forces de Newton qui s'exercent ici ou là sont en nombre infini et sont infinies, de résultante nulle." est parfaitement absurde autant que contradictoire parce que si l'univers est in-fini il n'y a pas d'au final qui vaille :hehe:

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Talon 1, 78ans Posté(e)
Talon 1 Membre 22 854 messages
78ans‚ Talon 1,
Posté(e)

L'infini ne peut être absolu puisqu'il est quelque chose que l'on sait ne pas avoir de limite. Puisque l'on peut y ajouter quelque chose, il n'est pas extrême.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Baby Forumeur, 29ans Posté(e)
Eventuellement Membre 3 422 messages
29ans‚ Baby Forumeur,
Posté(e)

Pour moi, la survivance de " l' âme " ou de " l'esprit " après la mort... :zen:

En rapport avec ce qu'a dit Barbara Lebol, en as-tu la preuve ?

L'infini ne peut être absolu puisqu'il est quelque chose que l'on sait ne pas avoir de limite. Puisque l'on peut y ajouter quelque chose, il n'est pas extrême.

Tu parles d'absolu puis d'extrême, sachant que ces notions sont différentes. La difficulté avec la notion d'absolu est qu'elle a des signification diverses et qu'elle est pluridisciplinaire.

Selon le sens scientifique du mot absolu (j'en appelle à Wiktionnaire pour cela), l'infini est bien absolu car la notion d'absolu se suffit à elle-même. Il existe différents types d'infinis, mais la définition ensembliste du mot infini (qui n'a pas un nombre fini d'éléments) est indéniablement absolue et ne change pas selon les circonstances.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
placide3 Membre 522 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Absolu ça veut dire extrême ou sans nuance à l'endroit d'un jugement porté.

Ca peut vouloir dire aussi qui n'a besoin de rien d'autre que de soi-même pour exister, qui n'est relatif à rien d'autre qu'à soi-même.

"L'herbe est absolument verte." si elle est verte dans tous les cas, vue sous tous les angles possibles et par qui que ce soit doté d'organes de perception (animal en tout genre ou autre).

Ce n'est pas le cas car la journée elle peut paraître verte, la nuit noire ou grise => l'herbe est relativement verte, non absolument verte :hehe:

=> Réfléchissez trois secondes : si l'univers était infini, ce qu'à Dieu ne plaise, qu'aurait-il besoin de quoi que ce soit d'autre pour exister en étant ce qu'il est :(

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
Dompteur de mots Membre 1 841 messages
Forumeur activiste‚
Posté(e)

Il y a beaucoup de choses qu'on ne peut remettre en doute. Qu'une rage de dent fait mal, que 1+1 font 2, que Nelson Mandela était noir, que mes yeux sont verts, que le soleil brille, qu'il faut respirer pour vivre, qu'une banane sustente, etc. Il y a tant de faits avérés, qu'il est pratiquement possible d'y fonder une vie !

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 31ans Posté(e)
Non12 Membre 16 messages
Baby Forumeur‚ 31ans‚
Posté(e)

tous les étas de mon ame sont '' absolument '' vécu . si je veux les exprimer a quelqun ils deviendront nécessairement relatives . car c'est par des mots seulement que je dois les exprimer . je ne peux donner a cette personne qu'une point de vue abstraite sur mes étas internes et non pas ces étas eux mémes . l'absolu ne peut étre que vecu et toutes les définitions qu'on lui donne me semblent inutiles.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
Dompteur de mots Membre 1 841 messages
Forumeur activiste‚
Posté(e)

Qu'est-ce qu'un "vécu absolu" ? Un vécu dont on ne peut remettre en doute l'existence ? Alors dans ce cas, mes pensées sont aussi absolues: personne ne peut remettre en doute l'existence de mes pensées, dussent-elles contenir des propositions erronées ou pût-on mettre leur valeur en cause.

Toute différente est la question de savoir quelle est la valeur de mes pensées, et quelle est la véracité des assertions qu'elles contiennent.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 31ans Posté(e)
Non12 Membre 16 messages
Baby Forumeur‚ 31ans‚
Posté(e)

Qu'est-ce qu'un "vécu absolu" ? Un vécu dont on ne peut remettre en doute l'existence ? Alors dans ce cas, mes pensées sont aussi absolues: personne ne peut remettre en doute l'existence de mes pensées, dussent-elles contenir des propositions erronées ou pût-on mettre leur valeur en cause.

Toute différente est la question de savoir quelle est la valeur de mes pensées, et quelle est la véracité des assertions qu'elles contiennent.

Bonsoir

le vécu absolu dont je parle est celui de la durée au sens bergsonien du mot . notre vie intérieure tellement riche et obscur que notre language ne peut le traduire qu'aux termes vide et abstrait . l'ecart qui est entre nos étas internes et nos mots est infranchissable . le languange s'identifie ce qui est par nature différent alors qu'a l'intérieure de nous méme il ya une créations qui ne cesse de se renouveler a chaque instant . une douleur profonde par exemple est absolument vécu pour moi pour l'autre non il ne peut y avoir q'une idéé tout a fait abstraite.

j'ai une question concernaNt les propositions erronés . si'il existe une proposition erronéé doit on dire qu'il est absolument ou relativement faux ? parler du vrai ou du faux ne suppose pas déja un critére qu'on croit absolu et duquel on se référe?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
placide3 Membre 522 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

N'importe quelle quantité pour énorme qu'elle puisse paraître, une puce de rien du tout ou la sphère d'observables centrée sur la terre de rayon 13,7 milliards d'années-lumière pourquoi pas, sont des infinitésimaux au regard de l'univers, s'il est infini (l'univers).

Appliquer le raisonnement à l'univers lui-même, s'il est infini :

=> si l'univers est infini alors il est lui-même un infinitésimal par rapport à lui-même ce qui revient à dire ... qu'il n'existe pas !

Quant à l'absolu si ça existe il ne peut y en avoir qu'un seul et pas des tonnes : l'infini.

- si l'infini existe alors c'est l'absolu.

- si l'absolu existe alors c'est l'infini.

L'absolu <=> l'infini !

Mais hélas si l'univers est infini alors il semble devoir ... ne pas exister :(

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
sensualmetis Membre 272 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

L'effet papillon est infini et absolu, tant dans l'espace que dans le temps.

L'absolu est aussi la tasse qui est dans l'histoire dans un roman, d'après la mécanique quantique, les versions de l'histoire existent de manière infini, une infinité de tasses absolues.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
sensualmetis Membre 272 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

C'est une chose qui est absolument inexistant.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, forumeur éclairé, 54ans Posté(e)
Lugy Lug Membre 10 224 messages
54ans‚ forumeur éclairé,
Posté(e)

je n'ai aucune certitude mais je me doute, comme disait coluche, que l'absolue ment.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
sensualmetis Membre 272 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Je n'ai aucune certitude mais je doute : cela veut dire autrement dit, il n'est pas sûr qu'il sache quelque chose d'absolu.

Signifie-moi mentir ... comment tu vois la chose ?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
Dompteur de mots Membre 1 841 messages
Forumeur activiste‚
Posté(e)

Le vécu absolu dont je parle est celui de la durée au sens bergsonien du mot. Notre vie intérieure tellement riche et obscur que notre langage ne peut le traduire qu'aux termes vide et abstrait. L’écart qui est entre nos états internes et nos mots est infranchissable. Le langage s'identifie ce qui est par nature différent alors qu'a l'intérieure de nous-même il y a une création qui ne cesse de se renouveler à chaque instant, une douleur profonde par exemple est absolument vécu pour moi pour l'autre non il ne peut y avoir qu’une idée tout à fait abstraite.

Mais qu’est-ce que cela signifie d’affirmer qu’un vécu est absolu ? Qu’il est plus réel, qu’il est plus vrai que la proposition qui traite de ce vécu ? Mais pourtant, le vécu tout autant que la proposition qui en traite existent bel et bien et il serait assez hasardeux d’affirmer que l’un existe plus que l’autre. D’ailleurs, je ne suis pas certain que cela ait quelque sens que ce soit d’affirmer qu’une chose puisse exister plus qu’une autre. Seulement, une chose peut exister selon un mode différent d’une autre chose. Ainsi, un sentiment n’existe pas dans le même mode qu’une proposition traitant de ce sentiment. Un sentiment s’intrique dans notre existence, dans nos pensées, dans notre existence physiologique d’une manière bien plus complexe qu’une proposition peut le faire – encore que l’impact d’un poème ou d’un livre sur un individu puisse être assez surprenant. Certaines œuvres littéraires nous transforment littéralement. Mais un écrivain serait certainement idiot de penser que par son écriture, il va susciter chez ses lecteurs des états d’âme identiques aux siens (ce serait d’ailleurs un objectif tout aussi idiot). Son dessein devrait plutôt être plus général et consister en quelque chose comme de creuser des sillons pour rendre possible une catégorie de ressenti ou d’idées donnée dans l’esprit d’autrui.

Bergson a, dans sa philosophie, des prétentions ontologiques mais sa philosophie fonctionne plutôt sous le mode de la valeur. Ce que Bergson nous propose, c’est une véritable éthique de la pensée, consistant à mettre de l’avant l’idée d’intuition. Il nous enjoint, un peu comme le recommandait Nietzsche, et par la suite toute la psychanalyse, de ne pas nous laisser prendre dans les filets du langage et d’accorder plus d’attention à cette couche de nos états intérieurs qui sont plus diffus.

Et il l’a fait selon le style qui fut le sien : celui d’une philosophie plus traditionnelle, celui d’un langage aux artifices ontologiques, dissimulés derrière une façade gentillette. Ce qui ne l’empêche pas, loin de là, d’avoir pêché quelques images géniales en cours de route.

J’ai une question concernant les propositions erronées. S’il existe une proposition erronée, doit-on dire qu'elle est absolument ou relativement fausse ? Parler du vrai ou du faux ne suppose pas déjà un critère qu'on croit absolu et duquel on se réfère?

Une proposition est en effet relative à un contexte. Mais tout est relatif si on examine les choses de manière séparée. À prendre la feuille séparément de l’arbre, son existence semble relative à celle de l’arbre, mais le fait est plutôt que la feuille fait partie de l’arbre. Séparer la feuille de l’arbre est une opération fictive de l’esprit. De même que séparer une proposition de son contexte est une opération fictive de l’esprit, car toute proposition vient d’emblée avec un contexte et ne saurait exister qu’au sein de ce contexte. Ce qui fait que d’un autre point de vue, tout est absolu : c’est-à-dire que tout a une consistance. Une proposition fausse existe en tant que proposition, de même que sa fausseté pourra être dite consistante si le contexte (ou champ d’application) qui est le sien s’y prête.

Si je pose la proposition « il est faux que la terre est plate », il est sous-entendu qu’elle appartient au champ d’application des connaissances astronomiques actuelles.

Maintenant cette proposition aurait théoriquement pu appartenir à d’autres champs d’application, comme exemple celui des croyances astronomiques du Moyen-Âge, dans lequel cas elle aurait été fausse. Mais cette dernière phrase était écrite au conditionnel et avec raison : c’est qu’elle décrit une fiction. Le fait est que la proposition de départ appartient à un champ d’application donné. Le fait de dire qu’elle aurait pu être ceci ou cela, ou qu’elle aurait pu subir telle ou telle variante n’est qu’un jeu de l’esprit qui n’affecte en rien la réalité et la particularité de ma proposition.

Puisqu’elle appartient au champ d’application des connaissances astronomiques actuelles, elle est absolument vraie. Si elle eût appartenu au champ d’application des croyances astronomiques du Moyen-Âge, elle eût été absolument fausse.

Et donc en conclusion, le fait que l’on puisse faire varier une proposition par un jeu de l’esprit ne la rend pas du coup ontologiquement relative.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.

×