Cargos, la face cachée du fret

Pour un cargo, quel est le plus sûr moyen de devenir célèbre ? Faire naufrage, pardi ! Répandre des dizaines (voire des centaines) de milliers de tonnes de fioul lourd sur un littoral à la manière de l'Amoco Cadiz, de l'Exxon Valdez, de l'Erika ou du Prestige. Ou alors dériver dangereusement vers une côte (peuplée d'occidentaux, c'est mieux) comme le Modern Express.

De fait, ce cargo immatriculé au Panama et empli de 3600 tonnes de bois et d'engins de travaux aura tenu les médias en haleine pendant une semaine, jusqu'à son arrivée ce mercredi 3 février au port de Bilbao, dans le nord de l'Espagne.

Pourtant, le Modern Express est l'arbre qui cache la forêt des accidents maritimes. Un tous les trois jours (et loin des caméras, donc), nous apprend Cargos, la face cachée du fret,un documentaire spectaculaire et passionnant sur le transport de marchandises. Car ce sont des dizaines de milliers de mastodontes qui sillonnent sans relâche les mers et les océans du globe.

Ce film de Denis Delestrac qui révèle une activité d'une ampleur insoupçonnée pour la plupart d'entre nous, indispensable à la mondialisation et aux effets dramatiques sur l'environnement.

A voir ici en avant-première : http://television.te...tion,137619.php

avant sa diffusion sur France 5 le 9 février à 20h40.

Y'a qu'a supprimer le mondialisation et nous n'aurons plus de problème d'environnement visible!

il y a la possibilité de suivre le trafic maritime mondial depuis son fauteuil , et dés que vs constatez un problème HOP vs faîte le 17 .

http://www.marinetraffic.com/fr/

On vient de créer un canal de dérivation à Suez plus large et qui aboutit dans la Méditerranée, pour doubler le trafic.

Pour celui là , c'est les billes de bois mal amarrées, je vois pas ou est le problème majeur, il a pas coulé c'est déjà pas mal

on va pas s'inventer des naufrages pour se faire plaisir, encore heureux qu'on l'a dégagé, il faut remercier les types pendus en l'air qui ont accrochés les filins, ils méritent une bonne prime ceux là

La cop 21 n'en a pas fait mention, un oubli sans doute!

Ou alors le capitaine de pédalo se sent solidaire!

Pour celui là , c'est les billes de bois mal amarrées, je vois pas ou est le problème majeur, il a pas coulé c'est déjà pas mal

on va pas s'inventer des naufrages pour se faire plaisir, encore heureux qu'on l'a dégagé, il faut remercier les types pendus en l'air qui ont accrochés les filins, ils méritent une bonne prime ceux là

Ton nez s'allonge encore, tu n'as pas remarqué que l'on parlait uniquement de sa cargaison non polluante mais jamais de son origine ou de la vraie société qui est derrière?

Ah! ces journalistes et leur gagne pain!

A-t-on bien conscience de notre dépendance aux porte-conteneurs ? Environ 90 % de ce que nous consommons transite sur les quelque soixante mille vaisseaux qui sillonnent sans relâche les mers du globe. C’est dire l’importance du fret maritime, ce tentaculaire réseau d’artères qui structure la mondialisation. Denis Delestrac (Le Sable, enquête sur une disparition) braque son projecteur sur ce secteur d’activité aussi gigantesque que méconnu. Que savons-nous, par exemple, de Maersk, le plus grand armateur de porte-conteneurs au monde, dont les revenus équivaudraient à ceux de… Microsoft ?

Le nerf du fret maritime, c’est son coût, incroyablement bas. Une veste de costume peut parcourir 48 000 kilomètres pour le prix d’un ticket de métro, a calculé Denis Delestrac. Ceci grâce aux économies d’échelle, à l’emploi d’une main-d’oeuvre corvéable (philippine à 40 %), de rafiots fatigués, de pavillons de complaisance (Panamá, Liberia, Bahamas…) qui autorisent tout… Les conséquences environnementales sont dramatiques.

A-t-on bien conscience de notre dépendance aux porte-conteneurs ? Environ 90 % de ce que nous consommons transite sur les quelque soixante mille vaisseaux qui sillonnent sans relâche les mers du globe. C’est dire l’importance du fret maritime, ce tentaculaire réseau d’artères qui structure la mondialisation. Denis Delestrac (Le Sable, enquête sur une disparition) braque son projecteur sur ce secteur d’activité aussi gigantesque que méconnu. Que savons-nous, par exemple, de Maersk, le plus grand armateur de porte-conteneurs au monde, dont les revenus équivaudraient à ceux de… Microsoft ?

Le nerf du fret maritime, c’est son coût, incroyablement bas. Une veste de costume peut parcourir 48 000 kilomètres pour le prix d’un ticket de métro, a calculé Denis Delestrac. Ceci grâce aux économies d’échelle, à l’emploi d’une main-d’oeuvre corvéable (philippine à 40 %), de rafiots fatigués, de pavillons de complaisance (Panamá, Liberia, Bahamas…) qui autorisent tout… Les conséquences environnementales sont dramatiques.

En voyant ce chiffre de 60000 vaisseaux et quand on y rajoute tous les autres bateaux du plus petits au plus grands qui circulent également sur tous les océans et les mers du globe, ça me fait penser à un verre rempli d'eau si on y rajoute par exemple une toute petite balle il y à de forte chance que le verre déborde. Je me demande alors, et ça va peut être vous paraître idiot de penser cela, si ça ne fini pas aussi pas avoir une incidence sur la montée des eaux.

En voyant ce chiffre de 60000 vaisseaux et quand on y rajoute tous les autres bateaux du plus petits au plus grands qui circulent également sur tous les océans et les mers du globe, ça me fait penser à un verre rempli d'eau si on y rajoute par exemple une toute petite balle il y à de forte chance que le verre déborde. Je me demande alors, et ça va peut être vous paraître idiot de penser cela, si ça ne fini pas aussi pas avoir une incidence sur la montée des eaux.

A mon avis, si on tient compte de toutes les surfaces, je pense que ce ne sont que quelques gouttes.

Certains pourraient peut être nous répondre ici, maths, physique....?

A mon avis, si on tient compte de toutes les surfaces, je pense que ce ne sont que quelques gouttes.

Certains pourraient peut être nous répondre ici, maths, physique....?

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je viens de faire un calcul approché.

la surface de la Terre est de 510 millions de km². les 3/4 sont des océans soit 380 millions de km². Prenons une moyenne de 100 x 20 m par bateau.

On en met 500 côte à côte par km². Ils sont au nombre de 100000 soit 200 km² de surface de totale de bateaux.

Si on compare 200 km² à 380 millions de km², la surface des océans est près de 1,9 millions de fois plus grande.

Donc ton argument d'élévation du niveau de la mer par les bateaux ne tient pas !

Merci Répy :)

Bonjour Répy,

En fait, pour être plus précis, ce ne sont pas les surfaces qu'il faudrait comparer, mais

les poids bateaux + cargaisons = volume d'eau de mer.

Mais le résultat approximatif que je partage avec vous, ne changerait absolument pas.

Merci à vous trois pour avoir pris le temps de répondre à ma demande. :)

Bonjour Répy,

En fait, pour être plus précis, ce ne sont pas les surfaces qu'il faudrait comparer, mais

les poids bateaux + cargaisons = volume d'eau de mer.

Mais le résultat approximatif que je partage avec vous, ne changerait absolument pas.

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bien sûr mais compte tenu du tirant d'eau moyen de 8 m, le volume d'eau déplacé par tous ces bateaux est tout aussi dérisoire que le rapport des surfaces.

moi je me demande depuis des milliers d'années que les fleuves les rivières se versent dans la mer , j'me demande comment elles finissent par débordés ....

elbaid,

La quantité d'eau sur terre est constante.

Elle existe sous trois états simultanément: Liquide, solide, gazeux.

L'eau des rivières provient de la pluie et de la fonte des glaces des montagenes, se jette à la mer, puis redevient gazeux sous forme de nuage, qui redevient liquide sous forme de précipitation pluvieuse..

C'est le cycle de l'eau, dont une partie occupe également des zones souterraines.

L'eau ne manque ou n'est en abondance qu' a certains endroits et moment particulier, qui varient en fonction des saisons.

C'est primaire comme explication, mais cela explique le niveau relativement constant des océans.

elbaid,

......

L'eau ne manque ou n'est en abondance qu' a certains endroits et moment particulier, qui varient en fonction des saisons.

C'est primaire comme explication, mais cela explique le niveau relativement constant des océans.

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L'explication n'est pas primaire elle est simple et exacte.

ce qui est primaire et même primitif c'est la question !

" les 20 plus grands navires émettent autant de particules fines que l'ensemble des voitures de la planète "

Et il y en à 60 000....

En voyant ce chiffre de 60000 vaisseaux et quand on y rajoute tous les autres bateaux du plus petits au plus grands qui circulent également sur tous les océans et les mers du globe, ça me fait penser à un verre rempli d'eau si on y rajoute par exemple une toute petite balle il y à de forte chance que le verre déborde. Je me demande alors, et ça va peut être vous paraître idiot de penser cela, si ça ne fini pas aussi pas avoir une incidence sur la montée des eaux.

Bonjour Alcina , bisous.

Aucun soucis, a ce faire pour le volume des bateaux qui est franchement dérisoire, comparé au reste des océans, mais c'est pas là que réside le problème, c'est aux niveau pollutions qu'émettent ces dit bateaux, déjà que toutes leur émissions sont des plus dangereuse pour l'être humain, les émissions de co2 et surtout de souffre sont des facteurs très conséquent du réchauffement climatique et de la fonte des glaces terrestre, glaciers, comme du pole sud qui détient la plus grande réserve d'eau douce du monde, et qui risque de faire nettement monter le volume des océans. Par contre pour le pole nord ( l'artique ) aucun soucis, tu fait l’expérience tu prends un verre d'eau tu le remplit à raz bord avec un énorme glaçon qui surnage, tu verra il y aura pas une goutte d'eau qui déborde quand le glaçon va fondre, le verre d'eau représentant tout les océans, et le glaçon le pole nord.

Les combustion du souffre sont très nettement supérieure pour l'effet de serre que le co2. Il n'y a pas que le soufre, mais des métaux lourds aussi, bref rien de très réjouissant.

Le SF6 est l'un des six types de gaz à effet de serre visés par le protocole de Kyoto ainsi que dans la directive 2003/87/CE. Son potentiel de réchauffement global (PRG) est 22 80016 fois supérieur à celui du CO2, ce qui en fait potentiellement le plus puissant gaz à effet de serre sur Terre. Cela signifie que chaque kilogramme de SF6 émis dans l’atmosphère a le même impact sur l’effet de serre global à long terme que 22 800 kg de CO2. Sa contribution à l’effet de serre global est cependant inférieure à 0,3 % en raison de sa faible concentration par rapport au CO217. Enfin, une diminution des émissions de SF6 a été observée de 1990 à 2004 (-40 % au Canada et -34 % en France), mais il faut néanmoins tenir compte du fait que sa durée de vie dans l'atmosphère est élevée : 3 200 ans20.

Par ailleurs s'il n'est en lui-même pas toxique, les produits issus de sa décomposition, causée par les effets corona et arcs électriques, en l'occurrence le S2O2F10 et le HF, le sont en plus d'être très corrosifs

https://fr.wikipedia.org/wiki/Hexafluorure_de_soufre

https://fr.wikipedia.org/wiki/Gaz_%C3%A0_effet_de_serre

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Les combustion du souffre sont très nettement supérieure pour l'effet de serre que le co2. Il n'y a pas que le soufre, mais des métaux lourds aussi, bref rien de très réjouissant.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Hexafluorure_de_soufre

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je veux bien admettre le très grand effet de serre du SF6 mais ce gaz n'est pas produit par les combustions. il n'est obtenu que par une synthèse très spéciale car le fluor est un élément très réactif (il oxyde tout ou presque)

Le soufre oxydé par combustion devient du SO²

C'est pour éviter cette production que les pétroles sont désulfurés dans les raffineries avant d'en extraire les carburants (essence gazole et fiouls).

En revanche les charbons ne peuvent pas être désulfurés avant combustion.

Dans les centrales électriques chauffées au charbon on essaye de piéger le SO² avant de l'envoyer dans l'atmosphère. Mais cette opération coûte assez cher et n'est pas totale.