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La psychologie animale est-elle adaptable à l'humain?


cobrananas

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Membre, ans Posté(e)
cobrananas Membre 793 messages
Forumeur balbutiant‚ ans‚
Posté(e)

bonjour les gens

cette question pour qui sait observer un peu et l'animal et l'humain

et pas une question pour savoir qui a le plus gros ego philosophique surtout :D

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Invité sharky01_
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Invité sharky01_
Invité sharky01_ Invités 0 message
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Formulé autrement, cela donnerait : les animaux dressés perdent-ils au change ? Ne les castre t-on d'une certaine façon. En les transformant en machines, comme on les considère encore il faut le reconnaître.

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Membre, Posté(e)
lucdf Membre 4 113 messages
Forumeur balbutiant‚
Posté(e)

bonjour les gens

cette question pour qui sait observer un peu et l'animal et l'humain

et pas une question pour savoir qui a le plus gros ego philosophique surtout :D

Les mantes religieuses femelles mangent les mâles. Beaucoup d'araignées femelles dévorent les mâles après l'acte de reproduction. Je ne pense pas qu'il y ait beaucoup de cas semblables chez les humains. Je sais....on ne nous dit pas tout! :snif:

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Dompteur de mots Membre 1 841 messages
Forumeur activiste‚
Posté(e)

Sauf ton respect, c'est un sujet merdique, et il est merdique parce qu'il n'est pas défini. Une question philosophique, ce n'est pas seulement une phrase qui se termine avec un point d'interrogation et autour de laquelle on joue à tricoter des mots. Ça c'est ce que j'appelle faire de la philosophie morte. Une question philosophique digne de ce nom a un contexte, elle a des attaches avec notre chair, elle nous tourmente, elle nous gêne pour vivre, etc. Et parce qu'elle nous tourmente, nous avons besoin de la définir le plus précisément possible. Elle ne peut ainsi être formulée seulement par une phrase qui se termine par un point d'interrogation. Hors de cette façon de faire, la philo c'est juste des guirlandes de mots vains.

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Invité Leveilleur
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Invité Leveilleur
Invité Leveilleur Invités 0 message
Posté(e)

Les mantes religieuses femelles mangent les mâles. Beaucoup d'araignées femelles dévorent les mâles après l'acte de reproduction. Je ne pense pas qu'il y ait beaucoup de cas semblables chez les humains. Je sais....on ne nous dit pas tout! :snif:

Mais en observant mieux, il est bien question de se dévorer dans un couple humain, tantôt l'un, tantôt l'autre, souvent les deux.

Sinon, autre sujet vide.

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Invité
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Invité
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Posté(e)

Sauf ton respect, c'est un sujet merdique, et il est merdique parce qu'il n'est pas défini. Une question philosophique, ce n'est pas seulement une phrase qui se termine avec un point d'interrogation et autour de laquelle on joue à tricoter des mots. Ça c'est ce que j'appelle faire de la philosophie morte. Une question philosophique digne de ce nom a un contexte, elle a des attaches avec notre chair, elle nous tourmente, elle nous gêne pour vivre, etc. Et parce qu'elle nous tourmente, nous avons besoin de la définir le plus précisément possible. Elle ne peut ainsi être formulée seulement par une phrase qui se termine par un point d'interrogation. Hors de cette façon de faire, la philo c'est juste des guirlandes de mots vains.

:snif:

Sauf ton respect, qui te dit qu'une simple question posée ici ne tourmente pas le forumeur qui la pose ? Et qui te dit qu'il ne se cantonne pas volontairement à exposer sa question sans la définir précisément, pour laisser libre champ au lecteur d'y répondre selon SA perception de la problématique ? Un peu à la manière d'une question ouverte qui n'influencerait pas les réponses ?

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Invité Leveilleur
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Invité Leveilleur
Invité Leveilleur Invités 0 message
Posté(e)

:snif:

Sauf ton respect, qui te dit qu'une simple question posée ici ne tourmente pas le forumeur qui la pose ? Et qui te dit qu'il ne se cantonne pas volontairement à exposer sa question sans la définir précisément, pour laisser libre champ au lecteur d'y répondre selon SA perception de la problématique ? Un peu à la manière d'une question ouverte qui n'influencerait pas les réponses ?

La façon dont est posée la question contient les éléments suffisants pour se décider de se taire.

Peu importe qu'elle tourmente celui-ci ou celui-là.

les réponses risquent de tourmenter davantage.

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Invité
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Invité
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Posté(e)

La façon dont est posée la question contient les éléments suffisants pour se décider de se taire.

Je suis curieuse. Qu'est ce qui te décide à te taire dans la question "La psychologie animale est-elle adaptable à l'humain?" ? Et qu'est-ce qui en fait que ce ne serait pas une question philosophique ?

Tu es sûr que c'est pas le commentaire (maladroitement provocateur) qui l'accompagne qui te refroidit un peu ?

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Invité Leveilleur
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Invité Leveilleur
Invité Leveilleur Invités 0 message
Posté(e)

Je suis curieuse. Qu'est ce qui te décide à te taire dans la question "La psychologie animale est-elle adaptable à l'humain?" ? Et qu'est-ce qui en fait que ce ne serait pas une question philosophique ?

Tu es sûr que c'est pas le commentaire (maladroitement provocateur) qui l'accompagne qui te refroidit un peu ?

Le commentaire dissuadant les amateurs de pilosophie ne me touche pas dans le sens que vous supposez, pour une raison simple, je ne me pense pas philosophe, même si je parviens à considérer que tout sujet peut être traiter avec philosophie.

Quant à la question elle-même, elle me paraît aussi creuse que celle-ci : Pensez-vous qu'hier il faisait jour ?

L'homme étant un animal, il me semble certain, selon ma propre expérience (car je me refuse à citer l'expérience d'autrui, quel qu'il soit, car il m'est impossible d'en connaître quelque chose, et il n'est pas sûr qu'autrui en connaisse autant que ce qu'il le croit ...) que les "traits" les plus importants de ce que l'on appelle "psychologie" (terme qui souffre d'un manque de consensus (ici surtout) en ce qui me concerne) sont communs à la grande majorité des mammifères.

Quant aux points de variantes sur lesquels nous pourrions discuter, j'ai peur que cela nous entraîne loin du domaine de la dite psychologie.

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Membre, Posté(e)
Dompteur de mots Membre 1 841 messages
Forumeur activiste‚
Posté(e)

Sauf ton respect, qui te dit qu'une simple question posée ici ne tourmente pas le forumeur qui la pose ? Et qui te dit qu'il ne se cantonne pas volontairement à exposer sa question sans la définir précisément, pour laisser libre champ au lecteur d'y répondre selon SA perception de la problématique ? Un peu à la manière d'une question ouverte qui n'influencerait pas les réponses ?

Que l'auteur de la question me détrompe sur le sérieux de ses intentions et je produirai sur le sujet une dissertation qui fera de ce topic le plus noble des topics.

Pour ce qui est d'influencer les réponses, il y a une différence entre définir les termes d'une question et y injecter un parti pris. Tu peux bien sûr voir la différence entre:

  • L'espoir est pour moi le sujet d'un violent dilemme intérieur: d'un côté certains philosophes affirment qu'elle est un leurre qui avilit le cours de la vie humaine et de l'autre, on entend souvent dire qu'elle est le sel même de la vie. Croyez-vous à l'espoir ? --> Cela est une question ouverte qui n'influence pas les réponses, mais pose tout simplement un contexte et du même coup témoigne de l'importance de la question pour l'auteur (bien que cet aspect ne soit développé que de manière minime).
  • De toute évidence, il m'apparaît que l'espoir c'est de la crotte de bique. Seuls les faibles et les timorés ont besoin d'espérer. Croyez-vous à l'espoir ? --> Cela est une question truquée.

Par ailleurs, que Léveilleur, un homme au-dessus de tout soupçon et aux moeurs pures s'il en est un soit du même avis que moi - bien qu'il l'exprime de manière beaucoup plus subtile et qu'il ait la sagesse de nuancer sa position, cela devrait t'éveiller quant à la justesse de mon diagnostic.

qui te dit

Il y a un génie malin qui habite au creux de mon oreille et qui me souffle parfois ses observations sur le monde. Il se sent bien seul là-haut, à méditer sur le cours du temps, et à s'efforcer de voir ce à quoi les autres demeurent le plus souvent aveugles. Pour cette raison, il est fruste et susceptible mais il a de l'amour à pelletée pour la vie de l'esprit (et donc pour ce que les hommes ont de plus grand) et il a à coeur de défendre ce qu'elle a de sacré - quitte à sacrifier une certaine sentimentalité qui lui est par ailleurs naturelle. Il me dit que sa passion a fait s'étirer ses pleurs en un long sentiment d'exil dont la réverbération pulsative donne son rythme à mon coeur. Il me dit que c'est par mes jambes et mes bras et ma parole qu'il parviendra à rentrer à la maison, que je suis le véhicule de son grand retour.

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

Si j'ai bien compris, pour toi Leveilleur c'est un "sujet vide" parce que la réponse te parait évidente. Et pour toi Dompteur ce qui ne t'encourage pas à participer c'est l'absence de "sérieux des intentions" de l'auteur.

Déjà votre "diagnostic" n'est pas le même ;) En revanche vous vous retrouvez sur la même conclusion que ce n'est pas une question qui mérite qu'on s'y attarde. "C'est pas de la philo, hop on zappe". Cependant je remarque dans l'esquisse de réponse que vient de faire Leveilleur qu'il réduit le sujet à une seule espèce animale : les mammifères. Pourtant la question initiale ne le précisait pas. On avait donc là une première piste de discussion intéressante, non ? Quant à toi Dompteur tu t'es précipité à rejeter une question parce que son auteur s'est trahi lui-même sur sont désintérêt pour le sujet.

Je reste donc persuadée que vous vous êtes laissés influencer par le contexte (qui a titillé votre fierté), plus que par la question elle-même qui pourrait être un sujet philosophique intéressant.

Et je pense que vous ne m'en voudrez pas de m'autoriser ce jugement dans la mesure où vous vous êtes permis d'exprimer spontanément le vôtre :wink:

Bon, je fais ma chieuse parce qu'en réalité je me suis sentie personnellement concernée par la remarque de Dompteur que j'ai trouvé violente. Les sujets que j'ouvre en section philo se réduisent bien souvent à une simple question et n'éclaircissent pas vraiment ce qui me tourmente.

Edit : suppression de l'inutile à présent ;-)

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Invité Leveilleur
Invités, Posté(e)
Invité Leveilleur
Invité Leveilleur Invités 0 message
Posté(e)

Si j'ai bien compris, pour toi Leveilleur c'est un "sujet vide" parce que la réponse te parait évidente.

Vous avez bien compris !

"C'est pas de la philo, hop on zappe"[/i].

Cette conclusion est contraire à votre première compréhension.

Je me fous que ce soit de la philo ou pas, comme je vous l'ai dit, tout propos est au même niveau pour moi. Ce qui m'importe, ce sont les conditions qui engagent l'auteur dans l'expression de sa question.

Cependant je remarque dans l'esquisse de réponse que vient de faire Leveilleur qu'il réduit le sujet à une seule espèce animale : les mammifères. Pourtant la question initiale ne le précisait pas. On avait donc là une première piste de discussion intéressante, non ?

Oui, des mammifères pour simplifier, parce que l'homme appartient à cette formation, c'est à dire qu'il est composé (grosso-modo) comme les autres mammifères au niveau endocrinal, et lorsqu'on parle de psychologie ou de comportement, on ne doit pas oublier que la source de tous nos "mouvements" est dans les hormones

Je reste donc persuadée que vous vous êtes laissés influencer par le contexte (qui a titillé votre fierté), plus que par la question elle-même qui pourrait être un sujet philosophique intéressant.

Non, vous faites erreur sur ce point en ce qui me concerne, et je vous ai dit déjà pourquoi.

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Membre, Posté(e)
LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

En 1983 vous avez exposé dans La Pensée hiérarchique et l'évolution un chapitre intitulé « L'effet réversif et sa logique (la morale de Darwin) ». Vous considérez cet effet réversif de l'évolution comme une seconde

révolution darwinienne.

Pouvez-vous nous en exposer brièvement le principe ?

Patrick Tort :

Permettez-moi d’adapter simplement ici, pour vous répondre,

la définition que je donne de ce concept dans le Dictionnaire du darwinisme (PUF).

J’ai nommé effet réversif de l’évolution l’opération qui effectue

chez Darwin le passage entre ce que l’on nommera par commodité

la sphère de la nature, régie par la stricte loi de la sélection éliminatoire, et l’état d’une société civilisée, à l’intérieur

de laquelle se généralisent et s’institutionnalisent des

conduites qui s’opposent au libre jeu de cette loi.

Si ce concept n’est nulle part nommé dans l’œuvre de Darwin,

il y est cependant décrit et opère dans plusieurs chapitres

importants de La Filiation de l’Homme. Sa nécessité résulte

d’un paradoxe identifié par Darwin dans l’application du principe

sélectif à la compréhension de la naissance de la civilisation.

la sélection naturelle, principe directeur de l’évolution impliquant l’élimination des moins aptes dans la lutte pour la vie, sélectionne

dans l’humanité une forme de vie sociale dont la marche vers la

civilisation tend à exclure de plus en plus, à travers le jeu lié

de la morale et des institutions, les comportements éliminatoires.

En termes simplifiés, la sélection naturelle sélectionne

la civilisation, qui s’oppose à la sélection naturelle.

Nous résoudrons cette difficulté en développant la logique même

de la théorie sélective. La sélection naturelle – il s’agit chez Darwin

d’un point fondamental – sélectionne non seulement des variations

organiques présentant un avantage adaptatif,

mais aussi des instincts.

Parmi ces instincts avantageux, ceux que Darwin nomme

les instincts sociaux ont été tout particulièrement

favorisés et accrus.

Or dans l’état de « civilisation », résultat complexe d’un

accroissement de la rationalité, de l’emprise grandissante

du sentiment de « sympathie » et des différentes formes morales

et institutionnelles de l’altruisme, on assiste à un renversement

de plus en plus net des conduites individuelles et sociales

par rapport à ce qu’eût été la poursuite pure et simple

du fonctionnement sélectif antérieur : au lieu de l’élimination

des moins aptes apparaît, avec la civilisation, le devoir d’assistance

qui met en œuvre à leur endroit de multiples démarches de secours

et de réhabilitation ;

au lieu de l’extinction naturelle des malades et des infirmes,

leur sauvegarde par la mobilisation de technologies et de savoirs

(hygiène, médecine, etc.) visant à la réduction et à la compensation

des déficits organiques ;

au lieu de l’acceptation des conséquences destructrices des

hiérarchies naturelles de la force, du nombre et de l’aptitude

vitale, un interventionnisme rééquilibrateur qui s’oppose à toute disqualification.

Là où la nature élimine, la civilisation protège.

Par le biais des instincts sociaux, la sélection naturelle,

sans « saut » ni rupture, a donc sélectionné son contraire, soit:

un ensemble normé, et en progrès, de comportements sociaux anti-éliminatoires, ainsi, corrélativement, qu’une éthique

anti-sélectionniste (= anti-éliminatoire) traduite en principes,

en règles de conduite et en lois.

L’émergence progressive de la morale apparaît donc comme un phénomène indissociable de l’évolution : c’est là une suite normale

du matérialisme de Darwin, et de l’inévitable extension de

la théorie de la sélection naturelle à l’explication du devenir

des sociétés humaines.

Mais cette extension, que trop de théoriciens,

abusés par l’écran tissé autour de Darwin par la philosophie

évolutionniste de Spencer, ont interprétée hâtivement sur le

modèle simpliste et faux du « darwinisme social » libéral

(application aux sociétés humaines du principe de l’élimination

des moins aptes au sein d’une concurrence vitale généralisée),

ne peut en toute rigueur s’effectuer que sous la modalité de

l’effet réversif, qui oblige à concevoir le renversement même

de l’opération sélective comme base et condition de l’accession à la

« civilisation ».

C’est ce qui interdit définitivement qu’une sociobiologie triviale

qui défendrait au contraire, et à l’opposé de toute la logique anthropologique de Darwin, l’idée d’une continuité simple

(sans renversement) entre nature et société, puisse à bon

droit se réclamer du darwinisme.

L’opération réversive est ainsi ce qui fonde la justesse finale de la distinction entre nature et culture, en évitant le piège d’une « rupture » magiquement installée entre ses deux termes : la continuité évolutive,

à travers cette opération de renversement progressif liée au

développement (lui-même sélectionné) des instincts sociaux,

produit de cette manière non pas une rupture effective,

mais un effet de rupture qui provient de ce que la sélection

naturelle s’est trouvée, dans le cours de sa propre évolution,

soumise elle-même à sa propre loi – sa forme nouvellement sélectionnée,

qui favorise la protection des « faibles », l’emportant,

parce qu’avantageuse, sur sa forme ancienne, qui privilégiait leur élimination. L’avantage nouveau n’est plus alors d’ordre biologique :

il est devenu social.

Par là même, Darwin sauve la singularité humaine

– et donc la nécessité des sciences de l’homme et de la société

– tout en invitant à ne jamais rompre le lien qui la relie à

l’ensemble de la nature – excluant ainsi toute régression

spiritualiste comparable à celle qui de nos jours revient

périodiquement s’attaquer à lui. """"

http://valery-rasplus.blogs.nouvelobs.com/archive/2011/11/26/10-questions-a-patrick-tort.html

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Invité Leveilleur
Invités, Posté(e)
Invité Leveilleur
Invité Leveilleur Invités 0 message
Posté(e)

Ah ce bon Darwin, nul n'est infaillible, eut-il pu s'empêcher de dire quelques horreurs parfois ?

"Charles Darwin, le célèbre naturaliste anglais qui les aperçut en 1832 lors de son voyage à bord du Beagle que commandait le capitaine Fitz Ruy, ne fit d’ailleurs pas preuve de grande aménité à leur encontre. Voici ce qu’il écrit dans son journal de voyage : « il s’agit des créatures les plus abjectes et misérables que j’ai jamais rencontrées. Regardant ces hommes, il paraît difficile de croire qu’il s’agit d’êtres humains habitant notre monde à nous ».

http://www.alienor.org/publications/patagonie/texte.htm Darwin y avait regardé d’un peu plus près, je gage qu’il eût été plus nuancé."

" Les Européens ne parvenaient pas à comprendre ces peuples indiens, notamment Darwin en 1834, qui écrivit que “la différence entre les Fuégiens (“parmi les créatures les plus abjectes et misérables que j’aie jamais vues”) et les Européens était plus grande qu’entre animaux sauvages et domestiques. Darwin affirma également que les indiens de Terre de Feu étaient anthropophages. Mais aucune trace d’anthropophagie n’a été retrouvé.

Cette légende de l’anthropophagie des indiens de Terre de Feu étaient si développée, qu’elle fut à l’origine de l’enlèvement de onze indiens Onas par le français Maître pour les exposer à l’exposition universelle de Paris en 1889, exposition sensée célébrer pourtant le centenaire de la Révolution française et des droits de l’Homme."

http://autourdumonde.famillemilcent.com/?p=2892

Et si ma mémoire est bonne, il aurait été partisan de comparer la vitesse de décomposition d'un idigène et d'un homme blanc "bien civilisé" (le civilisé est plus résistant à la pourriture ?), histoire d'écarter tout doute sur leur appartenance à l'espèce humaine.

Quelle belle singularité !

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Invité Leveilleur
Invités, Posté(e)
Invité Leveilleur
Invité Leveilleur Invités 0 message
Posté(e)

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Membre, Posté(e)
LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Menteur ! :gurp:

Tu ne peux fournir de preuves de ce que tu avances !

Procédé ignoble et malhonnête ! :gurp:

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Invité Leveilleur
Invités, Posté(e)
Invité Leveilleur
Invité Leveilleur Invités 0 message
Posté(e)

Le propos sur les sites dont j'ai donnés les liens sont également des mensonges ?

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