L'Addiction

L'addiction:

Sujet qui m'a toujours fasciné: l'addiction chez l'homme. Chimique, alimentaire, sexuelle, "occupationnelle", pourquoi sommes-nous si sujets à l'excès?

Je ne lance pas ce sujet pour avoir LA réponse - si tant est qu'elle existe - mais les opinions m’intéressent. On peut, pour commencer, évoquer la conscience de la mort, le besoin de vivre tout, intensément parce qu'il y aura un jour une fin...

Qu'en pensez-vous?

Moi, ce que j'aimerais savoir, c'est comment certaines personnes arrivent à ne pas tomber dans l'addiction? Quelle est leur force?

Sinon, pour répondre à la question, l'addiction est une envie qui devient mauvaise habitude... Et lorsqu'on veut se détacher d'une mauvaise habitude, comme on dit, chasser le naturel, il revient au galop.

L'addiction:

Sujet qui m'a toujours fasciné: l'addiction chez l'homme. Chimique, alimentaire, sexuelle, "occupationnelle", pourquoi sommes-nous si sujets à l'excès?

Je ne lance pas ce sujet pour avoir LA réponse - si tant est qu'elle existe - mais les opinions m’intéressent. On peut, pour commencer, évoquer la conscience de la mort, le besoin de vivre tout, intensément parce qu'il y aura un jour une fin...

Qu'en pensez-vous?

bonjour

il se peut que l'on soit ( programmé ) pour une addiction ? tel père , tel fils ? tel mère tel fille ?

mais , ce n'est pas toujours le cas . si nous somme tous des êtres humains , nous fonctionnons en gros , de la même façon , mais il y à des différences .

si ont est heureux dans la vie ,la mort serait comme une trouble fête dont la venue serait inévitable et ,comme un chien dans un champs de quilles dans le genre : la fête est fini ,vous devez rendre votre acte de naissance à qui de droit , tout le monde dégagent pour laisser la place aux nouveaux venus .

la fin de vie dans ce monde physique ne veut pas dire qu'il ni à pas une suite autrement et ailleurs ?

avons nous un exemple de logique pour l'espérer ? oui , à mon sens .la physique que nous connaissons s'arrête au bord d'une autre physique , j'ai nommé : la physique quantique qui se rie de notre logique et nous rend le monde de l'infiniment petit aléatoire et sans logique apparente .

et puis ,on ne peut ignorer les millions de personnes , hommes femmes enfants qui ont fait une NDE et qui raconte la même histoire incroyable et que la mort ne serait qu'une porte ou un passage pour une autre vie dans un autre monde ?

un scientifique à dit : rien ne se perd tout se transforme .nos cellules rendraient à la terre ses composants tandis que notre conscience franchirait une porte donnant dans une autre dimension inconnue ?

les religions ne rentrerait pas en ligne de conte dans la mesure ou elles cherchent à dominer pour reigner .

je crois que tout cela est d'une incroyable complexité .

bonne soirée

L'addiction:

Sujet qui m'a toujours fasciné: l'addiction chez l'homme. Chimique, alimentaire, sexuelle, "occupationnelle", pourquoi sommes-nous si sujets à l'excès?

Je ne lance pas ce sujet pour avoir LA réponse - si tant est qu'elle existe - mais les opinions m’intéressent. On peut, pour commencer, évoquer la conscience de la mort, le besoin de vivre tout, intensément parce qu'il y aura un jour une fin...

Qu'en pensez-vous?

En gros, et très shématiquement, l'objet de l'addiction est un objet de substitution de l'objet perdu. Téter un verre, une cigarette, par exemple en lieu et place du sein maternel reconfortant et symbole d'un paradis protecteur perdu, par exemple.

Je me suis déjà posé la même question : pourquoi certains arrivent-ils à la conclusion que nous sommes dans une société d'addictions, et que c'est à cet égard de pire en pire (ce que je constate également à titre personnel)?

Entre les addictions typiques de la cigarette, des joints ou de l'alcool, les addictions à la télévision, aux copains, aux forums de discussion, au sport, etc... nous sommes tous à un niveau un autre sujets à des comportements addictifs.

J'ignore absolument le processus fondamental mais il m'intéresse aussi pour le coup!

Simple avis de profane : la frustration continuelle dans laquelle nous sommes entretenus par la consommation de masse joue-t-elle un rôle dans tout ça? L'absence de relais politique ou d'alternative crédible pour une jeunesse toujours aussi idéaliste précipite-t-elle certains jeunes ado, plus ou moins consciemment, dans l'alcoolisme et/ou la consommation de certaines drogues?

Bonsoir, je pense que l'adiction est un besoin, un recours, une alternative, une échappatoire, une façon de vivre, une façon de mourir,une façon de se punir,une façon de se salir, une façon de se maudire, un jeux... Le tout causé par une faiblesse, une curiosité, une erreur,un choix,un accident... une façon de vivre pour mieux mourir ou encore une façon de mourir pour mieux vivre...

L'adiction peut être un poison dégueulasse tous comme il peut être un mets suculant en fonction de la raisons qui cause l'adiction.

parfois l'individu va vers l'adiction et c'est elle qui le garde, parfois l'adiction va vers l'individu et c'est lui qui la garde, parfois l'adiction rejette l'individu (exemple: overdose) parfois l'individu rejette l'adiction (exemple: désintoxication)...

Ma conclusion est que : l'adiction est un danger qui nous guette et qui parfois peu s'avérer mortel. (Donnez moi votre avis sur ma vision svp.)

Bne soirée.

L'addiction:

Sujet qui m'a toujours fasciné: l'addiction chez l'homme. Chimique, alimentaire, sexuelle, "occupationnelle", pourquoi sommes-nous si sujets à l'excès?

Je ne lance pas ce sujet pour avoir LA réponse - si tant est qu'elle existe - mais les opinions m’intéressent. On peut, pour commencer, évoquer la conscience de la mort, le besoin de vivre tout, intensément parce qu'il y aura un jour une fin...

Qu'en pensez-vous?

Le spermatozoïde qui nage (ou rampe) aux côtés de millions de concurrents, n'est-il pas déjà en addiction de l'oeuf ? Sans avoir jamais vu ou touché un oeuf, est-ce l'addiction qui l'agite qui lui permet d'en reconnaître un lorsqu'il se trouve à sa portée ? Serait-il possible que tout nous manque, même ce dont il est impossible de produire un imaginaire, une conception ?

Tout nous manque, excepté une seule chose, le programme qui produit le manque est le même qui produit la peur du manque.

Le spermatozoïde qui nage (ou rampe) aux côtés de millions de concurrents, n'est-il pas déjà en addiction de l'oeuf ? Sans avoir jamais vu ou touché un oeuf, est-ce l'addiction qui l'agite qui lui permet d'en reconnaître un lorsqu'il se trouve à sa portée ? Serait-il possible que tout nous manque, même ce dont il est impossible de produire un imaginaire, une conception ?

Tout nous manque, excepté une seule chose, le programme qui produit le manque est le même qui produit la peur du manque.

La différence est que nous ne sommes pas instinctivement programmés par exemple à boire de l'alcool de manière régulière, alors que le spermatozoïde lui, il est bien instinctivement programmé à nager jusqu'à l'ovule.

Ce qui nous rappelle que l'addiction a une consonance éthique: elle se dit de la conduite raisonnée de l'homme, lorsque celle-ci dévie de la vertu.

Serait-il possible que tout nous manque, même ce dont il est impossible de produire un imaginaire, une conception ?

"Tout nous manque": c'est une manière de le voir. Une autre manière serait de dire que nous sommes habités par des forces "superflues" qui nous poussent hors de nous, qui nous font aspirer à davantage, qui nous font nous auto-transcender. Mais que cette tension puisse être si tenaillante parfois, si difficile à supporter que nous nous replions trop souvent sur des solutions de rechange, sur des désirs secondaires et superficiels, qui nous comblent mais qui ne nous comblent pas non plus, et qui donc suscitent un manque perpétuel.

Dans ton sujet, tu lies l'addiction à l'excès. Et il me semble que tu poses la question sur les excès (Qu'est-ce qui pousse les gens à faire des excès ?)

Or, d'après moi, ces 2 notions sont dissociées : on peut faire des excès sans être addict et on peut être addict sans faire d'excès.

L'addiction est commandée par le corps : le corps exprime un mal-être en cas de privation de l'objet de l'addiction.

L'excès est commandé par l'esprit : notre personnalité et/ou notre état d'esprit nous pousse à agir avec excès.

En gros, et très shématiquement, l'objet de l'addiction est un objet de substitution de l'objet perdu. Téter un verre, une cigarette, par exemple en lieu et place du sein maternel reconfortant et symbole d'un paradis protecteur perdu, par exemple.

Voilà une manière particulière dont l'addiction peut ou non s'intriquer avec un système plus ou moins résolu de relations familiales mais ça ne constitue pas une explication satisfaisante de la manière dont le désir puisse se fixer sur un objet privilégié. Comme le dit Deleuze, le désir est une production machinique avant tout, et non un personnage dans le théâtre du familialisme.

Le spermatozoïde qui nage (ou rampe) aux côtés de millions de concurrents, n'est-il pas déjà en addiction de l'oeuf ? Sans avoir jamais vu ou touché un oeuf,

MDRRR

bonjour

Est-ce que les animaux ont des addictions ? je parle des mammifères .peut-être les primates et les grands singes ?

peut-être que tout cela ne passe pas obligatoirement par le psychisme conscient ou inconscient , mais aussi par .les instincts et les hérédités ?

bonne soirée

bonjour

Est-ce que les animaux ont des addictions ? je parle des mammifères .peut-être les primates et les grands singes ?

peut-être que tout cela ne passe pas obligatoirement par le psychisme conscient ou inconscient , mais aussi par .les instincts et les hérédités ?

bonne soirée

Oui les animaux ont des addictions, et sont disponibles à en acquérir de nouvelles dans la mesure ou la consommation ou l'usage procure plaisir.

Voilà une manière particulière dont l'addiction peut ou non s'intriquer avec un système plus ou moins résolu de relations familiales mais ça ne constitue pas une explication satisfaisante de la manière dont le désir puisse se fixer sur un objet privilégié. Comme le dit Deleuze, le désir est une production machinique avant tout, et non un personnage dans le théâtre du familialisme.

Si tant est que cela soit du désir et non de la pulsion.

Si tant est que cela soit du désir et non de la pulsion.

"Désir" n'était peut-être pas le terme parfait. Mais je pense que tu as compris ce que je voulais dire.

Oui les animaux ont des addictions, et sont disponibles à en acquérir de nouvelles dans la mesure ou la consommation ou l'usage procure plaisir.

J'ai déjà vu dans un zoo un gorille qui se masturbait compulsivement.

Dans ton sujet, tu lies l'addiction à l'excès. Et il me semble que tu poses la question sur les excès (Qu'est-ce qui pousse les gens à faire des excès ?)

Or, d'après moi, ces 2 notions sont dissociées : on peut faire des excès sans être addict et on peut être addict sans faire d'excès.

L'addiction est commandée par le corps : le corps exprime un mal-être en cas de privation de l'objet de l'addiction.

L'excès est commandé par l'esprit : notre personnalité et/ou notre état d'esprit nous pousse à agir avec excès.

la matière est plus forte que l'esprit , l'esprit ne peu pas agir sur la matière mais la matière influence l'esprit , le grand architecte « Satan » maîtrise la matière il est le maître de la terre , « dieu » est l'esprit et il n'a aucun pouvoir sur la matière , le lien entre les deux est votre mental , l'esprit influence le mental , le mental influence la matière .

Tout nous manque, excepté une seule chose, le programme qui produit le manque est le même qui produit la peur du manque.

Bonjour.

Il y'a des gens qui sont heureux avec rien et qui ne veulent rien de plus. J'ai l'impression que ca n'a pas été pris en compte dans votre idée.

Bne journée.

Bonjour.

Il y'a des gens qui sont heureux avec rien et qui ne veulent rien de plus. J'ai l'impression que ca n'a pas été pris en compte dans votre idée.

Bne journée.

Bonne vie.

Je pense que vous n'avez pas saisi précisément le niveau où se situe le manque dont je parle.

Rien à voir avec le fait d'être heureux ou non, de plus, être heureux, cela ne veut rien dire.

la volonté de posséder quelque chose en plus est un autre sujet.

Le manque n'est pas en rapport avec la possession.

S'il vous manque du fer dans votre organisme, comment ferez-vous pour le posséder ?

S'il vous manque du silence, comment ferez-vous pour le posséder ?

Si Dieu (en supposant qu'il y ait du sens dans cette idée) vous manquait, comment feriez-vous pour le posséder ?

Bonne vie.

Je pense que vous n'avez pas saisi précisément le niveau où se situe le manque dont je parle.

Rien à voir avec le fait d'être heureux ou non, de plus, être heureux, cela ne veut rien dire.

la volonté de posséder quelque chose en plus est un autre sujet.

Le manque n'est pas en rapport avec la possession.

S'il vous manque du fer dans votre organisme, comment ferez-vous pour le posséder ?

S'il vous manque du silence, comment ferez-vous pour le posséder ?

Si Dieu (en supposant qu'il y ait du sens dans cette idée) vous manquait, comment feriez-vous pour le posséder ?

Bonne vie.

Autant pour moi je n'avais pas saisi la portée de votre idée et je me suis mélangé les pinceaux en associant besoin matériel et adiction à tord.

Je ne saurais malheureusement pas vous répondre n'ayant pas la portée de ce genre de sujets mais j'apprécie votre attention.

Bye. Bne soirée.