Une illusion ?

j'ai une question pour vous... Et si la vie... oui celle que tu "vie" à longueur de temps... de ta naissance à ta mort... n'était qu'un rêve une illusion...

Quand penser vous ?

je refuse dans ce sujet :

- propagande religieuse

- insulte

- et tout ce qui sans rapproche

Merci de respecter ceci

pour le savoir piques toi avec une aiguille ...

Moi bof comme réponse, une illusion bien faite ferais ressentir la douleur... prend exemple "Matrix" il pense vivre dans la réalité mais en fait non !

plus ou moins comme un rêve , l'âme est énergie et la matière donne un support pour que cette énergie y prenne refuge a fin de s'exprimer , une fois le corps inerte cette énergie n'est pas perdu du moment qu'elle ce nourrit toujours de la lumière du soleil , la source , elle a juste besoins de trouver un autre support réceptif a sont champ hertzien . L'énergie vibre la matière réagis …

C'est tout à fait possible.

Il n'y a aucune manière de le savoir avec certitude. Certains t'opposeront telle ou telle Vérité religieuse, mais elle a fait l'objet d'un choix (sub)conscient basé sur une croyance, un leap of faith. Certains autres t'opposeront telle ou telle Vérité scientifique, mais par essence mieux comprendre le monde et l'environnement t'apprend beaucoup sur ceux-ci et rien sur si ceux-ci sont rêvés ou pas.

L'illusion totale ne peut être niée. Tu peux juste l'imaginer.

En vérité l'opposition est très ancienne entre les deux philosophies, matérialiste et idéaliste, concernant la nature de la vraie vie — pour paraphraser:

Matérialisme: ce monde matériel est vrai. C'est ça la vraie vie.

Idéalisme: c'est notre perception (idée(s)) du monde matériel qui est vraie.

(Pour soi? Pour chacun? Qui — rêve?)

Imaginer le contexte qui te permet ce beau rêve, c'est souvent là le socle de la poésie et de la spiritualité. Tu dois donc être sensible aux deux.

pour le savoir piques toi avec une aiguille ...

Exactement ; quand on ne souffre aucunement , notre corps mème peut paraitre une illusion .

Mais dès que la moindre souffrance apparait douloureusement , l'illusion de ton corps t'apparait soudainement comme réelle .

Et si tu te prends un coup de poing dans les gencives par Mike Tyson , tu vas vite la sentir ton illusion , 36 chandelles en prime .

On pourrait mème en déduire que seule la douleur te fait véritablement prendre conscience de ton existence .

Ce que les sado-masos ont bien compris :smile2:

Un truc simple pour vérifier ce que j'avance :

Commences par te crever un oeil , et si ça suffit pas , crèves le 2ème !

La douleur ne peut-elle pas être une illusion?

Y compris "dans la vie": une expérience neurologique très simple consiste à placer quelqu'un devant une table, avec une boîte transparente pourvue de deux trous, dans lesquels on y place chaque main. L'on peut ainsi voir parfaitement chaque main. Cependant l'une d'entre elles est reliée par un système de miroirs à une main factice, un objet. Le sujet a l'impression que sa main est là où ne se trouve que la réflexion de cet artifice.

Piquer cette main factice avec une aiguille ou la faire bouger d'une manière qui ne serait pas anatomiquement possible résulte étonnamment en une sensation de douleur pour le sujet.

Si tu veux le ressentir toi-même, tu peux contacter une université avec un département de recherche adapté; ils utilisent peut-être ce protocole.

Que l'on en ait conscient ou pas :

LA VIE EST UNE PENSÉE. Et les pensées se succèdent...

La pensée (la vie) est comme un virus voulant rendre malade ce qui est parfait et immortel mais qui finalement se meurt à lui même. Puis recommence jusqu'à ce que ce virus trouve son propre antidote.

Il y a t-il une vie qui ne soit pas le fruit de la pensée. Une vie sans conscience ni inconscience, mais qui soit une totale Attention? Une Attention si totale qu'il ne s'agit plus de soi en elle-même. L'attention de l'incommensurable dans toute son intensité?

j'ai une question pour vous... Et si la vie... oui celle que tu "vie" à longueur de temps... de ta naissance à ta mort... n'était qu'un rêve une illusion...

Quand penser vous ?

Je ne pense jamais : je suis un cerveau dans une cuve.

Blague à part, la réponse de Putnam (qui rejoint le doute cartésien du malin génie ou autres scénarios à la Matrix) pourrait aussi bien s'appliquer à celui du rêve.

Pour que tu puisses penser l'hypothèse que tu rêves, il faudrait que tu rêves que tu penses que tu vis dans un rêve, ce qui implique que ce que tu imagines être l'état d'endormissement (nécessaire au rêve) dans lequel tu te situerais soit distinct de l'état d'endormissement réel où tu te trouverais : ce serait une conception "magique" de la référence dans le sens où tu n'aurais aucune raison de penser que la représentation que tu te ferais de ton état d'endormissement corresponde à ton état réel. Si bien que tu ne peux pas penser (à proprement parler) que tu vis dans un rêve, car cela impliquerait que tu te représenterais toi-même tel que tu serais dans la réalité vraie, mais dans ton propre rêve. Dans le pire des cas tu serais (par un heureux hasard) à t'imaginer dans ton rêve exactement tel que tu serais dans la réalité où tu dors, mais même alors tu ne le saurais pas, tu ne ferais que te le représenter sans pouvoir en être assuré, et le doute te rendrais certains éléments du décor totalement substituables.

Si par exemple tu étais endormi dans un fauteuil devant la cheminée, avec une couverture verte autour de toi, et que tu rêves que tu es endormi dans un fauteuil identique avec une couverture verte autour de toi, tu croirais que tu es endormi de la sorte, mais tu ne le sauras pas (étant incapable d'envisager que la couverture de ton rêve ne soit pas verte alors que tu n'en aurais aucune preuve empirique). Ce n'est pas vraiment une réfutation, mais il s'agit plutôt dans ce type de réponse de considérer que la possibilité du rêve n'est pas une alternative pertinente, étant donné qu'elle n'est pas démontrable (ou même réfutable), voir même carrément impensable (à proprement parler). Il est beaucoup plus pertinent de partir du constat immédiat que procurent les sens, fussent-ils dupés par un malin génie.