L'amour ?

Pour vous qu'est-ce que l'amour ? (le vrai) et Comment peut-on être sûr d'être vraiment amoureux ?

quand on l'aime jusqu'à ne plus arreter de penser à elle/lui plusieurs fois par jour

L'amour libère.

Aimer c'est dans chaque acte qui rend libre.

Le reste est le reste.

Pour vous qu'est-ce que l'amour ? (le vrai) et Comment peut-on être sûr d'être vraiment amoureux ?

C'est une très mauvaise question. Et elle est mauvaise parce qu'au lieu de la poser en fonction de ce que vous voulez (on peut penser que ce que vous voulez, c'est une relation durable), vous la posez en fonction de la vérité. Or, un amour peut fort bien être vrai mais ne pas receler de possibilités sur le plan de la durabilité. Un amour vrai peut même être néfaste. Pour tout dire, vous vivez dans l'illusion romanesque que la vie vous livrera tout fait à l'avance un festin amoureux, sans que vous ayez à vous questionner sur ce que vous voulez, sur ce que vous êtes et sur ce vers quoi vous vous en allez. Comme si l'amour n'était qu'un cadeau et qu'il ne demandait pas de travail ! Et comme la plupart des gens, vous allez probablement sauter dans le premier train venu, c'est-à-dire celui d'une femme au-travers de laquelle vous allez pouvoir répliquer votre modèle familial et perpétuer les mêmes erreurs, parce que pendant ce temps-là, votre femme se sera faite engrosser presqu'à votre insu, puis vous vous réveillerez - ou plutôt vous ne vous réveillerez pas - à 40 ans au sein d'une famille que vous n'aimez pas vraiment mais vous prendrez des antidépresseurs pour vous dissimuler ce fait ou vous coucherez avec des femmes plus jeunes, enfin vous serez probablement adepte de pornographie sado-masochiste sur le web, puis vous divorcerez à 50 ans, lorsque les enfants seront plus vieux, et vous allez vous remettre en couple avec une autre femme avec laquelle vous perpétuerez encore les mêmes erreurs tout en vous disant qu'enfin vous êtes libre alors que vous serez plus que jamais pris dans votre triangle oedipien, et là ce sera le ballet des groupes de croissance personnelle, du New Age, du Yoga, peut-être même du born again christian, vous allez devenir un vieux con pour qui c'est la faute des immigrants et des homosexuels, vos enfants ne viendront assurément jamais vous voir à l'hospice parce que vous les faites trop chier avec vos discours réactionnaires et alors vous allez devenir aussi incontinent que votre âme; on va vous poser une sonde, et vous creverez seul au bout d'une longue et pénible usure et votre pierre tombale sera laide.

Je vous invite donc à prendre la vie à bras-le-corps et à reformuler votre question.

L'amour libère.

Aimer c'est dans chaque acte qui rend libre.

Le reste est le reste.

Dans ce cas - et je ne suis pas en désaccord, le sujet du topic devrait être "qu'est-ce que la liberté", et non "qu'est-ce le vrai amour ?".

Dans ce cas - et je ne suis pas en désaccord, le sujet du topic devrait être "qu'est-ce que la liberté", et non "qu'est-ce le vrai amour ?".

Oui, sinon à part ça, Les vacances à la neige sont finies ?

C'est une très mauvaise question. Et elle est mauvaise parce qu'au lieu de la poser en fonction de ce que vous voulez (on peut penser que ce que vous voulez, c'est une relation durable), vous la posez en fonction de la vérité. Or, un amour peut fort bien être vrai mais ne pas receler de possibilités sur le plan de la durabilité. Un amour vrai peut même être néfaste. Pour tout dire, vous vivez dans l'illusion romanesque que la vie vous livrera tout fait à l'avance un festin amoureux, sans que vous ayez à vous questionner sur ce que vous voulez, sur ce que vous êtes et sur ce vers quoi vous vous en allez. Comme si l'amour n'était qu'un cadeau et qu'il ne demandait pas de travail ! Et comme la plupart des gens, vous allez probablement sauter dans le premier train venu, c'est-à-dire celui d'une femme au-travers de laquelle vous allez pouvoir répliquer votre modèle familial et perpétuer les mêmes erreurs, parce que pendant ce temps-là, votre femme se sera faite engrosser presqu'à votre insu, puis vous vous réveillerez - ou plutôt vous ne vous réveillerez pas - à 40 ans au sein d'une famille que vous n'aimez pas vraiment mais vous prendrez des antidépresseurs pour vous dissimuler ce fait ou vous coucherez avec des femmes plus jeunes, enfin vous serez probablement adepte de pornographie sado-masochiste sur le web, puis vous divorcerez à 50 ans, lorsque les enfants seront plus vieux, et vous allez vous remettre en couple avec une autre femme avec laquelle vous perpétuerez encore les mêmes erreurs tout en vous disant qu'enfin vous êtes libre alors que vous serez plus que jamais pris dans votre triangle oedipien, et là ce sera le ballet des groupes de croissance personnelle, du New Age, du Yoga, peut-être même du born again christian, vous allez devenir un vieux con pour qui c'est la faute des immigrants et des homosexuels, vos enfants ne viendront assurément jamais vous voir à l'hospice parce que vous les faites trop chier avec vos discours réactionnaires et alors vous allez devenir aussi incontinent que votre âme; on va vous poser une sonde, et vous creverez seul au bout d'une longue et pénible usure et votre pierre tombale sera laide.

Je vous invite donc à prendre la vie à bras-le-corps et à reformuler votre question.

quel humour, tu as le blouse dompteur.

l' amour, c'est la fusion de deux ètres pour en créer une autre.

quand on l'aime jusqu'à ne plus arreter de penser à elle/lui plusieurs fois par jour

Guimauve.

L'amour c'est comme un grand huit :il te fait monter très haut puis descendre très bas !

Quand je te lis (Dompteur): j'adore !

J'ai l'impression de lire "l'anti-moi" et pourtant je me reconnais partout !

Vache de tableau que tu nous fais.

Mon idée de l'amour, j'ai répondu à côté, je ne vais pas recommencer !

J'aime bien ton expression de "festin amoureux" !!!

Mais la question de reconnaître l'amour, est bizarre.

Parle-t-on d'un amour "tempéré", constructeur, de bon aloi, politiquement correct ?

Ben, ça, c'est pas l'amour !

L'amour c'est quand on ne reconnait plus vraiment ses limites, quand je ne sait plus dire où je finis et où l'autre commence.

L'amour,(la preuve de l'amour) c'est quand je veux ce que tu veux sans y penser, d'instinct.

C'est le mélange des désirs et des volontés.

Plus qu'un désir pour deux !

Quand ça arrive, il n'y a plus le moindre doute...

Je rajoute :

l'amour c'est quand l'autre est un miroir parfait...

(Sans réfléchir !)

Non, là je blague !...

quel humour, tu as le blouse dompteur.

l' amour, c'est la fusion de deux ètres pour en créer une autre.

Aouche, ça doit faire bobo! Dompteur en effet, je te dois mon premier sourire de la journée. (bon o.k, je viens à peine de me lever, mais quand même)

quel humour, tu as le blouse dompteur.

l' amour, c'est la fusion de deux ètres pour en créer une autre.

Oui, c'est bien connu que les personnes stériles sont incapables d'amour.

quand on l'aime jusqu'à ne plus arreter de penser à elle/lui plusieurs fois par jour

Oui pas mal.

L'amour libère.

Aimer c'est dans chaque acte qui rend libre.

Le reste est le reste.

Oui c'est vrai.

C'est une très mauvaise question. Et elle est mauvaise parce qu'au lieu de la poser en fonction de ce que vous voulez (on peut penser que ce que vous voulez, c'est une relation durable), vous la posez en fonction de la vérité. Or, un amour peut fort bien être vrai mais ne pas receler de possibilités sur le plan de la durabilité. Un amour vrai peut même être néfaste. Pour tout dire, vous vivez dans l'illusion romanesque que la vie vous livrera tout fait à l'avance un festin amoureux, sans que vous ayez à vous questionner sur ce que vous voulez, sur ce que vous êtes et sur ce vers quoi vous vous en allez. Comme si l'amour n'était qu'un cadeau et qu'il ne demandait pas de travail ! Et comme la plupart des gens, vous allez probablement sauter dans le premier train venu, c'est-à-dire celui d'une femme au-travers de laquelle vous allez pouvoir répliquer votre modèle familial et perpétuer les mêmes erreurs, parce que pendant ce temps-là, votre femme se sera faite engrosser presqu'à votre insu, puis vous vous réveillerez - ou plutôt vous ne vous réveillerez pas - à 40 ans au sein d'une famille que vous n'aimez pas vraiment mais vous prendrez des antidépresseurs pour vous dissimuler ce fait ou vous coucherez avec des femmes plus jeunes, enfin vous serez probablement adepte de pornographie sado-masochiste sur le web, puis vous divorcerez à 50 ans, lorsque les enfants seront plus vieux, et vous allez vous remettre en couple avec une autre femme avec laquelle vous perpétuerez encore les mêmes erreurs tout en vous disant qu'enfin vous êtes libre alors que vous serez plus que jamais pris dans votre triangle oedipien, et là ce sera le ballet des groupes de croissance personnelle, du New Age, du Yoga, peut-être même du born again christian, vous allez devenir un vieux con pour qui c'est la faute des immigrants et des homosexuels, vos enfants ne viendront assurément jamais vous voir à l'hospice parce que vous les faites trop chier avec vos discours réactionnaires et alors vous allez devenir aussi incontinent que votre âme; on va vous poser une sonde, et vous creverez seul au bout d'une longue et pénible usure et votre pierre tombale sera laide.

Je vous invite donc à prendre la vie à bras-le-corps et à reformuler votre question.

Ne faites pas de votre cas une généralité.

Oui, c'est bien connu que les personnes stériles sont incapables d'amour.

Même remarque que précédemment.

Ceci dit, vous avez raison. L'amour ne se limite pas qu'à l'amour "eros".

Il y a tant d'autres façons d'aimer, toutes aussi délicieuses.

Ne faites pas de votre cas une généralité.

Même remarque que précédemment.

Ceci dit, vous avez raison. L'amour ne se limite pas qu'à l'amour "eros".

Il y a tant d'autres façons d'aimer, toutes aussi délicieuses.

Les geeks à lunettes de ton acabit...non, clairement.

Bisous bisous quand même!

ouf tu me rassures,je croyais que tu étais devenu gentille

donc on peut continuer à te détester en paix

quand on l'aime jusqu'à ne plus arreter de penser à elle/lui plusieurs fois par jour

Tu confonds amour et dépendance/manque de l'autre, attentes de ce qu'il t' apporte.

Tu aimeras quand tu donneras, quand tu réfléchiras à ce que tu peux lui apporter et non du troc de ce que tu peux lui échanger.

C'est une très mauvaise question. Et elle est mauvaise parce qu'au lieu de la poser en fonction de ce que vous voulez (on peut penser que ce que vous voulez, c'est une relation durable), vous la posez en fonction de la vérité. Or, un amour peut fort bien être vrai mais ne pas receler de possibilités sur le plan de la durabilité. Un amour vrai peut même être néfaste. Pour tout dire, vous vivez dans l'illusion romanesque que la vie vous livrera tout fait à l'avance un festin amoureux, sans que vous ayez à vous questionner sur ce que vous voulez, sur ce que vous êtes et sur ce vers quoi vous vous en allez. Comme si l'amour n'était qu'un cadeau et qu'il ne demandait pas de travail ! Et comme la plupart des gens, vous allez probablement sauter dans le premier train venu, c'est-à-dire celui d'une femme au-travers de laquelle vous allez pouvoir répliquer votre modèle familial et perpétuer les mêmes erreurs, parce que pendant ce temps-là, votre femme se sera faite engrosser presqu'à votre insu, puis vous vous réveillerez - ou plutôt vous ne vous réveillerez pas - à 40 ans au sein d'une famille que vous n'aimez pas vraiment mais vous prendrez des antidépresseurs pour vous dissimuler ce fait ou vous coucherez avec des femmes plus jeunes, enfin vous serez probablement adepte de pornographie sado-masochiste sur le web, puis vous divorcerez à 50 ans, lorsque les enfants seront plus vieux, et vous allez vous remettre en couple avec une autre femme avec laquelle vous perpétuerez encore les mêmes erreurs tout en vous disant qu'enfin vous êtes libre alors que vous serez plus que jamais pris dans votre triangle oedipien, et là ce sera le ballet des groupes de croissance personnelle, du New Age, du Yoga, peut-être même du born again christian, vous allez devenir un vieux con pour qui c'est la faute des immigrants et des homosexuels, vos enfants ne viendront assurément jamais vous voir à l'hospice parce que vous les faites trop chier avec vos discours réactionnaires et alors vous allez devenir aussi incontinent que votre âme; on va vous poser une sonde, et vous creverez seul au bout d'une longue et pénible usure et votre pierre tombale sera laide.

Je vous invite donc à prendre la vie à bras-le-corps et à reformuler votre question.

ça sent le vécu bien frustré !

"Mon esprit contient les preuves de la position que j'avance..."

C'est comme si un joueur de tennis arrivait sur le court en lançant à la foule qu'il est le meilleur des deux joueurs, puis qu'il repartait aussitôt au vestiaire, considérant la partie terminée.

Pour moi l'amour était un désir charnel irrépressible, qui me porta aux portes de la folie.

Après c'était l'horreur, une relation passionnée et toxique. Je crois que notre incompréhension mutuelle excitait d'avantage une sexualité barbare. Je n'ai plus jamais autant joui, pour parler crûment. J'avais 17 ans.

J'étais obsédé je ne pensais qu'à elle. J'ai fini par jeter cette "créature" loin de moi car nous allions nous détruire, nous perdions tout amour propre et ne pouvions résister à la pulsion bestiale. J'ai fui lâchement, vers Paris pour mes études, ne donnant plus mon adresse, disparaissant du jour au lendemain. Ce fut difficile car j'étais très amoureux, mais confusément je savais, qu'il en allait de ma survie.

A 32 ans pourtant, j'ai voulu revoir cette âme sœur improbable. Je lui ai écrit. Elle avait conservé au fond d'elle-même, le même amour pur pour moi, que j'avais pour elle. Mais nous savions que notre amour nous détruisait, et d'ailleurs tous les réflexes passionnés, en quelques heures à peine, revinrent nous torturer. Nous nous sommes dit Adieu définitivement. Parfois je la cherche encore sur Facebook ou autre, je ne la vois plus.

Plus tard, je suis retombé sur un amour aussi puissant, du même type exactement, comme si la vie voulait me donner une autre chance. J'ai fait la même chose : je l'ai fui. J'ai besoin de contrôler mes sentiments.

Depuis j'ai cherché des amours plus proches de l'amitié et je m'en porte mieux.