Barrage de Sivens : série de manifestations contre les "violences policières"

Barrage de Sivens : série de manifestations contre les "violences policières"

Une vingtaine de vitrines de commerces et du mobilier urbain ont été endommagés lundi soir à Nantes par des opposants à l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes.

Plus d'une dizaine de manifestations et rassemblements dénonçant les "violences policières" ont eu lieu lundi 27 octobre dans toute la France après le décès dimanche de Rémi Fraisse, un manifestant de 21 ans, sur le site du barrage contesté de Sivens (Tarn) lors d'affrontements avec les forces de l'ordre.

A Nantes, où les opposants à l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes se sont plusieurs fois violemment opposés aux forces de l'ordre depuis 2012, plus de 600 personnes se sont rassemblées en fin de journée près de la préfecture pour "exprimer leur colère face à la violence d'Etat".

Ils ont allumé des bougies et déployé des banderoles, proclamant : "Vos armes non létales tuent. On n'oubliera pas. Résistance" ou "Nantes-Toulouse-Montreuil. Solidarité contre les violences policières".

Violences à Nantes

Place de l'Hôtel de ville à Paris une centaine de personnes se sont réunies et ont allumé des bougies. Une pancarte proclamait : "Pour Rémi, ni oubli ni pardon".

On a eu un Etat qui blesse, un Etat qui mutile. Maintenant, on a un Etat qui tue", a déploré sur place Coralie Duby, 29 ans, militante écologiste, présente ce week-end sur le site contesté dans le Tarn.

A Brest une centaine de manifestants se sont rassemblés place de la liberté et ils étaient une centaine également en fin d'après-midi sur le Vieux Port à Marseille à l'appel notamment d'Europe Ecologie Les Verts.

"L'Etat prêt à tuer pour protéger ses intérêts"

A Chambéry ils étaient une cinquantaine - parmi lesquels des opposants au projet de ligne ferroviaire à grande vitesse Lyon-Turin - devant la préfecture de Savoie pour "protester contre les mesures répressives disproportionnées à l'encontre des citoyens qui dénoncent des projets inutiles, des conflits d'intérêt et des collusions".

A Bordeaux une centaine devant l'Hôtel de ville ont dénoncé "les violences policières" avec une banderole : "one mort time !"

A Lyon, environ 130 personnes se sont rassemblées dans le calme et en silence, lundi soir, devant la préfecture du Rhône. A Strasbourg une trentaine de militants écologistes sont restés en silence devant la préfecture du Bas-Rhin, brandissant une pancarte : "Hommage à Rémi Fraisse".

A Rouen, une petite centaine de personnes ont accroché aux grilles de la préfecture une banderole proclamant : "Testet : l'Etat tue, Rémi mort pour ses convictions. Ni oubli, ni pardon", tandis qu'à Caen, 80 personnes ont rejoint la préfecture avant de partir en cortège derrière une banderole affirmant "la police tue, halte à la répression".

"Des violences inacceptables"

Ils étaient une centaine à Angers. A Lille, une centaine de manifestants réunis sur la Grand Place ont accroché à la façade d'un des bâtiments une grande banderole au nom de "Rémi" et la date de son décès. Sur deux autres banderoles on pouvait lire "L'Etat tue La lutte continue" et "Rémi mort pour ses idées. L'Etat prêt à tuer pour protéger ses intérêts".

Les manifestants ont ensuite traversé le centre-ville en criant des slogans très hostiles à la police. "Clément, Rémi, ni oubli ni pardon", a scandé le cortège au coeur duquel on pouvait lire, sur une pancarte : "Militer sans être exécuté".

Lundi soir, le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve a condamné les "débordements" intervenus dans la soirée. "Depuis le début du mois de septembre, en marge des mobilisations pacifiques dans le Tarn, des violences inacceptables sont commises", a-t-il déclaré dans un communiqué. "Ces violences n'ont pas leur place dans un Etat de droit et doivent être condamnées, comme doivent l'être les débordements qui sont intervenus ce soir, à Nantes notamment".

http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20141028.OBS3334/barrage-de-sivens-serie-de-manifestations-contre-les-violences-policieres.html

Le ministre a raison: Dans un Etat de Droit, la violence n'a pas sa place.

Tout ça n'est pas rationnel. Mais ce n'est pas nouveau ! On sait bien que le mécontentement du Peuple se libère à travers un petit nombre d'individus qui aiment la violence pour la violence !

Rien ne justifie la mort d'un jeune de 21 ans surtout pas le rappel à l'état de droit qui a le devoir de maitriser la réponse légale à la violence des manifestants (qui reste à prouver dans ce cas précis!!).

Nous ne sommes plus en 1948 ou l'armée tirait sur les mineurs en lutte dans le nord et ou déja l'assassin en chef ètait socialiste (SFIO) et s'appelait Jules Moch..

Honte à ceux qui trouvent justifiée la mort d'un gamin dans ses conditions en France en 2014!!

Conditions qui ne sont pas mentionnées donc dont on ignore tout, ce qui rend la discussion difficile...

si les débordements doivent être punis ,en revanche ce projet doit être abandonné ...

une commission d'experts s'est penchée sur les termes de celui ci

La dénonciation qu’ils portent est d’ailleurs la même, celle d’une opération dictée par une logique purement productiviste, au mépris des milieux naturels, en l’occurrence une zone humide, riche en biodiversité, comme pour le projet de grand aéroport. Les détracteurs du barrage de Sivens dénoncent un ouvrage uniquement destiné, selon eux, à alimenter en eau les terres d’un petit nombre d’exploitants pratiquant une agriculture intensive.............

Un choix jugé «d’autant plus regrettable que le coût d’investissement rapporté au volume stocké est élevé », est-il indiqué dans ce document rendu public ce lundi.

Le même document pointe « des besoins réels, mais évalués de manière contestable »

..............

un projet qui coûte cher financé par une collectivité locale au profit de quelques privilégiés au mépris de l' environnement pour une retenue d'eau ridicule c'est se foutre de la gueule du monde .....

Il y a en plus un mensonge de la part des responsables ,d'après eux l'Europe devrait donner 2 millions d'euros sur les dix qu'il coûtera ,alors qu'elle ne finance pas ce type de projet ...résultat ce sera le contribuable qui paiera la différence comme d'habitude ....

L'exploitation de cette mort me gène beaucoup.

Ce matin j'entendais à la radio une écolo demander la fin des travaux avec comme argument premier la mort de ce jeune homme.

Cette mort est innacceptable, quelle qu'en soit la cause.

Mais la réccupération qui est faite l'est également.

Pour le barrage, un rapport d'expertise a été rendu publique.

Il serait intelligent de suspendre les travaux pour se pencher sur les conclusions des experts et en tirer les conclusions nécessaires.

Quand les conclusions de l'autopsie seront connues, il faudra également tirer les conclusions de la mort de ce jeune homme.

Une poignée d'élus décident de faire des travaux contestés. Il est temps…. grand temps d'instaurer le référendum d'initiative populaire. Certains élus se comportent comme des petits seigneurs et se considèrent comme les propriétaires des lieux qu'ils administrent .

Barrage de Sivens : série de manifestations contre les "violences policières"

Une vingtaine de vitrines de commerces et du mobilier urbain ont été endommagés lundi soir à Nantes par des opposants à l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes.

Plus d'une dizaine de manifestations et rassemblements dénonçant les "violences policières" ont eu lieu lundi 27 octobre dans toute la France après le décès dimanche de Rémi Fraisse, un manifestant de 21 ans, sur le site du barrage contesté de Sivens (Tarn) lors d'affrontements avec les forces de l'ordre.

A Nantes, où les opposants à l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes se sont plusieurs fois violemment opposés aux forces de l'ordre depuis 2012, plus de 600 personnes se sont rassemblées en fin de journée près de la préfecture pour "exprimer leur colère face à la violence d'Etat".

Ils ont allumé des bougies et déployé des banderoles, proclamant : "Vos armes non létales tuent. On n'oubliera pas. Résistance" ou "Nantes-Toulouse-Montreuil. Solidarité contre les violences policières".

Violences à Nantes

Place de l'Hôtel de ville à Paris une centaine de personnes se sont réunies et ont allumé des bougies. Une pancarte proclamait : "Pour Rémi, ni oubli ni pardon".

On a eu un Etat qui blesse, un Etat qui mutile. Maintenant, on a un Etat qui tue", a déploré sur place Coralie Duby, 29 ans, militante écologiste, présente ce week-end sur le site contesté dans le Tarn.

A Brest une centaine de manifestants se sont rassemblés place de la liberté et ils étaient une centaine également en fin d'après-midi sur le Vieux Port à Marseille à l'appel notamment d'Europe Ecologie Les Verts.

"L'Etat prêt à tuer pour protéger ses intérêts"

A Chambéry ils étaient une cinquantaine - parmi lesquels des opposants au projet de ligne ferroviaire à grande vitesse Lyon-Turin - devant la préfecture de Savoie pour "protester contre les mesures répressives disproportionnées à l'encontre des citoyens qui dénoncent des projets inutiles, des conflits d'intérêt et des collusions".

A Bordeaux une centaine devant l'Hôtel de ville ont dénoncé "les violences policières" avec une banderole : "one mort time !"

A Lyon, environ 130 personnes se sont rassemblées dans le calme et en silence, lundi soir, devant la préfecture du Rhône. A Strasbourg une trentaine de militants écologistes sont restés en silence devant la préfecture du Bas-Rhin, brandissant une pancarte : "Hommage à Rémi Fraisse".

A Rouen, une petite centaine de personnes ont accroché aux grilles de la préfecture une banderole proclamant : "Testet : l'Etat tue, Rémi mort pour ses convictions. Ni oubli, ni pardon", tandis qu'à Caen, 80 personnes ont rejoint la préfecture avant de partir en cortège derrière une banderole affirmant "la police tue, halte à la répression".

"Des violences inacceptables"

Ils étaient une centaine à Angers. A Lille, une centaine de manifestants réunis sur la Grand Place ont accroché à la façade d'un des bâtiments une grande banderole au nom de "Rémi" et la date de son décès. Sur deux autres banderoles on pouvait lire "L'Etat tue La lutte continue" et "Rémi mort pour ses idées. L'Etat prêt à tuer pour protéger ses intérêts".

Les manifestants ont ensuite traversé le centre-ville en criant des slogans très hostiles à la police. "Clément, Rémi, ni oubli ni pardon", a scandé le cortège au coeur duquel on pouvait lire, sur une pancarte : "Militer sans être exécuté".

Lundi soir, le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve a condamné les "débordements" intervenus dans la soirée. "Depuis le début du mois de septembre, en marge des mobilisations pacifiques dans le Tarn, des violences inacceptables sont commises", a-t-il déclaré dans un communiqué. "Ces violences n'ont pas leur place dans un Etat de droit et doivent être condamnées, comme doivent l'être les débordements qui sont intervenus ce soir, à Nantes notamment".

http://tempsreel.nou...policieres.html

>> Rien ne justifie la mort d'un jeune de 21 ans surtout pas le rappel à l'état de droit qui a le devoir de maitriser la réponse légale à la violence des manifestants (qui reste à prouver dans ce cas précis!!). >>

Alors il fallait que les gendarmes restent les bras ballants ? Tu crois qu'ils pouvaient repousser leurs agresseurs sans leur faire prendre le risque d'être blessés ?

Il serait intelligent de suspendre les travaux pour se pencher sur les conclusions des experts.

ça fait déjà plus de 20 ans que ce projet est en cours....

La mort de ce garçon est inacceptable, et cette spirale de violence est une mauvaise réponse à plusieurs bonnes questions, et ce n'est pas par hasard que le parallèle est fait avec l' "Ayraultport" de ND des Landes:

1. ces 2 projets sont-ils vraiment d'utilité publique ? (quand on voit que le barrage doit profiter à 40 agriculteurs, on peut légitimement se poser la question),

2. leur coût, souvent (sciemment ?) sous-estimé, n'est-il pas une insulte aux Français à qui on demande depuis 6 ans de se serrer la ceinture pour endiguer la dette ?

3. comment ont-ils pu aboutir alors que les zones humides sur lesquelles ils doivent être installés sont protégées ?

Autant de questions que posent les rapports indépendants commandés par les opposants à ces deux projets.

La violence vient en premier lieu de ce que ces manifestants n'ont pas le sentiment d'être écoutés, et encore moins entendus, malgré les arguments qu'ils apportent au débat, ils ne sont que de pauvres David en face d'un état Goliath qui n'hésite pas à bafouer les règles qu'il a lui-mm édictées (protection des zones humides, économies face à la dette) sans état d'âme chaque fois que ça l'arrange... ce qui soulève des interrogations quant aux collusions possibles entre le maître d'oeuvre et le maître d'ouvrage... c'est aussi d'une grande violence...

Ajoutons à ça quelques excités qui viennent souvent de l'extérieur et qui veulent juste en découdre avec les forces de l'ordre, on entre alors dans une surenchère de violence, des réponses policières disproportionnées, et on obtient le cocktail explosif (sans mauvais jeu de mot) auquel on a assisté ces jours derniers...

Et s'il ne fait aucun doute qu'il faut condamner les casseurs, il faut aussi condamner la violence policière ET la violence (sociale, économique) que l'état nous impose...

L'exploitation de cette mort me gène beaucoup.

Ce matin j'entendais à la radio une écolo demander la fin des travaux avec comme argument premier la mort de ce jeune homme.

...

Certes, mais c'est que les autres arguments n'ont pas été entendus...

<< 'il faut condamner les casseurs, il faut aussi condamner la violence policière >>

Il ne faut pas mettre ces deux violences sur le même pied !

Se plaindre des violences policières en caillassant des flics et en cassant du mobilier ? Les nanars ne sont pas a une contradiction de plus.

D’après l'autopsie, c'est une explosion qui a tué le mec. Vu le matos utilisé par les FO, il faudrait se coucher sur la grenade pour en mourir. Et ses potes n'ont toujours pas rendu son sac a dos aux enquêteurs, on se demande bien pourquoi.

La mort de ce garçon est inacceptable, et cette spirale de violence est une mauvaise réponse à plusieurs bonnes questions, et ce n'est pas par hasard que le parallèle est fait avec l' "Ayraultport" de ND des Landes:

1. ces 2 projets sont-ils vraiment d'utilité publique ? (quand on voit que le barrage doit profiter à 40 agriculteurs, on peut légitimement se poser la question),

2. leur coût, souvent (sciemment ?) sous-estimé, n'est-il pas une insulte aux Français à qui on demande depuis 6 ans de se serrer la ceinture pour endiguer la dette ?

3. comment ont-ils pu aboutir alors que les zones humides sur lesquelles ils doivent être installés sont protégées ?

Autant de questions que posent les rapports indépendants commandés par les opposants à ces deux projets.

La violence vient en premier lieu de ce que ces manifestants n'ont pas le sentiment d'être écoutés, et encore moins entendus, malgré les arguments qu'ils apportent au débat, ils ne sont que de pauvres David en face d'un état Goliath qui n'hésite pas à bafouer les règles qu'il a lui-mm édictées (protection des zones humides, économies face à la dette) sans état d'âme chaque fois que ça l'arrange... ce qui soulève des interrogations quant aux collusions possibles entre le maître d'oeuvre et le maître d'ouvrage... c'est aussi d'une grande violence...

Ajoutons à ça quelques excités qui viennent souvent de l'extérieur et qui veulent juste en découdre avec les forces de l'ordre, on entre alors dans une surenchère de violence, des réponses policières disproportionnées, et on obtient le cocktail explosif (sans mauvais jeu de mot) auquel on a assisté ces jours derniers...

Et s'il ne fait aucun doute qu'il faut condamner les casseurs, il faut aussi condamner la violence policière ET la violence (sociale, économique) que l'état nous impose...

Certes, mais c'est que les autres arguments n'ont pas été entendus...

C'est bien ce qui m'a gêné dans cette interview et dans d'autres d'ailleurs.

Il y a des arguments bien réels à utiliser, mais certains préfèrent faire dans l'émotion.

Et trop souvent à grand renfort de sous-entendus déplacés.

Au final, on se retrouve avec une radicalisation des actions, et des situations qui dégénèrent.

Et je doute que quiconque y gagne vraiment.

petit question, avant la mort de ce jeune, qui a vraiment entendu parlé de la construction de ce barrage,, avant la mort de ce jeune, qui a entendu Duflot, Bové, Mamère,Mélanchon parler de leur opposition à la construction de ce barrage (et vu le nombre de fois qu'ils sont passés dans les médias en un an, c'est pas l'occasion qui leur a manqué° Je ne sais pas de quoi est mort ce jeune c'est pourquoi je ne me permettrais pas d'accuser qui que ce soit par contre je dénonce l'hypocrisie de Duflot, Bové, Mamère, Mélanchon qui se servent de la mort de ce jeune pour servir leurs propres intérets politiques,

Se plaindre des violences policières en caillassant des flics et en cassant du mobilier ? Les nanars ne sont pas a une contradiction de plus.

D’après l'autopsie, c'est une explosion qui a tué le mec. Vu le matos utilisé par les FO, il faudrait se coucher sur la grenade pour en mourir. Et ses potes n'ont toujours pas rendu son sac a dos aux enquêteurs, on se demande bien pourquoi.

c,est pas compliqué a comprendre,ils ne veulent pas qu,une piéce a conviction aussi importante disparaisse.le policier a faire ce tir savait trés bien ce qu,il faisait, c,est vrais ce genre d,engin n,est pas létal a condition de l,utiliser en tir courbe comme c,est obligatoire dans ce genre d,intervention, mais là le policier a tire en tir tendu c,est a dire droit devant le canon du fusil lance grenade a l,horizontale ou presque, évidemment ce ramasser une grenade dètonante lancée de cette façon , celui qu,elle touche est mort, j,ai utilisé ce matos,il y a bien longtemps mais les consignes sont toujours les mêmes , je ne veux pas dire que le policier a voulu tuer ce garçon mais il est responsable de sa mort et pour cela il doit payer.

Se plaindre des violences policières en caillassant des flics et en cassant du mobilier ? Les nanars ne sont pas a une contradiction de plus.

D’après l'autopsie, c'est une explosion qui a tué le mec. Vu le matos utilisé par les FO, il faudrait se coucher sur la grenade pour en mourir. Et ses potes n'ont toujours pas rendu son sac a dos aux enquêteurs, on se demande bien pourquoi.

c'est peut être les flics qui le planque le sacs ?? hum

c'est peut être les flics qui le planque le sacs ?? hum

c,est pas impossible ,si ce sac a disparu ,c,est qu,il y a de bonnes ou mauvaises raisons de le cacher ou faire disparaitre.avez vous entendu parlé des barbouzes , j;ai lu qu,ils étaientde retour quand Valls était a l;intérieur, le coup du monument aux morts ,me laisse septique et éveille ma curiosité....! * les paillotes qui brulent en corse...,*

Question : René Fraisse portait-il une cagoule ?

On a fait une loi pour empêcher les femmes musulmanes de porter un voile, mais on accepte que des individus viennent à une manif cachés sous une cagoule, ce qui est un signe non équivoque de leurs intentions...

En plus de cocktail molotov, les casseurs se seraient servit d'engins explosifs improvisés à balancer sur les flics. Ce qui pourrait expliquer la disparition du sac.

Sa mort serait dû à une grenade offensive. http://www.lefigaro....-retrouvees.php

Et a moins de se coucher dessus, on de la prendre en main, y'a que les tympans qui prennent. C'est prévu pour. Ca cause moins de soucis que les tirs de flashball.

N’empêche, c'est bien suspect comme cas. Son sac disparaît, et ont ne trouve le corps qu’après les affrontements ? Sont sympas les copains, belle solidarité, pas un pour appeler les secours.

Se plaindre des violences policières en caillassant des flics et en cassant du mobilier ? Les nanars ne sont pas a une contradiction de plus.

D’après l'autopsie, c'est une explosion qui a tué le mec. Vu le matos utilisé par les FO, il faudrait se coucher sur la grenade pour en mourir. Et ses potes n'ont toujours pas rendu son sac a dos aux enquêteurs, on se demande bien pourquoi.

ce serait bien une grenade offensive type F1 qui aurait explosé au moment où elle retombait au niveau des épaules de ce manifestant ....le tir tendu est exclu ,ce jeune homme se trouvait trop loin (d'après les témoins ) des forces de l'ordre ,et de toutes façons le retard d'explosion étant d'environ 5 secondes ,elle n'aurait pas eut le temps d'exploser à l'impact ...

Ce genre de grenade peut très bien blesser gravement si elle est ramassée pour être relancée ,comme souvent les manifestants le font pour les grenades lacrymogènes ...

je suis un peu perplexe quand à l'emploi de ce type de grenade ,dans un contexte de protestation sans violences ...