Aphorismes affreux

Qui me lit n'est pas aveugle.

Un petit coin de paradis: l'imagination.

La pensée des peuples se reproduit au travers d'un rut informe d'où émergent des orgasmes appelés lumières.

Grandir, c'est penser un espace au-delà de soi.

Sachant que j'allais me perdre, je suis partie plus tôt.

Mon dieu que votre volonté soit fête !

Que vos fêtes sont du vol éhonté !

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Ne jamais prendre des cons pour les gendres.

Ne jamais pendre les genres au balcon.

C'est ceux qui en parlent le plus qui en font le moins.

C'est ceux qui empalent le plus qui s'enfoncent le moins.

Oui, oui, je -->

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Je cherchais un coin paisible, je l'avais trouvé dans le vide sidéral de ma tête

Mieux vaut être belle et rebelle que moche et remoche

Mieux vaut être fait et surfait que morne qui sermonne

Oui, oui, je -->

Demsky, il me faut généralement moins de 3:26 min pour sortir une connerie.

Je cherchais un coin paisible, je l'avais trouvé dans le vide sidéral de ma tête

Je cherchais un point risible, je l'avais trouvé dans le bide viscéral de la bête.

(Tes aphorismes inspirent les miens, ça me fait respirer...)

(Tes aphorismes inspirent les miens, ça me fait respirer...)

A inspirer trop fort, on risque la crevaison

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Je suis maintenant persuadée qu'aimer son prochain ne concerne que le suivant.

C'est bon, tu m'as cloué le bec.

Je suis maintenant persuadée qu'aimer son prochain ne concerne que le suivant.

Rien ne sert d'aimer éperdument : il faut savoir apprécier avec un point.

Chien qui sert celui qui ment : il se fait aimer aux poings.

A force de tendre la main, on m'a pris pour un mendiant.