Ma soeur, ma meilleure ennemie

L’imaginaire collectif les voudrait alliées pour la vie. La réalité que révèlent faits divers et paroles d’experts est plus nuancée. Les relations entre sœurs? Pas toujours facile...

Elle se prénommait Nancy. Elle avait 37 ans. Le 9 février dernier, elle se donnait la mort à son domicile de Los Angeles. Celle qui avait été assistante de production – elle avait notamment travaillé sur la série Glee – aurait laissé une longue lettre d’adieu où elle accusait sa demi-sœur de l’avoir poussée au suicide, par son indifférence et ses brimades répétées. Si ce triste fait divers a fait la une des médias, c’est parce que «l’accusée» n’est pas n’importe qui. Son nom? Julia Roberts... Gros titres, déclarations choc du fiancé de la défunte accablant la star, photos volées à l’enterrement. Avec, ainsi mise sous les spots, une réalité souvent taboue: ce n’est pas parce qu’on est sœurs qu’on s’adore forcément. Loin s’en faut.

Spécialiste de la famille à Genève, le psychiatre et psychanalyste Robert Neuburger s’étonne souvent de la grande naïveté des parents face aux liens que tissent leurs enfants. «Ils pensent que frères et sœurs vont d’emblée s’entendre et se protéger, que l’amour dans la fratrie serait naturel. Or ce sentiment n’est pas forcément la norme! Il peut se construire dans un second temps et il n’est pas rare que des sœurs en rivalité féroce dans leur enfance nouent, une fois adultes, des relations extrêmement affectueuses. Mais croire que l’attachement est spontané, c’est de l’aveuglement... Parfois, les parents sont tellement admiratifs du duo que forment leurs filles qu’ils ne voient pas, par exemple, que l’aînée étouffe sa cadette en la dominant... Une trop grande proximité ne respire pas toujours la santé, elle non plus.»

Suite http://femina.ch/maman/famille/ma-soeur-ma-meilleure-ennemie

Quand j'étais enfant, je me battais tout le temps avec mon frère et ma sœur, maintenant, nous sommes très proches. J'ai une autre sœur, beaucoup plus jeune, avec qui je n'ai que des relations "de mariages/obsèques". Nous étions dans deux mondes différents, nous ne nous connaissons pas vraiment.

Mes enfants n'étaient pas sur la même longueur d'onde, quant ils étaient petits, surement en raison de leur écart d'age. Maintenant, ils sont très complices.

nous n'avons pas la réelle conscience de l'état de fait que nos proches autant enfants, parents, frères, soeurs, cousins etc...ne nous sont pas si proches que l'on croit

ce qui fait la proximité n'est qu'affective, dans le respect de l'autre même si c'est encore un bébé...et ces liens se renforcent par les temps de vie passés ensemble

en fait nous nous accueillons les uns les autres, un nouveau-né est accueilli tout simplement au sein d'un couple, il n'a aucune priorité si ce n'est celle de ses besoins d'amour et de protection que l'adulte peut lui donner, lui fournir ; avec la tendresse des échanges chaque jour renouvelée ; personne n'est acquis

entre frères et soeurs également rien ne prédispose une supériorité, même vis à vis du droit d'aînesse ; là encore il n'y a que des différences à partager dans l'amour et le respect et quand bien même l'amour et le respect ne sont même pas obligatoires, ne sont que des preuves de l'amour et du respect de soi par lesquels émanent l'harmonie relationnelle

en quoi un enfant, un père, une mère nous appartient "plus" qu'un étranger ? une filiation permettrait-elle la possessivité au point de faire du proche un objet personnel ? le fait d'éduquer un enfant nous donnerai-il un "droit" sur lui ? ne serait-ce que par sa potentielle réussite ou son éventuel échec ; une concession pour l'avenir ? et en quoi un frère une soeur pourrait pourrir la vie si cela ne lui était pas permissif ?

tant de questions à se poser quant aux relations familiales et par lesquelles s'imprègnent les relations tout court

et tant que choses dites naturelles à remettre en cause quant à la proximité dite affective, en sein du même famille

nous laissons à autrui (proche ou pas) le soin de nous "massacrer" si besoin, si désir, si tendance, sinon rien ni personne est ni capable ni en droit de le faire ; et la soeur de cette personne qui s'est suicidée dans cette affaire n'est nullement responsable , mais il faut bien trouver un fautif, famille oblige...cela enlève à chacun sa propre responsabilité et son choix d'être et de vivre comme il l'entend, voire le désir de ne pas vivre, tout simplement

Bonjour :)

Quand je pense à ma soeur je m'imagine la fille du film l'exorciste quand elle est toute boursoufflée et qu'elle vomit du vert.

Ma soeur à 4 ans de plus que moi

Depuis l'enfance elle me reproche de lui avoir pris sa chambre et ses parents (26 ans dans la même chambre)

Quand je suis en couple elle ne m'adresse plus la parole.

Pour son premier flirt elle est venue me trouver pour me dire, maintenant que j'ai rencontré quelqu'un tu n'existe plus.

Vu que ça n'a pas durer, elle s'est retrouvé sans mec et sans soeur, ma reprocher de ne plus être la, alors que c'est elle qui m'a demander de partir.

En famille je me prenais des coups de pieds si je parlais aux autres, elle voulait que on lui dise bonjour à elle et à moi rien.

Idem avec son mari et ses enfants, en famille ou entre amis, on prend des coups car on a pas le droit de parler.

Elle ne m'a pas invitée au bâptème de son premier enfant, et s'est étonnée le jour du baptème que je ne soit pas là, faisant croire à tout le monde que je suis mauvaise car je ne suis pas venue, alors que je n'étais même pas au courant.

Mes parents me l'ont reprocher pendant des années et ne me croient pas.

J'étais loin de penser que ce n'était que le début

Son mari sachant qu'elle me déteste ma agréssée sexuellement, il savait que je ne serait pas crédible et que toute ma famille me cracherait dessus si je parlais.

Aujourd'hui ma soeur crie partout que je pourrais faire du mal à ses enfants, que j'ai des hallucinations, que je vois des choses qui n'existent pas

Je ne savais pas que ma naissance l'avait dévastée à ce point

Quand on a 22 ans on est une merdeuse, mais bon, elle a 41 ans et à cet âge la ce qu'elle dit n'est pas normal, elle a clairement un prôblème.

Moi timide maladive jusqu'à l'âge de 26 ans toujours les mains derriere le dos adossée contre un mur, je n'aie jamais compris à quel moment je lui ai fait de l'ombre.

Marre de dire merci quand on me crache dessus, de toujours tout pardonner quand les gens regrettent ce qu'ils m'ont fait, de ne jamais faire de vagues car tout ça jusqu'à présent me passait au dessus

Aujourd'hui j'approche de la quarantaine, et ça commence à m'atteindre (elle m'a souvent reproché d'être forte, elle m'a dit quand tu étais petite, je te frappait pour que u pleure et tu ne pleurais pas et tu m'aimais)

J'arrive à un âge ou je n'aie plus envie que l'on me fasse chier

Je réalise que je ne suis pas un paillasson

Avoir une soeur est la pire chose qui me soit arrivé dans ma vie

Julia roberts? J'avais la même à la maison

De mon point de vue... C'est con d'en arriver là. Un frère, une sœur, ça doit être en aucun cas un ennemi mais quelqu'un qui a partagé ton enfance avec toi, qui t'a vu grandir.

Certains parents y prennent du plaisir à instaurer un esprit de compétition entre frères et sœurs, mais je trouve ça débile... C'est avec ceux là qu'on doit s'entraider le plus. C'est sur ces gens qu'on est censé le plus compter.

On s'en fout de qui a eu le plus beau jouet, ou qui a eu la meilleur note. Ressentir un complexe d'infériorité... je trouve que c'est avouer sa débilité...

A part dans le cas d'un désaveu complet des parents, je ne sais pas comment une situation peut dégénérer à ce point.

Avoir une soeur est la pire chose qui me soit arrivé dans ma vie

J'ai beaucoup détesté mon petit frère, m'occupant de lui quand il était bébé, me causant beaucoup d'ennuis et de changement. J'en ai eu assez d'être patiente et gentille, d'accepter les réflexions de ma mere ttes les 5 mins par ce que quoi qu'il arrivait c'était ma faute.

Vers 7 ans j'ai commencé a devenir méchante et vraiment blessante volontairement.

De mes 11 a 14 ans (lui: 6 a 9 ans) je l'ai complètement ignoré par haine, mais avant ça, je l'ai martyrisé, ce qui peut paraitre normal, mais je ne lui infligeais pas des douleurs physiques comme ma soeur a pu le faire avec moi par amusement, mais mentales, en lui faisant croire des choses horribles.

Nous dormions dans la meme chambre -> ma chambre étant également la sienne, il avait l'interdiction de poser ne serait ce qu'un pied a l'intérieur, je lui ai fait croire qu'il était adopté et avait l'interdiction d'en parler a ma maman sous peine d'être rejeté. Qu'il était gay et malaimé de tous, qu'il n'avait et n'aurait jamais sa place dans notre famille (je détestais son père -je viens de m'en rendre compte son pere me frappait quand je pleurais a sa naissance ça a peut être un rapport, m'enfin je me souviens pas y avoir pensé avant aujourd'hui).

Je profitais de lui des que l'occasion se présentait, va me chercher ça, fais ci, fais ça. J'usais et abusais de sa gentillesse, j'avais 8/9 ans lui 4/5. Il s'activait tjrs plus dans le seul but de voir dans mes yeux un peu de reconnaissance, je voyais qu'il n'attendait qu'un merci un geste tendre, et par pur plaisir je le regardais avec mépris.

Depuis quelques années, je me suis lassée sans arrêter de la détester, puis depuis quelque temps je me rends compte que je l'aime sincèrement, que je regrette ce que j'ai fait, quand j'y pense ça me fait mal, je le revois faire tout son possible pour me faire plaisir sans jamais une once de gratitude de ma part, je ne sais pas s'il a vraiment été atteint par mes brimades, je ne pensais pas, il parait normal épanouie nos relations vont clairement mieux je fais ce que je peux pour me racheter je crois qu'il n'a jamais cessé de m'aimer, mais j'ai très récemment appris qu'il était gay (personne n'est au courant a part moi, j'ai lu son journal -je sais c'est mal mais je suis tombée dessus par hasard et n'importe qui aurait fait de même-). Du coup je me demande ce qui pouvait se passer dans sa tete quand je lui disais ttes ces méchancetés.

Bonjour Naelli, et tu lui as dit ? Que tu regrettais, tout ça ?

On aborde le sujet parfois, ma soeur nostalgique des heures qu'elle passait sur moi a m'étouffer avec un coussin, j'ai déjà fait allusion aux doouloures mentales que j'ai causé a mon petit frère, en sa présence, en me rendant bien compte que j'avais été mauvaise et vraiment méchante d'agir comme ça, ma mère me félicite souvent de mon changement quand elle nous voit passer des moments ensemble.

Mais non j'ai jamais vraiment formuler d'excuses ou de regrets oraux auprès de lui. Il est jeune et a l'aire d'avoir oublié... S'il me le reproche un jour j'en discuterai avec lui. Mais j'aime penser qu'on est sur la bonne voix, ma soeur et moi sommes extrêmement complice, il ne va pas tarder a se sentir a l'écart, des qu'il sera en âge de participer a nos confidences, j'ai hate de l'intégrer avec nous dans nos petites soirées confidentielles. En attendant je renoue un lien avec lui, des petits moments de complicité quand on fait les magasins, quand on va au cinema quand on observe les gens. Je le laisse me taquiner, je crois que les meilleures moments de ces journées sont quand il sort une petite vanne a mon propos qui fait rire la galerie, c'est peut être une petite vengeance.

J'ai juste parfois la sensation qu'il commence a en profiter, je le met gentiment sur un pied d'égalité avec moi, mais quand je donne un ordre j'estime qu'après ts les efforts que je fais il doit obtempérer sur le champ. (pas des services mais des ordres comme 'finis la télé au lit" ou "tu fais ta vaisselles avant de te mettre sur ton jeu" ou un peu plus enfantin quand il passe la journée sur la télé et que je rentre tard du baby sitting je veux pouvoir regarder mon programme tranquillement, la chaine a mettre est svt source de conflits). Chose que je fais rarement mais quand je le fais je veux tjrs qu'il soit efficace, mais il me répond et me tient tete de plus en plus souvent et ça me met hors de moi, jamais il aurait réagit comme ça y a 2 ans. Je me rends pas compte si c'est légitime ou déplacé et égoïste.

Bah.. Je ne sais pas si tu as toute légitimité en tant que sœur pour exiger qu'il obtempère à tes ordres...

Les confrontations avec ta soeur son dus a la lune c comme les marrees c a change

J'ai beaucoup détesté mon petit frère, m'occupant de lui quand il était bébé, me causant beaucoup d'ennuis et de changement. J'en ai eu assez d'être patiente et gentille, d'accepter les réflexions de ma mere ttes les 5 mins par ce que quoi qu'il arrivait c'était ma faute.

Vers 7 ans j'ai commencé a devenir méchante et vraiment blessante volontairement.

De mes 11 a 14 ans (lui: 6 a 9 ans) je l'ai complètement ignoré par haine, mais avant ça, je l'ai martyrisé, ce qui peut paraitre normal, mais je ne lui infligeais pas des douleurs physiques comme ma soeur a pu le faire avec moi par amusement, mais mentales, en lui faisant croire des choses horribles.

Nous dormions dans la meme chambre -> ma chambre étant également la sienne, il avait l'interdiction de poser ne serait ce qu'un pied a l'intérieur, je lui ai fait croire qu'il était adopté et avait l'interdiction d'en parler a ma maman sous peine d'être rejeté. Qu'il était gay et malaimé de tous, qu'il n'avait et n'aurait jamais sa place dans notre famille (je détestais son père -je viens de m'en rendre compte son pere me frappait quand je pleurais a sa naissance ça a peut être un rapport, m'enfin je me souviens pas y avoir pensé avant aujourd'hui).

Je profitais de lui des que l'occasion se présentait, va me chercher ça, fais ci, fais ça. J'usais et abusais de sa gentillesse, j'avais 8/9 ans lui 4/5. Il s'activait tjrs plus dans le seul but de voir dans mes yeux un peu de reconnaissance, je voyais qu'il n'attendait qu'un merci un geste tendre, et par pur plaisir je le regardais avec mépris.

Depuis quelques années, je me suis lassée sans arrêter de la détester, puis depuis quelque temps je me rends compte que je l'aime sincèrement, que je regrette ce que j'ai fait, quand j'y pense ça me fait mal, je le revois faire tout son possible pour me faire plaisir sans jamais une once de gratitude de ma part, je ne sais pas s'il a vraiment été atteint par mes brimades, je ne pensais pas, il parait normal épanouie nos relations vont clairement mieux je fais ce que je peux pour me racheter je crois qu'il n'a jamais cessé de m'aimer, mais j'ai très récemment appris qu'il était gay (personne n'est au courant a part moi, j'ai lu son journal -je sais c'est mal mais je suis tombée dessus par hasard et n'importe qui aurait fait de même-). Du coup je me demande ce qui pouvait se passer dans sa tete quand je lui disais ttes ces méchancetés.

Pareil ma soeur me frappait pour que j'ailles lui chercher à manger je l'aimais me demandais ce qu'elle avait 5 secondes mais ça ne m'atteignais pas

Aujourd'hui ça me touche beaucoup j'ai eu 8 mois de crises de tétanies, je l'aie bannie définitivement ça m'a pris trois années de réflexion , pas pour lui rendre la monnaie non, parce qu'elle me donne réellement envie de gerber. Et tout ce qui ne me touchait pas, et, me passait trois kilomètres au dessus, aujourd'hui remonte à la surface, comment j'ai pu me manquer de respect à ce point

La dernière fois qu'elle a voulu me frapper, j'ai lever mon bras pour la première fois je ne me suis pas laissée frappée, mais jamais je ne la toucherais, on dirait qu'elle me déteste aussi pour ça

Je fais des rêves ou je la frappe sans pouvoir m'arrêter

Elle na aucun droit sur moi et elle n'aura plus l'occasion de recommencer, idem à plusieurs reprises, elle s'en est rendue compte, elle s'est mise à me faire les courses, à me donner des tickets restos à prendre de mes nouvelles, mais la méchancetés et la jalousie on vite repris le dessus

En même temps elle me faisait passer pour celle qui à besoin d'aide et qui ne peux pas s'en sortir sans son aide

J'en veux pas de son argent, je veux qu'elle me parle correctement, mais elle ne connait que les coups et les cris... Je ne l'aie jamais vue sourire, je ne lui connait que son visage déformer par la haine

Merci Naelli pour ton témoignage

De mon point de vue... C'est con d'en arriver là. Un frère, une sœur, ça doit être en aucun cas un ennemi mais quelqu'un qui a partagé ton enfance avec toi, qui t'a vu grandir.

Certains parents y prennent du plaisir à instaurer un esprit de compétition entre frères et sœurs, mais je trouve ça débile... C'est avec ceux là qu'on doit s'entraider le plus. C'est sur ces gens qu'on est censé le plus compter.

On s'en fout de qui a eu le plus beau jouet, ou qui a eu la meilleur note. Ressentir un complexe d'infériorité... je trouve que c'est avouer sa débilité...

C'était ce que je croyais aussi, voilà pourquoi ma giffle à été si grande

J'ai eu 8 mois de tétanie car je n'avais plus de repères trahie par mon cocon famillial

C'est bien la première fois de ma vie que je déteste quelqu'un, c'est triste, je n'y reviendrais pas car elle recommencera toujours

Dormir dans la même chambre que ma soeur j'ai trouvé ça génial, elle, ça la traumatisée, je suis sa rivale apparemment, on a pas le même point de vue qu'elle reste là ou elle est

Un jour je lui dirais je regrette... Je regrette de ne pas t'avoir abandonnée plus tôt

Elle a le coeur sec dépourvue d'humanité, une Nabilla en puissance, qui veut être la seule qu'on regarde, mais seule elle va s'y retrouver qu'elle ne s'inquiète pas au fil du temps, toute sa famille va lui tourner le dos, j'ai ouvert les yeux d'autres vont suivre

Petite elle volait ses jouets à un enfant aveugle car pour elle il ne le saurait jamais, ben quoi qu'elle me disait

Quand elle a eu son premier enfant elle s'est mise à frapper son animal qui en a fait une dépression et s'est mis à pleurer et à s'arracher tout les poils de la queue

Une folle haineuse, je la conchie

idiote depuis l'enfance, elle ne s'arrange pas avec le temps

La Montespan aussi à fini oubliée dans un coin

Je me prend à rêver qu'elle ressente tout le mal qu'elle a fait subir aux autres dans son existence pourrie

Question à Naellie quand ma soeur s'aperçoit du mal qu'elle me fait, elle se met à me payer plein de trucs pour se racheter une conduite, je ne veux pas de son argent je veux qu'elle soit sympa rien de plus. (Au passage elle en profite pour me faire passer pour celle qui ne peut pas s'en sortir sans elle.)

Elle fait ça parce qu'elle ne sait pas comment me dire pardon, et je suis mal pour elle.

Je pense que là encore elle fait ça pour elle est elle seulement pour que je la regarde comme si elle était sympathique alors que ce n'est qu'une petite garce, elle ne supporte pas que je sois le témoin, celle qui sait QUI elle est vraiment. Les cadeaux c'est pour m'acheter, me faire taire. Ensuite elle s'octroie le droit de me taper dessus parce que c'est elle qui m'a acheté telle ou telle chose.

Qu'en pense tu? Fait tu de même? Tu cherche son pardon, pour toi? Ou pour lui?

Avoir une soeur j'ai trouvé ça génial, et grandir dans la même chambre idem. Je n'ai jamais accepté ou crue qu'elle sois traumatisée par ma naissance, je pensait qu'elle disait ça sur un moment de jalousie, pas qu'elle le pensait vraiment.

La méchanceté pour elle reprendra toujours le dessus, sera toujours plus forte que tout. Mauvaise un jour mauvaise toujours on ne change pas.

D'entrée je l'aie aimée, d'entrée elle m'a haïe

Il ne peut en être autrement

Les choses ne changeront jamais avec toute la bonne volonté du monde, ces sentiments prédomineront toujours

Être traumatisée par la naissance de quelqu'un qui vous adore en plus c'est avoir des problèmes psy elle devrait être en HP à 41 ans elle me reproche toute sa vie, et est persuadée que l'herbe et infiniment plus verte chez moi et à toujours tout fait pour m'écraser, plus elle vieillit moins elle s'arrange

conclusion..... tout est psychique

C'est bien la première fois de ma vie que je déteste quelqu'un, c'est triste, je n'y reviendrais pas car elle recommencera toujours

Dormir dans la même chambre que ma soeur j'ai trouvé ça génial, elle, ça la traumatisée, je suis sa rivale apparemment, on a pas le même point de vue qu'elle reste là ou elle est

Vu ce que tu racontes de votre relation, tu as de quoi la détester.

C'est une relation totalement déséquilibrée avec toi qui t'ouvres à elle et qui te prends de plein fouet sa haine et sa malveillance. Tu ne peux pas continuer à subir, elle ne mérite pas ce sacrifice.

Ah oui nan ma personnalité n'a rien a voir avec la sienne, je me suis jamais amusé a voler les jouets d'un aveugle (comment elle faisait ça d'ailleurs ? Elle était dans une école spécial ?). Et je crois ça fait 2, 3 ans que j'ai arrêté de l'ignorer petit a petit ça remonte a très longtemps les derniers fois ou j'ai été très cruelle volontairement et ou je me suis délecter de sa tristesse. A l'heure d'aujourd'hui je pense être une grande soeur protectrice qui ne souhaite que le bonheur et la bonne santé de rte ma famille, sans qu'il soit question d'argent...

MERCI pour ton témoignage Naelli :) la mienne me dit que je l'enerve car elle me frappe et que comme je pleure pas ça la fait enrager

Ma soeur était dans un hosto ou il y avait cet enfant aveugle malade

Merci Yop

Bizarre je peux vivre seule et elle non, et c'est moi qui courrait après et elle qui n'était pas interresse par contre dès qu'elle n'avait personne là elle se souvenait de moi ensuite si elle rencontre quelqu'un en chemin, elle me demande de partir :bad: un jour je lui ai dit la prochaine fois ne m'invite pas. Pis nan il n'y aura pas de prochaines fois car tu est une grognasse, sérieux tous les jours elle m'invitait quand je lui ai dit ce que je pensait, il faut parler mal pour être respecté???

Pr ton histoire avec ta soeur, ignore la completemet, rayes la de ta vie c'est pas compliqué, si bloque ses appelles.