Darwin ce ptit con ...

Pas mal, tu écris non, pour confirmer ce que j'écris.

Toujours pas Frelser! Regarde bien ce qui est en gras dans ma réponse précédente, et ce que j'ai souligné dans ton commentaire, tu devrais y voir ce sur quoi je me suis prononcé! :p

Tiens pendant que ça me remonte aux neurones en activité, pourquoi tu as changé ton age, peur de ne pas être pris au sérieux? Moi je trouve, selon ton premier age que tu n'as pas à rougir, à ton age, toujours premier, je ne savais pas autant de choses... j'avais plus de certitudes que maintenant, je suis bien plus réservé à présent, il faut bien qu'il y ait du bon à vieillir!

Modifié le 19 octobre 2014 par deja-utilise

On sait aujourd'hui que les gènes n'expliquent pas comment les organes, les membres ou les assemblages de cellules "savent" où se situe leur place, il a une sorte d'auto-organisation indépendante d'un plan génétique! Comme par exemple une cellule souche lâchée dans le corps migrera "d'elle-même" jusqu'au bon emplacement!

On n'en sait presque rien. Certains gènes maitres peuvent interrompre la formation de la tête, ou déplacer l'emplacement d'un organe.

Le développement d'un corps animal est autrement plus complexe qu'une liste d'instructions codées sur de l'ADN.

J'ai souligné le poids de la pléiotropie pour expliquer les sauts évolutifs rapides et que le gradualisme s'en retrouve repoussé sur le plan biomoléculaire à ses derniers retranchements.

On voit aussi se développer de plus en plus une recherche parallèle sur l'épigénétique, qui est en passe de "re-créditer" les idées lamarckiennes, de là à expliquer les phénomènes de convergences évolutives, il n'y a qu'un pas, qui n'est pas encore franchi ( comment passer d'une modification épigénétique à une génétique!? par la sélection naturelle!? ) .

Encore une fois, on ne sait que trop peu le role de l'épigénétique et aussi de la réorganisation de l'ADN par crossing over dans le processus de l'évolution. La multiplication d'un gène aussi peut conduire à de lourds changements.

d ou l intérêt de poursuivre avec le ch12

http://www.youtube.com/watch?v=XVKUYm_lMfs

je débâtais donc il y a peu avec cette amie imaginaire

qui était venu me rendre visite dans mes quartier lunaire

nous parlions du vent et d éthique

d une moral qui coule en nous

comme d'une transfusion

elle me proposait de Re-definir l Homme

pour faire avancer la théorie du chaos de façon plus radical

lasse de toute ces métaphores humaine

et cette folle ambition divine de nous rendre immortel

fixés dans la norme ou coincé entre deux rimes

lasse de ces êtres délabrés fidèle a l au delà

de ces analystes de la dernière pulsion

qui efface l esprit au profit d un algorithme

ou de ces évolutionniste

valorisant le gain adaptatif aux détriment de l amour

elle s est mise en quête de dessiner , de re-dessiner

les contours de l Homme

avec ses doigts

sa bouche

une esquisse sur l implication éventuelle d un nouveau discours

une nouvelle façon d aborder l humain

qui ne nie ni les instinct ni les institution

elle me proposait de Dé-construire ces machines binaires pour produire des Être éveillés

dotée d'un langages xxxxxxxxx pour parfaire nos imaginaire

des êtres capables de déclencher une émotion

d'un simple regard

une parabole poétique

qui illuminera le dernier des hommes

....et cette légère cicatrice

Modifié le 19 octobre 2014 par nietzsche.junior

d ou l intérêt de poursuivre avec le ch12

J'ai souligné comme le principe de petites mutations modifiant lentement les organismes vivants et sélectionnées paisiblement au fil de millions d'années est dépassé. Les processus sont fondamentalement la dérive génétique, et la plasticité ou la modularité des gènes maitres. Ce qui colle à la fois avec les données biomolécualires quantifiables et les données fossiles.

Toujours pas Frelser! Regarde bien ce qui est en gras dans ma réponse précédente, et ce que j'ai souligné dans ton commentaire, tu devrais y voir ce sur quoi je me suis prononcé! :p

? Modifié le 19 octobre 2014 par Frelser

J'ai souligné comme le principe de petites mutations modifiant lentement les organismes vivants et sélectionnées paisiblement au fil de millions d'années est dépassé. Les processus sont fondamentalement la dérive génétique, et la plasticité ou la modularité des gènes maitres. Ce qui colle à la fois avec les données biomolécualires quantifiables et les données fossiles.

ha oui autant pour moi …

tient une pensée comme ca .. dis moi fresler n a tu pas l impression que les êtres évoluent parcqu il manque toujours de quelque chose ?. Sinon pourquoi évolué ?

Dans le fond que ce soit du aux hasard ou a un 'plan' .tout ca ne résout pas le le fond du problème ..

pourquoi evolulé ?

La nature comme une artiste qui ne cesse de faire évoluer son œuvre car toujours insatisfaite du résultat .. il manque toujours quelque chose .. alors là voilà explorant toute les piste offert par l horizon des possible .. finalement cette nature nous a fait imparfait .. des « etres lacunaires » disait l autre ..

mais le but du débat pour moi était de définir notre spécificité comme espèce .. et je trouve que tout ces débat lié a la gpa montre la nécessité de s interroger sur notre spécificité humaine .. je trouve débile les gens qui veulent rapporter les comportement des humains au grand singes ou au bonobo sous prétexte que nous avons 98  et quelque chose de genes en commun .. car ils oublient souvent que nous avons aussi 6millions d années d évolution qui nous séparent

ha oui autant pour moi …

tient une pensée comme ca .. dis moi fresler n a tu pas l impression que les êtres évoluent parcqu il manque toujours de quelque chose ?. Sinon pourquoi évolué ?

Dans le fond que ce soit du aux hasard ou a un 'plan' .tout ca ne résout pas le le fond du problème ..

pourquoi evolulé ?

Parceque le contexte change. L'adaptabilité des espèces est très remarquable, puisque la vie a résisté à de nombreuses catastrophes catalysmiques. Et même avec nos violences incessantes sur la nature, la machinerie tient la route.

La nature peut-elle résister à l'homme?

oui .. elle était là avant lui et elle le sera bien après ..

par contre l' Homme peut il résister a la nature sans artefact ?

tient ..

une premiere serie nlle definition de l homme ..

l'Homme :une machine cognitive comme les autres

un singe machiavélique en pleine métamorphose

qui accompagne toujours ces mots d un antivol !

"l Homme cet éternel bourreau"

l'Homme cet éternel con

Modifié le 20 octobre 2014 par nietzsche.junior

En réalité, la nature adaptative des organismes vivants a quelque chose de fascinant. Un peu comme la faculté de se transformer en ce que nous voulons selon les besoins. Les mécanismes qui assurent cela, quels qu'ils soient ont à mes yeux une importance très secondaire, quoi que méritant une étude approfondie.

Modifié le 20 octobre 2014 par Frelser

je crois que cette accélération a fortement éloigné l homme du règne animal

avoir conscience de lui même comme sujet de désir , comme sujet a ce désir , une façon de se voir a la troisième personne , penser lui même comme a un autre ; ce désir de boire donc de trop boire , donc ne plus pouvoir , donc de s arrêter

et on se met a parler de sois même comme a un autre et on pense quelque chose a propos de quelque chose d autre ... "S est P" me dit l autre ..

bon

merci fresler pour cet échange un peu décalé

un ptit freestyle fait jamais de mal .

bn continuation ..

Modifié le 20 octobre 2014 par nietzsche.junior

Ce n'est pas du freestyle, je partage des données mises à jour, qui sont elles décalées des programmes d'enseignement scolaires. Quand je fais des hypothèses personelles, je ne manque pas de le préciser. Tant mieux si cela intéresse certains.

le freestyle

c était pour moi

Darwin adorait les orchidées ...!!

[

Modifié le 20 octobre 2014 par nietzsche.junior

Un autre domaine très intéressant est la plasticité cellulaire. En effet, le stress exercé sur une cellule la conduit a se différencier en fonction de l'étirement, la pression, la torsion... Par exemple, les ligaments du talon trop sollicités se transforment et s'ossifint à force de subir un étirement stressant.

Le role de cette plasticité et l'épigénétique modulant les cascades de synthèses de protéines conduisant la cellule à résilier et se transformer peut être une piste très importante tant en embryogenèse ou les feuillets de l'embryon induisent de telles contraintes mécaniques, mais également après la naissance en sorte de moduler la plasticité des organismes les conduisant à une diversité grandissante, favorable à une meilleure adaptation au milieu changeant. Les meilleurs "boites génétiques" générées par la dérive génétique étant favorisés par une meilleur plasticité, et les effets épigénétiques persistants conduisant à élaguer les locus génétiques non sollicitées par la même dérive génétique. Fondant donc ainsi un mécanisme plastique adaptationniste très puissant et rapide. Mécanisme d'autant plus important que le stress est également fondé comme suscitant un taux de mutations accéléré.

Un lien intéressant : http://cgphimc.univ-lyon1.fr/spip.php?rubrique7

Modifié le 20 octobre 2014 par Frelser

je crois que cette accélération a fortement éloigné l homme du règne animal

L'homme a se pouvoir miraculeux et ténébreux en même temps "d'extrêmiser"/amplifier tout ce qu'il fait, l'éloignant effectivement incommensurablement de son état animal, en même temps qu'il est capable d'en revenir bien en dessous!

si il est capable d etre au dessus ou en dessous c est qu il peut etre à coté non ?

.. c est pour cela que dans le fond j ai rien a redire pour le constat .. .. l Homme cet éternel bourreau . !!::;;

Mais dans la forme ton exemple illustre ce qu' « on » dit de la métaphysique .. un haut pour le bien un bas pour le mal . on est au dessus ou en dessous .. pour définir ce qui est bien ou mal . .. . alors que la peinture m a toujours fait cette impression qu il fallait sculpter des ombres pour faire surgir de la lumière ..

tu sais c est quoi le problème !!.. ?? quand on a réalisé qu on pouvait pas libérer les hommes on a décider de libérer les animaux et pour cela il fallait les rendre humain en nous faisant animal , alors sont arrivé des primatologue pour nous expliquer que les bonobos baisent et qu ils aiment ca en plus c est cons ! et que les singes font la guerre ,nan t es sérieuse ? Ouais !! des clan des partis , on est passé d une sorte d anthropocentrisme a ces pensée ou on prend plaisir a décrire le singe en nous

, je te jure 98,456 pour-cent de gènes en commun avec le singe c est que donc .. c est sur que là ..

mais le fait d en avoir 75,238 en commun avec la mouche a merde c est que donc quoi . ??

tout ces gens qui cherchent l animal en nous le font en réalité par idéologie et dogmatisme .. ils ont pris le partis non pas des animaux en réalité mais de l animalité en l homme , on est passé de l anthropocentrisme au zoocentrisme

comme disait l autre . ».

qu est ce qu on gagne a se travestir en singe et qu est ce que les singe gagnent a passé pour des politicien trompeur et savant «  , mon pc dconne les " sont a l envers ..etrange ...

animaliser l homme ne sert a rien et pire ca évite de définir ce qui nous spécifie et remplace ces définition par des préjugés

d ou l interet de vous exposer ma nlle théorie .. celle qui réactualise le mythe actuel sur les anciens astraunotes ! Nautes .. non !! notes ce que je dis !::!! tin vous comprenez rien

Un autre domaine très intéressant est la plasticité cellulaire. En effet, le stress exercé sur une cellule la conduit a se différencier en fonction de l'étirement, la pression, la torsion... Par exemple, les ligaments du talon trop sollicités se transforment et s'ossifint à force de subir un étirement stressant.

Le role de cette plasticité

"c est pas moi qui vous dirai le contraire ... !!"

..

Modifié le 23 octobre 2014 par nietzsche.junior

Je parles bien de modifications morphométriques persistantes s'opérant dans le cadre de la plasticité stochastique paragénétique inhérente au mode de dévelepement anatomique des espèces vivantes.

Même deux jumeaux élevés dans deux milieux différents peuvent devenir fort différents. La prédisposition génétique de certains individus à varier dans un sens différent particulier peut éloigner un microgroupe d'individus vers une morphologie différente, si les contraintes qui les poussent à résilier vers un développement morphométrique particulier persistent, ceux-si se différencieront ainsi progressivement des autres individus de leur espèce, jusqu'à pouvoir s'éloigner morphologiquement, géographiquement et enfin sexuellement pour, par le biais de la dérive génétique être dirigé vers une spéciation. La nouvelle espèce étant mieux adaptée à ce nouveau milieu, et cela sans sélection naturelle.

Si on pense que la taille d'un individu peut varier fortement en cas de disette ou de nourritures abondantes par exemple, et retenir que l'usage amoidrie d'un membre va conduire à son attrophie : la dérive génétique va conduire les gènes de croissance des membres non sollicités dans la réaction stochastique en cascade dirigent sa croissance, à se dégrader jusqu'à donner une sous-espèce plus petite ou plus grande aux membres attrophiées, ou plus longs sans sélection naturelle...

Cette espèce va par ailleurs pouvoir migrer pour trouver un milieu plus approprié à sa nouvelle morphologie.

Mieux, une étude récente à montré une transmission de mémoire comportementale transmise sur deux générations par le biais de l'épigénétique : des souris soumis à une expérience pavlovienne associant un parfum à un choc électrique a été noté chez leurs descendants dans des essais en double aveugle. Ce qui est une piste incroyable sur la faculté innée d'élaborer des comportement très sophistiqués sans aucune forme de transmission par essai-erreur de géniteurs à descendants.

Modifié le 23 octobre 2014 par Frelser

Mieux, une étude récente à montré une transmission de mémoire comportementale transmise sur deux générations par le biais de l'épigénétique : des souris soumis à une expérience pavlovienne associant un parfum à un choc électrique a été noté chez leurs descendants dans des essais en double aveugle. Ce qui est une piste incroyable sur la faculté innée d'élaborer des comportement très sophistiqués sans aucune forme de transmission par essai-erreur de géniteurs à descendants.

C'est ce que je te disais! Mais pas uniquement.

C'est ce que je te disais! Mais pas uniquement.

Oui, n'hésite pas à développer s'il-te-plait.

Je parles bien de modifications morphométriques persistantes s'opérant dans le cadre de la plasticité stochastique paragénétique inhérente au mode de dévelepement anatomique des espèces vivantes.

Même deux jumeaux élevés dans deux milieux différents peuvent devenir fort différents. La prédisposition génétique de certains individus à varier dans un sens différent particulier peut éloigner un microgroupe d'individus vers une morphologie différente, si les contraintes qui les poussent à résilier vers un développement morphométrique particulier persistent, ceux-si se différencieront ainsi progressivement des autres individus de leur espèce, jusqu'à pouvoir s'éloigner morphologiquement, géographiquement et enfin sexuellement pour, par le biais de la dérive génétique être dirigé vers une spéciation. La nouvelle espèce étant mieux adaptée à ce nouveau milieu, et cela sans sélection naturelle.

Si on pense que la taille d'un individu peut varier fortement en cas de disette ou de nourritures abondantes par exemple, et retenir que l'usage amoidrie d'un membre va conduire à son attrophie : la dérive génétique va conduire les gènes de croissance des membres non sollicités dans la réaction stochastique en cascade dirigent sa croissance, à se dégrader jusqu'à donner une sous-espèce plus petite ou plus grande aux membres attrophiées, ou plus longs sans sélection naturelle...

Lignée paléontologique de la baleine. On peut noter l'atrophie des membres, pour revevir suivant la plasticité de la boite génétique au fuselage hydrodynamique typique de poisson, sans qu'aucune sélection naturelle ne soit nécessaire, un nouveau milieu étant exploré.

Cette espèce va par ailleurs pouvoir migrer pour trouver un milieu plus approprié à sa nouvelle morphologie.

Mieux, une étude récente à montré une transmission de mémoire comportementale transmise sur deux générations par le biais de l'épigénétique : des souris soumis à une expérience pavlovienne associant un parfum à un choc électrique a été noté chez leurs descendants dans des essais en double aveugle. Ce qui est une piste incroyable sur la faculté innée d'élaborer des comportement très sophistiqués sans aucune forme de transmission par essai-erreur de géniteurs à descendants.

je comprend pas ou tu veux en venir ?? :!!:!!

pour moi c est l environnement qui s adapte aussi aux organisme vivant ,; comme les orchidées aux guêpes , et a chaque fois vous posez cette nature comme un truc neutre qui n évolue pas non plus ...

les deux evolue en même temps ... c est le fondement meme de votre facon de pensée qui est a revoir !!!

j abandonne

je laisse la place a paulette !!!

Modifié le 24 octobre 2014 par nietzsche.junior